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Médias - Page 106

  • Football, religion, religiosité et superstition

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    neymar.jpg

    On n’aura jamais autant vu de tatouages religieux en Equipe de France. Chez Rémy Cabella, l’inscription « Dio vi salvi Regina » au bras gauche. Chez Antoine Griezmann, le Christ Rédempteur du Corcovado, un chapelet et la Vierge Marie. Chez Mathieu Debuchy, un chapelet, le Christ Rédempteur, des mains en prières enlaçant une croix. Sur le bras d’Olivier Giroud est inscrit en latin « Dominus Regit Me Et Nihil Mihi Deerit », extrait du psaume 23 : « le Seigneur est mon berger, je ne manque de rien ». Pour Yohan Cabaye, le plus pieux, le nom « Jésus » en grandes lettres gothiques recouvre le bras, entrelacé d’un chapelet. Même le capricieux Florian Thauvin porte une croix autour du cou. Mais encore…

    Lu sur le site de « Nouvelles de France :

    « L’islam et le reste

    « L’islam est la première religion de Ligue 1 », dit Daniel Riolo en 2013 pour la sortie de son livre « Racaille Football Club ». Le journaliste y décrit comment un islam revendicatif se développe dans les équipes, avec des joueurs imposant nourriture halal, prières dans les vestiaires ou douches en caleçon. Réalité traduite en Equipe de France, comme l’épisode Knysna en 2010 l’avait montré : imposition du buffet halal et des rites musulmans, clans religieux. Fabien Barthez déclarait lui-même : « quand on rentre dans le vestiaire de l’Equipe de France, on se croirait dans une mosquée ». A l’affirmation identitaire se rajoute le prosélytisme, et parmi les musulmans les plus actifs se trouvent des convertis, blancs ou noirs, souvent à la suite d’un mariage ou sous l’influence de coéquipiers. Cette islamisation de la Ligue 1 rejoint un phénomène général en foot français de montée de l’islam radical, dénoncé en 2015 dans une note des renseignements intitulée « Le sport amateur vecteur de communautarisme et de radicalité ». 

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  • EgliseInfo - Nouveau partenariat et nouvelle fonctionnalité !

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    On nous demande de diffuser l'annonce suivante:

    eglise info.jpg

    "Chères contributrices, Chers contributeurs d'ÉgliseInfo.be,

             Dans cette newsletter de début de vacances, nous vous parlerons d'un nouveau partenariat avec le Mouvement Eucharistique Liégeois (le MEL) et d'une nouvelle fonctionnalité de gestion des récurrences.

    Un nouveau partenariat

            Partant de la même intuition de départ que les initiateurs d'EgliseInfo, le MEL souhaitait rendre facilement accessible les informations sur les lieux où il y a l'adoration eucharistique. De notre coté, nous sentons bien qu'il y a un besoin de mettre en évidence certaines capacités sous-exploitées de la plateforme.

            C'est donc avec une grande joie que nous avons accepté ce nouveau partenariat, dont l'objectif est de faciliter la géolocalisation des lieux d'adoration dans le diocèse de Liège, berceau de la Fête-Dieu si chère à notre évêque.

            Dans la pratique, des membres du MEL vont « marquer » (mettre un tag) avec le mot « adoration » sur les fiches des églises où il y a l'adoration. Ils vont ensuite ajouter les heures d'adoration qu'ils récoltent.

            Nous vous transmettons leur communiqué :

    Message du MEL (Mouvement Eucharistique Liégeois)

    Monsieur le Curé et chers Membres des équipes pastorales,

    Fondé en 2012, le MEL s'inscrit dans l'histoire de la dévotion au Saint-Sacrement. Il veille à la mise en valeur de ce cadeau fait par le diocèse de Liège à l'Église universelle.

    Ayant déjà mené diverses initiatives à Liège, notre Mouvement s'adresse à présent à toutes les unités pastorales et communautés du diocèse. Plusieurs UP ont déjà instauré des moments réguliers d'adoration. Notre souhait est d'encourager toutes les communautés à s'inscrire dans ce courant. 

    Nous nous sommes associé à la plate-forme « Eglise Info » pour référencer sur internet tous les jours/heures et lieux d'adoration que nous avons pu répertorier. Nous invitons toutes les UP et paroisses "contributrices" à inscrire leurs horaires d'adoration sur leur page EgliseInfo.be ; ou à nous communiquer ces données, afin que nous les inscrivions, à l'adresse

     mouvementeucharistiqueliegeois@gmail.com.

    Nous invitons aussi les responsables de toutes les communautés du diocèse à diffuser l'adresse www.adoration.egliseinfo.be pour y trouver les lieux et horaires d'adoration et à encourager la participation aux adorations afin de réveiller les cœurs.

