...et leur a recommandé de laisser mûrir leur amour sans "brûler les étapes";
notre consoeur de "Benoît et moi" a traduit cette adresse qui est disponible ici : http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f5e05ed402.html
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...et leur a recommandé de laisser mûrir leur amour sans "brûler les étapes";
notre consoeur de "Benoît et moi" a traduit cette adresse qui est disponible ici : http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f5e05ed402.html
Christian Laporte exulte dans la Libre de ce week-end en nous faisant part d'une initiative conjointe sur la mort menée par le Centre d'Action Laïque et l'Université "catholique de Louvain. C'est la victoire du dialogue sur l'exclusion réciproque mais on a la forte impression que l'ouverture est à sens unique et que ceux qui la portent sont loin d'être représentatifs de l'Eglise dont ils se revendiquent...
Extraits (nous soulignons en mettant en gras les passages qui nous paraissent les plus significatifs):
"Depuis le concile Vatican II (ah! l'"esprit" du concile!) et l’ouverture de l’Eglise catholique au monde, chrétiens et laïques - entendez en l’occurrence les incroyants et les agnostiques - ont appris à se parler et à mener des dialogues fructueux. En même temps, le cardinal Danneels et des religieux de tous rangs ont été accueillis ces dernières décennies dans des ateliers maçonniques mais à ce jour, la laïcité organisée n’avait jamais été reçue en ses titres, grades et qualités dans une université catholique pour une réflexion commune sur un sujet fondamental.
C’est fait ! Pendant cinq semaines, l’UCL accueille le Centre d’action laïque en ses murs néolouvanistes pour une exposition et une imposante série de conférences communes et d’animations autour de la mort.
Une initiative qui part d’une solide et interpellante exposition du CAL de la province de Namur (...) ...les organisateurs ont construit un programme qui a débuté en fanfare, jeudi soir puisqu’après le vernissage de l’expo à la bibliothèque des Sciences, l’abbé Gabriel Ringlet et le président du CAL, Pierre Galand ont confronté leurs conceptions de la mort. Dans les jours et semaines à venir, aucune thématique ne sera éludée, qu’il s’agisse de l’euthanasie et des soins palliatifs, de la manière de gérer sa vie et de penser sa mort, de la délicate question du suicide des jeunes ou encore de la place du mort dans notre société."
Et bien, voulez-vous qu'on vous dise? Au vu des organismes et institutions qui s'impliquent dans cette initiative et des personnalités qui s'y mettent en avant, cela ne nous inspire pas vraiment! Comme le souligne un lecteur de la Libre :
"Tout cela ne m'inspire que méfiance! Lorsque l'on apprend que la séance d'ouverture a été animée par un ennemi de l'Eglise de l'intérieur, l'abbé Ringlet et un ennemi actif de l'extérieur, Pierre Galand! Une université catholique n'a-t-elle rien de plus salvateur à proposer sur les soins palliatifs?"
A partir du 3 octobre, cours hebdomadaires, les lundis de 13h30 à 15h40 (à l’exception des congés scolaires)
« Soins palliatifs, acharnement thérapeutique. Cellules souches. Clonage thérapeutique. Loi belge autorisant la recherche sur les embryons surnuméraires. Thérapie génique… »
Tels sont les titres dans la presse actuellement. Mais qu’en est-il exactement ?
La bioéthique est-elle réservée aux scientifiques et aux politiciens ? Comment le citoyen peut-il s’informer et participer au débat? Certains choix sont difficiles; comment accueillir la personne en souffrance ? Quid de l’engagement en tant que catholiques ?
Ce cours de 20 heures réparti sur 10 semaines est destiné à un public n’ayant pas forcément une formation scientifique ou philosophique, mais toutefois curieux de comprendre et de communiquer sur toutes ces questions essentielles.
Les cours ont lieu dans les locaux de l’Institut d’Etudes Théologiques (IET), 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles –
PAF: 120 euros (60 pour les moins de 30 ans)
Infos : 0477 042 367 (Carine Brochier)
Inscriptions: Institut Sophia - institutsophia@yahoo.fr
Message du pape aux évêques (indiens) (8/9/2011) :
« Je vous encourage, a insisté le pape, à continuer « de prêter la plus grande attention à la qualité de l’instruction » dans les écoles des diocèses, « de façon à garantir qu’elles soient authentiquement catholiques, et donc en mesure de transmettre les vérités et les valeurs nécessaires au salut des âmes et au développement de la société ».
Un blog nous apprend ce fait qui malheureusement ne surprend plus :
"Sous l’impulsion de la politiquement correcte pensée laïque et athée, l’Australie a décidé de supprimer de ses livres d’histoire toute mention de Jésus-Christ. Désormais, il n’y aura plus de datation à partir de la naissance du Fils de Dieu puisque les termes « BC » pour « Before Christ » (Avant Jésus-Christ) et « AD » pour « Anno Domini », seront remplacés par « BCE », c’est à dire « Avant l’ère commune »; et « CE » pour parler de l’ « Ere commune ».
Dans le même ordre d’idées, on ne parlera plus non-plus de la fête de Noël, puisqu’il est question de célébrer la naissance du Christ, mais de « la saison festive ».
Officiellement, cette mesure a pour but de lutter contre le racisme et les discriminations envers l’une ou plusieurs des nombreuses communautés ethniques et culturelles du pays. Ainsi, ceux qui ne sont pas chrétiens ne se sentiraient plus lésés. S’il est bien normal de veiller à ce que tout un chacun ait les mêmes droits et les mêmes devoirs, on ne voit pas en quoi la mention de Jésus-Christ dans les livres d’histoire constitue une menace ou une offense…"
"On nous a élevés et pourtant en nous, nous sentons le désert.
