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Enseignement - Education - Page 181

  • Harry Potter : Liberté politique poursuit son travail de discernement

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    Liberté Politique poursuit son examen du "phénomène Harry Potter" :

    "À propos de Harry Potter, Mona Mikaël et la rigueur scientifique par Antoine Gazeaud" (29 Juillet 2011)

    "Dans le cadre de notre saga d’été sur Harry Potter, nombreux sont ceux qui nous ont indiqué un ouvrage qui dénoncerait l’influence maléfique de l’œuvre de J.K. Rowling. Après examen, il semble que cet ouvrage largement cité dans la blogosphère catholique ne présente pas les règles élémentaires de la rigueur scientifique. Petit aperçu d’une méthode problématique..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/


    Liberté Politique publie également son deuxième article critique sur Harry Potter :

    "Harry Potter et l’au-delà de la fiction (2/5) : Voldemort, une allégorie du mal ?"

    "Dans un second volet de notre série d’été sur la saga des Harry Potter et ses enseignements philosophiques, libertepolitique.com propose des pistes de réflexion sur la définition du mal à travers les sept tomes et tout particulièrement l’identité de l’ultime ennemi du héros : Voldemort. Cette analyse tentera de faire la lumière sur la conception du bien et du mal sous-jacente à la saga : un élément non déterminant mais essentiel pour juger d’une bonne ou une mauvaise littérature jeunesse."

    C'est ici : http://www.libertepolitique.com/culture-et-societe

  • Le 29 juillet 1907

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    C'est le 29 juillet 1907 que Lord Baden Powell a fondé le scoutisme.

    Grâce à cette initiative, des générations de jeunes ont découvert l'esprit de fraternité, l'amour de la nature, la loyauté civique, le sens de l'effort et du dépassement de soi, mais aussi le sens de Dieu. La dimension religieuse fait partie intégrante des fondements du scoutisme et son fondateur a insisté sur la nécessité de l'inscrire dans l'esprit du mouvement.

    Il est donc infiniment regrettable que les cadres de la Fédération des Scouts Catholiques de Belgique aient renoncé à la maintenir dans leur fédération qui est devenue "les scouts". Heureusement, la "base", dans de nombreuses unités, réserve encore une place à cette dimension et des aumôniers ou des "animateurs spirituels" y exercent un rôle important pour accompagner les jeunes dans leur croissance spirituelle.

    Sur un site, je trouve ceci qui me paraît tout à fait adéquat :

    "Le scoutisme veut fournir à chaque jeune une occasion de découvrir Dieu, par la vie dans la nature, qui permet émerveillement et contemplation, par la vie avec les autres : une patrouille qui vit la loi scoute est un signe vivant de l’amour de Dieu ; les efforts fournis ensemble en s’entraidant, les moments de joie, les amitiés nouées par la vie fraternelle, sont autant d’occasions de sentir Dieu à l’œuvre à travers les hommes. Le témoignage personnel des aînés (chef de patrouille, chef, cheftaine) est essentiel dans cette découverte, par les temps de prière prévus dans les activités, la découverte du silence et du temps consacré à écouter, par la possibilité de rencontrer un prêtre, au camp ou pour la préparation des étapes de la vie scoute.
    Aujourd’hui, où règnent le doute et la désespérance, le scoutisme offre à chaque jeune une chance de trouver un sens à sa vie. Pour nous, ce sens, c’est le Christ, qui est « le Chemin, la Vérité, la Vie » Le scoutisme permet de le découvrir.
    "

  • L'Etat doit respecter les choix des parents

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    C'est sur "Zenit" (Marine Soreau)

    En matière d’éducation, l’Etat a le devoir de respecter les choix des parents et d’éviter toute tentative « d’endoctrinement idéologique ».

    C’est ce que rappelle Mgr Silvano Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège auprès du Bureau des Nations Unies et des institutions spécialisées à Genève, dans une intervention sur l’accès primaire à l’éducation, prononcée le 6 juillet dernier.

    « L’objectif de l’éducation est de s’étendre à la formation de la personne, à la transmission des valeurs comme le sens de la responsabilité individuelle et sociale, le travail éthique, le sens de la solidarité avec la famille humaine tout entière », a affirmé Mgr Tomasi.

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  • Apprendre "le langage des jeunes" ?

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    Dépêche Zenit du 21 juillet : http://www.zenit.org/article-28552?l=french

    "Pour évangéliser les jeunes, l’Eglise a besoin de comprendre leur culture, où la liberté et la science sont des valeurs dominantes, soutient Mgr Rino Fisichella.

    On ne peut pas parler du Christ aux jeunes, rappelle le président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, « sans parler de la liberté parce que le jeune d’aujourd’hui l’a placée dans sa culture, mais la liberté doit toujours être en relation avec la vérité parce que c’est la vérité qui produit la liberté ».