    Par ailleurs, nous vous invitons à diffuser cette invitation : la 31° Session du Renouveau qui aura lieu au Palais des Congrès à Liège du 12 au 16 juillet prochains. Le thème de l'Adoration s'est imposé en mémoire de Sainte Julienne du Mont Cornillon : 

    www.sessionrenouveau.be

     

    En union fraternelle,

    Les membres du MEL

    Contacts : John Lannoye, Marie-Jeanne Maréchal, Doyen Jean-Pierre Pire."

    mouvementeucharistiqueliegeois@gmail.com

    Une nouvelle fonctionnalité

            Elle est récente et elle était attendue. Certains la connaissent déjà et l'ont déjà adoptée.

            « Elle », c'est la nouvelle fonctionnalité de gestion des récurrences. Elle va permettre d'avoir une surveillance des « fins de récurrences ». Ainsi, vous pourrez voir d'un coup d'œil toutes les récurrences que vous avez encodées, anticiper leurs échéances et vous pourrez les prolonger facilement en deux clics.

            Cette fonctionnalité se trouve dans la gestion des horaires, et « en haut à droite », il y a un lien « récurrences ». Cliquez dessus et vous aurez votre mini tableau de bord.

    église info 2 mini tableau de bord.png

            Sur l'image suivante, au n°1, il est indiqué le nombre d'offices qui restent. Sous le n°2, le crayon permet d'aller directement à l'édition pour prolonger l'horaire.

    eglise info 3 prolonger l'horaire.png

            Certaines paroisses arrivent au bout de leurs récurrences, c'est le moment de vérifier les vôtres et de préparer la suite : l'Assomption c'est pour bientôt !

            Pour l'équipe,

            Alain Tiri

    support@egliseinfo.be    

     JPSC

  • Quand la probable fermeture d'églises à Bruxelles fait l'objet d'une émission à la RTBF

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    La tension monte dans le diocèse de Bruxelles. De plus en plus de médias s'intéressent à la question des fermetures d'Eglises à Bruxelles.

    La RTBF consacrait une émission ce midi sur le sujet. (Le Forum de Midi)

    Mgr Kockerols, fidèle à lui-même, ne compte pas associer les laïcs à sa réflexion. Alors que seuls les responsables d'unités pastorales ont été consultés jusqu'à présent, il serait temps de tenir compte de l'avis des paroissiens impliqués dans le gestion des églises (chefs de chorales, catéchistes, fabriciens...).

    Ce problème ne peut être géré en catimini. Avant d'écrire sa lettre pastorale d'octobre sur le sujet pour annoncer ses décisions, il serait plus qu'utile que l'évêque de Bruxelles s'inspire des pratiques de concertation initiées par d'autres collègues évêques.

  • Trop d'églises à Bruxelles ? Quand Mgr Kockerols tente de s'expliquer...

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    Dans le Vif de cette semaine, Olivier Rogeau aborde le dossier des églises bruxelloises menacées de fermeture et donne largement la parole à l'évêque auxiliaire en charge de Bruxelles. Face à la détermination des paroissiens montés au créneau pour défendre leurs églises et qui dénoncent un cléricalisme autoritaire, Mgr Kockerols oppose des arguments assez prosaiques qui ne les convainquent guère. Il ne faut évidemment pas s'attendre à un éclairage des plus objectifs de la part du journaliste qui évoque "la très controversée fraternité des Saints Apôtres" ou encore les difficultés de l'évêque qui résulteraient d'un "terrain miné par Mgr Léonard" ! Quant aux propos de Mgr Kockerols, ils suscitent de multiples interrogations. Ainsi, par exemple, peut-on s'interroger sur ce que constituent à ses yeux des "assemblées signifiantes". Il reconnaît que la communication et le dialogue ont fait défaut : "Peut-être y a-t-il, de notre côté, un déficit de communication." Mais au lieu d'y remédier en entamant un dialogue avec les paroissiens, il nous promet, du haut de sa chaire, "une lettre pastorale, qui sortira cet automne" où il expliquera tout ce qui est entrepris. Il n'y aurait donc plus qu'à dire "amen" à ses explications... Curieuse façon d'envisager le dialogue et la concertation.

    Et nous apprenons que, en radio sur "la Première" (RTBF), ce lundi 27 juin, de 12h20 à 13h, l'émission radio "FORUM de MIDI" sera consacrée à "l'avenir des églises de Bruxelles". Cette émission s'inscrit dans le prolongement des articles susmentionnés consacrés à cette question dans le numéro du " VIF" de cette semaine (pages 50 à 53). Ce qui biaise complètement cette émission, c'est qu'aucune place n'y sera apparemment réservée aux opposants à la ligne de Mgr Kockerols puisque ne participeront à cette émission qu'Olivier ROGEAU (journaliste au "VIF" et auteur de cet article), Mgr Jean KOCKEROLS, évêque auxiliaire de Bruxelles, et l'Abbé Philippe MAWET.