La termitière humaine est plus riche qu'auparavant, nous disposons de plus de biens et de loisirs, et, cependant, quelque chose d'essentiel nous manque que nous savons mal définir. Nous nous sentons moins hommes... Fils de l'âge du confort, on nous a élevés, on nous a donnés le pain, on nous a enseignés et pourtant. en nous, nous sentons le désert.
On a cru que, pour nous grandir, il suffisait de nous vêtir, de nous nourrir, de répondre à tous nos besoins. Et l'on a peu à peu fondé en nous le petit bourgeois de Courteline, le politicien de village, le technicien fermé à toute vie intérieure. "On nous instruit, me répondrez-vous, on nous éclaire, on nous enrichit mieux qu'autrefois des conquêtes de notre raison." Mais il se fait une piètre idée de la culture de l'esprit, celui qui croit qu'elle repose sur la connaissance de formules, sur la mémoire de résultats acquis. Le médiocre sorti le dernier de polytechnique en sait plus long sur la nature et sur ses lois que Descartes, Pascal et Newton. Il demeure cependant incapable d'une seule des démarches de l'esprit dont furent capables Descartes, Pascal et Newton. Ceux là on les a d'abord cultivés."Antoine de Saint-Exupéry
source : http://www.volodalen.com/15psychologie/psychologie60.htm
Le blog "Le soupirail et les vitraux" relève les propos du Professeur Picq à ce sujet dans "Le Monde" :
"Extraits d'une intéressante tribune du Pascal Picq dans Le Monde, paléoanthropologue, maître de conférences au Collège de France, auteur de nombreux ouvrages scientifiques sur la question "Qu'est-ce que l'humain ?"
[...] Dans l'évolution, c'est toujours l'homme qui pose problème, et les sciences humaines. [...] D'un point de vue biologique et évolutif, les espèces les plus sexuées sont les mammifères et les oiseaux ; les espèces les plus complexes physiologiquement, éthologiquement, cognitivement et, bien sûr, dans la diversité des sexualités. (Le sexe de la plupart des reptiles se fixe en fonction de la température d'incubation et 10 % des espèces de poissons changent naturellement de sexe au cours de leur vie.) - Le sexe biologique est fortement déterminé par les chromosomes, sachant que les femelles sont XX (homogamiques) chez les mammifères et XY chez les mâles (hétérogamiques), tandis que c'est l'inverse chez les oiseaux, avec des femelles ZW et des mâles ZZ.
Nous vous soumettons cet évènement avec son programme ambitieux et la participation de personnalités très variées. En cliquant sur l'image ci-dessous, vous aurez accès au programme complet que vous pourrez télécharger. Parmi les intervenants, on nous annonce des figures dont nous nous sentons proches (Jean-Marie Le Méné, Chantal Delsol, François de Lacoste de Lareymondie, Fabrice Hadjadj...) et d'autres, plus éloignées. Mais pouvons-nous nous enfermer dans nos cénacles sans entendre ce qui peut se dire ailleurs?
Tous les renseignements se trouvent ici : http://www.lavie.fr/religion/etats-generaux-du-christianisme/
"L’année passée, notre collaborateur Yves Chenal, qui est par ailleurs normalien et professeur agrégé dans un lycée parisien, avait déjà manifesté sa crainte que les nouveaux programmes de la classe de première ne dénaturent l'enseignement en faisant disparaître la chronologie et, plus grave, remplacent les dissertations par des QCM (questionnaires à choix multiples) ou des jeux type Questions pour un champion."
Après les jours de ferveur passés par de nombreux jeunes à Madrid lors des JMJ, quel sera le menu des élèves au cours de religion? Une tribune parue dans la Libre, il y a deux ans, reste malheureusement tout à fait d'actualité. Charlotte de Saint-Moulin, de retour d'un voyage en Terre Sainte avec les jeunes de sa chorale, dressait alors un état des lieux alarmant. Comment pourrait-il en être autrement quand on examine le manque de clarté des programmes du cours de religion, la faible préparation de nombreux maîtres chargés d'enseigner cette "matière", la précipitation avec laquelle on désigne des enseignants pour enseigner la religion où il reste de nombreuses postes non encore affectés, la pratique courante de compléter les horaires des enseignants en leur donnant des heures de religion... Dans ces conditions, la conviction des professeurs de religion et leur détermination à présenter objectivement le contenu de la religion catholique ne sont pas toujours au rendez-vous, loin de là.
Voici le témoignage d'un jeune couple ami parti aux Philippines en mission humanitaire :
"Foi et culture philippines : Paradis ou Enfer ?
En apparence, les Philippines sont le pays le plus catholique du monde. Les Jeepney portent fièrement des énormes inscriptions “God is Good” (“all the time”), les gens vous parlent ouvertement de la foi, il ne se passe pas un jour sans que l’on croise une procession religieuse quelconque, et même le plus pauvre et le plus ridicule des quartiers possède sa chapelle tandis que Santo Niño veille sur les affaires des magasins dans lesquels il est exhibé (c'est-à-dire tous). Et tout cela pendant que les églises pleines à craquer réussisent le tour de force de réunir un public dont la moyenne d’âge est encore plus jeune que celle de la population philippine moyenne (22-23 ans, la population la plus jeune d’Asie). Qu’il est rafraîchissant par moment d’être entouré de tout plein de petits enfants débordant de vie, et en prière, quand on a été habitué à une société plus âgée, à notre métro si triste et nos églises presque sans vie !