    En même temps, « on ne peut pas parler de Dieu aux jeunes sans connaître la culture des jeunes d’aujourd’hui qui est scientifique. La culture actuelle, son contenu, est pleine d’axiomes scientifiques ».

    Le prélat a fait part de son analyse sur l’évangélisation des jeunes en participant, le 20 juillet, au Cours estival ‘Les jeunes et l’Eglise catholique’, organisé par l’université Re Juan Carlos (Madrid), en expliquant que l’Eglise est « en faveur de la science mais qu’elle doit être pour et jamais contre l’humanité ».

    « Il arrivera un jour où la science demandera de l’aide à la théologie pour connaître plus amplement les domaines de la réalité et pouvoir donner une réponse à la douleur, à la trahison, à la mort », en définitive « aux grandes questions, aux questions de sens », a déclaré Mgr Fisichella dans une intervention sur le thème ‘Les jeunes et Dieu, les jeunes et Jésus-Christ, les jeunes et la vie éternelle ».

    L’archevêque a souligné que « l’interaction entre science, vie personnelle et éthique est nécessaire, on ne peut pas vivre sans ».

    Comme exemple, il a donné le cas du directeur du projet Genoma, Francis S. Collins, qui s’est engagé dans le langage de Dieu parce que « la science véritable vous met à la porte de la transcendance ».

    Mgr Fisichella a conclu en assurant que « l’on peut être en même temps catholiques et scientifiques ».

    « Vivre la connaissance scientifique n’implique pas l’athéisme. Le scientifique a ses limites, il ne peut pas affirmer la non-existence de Dieu »."

  • France : la théorie du "gender" dans les manuels et le malaise des catholiques

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    Dans Sud-Ouest, un professeur de théologie morale explique avec nuances le malaise "justifié" des catholiques (mais pourquoi les catholiques seulement?) face à l'introduction de l'idéologie du gender dans les programmes scolaires et sa publication dans certains manuels. Certains trouveront que cela manque de radicalité, mais le but n'est pas de se faire plaisir à soi-même en tenant des propos tranchants mais bien de faire comprendre ses positions de façon ce qu'elles puissent être entendues.

    Ce prêtre déclare notamment :  "Nous avons un corps que nous n'avons pas choisi, mais il n'est jamais bon de refuser la réalité telle qu'elle est. J'ai été médecin. J'ai rencontré des transsexuels et j'en ai soigné. Je peux vous dire que je n'en ai pas vu d'heureux. Ce n'est certainement pas en changeant les données de base de ce que l'on est que l'on peut résoudre un mal-être."

    Découvrir cette interview ici : http://www.sudouest.fr/2011/07/23/malaise-justifie-458301-3200.php

  • Ne pas leur voler leur enfance

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    Agoravox publie opportunément ces réflexions intitulées : "Laissons les enfants être des enfants" :

    "Des incidents mettant en scène des adolescents voire des enfants n’ayant même pas atteint cette tranche de vie font de plus en plus la une de l’actualité. Nos enfants veulent grandir vite poussés par une société qui s’inquiète un peu ? Mais qui laisse faire..."

    Lire la suite ici : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/laissons-les-enfants-etre-des-

  • L'hypersexualisation des plus jeunes : le CRIOC s'en inquiète

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    Samedi, nous mettions en ligne une note "De notre mieux" suite aux jeux sexuels qui ont contraint une meute de louveteaux à interrompre son camp. D'aucuns nous taxent très certainement de puritanisme et considèrent notre point de vue comme outrancier.

    Or, la Libre publie aujourd'hui un article relatif à cette question, faisant écho à une mise en garde du CRIOC (Centre de recherche et d’information des organisations de consommateurs) qui vient d'y consacrer une étude :

    "L’hypersexualisation apparaît comme un modèle de sexualité réducteur qui s’inspire de stéréotypes dont la pornographie est friande : homme-dominateur et femme-objet séductrice et soumise.

    Le Crioc s’inquiète de l’impact de ce phénomène sur les enfants et les adolescents, qui adoptent des attitudes et des comportements sexuels qui peuvent être considérés comme (trop) précoces. Sans compter qu’au cours du 20e siècle, les modifications des habitudes alimentaires ont avancé de 2 à 3 ans l’âge de la puberté et, partant, les changements physiologiques et psychologiques qui y sont liés."

    Lire la suite de l'article dans la Libre : enfants-et-adolescents-plus-precoces-dans-une-societe-hypersexualisee

    Cette étude peut être téléchargée ici : www.crioc.be

  • De notre mieux...

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    La presse raconte aujourd'hui comment un camp louveteau a dû être interrompu suite à des "jeux sexuels" pratiqués par des "petits loups" durant la sieste.