  • De la casuistique à la miséricorde : vers un nouvel art de plaire ?

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    Extrait d'un essai de Mgr Michel Schooyans, consacré à l'éclipse de la morale catholique, publié enMgrSchooyans.jpg italien par la Nuova Bussola Quotidiana et traduit par notre consoeur du site web « Benoît et moi ».  

    Mgr Schooyans est professeur émérite de l'Université de Louvain-la-Neuve (Belgique), membre de l'Académie pontificale des sciences sociales et consultant du Conseil Pontifical pour la Famille. Il est l'auteur de nombreux ouvrages et essais sur la bioéthique, la démographie, les politiques mondiales des Nations Unies.

    A la demande personnelle de Jean-Paul II, qui l'a voulu comme collaborateur du Saint-Siège, il a aussi écrit une Via Crucis pour les familles (2001) :

    « Les discussions qui ont eu lieu à l'occasion du Synode sur la famille ont mis en évidence la détermination avec laquelle un groupe de pasteurs et théologiens n'hésite pas à saper la cohésion doctrinale de l'Église.

    Ce groupe fonctionne à la manière d'un parti puissant, international, riche, organisé et discipliné. Les membres actifs du parti ont un accès facile aux médias; souvent ils interviennent ouvertement. Ils opèrent avec le soutien de quelques-unes des plus hautes autorités de l'Eglise. L'objectif principal de ces militants est la morale chrétienne, à laquelle est reprochée une sévérité incompatible avec les «valeurs» de notre temps.

    Il faut avant tout trouver des parcours qui mènent l'Eglise selon le bon plaisir [de chacun], réconciliant son enseignement moral avec les passions humaines. La solution proposée par les néo-casuistes commence par la remise en cause de la morale de base, puis avec l'occultation de la lumière naturelle de la raison. Les références à la morale chrétienne révélée dans l' Ecriture et dans les enseignements de Jésus sont détournées de leur sens originel. Les préceptes de la raison sont considérés comme discutables à l'infini: le probabilisme entraîne des obligations. La primauté doit être donnée à la volonté de ceux qui sont assez puissants pour imposer leur volonté. On n'hésitera pas à se faire appuyer par les incrédules (cf. 2 Co 6, 14).

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  • Quand des laïcs se forment pour transmettre le message de l’Église

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    D'Isabelle Demangeat sur le site du journal La Croix :

    CathoVoice, des laïcs se forment pour transmettre le message de l’Église

    Depuis deux mois, une vingtaine de laïcs français se forment, en continu, via CathoVoice, la branche française de Catholic Voices créée au début du mois d’avril 2016.

    À peine installée sur un fauteuil digne d’un studio télé, Agathe, étudiante à HEC, doit affronter la caméra, le regard un peu moqueur et les questions directes d’Alexandre Thébault qui lui fait face. « N’y a-t-il pas un paradoxe entre ce que le pape dit sur l’écologie, notamment dans son encyclique, et le choix de vos études qui vont dans le sens du libéralisme économique ? », l’interpelle-t-il. « Non, rétorque Agathe, sans se laisser décontenancer, même si elle rougit un peu. Parce que je pense qu’il est possible d’insérer de l’humain au cœur de l’économie ».

    La réponse est habile. Mais elle pourrait l’être davantage selon Alexandre Thébault. Ce dernier, ancien attaché de presse d’Areva qui a récemment monté son agence de conseil en communication de crise, joue, ce samedi-là, l’animateur télé et pousse l’étudiante dans ses retranchements. « Tu peux aller jusqu’à répondre que c’est justement en étant au sein même du secteur que tu pourras faire changer les choses, en l’occurrence ici peser pour une économie plus humaine. » « Vous devez toujours trouver un chemin pour transmettre votre message tout en répondant à la question », rappelle-t-il à la dizaine de personnes ayant suivi l’intervention d’Agathe.

    > A lire : « Catholic Voices », la contre-offensive médiatique des laïcs anglais

    Une vingtaine de laïcs sélectionnés en amont

    Réunies les 4 et 5 juin à Paris, celles-ci assistaient au premier week-end d’entrainement à la pratique des médias organisé par la jeune association CathoVoice. La branche française du mouvement Catholic Voices, lancé en 2010 par des laïcs britanniques pour occuper le terrain des médias lors de la visite de Benoît XVI au Royaume-Uni, a été officiellement lancée au début du mois d’avril par quatre jeunes professionnels.

