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Politique - Page 431

  • Royaume-Uni : les lords ne souhaitent pas que les bébés handicapés voient le jour

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    ROYAUME UNI : LES LORDS « NE SOUHAITENT PAS QUE LES BÉBÉS HANDICAPÉS VOIENT LE JOUR »

    synthèse de presse bioéthique de genethique.org

    Le projet de loi déposé par Lord Shinkwin, visant à restreindre l’avortement pour cause de handicap a été rejeté. Au Royaume Uni, l’avortement de fœtus handicapé est possible jusqu’à la fin de la grossesse, mais Lord Shinkwin, lui-même atteint d’un handicap, proposait de restreindre cette limite à 24 semaines (cf. Royaume-Uni : Un projet de loi visant à restreindre l'avortement pour cause d’invalidité progresse). Au terme de cinq mois de débats, le 24 février, ses pairs ont rejeté la proposition.

    Lord Shinkwin a alors déclaré : « Ce que je ne comprends pas, c'est qu’après la naissance, je peux être assez bon pour que le premier ministre et la reine m'envoient à la Chambre des lords, mais avant la naissance, je fais partie d'un groupe de personnes souffrant de maladies congénitales qui sont systématiquement tuées ». Il a dénoncé le fait que ses collègues « ne souhaitent pas que les bébés handicapés voient le jour ».

    Entre 2005 et 2015, le nombre d'avortements pour cause d’invalidité a augmenté de 68%. 90% des fœtus atteints de trisomie 21 sont avortés au Royaume-Uni.

    Pourtant, les résultats d'un sondage ComRes, publié la semaine dernière, montrent que le public soutient le changement proposé par Lord Shinkwin. En outre, plus de la moitié des personnes interrogées ont convenu qu'autoriser l’avortement en raison du handicap « crée la perception que le handicap est une tragédie ».

    Sources: Evening Standard, Kate Proctor (13/02/2017)

  • Bruxelles, 26 mars : Marche pour la Vie

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    Dimanche 26 mars 15h Mont des arts : Marche pour la vie !

    Faire de l’avortement un droit, autoriser l’interruption volontaire de grossesse jusqu’à 20 semaines, supprimer le délai de réflexion entre la demande d’une IVG et son exécution, retirer de la loi toute référence à la notion de détresse pour la femme, autoriser l’euthanasie de personnes démentes sans leur accord, obliger toutes les institutions à pratiquer l’euthanasie en leurs murs, rendre la déclaration de fin de vie illimitée dans le temps, légaliser la gestation pour autrui, telles sont les propositions de loi en discussion pour le moment au Parlement.

    Le dimanche 26 mars, nous manifesterons :

    • pour un soutien matériel, psychologique et affectif aux femmes qui désirent garder leur enfant et pour la protection des enfants à naître.
    • pour un accompagnement véritablement humain des grands malades et des personnes en fin de vie et pour défendre leur droit à vivre dignement jusqu’à leur mort naturelle.
    • pour le respect de la liberté de conscience des médecins et des institutions qui refusent de pratiquer l’euthanasie.
    • pour que la composition de la commission de contrôle de la loi sur l’euthanasie soit effectivement pluraliste et reflète les différentes conceptions philosophiques.
    • pour l’interdiction de la pratique de la gestation pour autrui, une pratique qui dans les faits encourage le trafic des enfants et l’exploitation des femmes précarisées.

     Plus d’infos sur www.marchforlife.be

    A l’occasion de la Journée internationale de la trisomie 21 du 20 mars, signez la pétition internationale StopDiscriminatingDow pour empêcher l’avortement sélectif des enfants trisomiques.

    http://stopdiscriminatingdown.com/fr/signer-la-petition-internationale/#

    Plus d’informations sur le site de la Fondation Lejeune

    https://www.fondationlejeune.org/conference-stop-discriminating-down-defendre-enfants-trisomiques-a-lonu/

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    De Mars voor het Leven 2017 zal een groot succesverhaal worden; we zullen er allen verenigd zijn om de eerbied voor het menselijk leven, vanaf de bevruchting tot zijn natuurlijke einde, te verdedigen.

    La Marche pour la Vie 2017 s’annonce être un grand succès, nous y serons tous unis pour défendre le respect de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa mort naturelle.

    Les tracts et affiches se répandent dans toute la Belgique... Pas encore par chez vous ? Demandez-en à l'adrese flyer@marchforlife.be , ou venez en chercher à 
    Rue de la Loi 42 à 1000 Bruxelles
    Avenue Van Goolen 27 à 1200 Bruxelles (Woluwé-Saint-Pierre)
    Rue Meyerbeer 82 à 1190 Bruxelles (Forest/Uccle) 
    Rue Besme 130 à 1081 Bruxelles (Koekelberg)

  • France : les églises sont l'enjeu de tous

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    De RCF :

    En France, les églises sont l'enjeu de tous

    Les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Pourtant faute de fidèles, et de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées.