    Il ne s'agit pas de pousser des cris d'orfraie; ce n'est pas la première fois que ce type de jeux pas vraiment innocents se pratique. Ce qui m'inquiète davantage, c'est la banalisation de ce genre de comportements à l'école, dans les mouvements de jeunesse ou ailleurs. Ne pas dramatiser est une chose, banaliser en est une autre. Il suffit de lire les commentaires laissés par nombre d'intervenants dans les forums des quotidiens pour s'en rendre compte : la plupart, imbus des conceptions libertaires à la mode n'y voient que des faits sans importance qui ne méritent même pas que l'on y prête attention.

    Il faut quand même faire remarquer que, souvent, les enfants plus jeunes impliqués dans ces jeux ne sont pas consentants mais doivent céder à la pression ou aux menaces des plus grands. C'est une forme de violence. Absoudre trop facilement les petits "caïds", c'est leur laisser croire que tout ça n'est pas bien grave et que rien ne les empêche de continuer avec toutes les conséquences que l'on connaît dans la société actuelle. Le scoutisme ne peut devenir une école de la violence et du non-respect d'autrui.

    Par ailleurs, on peut se demander comment il pourrait en aller autrement dans une société qui considère que l'on peut diffuser n'importe quoi à n'importe quelle heure, que tout est enfants admis, et qui fait du sexe un absolu. Et d'ailleurs, comment éduquer à la pureté quand on ne la vit pas soi-même ?

    On est bien loin de la loi scoute et de cet article en particulier : "Le scout est pur dans ses paroles, ses pensées et ses actes."

    Voir : http://salve-regina.nuxit.net/Scoutisme/Loi_et_Principes.html

  • Une ère de reniement sans précédent

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    Les affaires de pédophilie dont on reparle à propos de l'Irlande posent la question de la fidélité des prêtres et des religieux aux engagements qu'ils avaient pris, solennellement, devant Dieu, devant leurs supérieurs, et devant l'Eglise toute entière. Depuis le dernier concile, le nombre de défections et de retours à l'état laïc de gens qui avaient consacré leur vie au Christ et à l'Eglise est proprement hallucinant.

    Et que dire des liens du mariage où les consentements échangés, en prenant Dieu et les communautés à témoin, ne pèsent vraiment plus très lourd, quelles que soient les conséquences pour le (la) partenaire que l'on abandonne et pour les enfants condamnés à faire le deuil d'une relation dans laquelle s'enracine pourtant leur existence.

    On pourrait y ajouter les serments prêtés par les enseignants lors de leur engagement, par les officiers lors de leurs promotions, par les médecins qui ont prononcé le serment d'Hippocrate, par les prêtres qui ont prêté le serment anti-moderniste, par les fonctionnaires et les élus lors de leur accession à des postes à responsabilité, etc. "Verba volant", voilà comment se sont évaporées aussi les formules prononcées avec émotion lors des professions de foi ou à l'occasion des promesses scoutes.

    Paroles, paroles, paroles ? Pourtant, une parole d'engagement n'est pas un simple énoncé, comme le fait de constater qu'il fait beau ou que l'euro est en mauvaise posture; c'est proférer des mots qui ont une dimension "performative", qui équivalent à une véritable action résultant de notre détermination, engageant notre être tout entier, corps, coeur et esprit. Renier ces paroles, c'est se renier soi-même, c'est compromettre la confiance que l'on pourra nous faire désormais, c'est détériorer l'estime que les autres et que nous-mêmes pouvons avoir à notre propre égard.

    Si l'on considère que la fidélité à la parole donnée constitue le ciment d'une société, il n'y a guère lieu de s'étonner du degré de délabrement de la nôtre.

    Heureusement que Dieu, Lui, reste fidèle, et d'une miséricorde infinie...

  • Les méfaits des méthodes de lecture globale et autres farfeluteries pédagogiques

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    "Les francophones (de Belgique) moins bons en lecture que la moyenne européenne : 23,3 % des francophones de 15 ans éprouvent des difficultés pour lire, soit plus que la moyenne européenne qui est de 20 %."