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  • Espagne : le cardinal-archevêque de Valence victime d’un nouveau délit d’opinion

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    Antonio Canizares.jpgDe Riccardo Cascioli  sur le site de la nuova bussola quotidiana www.lanuovabq.it/ , un article dont la traduction a été publiée ici par notre consoeur de « Benoît et moi ». Extrait :

    « […] L'archevêque Antonio Canizares a été durement attaqué publiquement par des associations et des politiciens pour avoir défendu explicitement la famille naturelle, contestant l' idéologie du gender , voit une escalade qui le rend de plus en plus jour après jour un symbole de ce qui se passe en Europe.

    La dernière nouvelle en date, c'est la dénonciation à l'autorité judiciaire du cardinal Canizares pour délit de haine contre les gays et les féministes. La plainte a été déposée le 3 Juin par LAMBDA (une association LGBT) au nom de 55 autres, entre collectifs, syndicats et partis politiques, mais ce n'est que le dernier épisode d'une agression sans précédent. Dans les prochains jours, on attend même le vote du Parlement régional sur une motion de condamnation publique de l'archevêque. Lequel réplique en vain, rejetant toutes les accusations et invoquant la Constitution espagnole, qui défend la liberté d'expression de la pensée. 

    Au cas où certains ne l'auraient pas encore remarqué, c'est désormais le schéma qui s'affirme en Europe. L'approbation de lois qui légitiment le mariage homosexuel s'accompagne de l'institution d'un Nouvel Ordre qui impose la pensée unique, à partir de l'école où l'idéologie du gender est inculquée dès les toutes premières années, en passant par les médias, pour arriver jusqu'aux syndicats et aux partis. Interdiction de toute manifestation de dissidence, avec un acharnement particulier envers cette fraction des catholiques - de moins en moins nombreux en vérité - qui ne sont pas disposés à renoncer à la vérité . 

    Le cardinal Canizares, dont la définition de "ratzingérien" est déjà une condamnation, n'a prononcé aucune parole de haine, ni de manque de respect pour les personnes: il a seulement défendu l'unicité de la famille naturelle et a dénoncé la violence de l'idéologie du genre, comme ce serait normal pour tout évêque. Mais oui, tout évêque. Mais c'est précisément pour cette raison qu'avec Canizares, on y va fort: en frapper un pour en éduquer cent, c'est un principe qui est toujours à la mode… »

    Ref. Le temps de la persécution

    Comme l’observe justement l’article cité ci-dessus, les signaux en provenance d'Espagne s'ajoutent à ceux qui viennent d'autres parties de l'Europe et parlent d'intimidation et de violences croissantes contre les catholiques, pas nécessairement liées aux histoires homos. La Belgique n’échappe pas à cette censure exercée par une sorte de religion d’Etat laïque déniant un droit de parole publique à ceux qui critiquent les nouvelles normes de la législation relative aux personnes ou à la famille. Le paradoxe veut que cette police s’exerce précisément par ceux qui se réclament de la « libre pensée ». « Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté » : la célèbre citation de Saint-Just revient en pleine actualité. Le problème de cette phase est qu’on ne peut défendre la liberté en la refusant à certains. Pour mémoire, Saint-Just est l’un des inspirateurs de la « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen »  votée  en 1793, au nom de la Révolution qui le décapita sans sourciller un peu plus tard (1794).    JPSC.

  • KTO est disponible aussi sur VOO et vous offre 2 KTOMag gratuits

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    KTO est disponible aussi sur VOO et vous offre 2 KTOMag gratuits

    Bruxelles, le 1 juin 2016.

    Dès ce mercredi 1er juin, la chaîne KTO se réjouit d'être diffusée dans l'offre télé numérique de base de VOO. Diffusée 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, KTO est disponible sur le canal 144 du décodeur numérique du réseau VOO, opérateur télécom qui propose des offres Quadruple Play en Wallonie et à Bruxelles: télévision numérique, internet à très haut débit, téléphonie fixe et mobile.
    KTO est dorénavant distribuée auprès de plus de 90% des foyers belges francophones et la chaîne remercie chaleureusement les 29 521 signataires de la pétition pour leur mobilisation qui a permis ce résultat.
     