    Petites, grandes, imposantes, gothiques romanes contemporaines, les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Au détour des régions, leurs clochers se dressent et pourtant faute de fidèles, de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées. D’autres sont même parfois désaffectées.

    Alors comment redonner vie à ces églises, se les réapproprier ? Comment dialoguer, travailler avec les différents acteurs qui gravitent autour de ces lieux de culte ? C’est pour répondre à ces questions que les évêques de France ont mené depuis 2014 une réflexion sur le sujet. Une réflexion qui s’achève vendredi 10 mars par un colloque au Collège des Bernardins sur le thème, "Les églises, un enjeu pour tous".  Au programme des conférences, tables rondes avec des élus, des personnalités du monde de l’Eglise, du patrimoine, de l’architecture et des médias.

    C'est Mgr Jacques Habert, évêque de Séez, qui a présidé ce groupe de travail mis en place par la CEF. Un groupe de travail et de réflexion, composé d'évêques et de responsables de l'art sacré, qui a porté de nombreux fruits, comme l'explique Mgr Habert, à Pauline de Torsiac. 

    L’avenir des églises, un sujet de préoccupation pour les évêques mais aussi pour les communautés chrétiennes, les élus, le monde de la culture et du patrimoine. De quoi s'interroger sur la coordination de tous ces acteurs, sur ce sujet commun. Par ailleurs, l’un des défis pour les communautés chrétiennes, c’est de se réapproprier sur le plan pastoral ces églises de les faire vivre alors même que le nombre de prêtres est passé de 40 000 dans les années 60 à 15 000 aujourd’hui.

    Illustration en fin d'émission avec l’opération "Un jour, une église" lancé en 2012 dans l’Aube. L’idée est simple : faire découvrir ce qui fait le charme et la singularité d’un édifice dans le plus grand respect des bâtiments et évidemment en accord avec les prêtres du secteur, qui encouragent cette initiative.

  • Défendons la famille et la vie aux Nations Unies; signons la pétition de CitizenGo !

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    Défendez la famille et la vie aux Nations-Unies

    SIGNEZ CETTE PÉTITION MAINTENANT!

  • Le "Trumpcare" assurera la protection du caractère sacré de la Vie

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    Lu ICI :

    USA / IVG : « Le caractère sacré de la vie sera protégé sous le Trumpcare » 

    Le vice-président américain Mike Spence a assuré aux dirigeants pro-vie que l’abrogation de l’« Obamacare » et l’introduction du « Trumpcare », l’alternative de la loi sur le système de santé du président Trump, assureront la protection du « caractère sacré de la vie ».

    En chrétien convaincu, il a tenu ce que son Bureau décrit comme une « séance d’écoute » avec plusieurs leaders pro-vie opposés à l’avortement, jeudi dernier.

    « La conversation a porté l’importance de veiller à ce que le caractère sacré de la vie soit respecté et inclus dans les efforts pour abroger et remplacer l’Obamacare », a déclaré le Bureau du vice-président dans un communiqué.

    « Nous sommes tellement reconnaissants d’avoir une administration à Washington qui veut vraiment protéger les enfants à naitre et travaille à mettre fin aux mandats déraisonnables sur l’avortement de l’Obamacare », a déclaré Horatio Mihet, vice-président des affaires juridiques de Liberty Counsel.

  • 5 millions d'étrangers menacés d'expulsion en Arabie Saoudite

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    Lu sur le site du Courrier International :

    Arabie Saoudite. Contre les étrangers, mesures restrictives et racisme grandissant

    Les travailleurs immigrés sont désormais persona non grata en Arabie Saoudite. Les autorités multiplient les expulsions tandis que les médias reflètent un climat de racisme.

     “Tous les citoyens qui aiment leur pays en seront ravis : on va discuter d’un projet d’expulsion de 5 millions d’étrangers”, se félicite le quotidien saoudien Okaz.

    “Occupation sournoise”

    Le sujet a été proposé à la discussion au Majlis Al-Choura, un conseil consultatif nommé par le roi. C’est Sadaqa Al-Fadhel qui en est l’initiateur et qui explique ses motivations en ces termes : “Ces étrangers ne sont pas là pour travailler de manière régulière, ni pour des raisons religieuses [de pèlerinage à La Mecque], mais pour coloniser notre pays. […] Ils forment comme un peuple intrus qui cherche à s’imposer dans notre pays à travers une occupation sournoise. À long terme, notre pays risque de se retrouver contraint d’accepter leur présence, à cause de pressions internationales.”