    C'est dans Le Vif et à découvrir ICI : levif.rnews.be/fr/news/actualite/belgique/

  • La nécessaire réforme de l’école catholique

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    Dans son dernier n° (1497) daté du samedi 2 juillet), le bimensuel L'Homme nouveau publie, sous la signature de l’abbé Henri Dobrolowski, un dossier sur la revitalisation souhaitable de l’enseignement catholique en France. Même si la configuration de cet enseignement est différente, les mesures à débattre sont en définitive les mêmes en Belgique et tournent aussi autour du caractère propre de l’école catholique. Extraits :

    1. Une école évangélisatrice

    110111_card_sarah.jpg« Le cardinal Robert Sarah (photo), lors de son allocution d’ouverture des travaux de Caritas internationalis à Rome en mai 2011 déclarait : « L’Eglise ne peut pas être considérée comme un partenaire des organisations catholiques. Ce sont des organisations qui participent à sa mission ». Il en va de même pour l’enseignement catholique qui ne peut faire l’économie de liens forts avec la vie de l’Eglise universelle, diocésaine ou paroissiale (…)

    2. Pour cela, l’école catholique doit redécouvrir son caractère propre

    Comment les élèves, les parents, les enseignants pourraient-ils le respecter si l’établissement lui-même ne s’en préoccupe pas ? (…)

    3.      Le nécessaire engagement de l’évêque

    Puisqu’il est responsable de l’enseignement catholique dans son diocèse, l’évêque doit être particulièrement vigilant au sujet de la nomination du chef de l’établissement et des responsables de la pastorale, qui doivent être des catholiques pratiquants et ayant une doctrine sûre (…)

    4.  Des professeurs vraiment catholiques

    (….) avec une attention, particulière aux discours tenus, à la qualité desmanuels employés, au témoignage donné par les différents partenaires éducatifs.

    5. Un nécessaire investissement de prêtres diocésains

    Il paraît aussi important que l’évêque ait le souci de former des clercs diocésains capables d’élaborer et de soutenir des projets éducatifs : d’autant plus que peu de congrégations -dont le charisme est l’éducation- ont encore assez de vocations pour exercer ce ministère (…)

    6. La création dans chaque diocèse d’établissements pilotes

    De l’école catholique sous contrat (ndlr : ce qui est pratiquement le cas de ce qu’on appelle l’enseignement « libre » qui  scolarise la majorité de la population scolaire belge) qui a totalement oublié son caractère propre, à l’école hors contrat sans lien avec l’évêque, en passant par les « tièdes », difficile de trouver aujourd’hui en enseignement qui soit conforme à ce que l’Eglise entend, à savoir « une école où est donnée une éducation imprégnée d’esprit chrétien » (code de droit canonique, article 802). Une des solutions de sortie de crise est assurément de se lancer dans un projet audacieux qui consisterait à créer des établissements pilotes qui tiendraient compte des remarques précédentes (…) »

    Litanie de voeux pieux ? Dans les milieux ecclésiaux ordinaires, aujourd’hui, ce qui évoque une « spécificité chrétienne » n’a plus la cote. La foi, vécue et transmise, se dilue dans le pluralisme ambiant. Dans nos pays, c’est toute la vie ecclésiale qui a besoin d’une « sanatio in radice ». Sans s’exclure soi-même du lot.

    JPS

  • Bannir la différence sexuelle à l'école ?

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    Dans sa synthèse de presse du 28 juin, genethique.org nous apprend que :

    "Une école maternelle suédoise veut déconstruire les genres masculin et féminin. L’école maternelle "Egalia", financé par le contribuable, a ouvert il y un an. Regroupant 33 enfants âgés de 1 à 6 ans, elle illustre la manière dont la Suède entend instaurer une "égalité des sexes" dès le plus jeune âge. "La société attend que les filles soient féminines, gentilles et jolies, et que les garçons soient virils, forts et sociables, affirme une jeune institutrice de l’école, "Egalia" est une formidable opportunité pour leur permettre d’être ce qu’ils veulent vraiment".

    Tout dans l’école est pensé pour qu’aucune différenciation sexuelle ne soit faites par les enfants, de l’emplacement des jouets au choix des contes. Ainsi, au lieu d’entendre les histoires de "Cendrillon" ou "Blanche-neige", contenant trop de "stéréotypes hétérosexuels", ils peuvent écouter l’histoire de deux girafes de même sexe tentant d’adopter un œuf de crocodile. Leurs enseignants bannissent de leur langage toute référence masculine ou féminine, y compris dans l’emploi des pronoms "lui" ou "elle", qu'ils n'emploient jamais. Ils sont pour cela assistés de "pédagogues du genre" qui les aide à identifier dans leur langage et leur comportement des stéréotypes hétérosexuels.

    Jay Belsky, psychologue spécialisé de l’enfance à l’université de Californie, s’interroge sur une telle application du gender à l’école maternelle : "Les sortes de choses que les garçons aiment faire, courir, prendre un bâton pour jouer au chevalier, sera bientôt désapprouvé. La pire application de la neutralité des sexes conduit à émasculer la masculinité".

    Egalia est la seule école de ce type ouverte en Suède. Si la liste d’attente pour y entrer semble s’allonger, certains parents craignent qu’elle n’aille trop loin, considérant que cette "obsession" à effacer les "rôles" de genre rend leur enfants confus et ne leur permet pas d’être préparé à affronter le monde extérieur."