    Afin de remercier les signataires et tous les amis de KTO, la chaine offre 2 numéros gratuits du KTOMag à celles et ceux qui se seront manifestés avant le 11 juin. Le magazine de la chaine paraît tous les 15 jours et propose à ses lecteurs la grille détaillée des programmes de KTO, présente les choix et les points forts de la quinzaine, et vous fait entrer dans les coulisses de la chaîne. En juillet, vivez les Journées Mondiales de la Jeunesse de Cracovie en Pologne depuis votre salon !
    Cliquez ici avant le 11 juin pour recevoir vos 2 KTOMag gratuits
    Les 2 KTOMag offerts sont celui du 25 juin au 8 juillet puis le numéro spécial juillet-JMJ du 9 juillet au 5 août.
    • Les 2 KTOMag gratuits seront offerts à ceux qui auront complété le formulaire en ligne avant le 11 juin 2016.
    • Le second KTOMag gratuit sera offert à ceux qui auront complété le formulaire entre le 12 et le 25 juin 2016.
    Le formulaire en ligne est accessible via www.go-kto.be où se trouve également un formulaire papier à télécharger. Toutes les informations sur l'opération des 2 numéros gratuits de KTOMag se trouvent sur le site www.go-kto.be. Partageons cette bonne nouvelle.
  • Jacques Galloy, nouveau président pour RCF-Liège

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    De J.J. Durré sur le site web « Cathobel »:

    Jacques Galloy.jpg« Le 30 mai, le conseil d’administration de RCF-Liège – Radio Chrétienne Francophone en pays liégeois – a nommé Jacques Galloy à sa présidence  pour un mandat de trois années renouvelables.

    Jacques Galloy succède au chanoine Eric de Beukelaer, qui au terme de son mandat de trois années, avait souhaité que cette fonction soit désormais occupée par un homme de métier, plutôt qu’un ecclésiastique.  Rappelons que le chanoine Eric de Beukelaer a entre-temps été nommé Vicaire épiscopal pour les affaires temporelles, par l’évêque de Liège Mgr Jean-Pierre Delville. Il entrera en fonction fin août.

    Le nouveau président du CA de RCF-Liège est entrepreneur et administrateur de sociétés de technologie et de media au travers de www.gaudeto.com. Diplômé ingénieur commercial HEC-Ulg, il fut durant douze ans administrateur et CFO (directeur financier) du groupe EVS, leader mondial dans les technologies TV ainsi que co-fondateur et président du Conseil de dcinex, leader dans le cinéma numérique. Préalablement, il a travaillé pendant quatre années chez RTL Group et quatre années chez PWC.

    Chrétien engagé dans le diocèse de Liège, membre de la Communauté de l’Emmanuel et responsable des jeunes pour la Belgique avec son épouse, il est également administrateur de KTO Belgique asbl. Il a rejoint le conseil de RCF-Liège en 2013 et est délégué des RCF belges à l’Union RCF depuis 2015.

    « L’aventure RCF est passionnante, et l’ère du numérique offre de nouvelles opportunités. Je remercie le conseil d’administration de RCF Liège et l’évêque de Liège pour la confiance qu’ils m’accordent. Avec les collègues de RCF, nous remercions aussi le chanoine de Beukelaer, président sortant de RCF Liège, qui a insufflé un dynamisme renouvelé. J’espère contribuer au développement de la radio avec le directeur Philippe Cochinaux o.p., et sa fantastique équipe de permanents et de bénévoles qui font de RCF une importante radio de proximité dans la province de Liège », a déclaré le nouveau Président de RCF-Liège. »

    Ref. Nouveau président pour RCF-Liège

    JPSC

  • Pour une Eglise sans complexes : ni dilution, ni repli

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    Le nouveau livre de Pierre-Hervé Grosjean ( "Padreblog")

    JPSC

  • Quand Benoît XVI fustigeait le rejet croissant du christianisme en Europe

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    Voici peu,  le commissaire européen Pierre Moscovici ,  le  pape François, et bien d’autres à la suite de leurs déclarations, ont relancé dans la presse le vieux débat sur les racines chrétiennes de l’Europe. Pour ceux qui ont la mémoire courte, le blog informatique « Le Rouge et le Noir »  rappelait, en 2014 déjà, le point de vue de Joseph Ratzinger-Benoît XVI, qui s’est maintes fois exprimé à ce sujet au cours de sa longue vie au service de l’Eglise :

    Benoit XVI.jpg« Sous de nouvelles formes, se font jour des tentatives pour marginaliser l’influence du christianisme dans la vie publique – parfois sous le prétexte que ses enseignements porteraient atteinte au bien-être de la société –. Ce phénomène doit nous inciter à prendre le temps de la réflexion. Comme je l’ai suggéré dans mon Encyclique sur l’Espérance chrétienne, la séparation artificielle de l’Évangile avec la vie publique et intellectuelle devrait nous pousser à engager une mutuelle « autocritique de la modernité » et « autocritique du christianisme moderne », regardant spécifiquement l’espérance que chacun peut offrir au genre humain (cf. Spe Salvi, n. 22) » [1].