    Loin de condamner le racisme de ce discours, le journal s’en félicite :

    Aucun peuple n’accepterait qu’il y ait des générations de personnes insaisissables qui changent la démographie, qui constituent de graves dangers et qui nous embêtent sur le plan sécuritaire et sur le plan de notre vie sociale.”

    Une mesure populaire

    Cette idée d’expulsion massive a globalement rencontré un écho positif dans la presse saoudienne. L’Arabie Saoudite compte environ un tiers d’étrangers parmi sa population, pour beaucoup des travailleurs peu qualifiés, dont de nombreux chauffeurs privés et bonnes originaires notamment du sous-continent indien et d’autres pays d’Asie.

    Beaucoup travaillent également sur les chantiers. Or le secteur du BTP subit de plein fouet la baisse des prix du pétrole. Des milliers de travailleurs du secteur avaient cessé de percevoir leur salaire en 2016. Cela avait donné lieu à des scènes d’émeutes, notamment en ce qui concerne le fameux Bin Laden Group, la plus grosse entreprise du secteur dans le pays et une des plus grandes du Moyen-Orient. Quarante-neuf grévistes, qualifiés de “meneurs”, ont été condamnés à plusieurs mois de prison et à trois cents coups de fouet pour sédition en début d’année, selon le site saoudien Weam.

    “L’Arabie Saoudite aux Saoudiens”

    Il s’agit également pour les autorités saoudiennes de concrétiser la “saoudisation de l’emploi”. Ainsi, dans le cadre des réformes économiques projetées par le jeune vice-prince héritier Mohamed ben Salmane, une surtaxe sera graduellement instaurée pour les travailleurs étrangers, et ce à partir du second semestre 2017. Elle devrait atteindre 400 riyals (100 euros) mensuels d’ici à 2020.

    Cette mesure peut être “populaire dans le pays, où des slogans tels que ‘l’Arabie Saoudite aux Saoudiens’ se répandent sur les réseaux sociaux dans le contexte d’un ralentissement économique”, note le quotidien émirati The National.

    Quelque 2 millions d’Égyptiens travaillant en Arabie Saoudite vivent également dans la hantise d’être renvoyés dans leur pays, en représailles de la politique du Caire, jugée hostile à l’égard de Riyad, rapporte le site d’information Al-Monitor.

    Dans ce contexte, les expulsions se multiplient déjà depuis plusieurs mois. En novembre dernier par exemple, “55 000 sans-papiers ont été expulsés en quarante-cinq jours”, se félicite le journal économique saoudien Al-Eqtisadiah. Ou encore “22 000 en vingt jours” en ce mois de février, toujours selon Al-Eqtisadiah.

  • Le groupe Croissance en butte à l'hostilité du Centre d'Action Laïque

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    Depuis le mois de mai 2016, le Groupe Croissance est l’objet de diffamation de la part du CAL (Centre d’Action Laïque). Le Groupe Croissance intervient principalement dans les écoles secondaires du réseau libre pour faire réfléchir les jeunes en matière de vie relationnelle, affective et sexuelle. Leur message se base sur le respect de l’autre, l’unité de la personne, la sexualité responsable, l’amour durable, la beauté de la relation sexuelle, le respect de soi et la transmission de la vie. Les 25 animateurs sont des professionnels compétents qui travaillent bénévolement : sexologues, enseignants, infirmiers, médecins, pères et mères tous formés à l’écoute, l’animation, la sexologie et la physiologie.

    Le groupe a fait en 2015-2016, 170 animations dans 30 écoles pour 3730 élèves.

    Cela ne semble pas plaire aux sympathisants du CAL qui, depuis mai 2016 jusqu’à maintenant,  par de nombreux médias interposés, par la radio et la TV ainsi que par des questions au Parlement de  la Communauté Française jettent la suspicion sur le contenu des animations par la technique des déformations de propos et d’amalgame. Les griefs repris sont toujours les mêmes : infiltration d’un groupe anti-avortement, absence de neutralité, manque de rigueur dans les animations, culpabilisation des élèves, identité chrétienne. Les journalistes font état de lettres d’élèves qu’ils ont pu lire. Malgré ses demandes répétées, le Groupe Croissance ne parvient pas à en voir les copies même anonymes …La Ministre Schyns (CDH) a diligenté une inspection dans une école de Bruxelles. Le rapport signale que les inspecteurs n’ont pas rencontré de problème avec le Groupe Croissance.