    « Il existe en outre des formes plus élaborées d’hostilité envers la religion, qui, dans les pays occidentaux, se manifestent parfois par le reniement de l’histoire et des symboles religieux dans lesquels se reflètent l’identité et la culture de la majorité des citoyens. Ces attitudes alimentent souvent haine et préjugés et ne sont pas cohérentes avec une vision sereine et équilibrée du pluralisme et de la laïcité des institutions, sans compter qu’elles peuvent empêcher les jeunes générations d’entrer en contact avec le précieux héritage spirituel de leurs pays. »

    « On ne peut oublier que le fondamentalisme religieux et le laïcisme sont des formes spéculaires et extrêmes du refus du légitime pluralisme et du principe de laïcité. Tous deux, en effet, absolutisent une vision réductrice et partiale de la personne humaine, favorisant dans le premier cas, des formes d’intégralisme religieux, et dans le second, de rationalisme. La société qui veut imposer, ou qui, au contraire, nie la religion par la violence, est injuste à l’égard de la personne et de Dieu, mais aussi envers elle-même » [2].

    L’Europe, construite par la chrétienté

    «  Des voix chagrines contestent avec une stupéfiante régularité la réalité des racines religieuses européennes. Il est devenu de bon ton d’être amnésique et de nier les évidences historiques. Affirmer que l’Europe n’a pas de racines chrétiennes, équivaut à prétendre qu’un homme peut vivre sans oxygène et sans nourriture. Il ne faut pas avoir honte de rappeler et de soutenir la vérité en refusant, si nécessaire, ce qui est contraire à elle » [3].

    Ces années de pontificat ont ainsi été pour l’Europe une invitation incessante à « renforcer ses racines chrétiennes et à intensifier ainsi son engagement en faveur de la solidarité et de la ferme défense de la dignité de l’homme » [4].

    A travers de nombreuses catéchèses et audiences, Benoît XVI a rappelé la participation essentielle de l’ Église à la construction de l’Europe, que ce soit à travers « l’œuvre merveilleuse accomplie par le saint à travers la Règle pour la formation de la civilisation et de la culture européenne » [5], le témoignage des saints Cyrille et Méthode, « pionniers de l’évangélisation de l’Europe » [6] ou celui de l’héritage clunisien qui a permis d’esquisser ainsi « une Europe de l’esprit » [7].

    Il a invité à de multiples reprises l’homme européen à « ne pas renier l’héritage chrétien qui appartient à son histoire, mais au contraire qu’’il le conserve jalousement et l’amène à porter encore des fruits dignes du passé » [8]. Que ce soit en Croatie [9], en Autriche [10], en République Tchèque [11], en Italie [12], aux membres du parlement européens [13], … Benoît XVI n’a eu de cesse de rappeler lors de ses visites l’importance des « racines chrétiennes de l’Europe qui lui ont conféré sa grandeur par le passé et qui peuvent aujourd’hui encore favoriser l’unité profonde du continent » [14].

    Les racines chrétiennes de l’Europe

    L’Europe contemporaine est « le fruit de deux mille ans de civilisation » et elle plonge ses racines à la fois dans l’immense patrimoine d’Athènes et de Rome, et surtout dans le « terrain fécond du christianisme  » qui s’est révélé capable de « créer de nouveaux patrimoines culturels tout en recevant la contribution originale de chaque civilisation » [15].

    « Quand l’Europe écoute l’histoire du Christianisme, elle entend sa propre histoire. Sa notion de justice, de liberté et de responsabilité sociale, en même temps que les institutions culturelles et juridiques établies pour préserver ces idées et les transmettre aux générations futures, sont modelées par l’héritage chrétien » [16].

    « Dans l’histoire complexe de l’Europe, le christianisme représente un élément central. La foi chrétienne a façonné la culture du vieux continent et s’est mêlée de manière indissoluble à son histoire, au point que celle-ci ne serait pas compréhensible si l’on ne faisait pas référence aux événements qui ont caractérisé tout d’abord la grande période de l’évangélisation et ensuite les longs siècles où le christianisme a pris un rôle toujours plus important ».

    « Les Européens sont appelés à s’engager pour créer les conditions d’une profonde cohésion et d’une collaboration réelle entre les peuples. Pour construire la nouvelle Europe sur des bases solides il ne suffit pas de faire appel aux seuls intérêts économiques, mais il faut plutôt se baser sur les valeurs authentiques qui ont leur fondement dans la loi morale universelle inscrite dans le cœur de chaque homme » [17].

    « Rappeler ces origines est nécessaire, même pour la vérité historique, et il est important de savoir lire en profondeur ces racines, pour qu’elles puissent aussi animer l’aujourd’hui. C’est-à-dire qu’il est décisif de saisir le dynamisme qu’il y a – par exemple – dans l’événement de la naissance d’une université, ou d’un mouvement artistique, ou d’un hôpital. Il faut comprendre le pourquoi et le comment cela est arrivé, pour valoriser dans l’aujourd’hui ce dynamisme, qui est une réalité spirituelle qui devient culturelle et donc sociale. À la base de tout, il y a des hommes et des femmes, il y a des personnes, des consciences, mues par la force de la vérité et du bien » [18].

    «  L’on ne peut pas penser édifier une authentique "maison commune" européenne en négligeant l’identité propre des peuples de notre continent. Il s’agit en effet d’une identité historique, culturelle et morale, avant même d’être géographique, économique ou politique ; une identité constituée par un ensemble de valeurs universelles, que le christianisme a contribué à forger, acquérant ainsi un rôle non seulement historique, mais fondateur à l’égard de l’Europe. Ces valeurs, qui constituent l’âme du continent, doivent demeurer dans l’Europe du troisième millénaire comme un "ferment" de civilisation. Si elles devaient disparaître, comment le "vieux" continent pourrait-il continuer de jouer le rôle de "levain" pour le monde entier ? »

    «  N’est-il pas surprenant que l’Europe d’aujourd’hui, tandis qu’elle vise à se présenter comme une communauté de valeurs, semble toujours plus souvent contester le fait qu’il existe des valeurs universelles et absolues ? Cette forme singulière d’"apostasie" d’elle-même, avant même que de Dieu, ne la pousse-t-elle pas à douter de sa propre identité ? De cette façon, on finit par répandre la conviction selon laquelle la "pondération des biens" est l’unique voie pour le discernement moral et que le bien commun est synonyme de compromis. En réalité, si le compromis peut constituer un équilibre légitime d’intérêts particuliers différents, il se transforme en mal commun chaque fois qu’il comporte des accords qui nuisent à la nature de l’homme » [19].

    « Même si hélas de nombreux Européens semblent ignorer les racines chrétiennes de l’Europe, celles-ci sont vivantes, et devraient tracer le chemin et nourrir l’espérance de millions de citoyens qui partagent les mêmes valeurs » [20]. L’unité des peuples européens ne sera solide que si elle est basée sur les racines chrétiennes communes. Grâce à celles-ci « l’Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d’appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l’engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d’un avenir meilleur » [21].

    _____

    [1] Benoît XVI, Rencontre œcuménique, salle du Trône de l’Archevêché de Prague, 27 septembre 2009, Voyage Apostolique, République tchèque, 26-28 septembre 2009

    [2] Benoît XVI, Message pour la célébration de la Journée Mondiale de la Paix 2011, 1er janvier 2011

    [3] Benoît XVI, Discours à l’ambassadeur de Croatie, 11/04/2011

    [4] Benoît XVI, Lettre en conclusion de l’Année sainte de Compostelle 2010, 18 décembre 2010

    [5] Benoît XVI, audience générale, 09/04/2008

    [6] Benoît XVI, A la délégation bulgare en la mémoire liturgique des saints Cyrille et Méthode, 23 mai 2011

    [7] Benoît XVI, Audience Générale, 11 novembre 2009

    [8] Visite officielle du Pape Benoît XVI au Quirinal, 24 juin 2005

    [9] Benoît XVI, Rencontre avec les représentants de la société civile, du monde politique, académique, culturel et de l’entreprise, avec le corps diplomatique et avec les chefs religieux, 4 juin 2011

    [10] Benoît XVI, Visite apostolique en Autriche, 07/09/2007

    [11] Benoît XVI, Rencontre œcuménique, salle du Trône de l’Archevêché de Prague, 27 septembre 2009, Voyage Apostolique, République tchèque, 26-28 septembre 2009

    [12] Visite officielle du Pape Benoît XVI au Quirinal, 24 juin 2005

    [13] Benoît XVI, Discours aux participants au Congrès promu par le Parti populaire européen, 30 mars 2006

    [14] Visite officielle du Pape Benoît XVI au Quirinal, 24 juin 2005

    [15] Zenit, Les racines chrétiennes de l’Europe sont vivantes, constate Benoît XVI, 9 décembre 2008

    [16] Benoît XVI, Rencontre œcuménique, salle du Trône de l’Archevêché de Prague, 27 septembre 2009, Voyage Apostolique, République tchèque, 26-28 septembre 2009

    [17] Benoît XVI, A la délégation bulgare en la mémoire liturgique des saints Cyrille et Méthode, 23 mai 2011

    [18] Benoît XVI, Rencontre avec les représentants de la société civile, du monde politique, académique, culturel et de l’entreprise, avec le corps diplomatique et avec les chefs religieux, 4 juin 2011