    Depuis 2012, la Communauté Française a rédigé deux textes légaux pour baliser et pérenniser le projet EVRAS pour « Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle » dans les écoles. Toutes les écoles sont donc tenues de programmer des animations EVRAS. La Communauté Française s’est attelée aujourd’hui à l’étude d’une labellisation des groupes qui seraient reconnus comme partenaires des écoles dans le cadre de l’EVRAS.

    Comme l’écrit fort bien le journaliste Bosco d’Ottreppe dans La Libre Belgique du 8 novembre 2016, l’enjeu est de nature éthique, philosophique et anthropologique. Il est clair que le CAL (Centre d’Action Laïque) et ses sympathisants désirent éliminer des groupes qui ne partagent pas leur vision de la sexualité et de l’amour pour avoir l’exclusivité des interventions EVRAS à travers les Planning Familiaux. Leurs interventions ne respectent en rien la neutralité.

    L’enjeu dépasse le territoire de la Communauté Française comme, par exemple, en Flandre où Sensoa qui prône l’avortement, la sexualité hygiéniste et récréative et le genre  est devenu incontournable dans les institutions sociales pour jeunes en difficulté ou dans l’enseignement. En France, certaines écoles sont attaquées pour le contenu de ces animations par des groupes laïques et LGBT.

    Les jeunes ont besoin, plus que jamais dans une société perturbée,  de recevoir un message positif sur la sexualité et l’amour. Ce thème est au cœur de la construction de leur identité et ils sont réellement demandeurs. Avec détermination, le Groupe Croissance veut continuer à faire réfléchir les jeunes rencontrés malgré les sérieuses difficultés survenues depuis 11 mois.

  • L'AKP diffuse une affiche anti-chrétienne

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    Lu sur le site de LaCapitale.be :

    Une affiche anti-chrétienne diffusée par l'AKP Belgique

    Publiée ce vendredi sur les réseaux sociaux via le compte « AK Parti Belçika », cette affiche provoque de vives réactions à cause de son graphisme ainsi que son texte hostile à la religion chrétienne. Le parti d’Erdogan avait déjà fait beaucoup parler de lui il y a quelques jours à l’occasion d’un meeting controversé au cœur de Bruxelles. 

    
Une affiche partagée vendredi sur les réseaux sociaux

    Une affiche partagée vendredi sur les réseaux sociaux

    «  Cette lutte est la lutte entre le croissant et la croix… Réunissons-nous sous le croissant. Vous verrez que nous serons très nombreux  ! », voici le contenu de l’affiche publiée sur le compte Facebook de l’AKP Belgique ce vendredi après-midi. La page, qui se présente comme une page officielle tenue par des volontaires du parti du président turc Erdogan, est suivie par près de 50.000 internautes. La page publie régulièrement des photos et des événements concernant le parti et ses activités en Belgique. Elle diffuse également des affiches, dont cette dernière qui fait actuellement polémique.

    Avec son slogan et son graphisme assez belliqueux, l’affiche a suscité de vives réactions au sein de la communauté turque du pays. «  C’est inadmissible, il faut dénoncer cette affiche  », s’insurge Dogan Ozguden, fondateur du site belgo-turc Info-Turk, choqué par cette publication. «  C’est de la propagande islamiste hostile à la chrétienté alors qu’il y a de nombreux ressortissants turcs qui sont chrétiens  », assure-t-il.

  • Turquie : pour la libération du pasteur américain Andrew Brunson emprisonné injustement

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    De l'European Centre for Law & Justice :

    Déclaration orale prononcée lors de la 34me session ordinaire du Conseil des droits de l’homme, 10 mars 2017.

    Le Centre européen pour le droit et la justice souhaite attirer l’attention du Conseil sur le cas du Pasteur Andrew Brunson, un citoyen américain qui est emprisonné en Turquie depuis le 7 octobre 2016, bien que n’ayant commis aucun crime.

    Depuis le coup d’état raté, les chrétiens et les autres minorités religieuses sont de plus en plus la cible d’emprisonnement et d’expulsion, et sont assujettis de manière déraisonnable à d’autres réglementations gouvernementales uniquement à cause de leur foi.

    Pendant 23 ans, le Pasteur Brunson a travaillé ouvertement en faveur du peuple d’Izmir en tant que pasteur. Il a été convoqué avec son passeport au poste de police local pour y être arrêté et se voir expliquer qu’il était considéré comme « mettant en péril la sécurité nationale ». Il a été rapidement transféré dans un centre de détention et retenu là pendant 63 jours, bien qu’aucune preuve n’ait été présentée pour justifier les accusations retenues contre lui. Le 9 décembre, le Pasteur Brunson a été présenté à la Cour et faussement accusé d’ « appartenance à une organisation terroriste armée ».