    [19] Benoît XVI, Audience au Congrès promu par la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (COMECE), 24 mars 2007

    [20] Benoît XVI, Message pour la journée d’étude sur le dialogue entre cultures et religions, 3 décembre 2008

    [21] Benoît XVI, Discours aux participants au Congrès promu par le Parti populaire européen, 30 mars 2006

     Ref. Quand Benoît XVI fustigeait le rejet croissant du christianisme en Europe

    A propos des racines de l’Europe, Paul-Henri Spaak,  l’un des « pères » fondateurs des Communautés européennes, déclarait en 1957 :       

    « Cette civilisation - et pour tous ceux qui connaissent mes tendances philosophiques ce que je vais déclarer paraîtra peut-être surprenant - cette civilisation est, que nous le voulions ou non, la civilisation chrétienne. Je l'ai dit un jour à Strasbourg : quand les temps seront révolus, lorsque nous aurons tous disparu depuis de longues et de longues années et quand on voudra raconter l'aventure humaine que nous avons vécue, on ne pourra pas, quelles que soient nos convictions religieuses ou philosophiques, dire autre chose que ceci : les gens de ce temps-là, les gens de ce siècle-là ont vécu ensemble l'aventure, l'immense aventure de la civilisation chrétienne. Et, étant donné que je ne suis pas un philosophe cherchant à résumer en peu de phrases ce qui paraît l'essentiel de cette civilisation, je crois pouvoir dire que la civilisation chrétienne a apporté au monde une conception particulière de l'homme, fondée sur le respect qu'il faut avoir pour la personnalité humaine, et que c'est de cela que découle tout le reste ». (extrait de «  Une révolution européenne ? »,  discours de Paul-Henri Spaak à la Banco di Roma sur les traités de Rome, 26 mars 1957).

    Avis aux partisans des identités multiples et du multiculturalisme.

    JPSC

  • Dans une nouvelle interview, le pape s'exprime au sujet des lefèbvristes, du synode sur la famille et du prochain synode

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    Lu sur le site du journal La Croix (Guillaume Goubert et Sébastien Maillard) :

    Pape François : « Nous sommes sortis différents du Synode »

    EXCLUSIF Le pape François estime « bien dialoguer » avec les lefebvristes et avancer « avec patience » vers un accord fondamental avec eux. Extrait de l’interview que le pape François a accordé à Guillaume Goubert, directeur de « La Croix » et à Sébastien Maillard, envoyé spécial à Rome.

    La Croix : Vous avez reçu, le 1er avril dernier, Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X. La réintégration des lefebvristes dans l’Église est-elle de nouveau envisagée ?

    Pape François : À Buenos Aires, j’ai toujours parlé avec eux. Ils me saluaient, me demandaient une bénédiction à genoux. Ils se disent catholiques. Ils aiment l’Église. Mgr Fellay est un homme avec qui on peut dialoguer. Ce n’est pas le cas d’autres éléments un peu étranges, comme Mgr Williamson, ou d’autres qui se sont radicalisés. Je pense, comme je l’avais formulé en Argentine, que ce sont des catholiques en chemin vers la pleine communion. Durant cette Année de la miséricorde, il m’a semblé que je devais autoriser leurs confesseurs à pardonner le péché d’avortement. Ils m’ont remercié de ce geste. Avant, Benoît XVI, qu’ils respectent beaucoup, avait libéralisé la messe selon le rite tridentin. On dialogue bien, on fait un bon travail.

    Seriez-vous prêt à leur accorder un statut de prélature personnelle ?

    Pape François : Ce serait une solution possible mais auparavant, il faut établir un accord fondamental avec eux. Le concile Vatican II a sa valeur. On avance lentement, avec patience.

    Vous avez convoqué deux Synodes sur la famille. Ce long processus a-t-il, selon vous, changé l’Église ?

    Pape François : C’est un processus commencé par le consistoire (de février 2014, NDLR) introduit par le cardinal Kasper, avant un Synode extraordinaire en octobre la même année, suivi d’un an de réflexion et d’un Synode ordinaire. Je crois que nous sommes tous sortis de ce processus différents de lorsque nous y sommes entrés. Moi également.

    Dans l’exhortation post-synodale (Amoris laetitia, avril 2016, NDLR), j’ai cherché à respecter au maximum le Synode. Vous n’y trouverez pas des précisions canoniques sur ce qu’on peut ou doit faire ou non. C’est une réflexion sereine, pacifique, sur la beauté de l’amour, comment éduquer les enfants, se préparer au mariage… Elle valorise des responsabilités qui pourraient être accompagnées par le Conseil pontifical pour les laïcs, sous la forme de lignes directrices.

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