    En détenant et en emprisonnant le Pasteur Brunson à cause de sa liberté d'expression, d'association pacifique et de réunion, la Turquie viole non seulement ses obligations en vertu de la Charte des Nations unies et de la Convention européenne des droits de l’homme, mais elle viole également sa propre constitution ainsi que les droits fondamentaux du Pasteur Brunson.

    L’ECLJ exhorte ce Conseil à demander à la Turquie de respecter ses obligations. L’ECLJ prie également les Nations unies de tout mettre en œuvre pour s’assurer que le Pasteur Brunson soit non seulement traité avec le plus grand soin, mais aussi qu’il soit rapidement délivré et autorisé à rentrer chez lui sans blessure ni délai.

    Merci.

  • "Laudato si" : une encyclique "thomiste" ?

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    Le Père Thomas Michelet o.p. répond à cette question : Tout est lié, parce que tout est lié à Dieu

  • Pérou : un million et demi de participants aux marches contre l'idéologie du genre

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    Lu ICI :

    1,5 million de personnes aux marches contre l’idéologie du genre au Pérou

     
     

    Sous le thème « Ne souillez pas mes enfants », plus de 1,5 million de Péruviens ont manifesté samedi dernier contre l’idéologie du genre dans les écoles du pays. Selon les organisateurs, la fréquentation totale a dépassé 1,5 million de personnes lors des manifestations à travers le pays, rapporte la Catholic News Agency.

    « Ne souillez pas mes enfants » est une campagne contre les récentes tentatives de promouvoir un agenda national de l’idéologie du genre, qui enseigne que son « sexe » peut être choisi et n’a aucun rapport avec son sexe biologique.

    En janvier de cette année, la Conférence épiscopale péruvienne a déclaré au gouvernement qu’elle « appelle à supprimer du nouvel agenda national les notions issues de l’idéologie du genre ».

    Dès 14 heures le 4 mars, les manifestants, portant divers signes et slogans, ont défilé dans les principaux quartiers de la capitale péruvienne. D’autres villes à travers le pays, y compris Arequipa, Trujillo, Iquitos et Cusco, ont également accueilli des manifestations très fréquentées.

    Fr. Luis Gaspar, vicaire épiscopal à Lima, a souligné que « l’éducation comme premier droit des parents à l’égard de leurs enfants n’est pas négociable ».

    « Nous sommes dans une guerre contre la morale, une guerre spirituelle, et le champ de bataille est l’esprit des enfants ; nous allons les défendre jusqu’au jour de notre mort », a-t-il ajouté.

  • Egypte : les Coptes du Sinaï contraints à fuir

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    D'Hugues Lefèvre sur le site de Famille Chrétienne :

    Les Coptes du Sinaï fuient les islamistes

    EXCLUSIF MAG – À la suite d’assassinats perpétrés par Daech à l’encontre de quelques chrétiens d’Égypte de la région du Sinaï, plusieurs centaines de familles coptes ont quitté leurs maisons à la fin du mois de février pour se réfugier plus à l’ouest.

    Terrorisés. Après une série d’attaques ciblées contre des Coptes de la région du Sinaï – au moins sept assassinats depuis le mois de janvier –, des centaines de chrétiens ont fui la région. Le 19 février dernier, l’autoproclamé État islamique diffusait une vidéo dans laquelle l’organisation terroriste appelait ses combattants à s’en prendre directement aux chrétiens d’Égypte, alors désignés comme la « première cible » ou comme la « proie préférée » des islamistes. Trois jours plus tard, un père et son fils étaient retrouvés morts, le premier criblé de balles, le second brûlé vif, à Al-Arish, petite ville côtière du nord du Sinaï. Le lendemain, jeudi 23 février, un plombier copte était à son tour tué à son domicile par un commando djihadiste, comme l’a rapporté l’agence de presse Fides.

    Devant ces crimes odieux, et face à une menace devenue insupportable, plus d’une centaine de familles ont quitté précipitamment Al-Arish pour rejoindre Ismaïlia, une ville plus à l’ouest située au niveau du canal de Suez, à 120 kilomètres du Caire. « Elles ont d’abord été accueillies par l’Église protestante évangélique d’Ismaïlia. Le gouvernement n’a pas réagi immédiatement pour aider ces familles », regrette le Frère John Gabriel, dominicain égyptien au Caire, qui estime que le régime égyptien ne met pas tout en œuvre pour débarrasser le Sinaï des djihadistes.

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