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Politique - Page 555

  • Euthanasie : le contrôle de la loi de 2002 est en panne

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    Une opinion parue sur lalibre.be :

    "On verra dans les prochaines semaines si le débat de l’euthanasie des mineurs s’impose à la Chambre. Mais certains élus ont perdu de vue une question importante, à savoir que le contrôle de la loi de 2002 est en panne." 

    Une opinion d'Etienne Dujardin et Drieu Godefridi, respectivement coordinateur et porte-parole du collectif des "Dossards Jaunes".

    On verra dans les prochaines semaines si le débat de l’euthanasie des mineurs s’impose à la Chambre. En effet, le programme de fin de législature est toujours lourd. C’est le moment de faire passer les dernières propositions socio-économiques avant les élections et il serait étonnant que la majorité souhaite se déchirer sur ce sujet. Différents partis auraient trop à perdre en soulevant ce dossier clivant à quelques semaines des élections alors qu’aucun d’entre eux ne le proposait dans son programme de 2010. Mais une « minorité bruyante», selon l’excellente expression de Philippe Moureaux, a décrété qu’il y avait urgence en la matière et qu’il fallait faire le forcing… est-ce cela le rapprochement du politique et du citoyen ?

    De plus, les débats se suivent et se ressemblent , mais certains élus ont perdu de vue une question importante, à savoir que le contrôle de la loi de 2002 est en panne. Il y a quelques semaines, en séance plénière au Sénat, plusieurs sénateurs mettaient ce débat sur la table. Il est temps que l’ensemble des élus et des présidents de parti se saisissent de cette question, car la situation est problématique.

    Le contrôle est totalement inefficient. Prenons pour preuve les paroles de Wim Distelmans, Président de la commission de contrôle de l’euthanasie et pro-euthanasie. Le 7 avril 2012, à la question de savoir pourquoi très peu d’euthanasies sont déclarées à la commission de contrôle du côté francophone alors que c’est une obligation légale et que c’est indispensable pour assurer le contrôle, il répond, dans une grand quotidien francophone : « Les médecins disposent pourtant de la possibilité de faire légalement aujourd’hui ce qu’ils devaient faire clandestinement hier ! Dans près de la moitié des cas, ils préfèrent la clandestinité.»

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  • Marche pour la Vie : l'engagement déterminé d'un évêque courageux

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    De l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, sur le site de son diocèse : 

    Communiqué de Mgr Marc Aillet, à propos de la Marche pour la vie du 19 janvier 2014

    1.       Année 2013, année de la « manif pour tous »

    2013 restera gravée dans les mémoires comme l’année d’une mobilisation citoyenne sans précédent autour des questions sociétales relatives à la vie et à la famille. Près de deux millions de pétitions signées, dont 100 000 de France, dans le cadre de l’initiative citoyenne européenne « one of us », pour la protection de l’embryon. 700 000 pétitions déposées au CESE contre le projet de loi de « mariage pour tous ». Des centaines de milliers, voire des millions de manifestants à Paris les 13 janvier, 24 mars et 26 mai contre la loi Taubira et pour la famille fondée sur l’union stable d’un homme et d’une femme, garante de la filiation. Sans doute, on peut à bon droit être frustré devant l’inefficacité apparente de cette mobilisation : pétitions déclarées irrecevables, manifestants traités par le mépris, violences policières, gouvernement sourd au cri de tout un peuple ! On pourrait même être tenté de se démobiliser, d’autant que l’on annonce la discussion prochaine d’un projet de loi sur la fin de vie, incluant la promotion du suicide assisté, sur la base d’une consultation populaire reposant sur un panel de … 18 citoyens triés sur le volet !

    Pourtant, les résultats ne manquent pas : la PMA et la GPA ont été retirés du projet … mais pour combien de temps ? La pétition « one of us » a permis la mise en échec de la résolution Estrela au parlement européen… Le plus important demeurant le sursaut des consciences : quand le bon sens est offusqué, il se réveille et se manifeste. Et on a gardé une attitude pacifique, on ne s’est pas laissé aller à la stigmatisation de quiconque, on n’a pas revendiqué pour des intérêts particuliers, on a manifesté pour le Bien commun, ce Bien que l’on doit rechercher en commun et qui garantit la dignité de toute personne humaine sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile : l’enfant à naître ou déjà né, la personne porteuse d’un handicap ou en fin de vie.

    On s’est surtout mobilisé pour la famille et l’on doit continuer à se mobiliser, tant les enjeux demeurent entiers en 2014, avec la discussion prochaine d’un projet de loi famille aux conséquences funestes annoncées.

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  • Le libéralisme, un péché ?

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    C'est la conviction de Philippe Conte sur l'Observatoire Sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon :

    LE LIBÉRALISME EST UN PÉCHÉ !

    Alors que tout au long du XIXe siècle la proposition liminaire de cet article était très généralement acceptée par les catholiques (voir Don Félix Sarda y Salvany « Le libéralisme est un péché », Paris 1887), aujourd’hui, chez nombre d’entre eux, la majorité sans doute, demeure vivace une croyance dans un bilan « globalement positif » du libéralisme. Ils veulent croire à la possibilité d’en restreindre les aspects les plus révoltants par une réforme, par une amodiation. Ainsi par son « encadrement » on pourrait en conserver les effets « bénéfiques » : la richesse, tout en limitant ses aspects les plus négatifs : la crise sociale et son potentiel de violence destructrice.

    Pourtant ce désir (souvent assez platonique) de « réforme » se heurte au réel, et quel que soit le prix à payer pour chacun de ces cahots, conservant son incroyable pouvoir de transformation, de mutation sociale et culturelle, le libéralisme demeure, inchangé dans ses principes comme dans ces effets.

    Le libéralisme est une fiction

    Dès ses origines le libéralisme peut à bon droit être regardé comme une fiction (un story telling) destinée à légitimer à posteriori la situation des premiers marchands et des premiers banquiers qui ont prospéré en Europe au cours des XIIIe et XIVe siècles. Cette fiction comporte plusieurs points. Le plus significatif est la croyance en un homme individuel qui, à l’état de nature, est propriétaire des fruits de son travail car il est propriétaire de lui-même. Un tel homme n’a jamais existé, nul ne l’a jamais rencontré et nul ne le rencontrera.

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  • Les gynécologues invités à aller à contre-courant

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    De Pierre-Olivier Arduin, sur la Nef (janvier 2014)

    GYNÉCOLOGUES : ALLEZ À CONTRE-COURANT !

    Appareil législatif, volonté individuelle et potentialités technologiques font aujourd’hui cause commune pour conduire à la suppression systématique de l’enfant à naître lorsque ce dernier n’est pas investi d’un « projet parental ». Le consensus culturel autour de l’interruption volontaire de grossesse est tel dans les pays dits développés que l’on peut parler avec le bienheureux Jean-Paul II de « structure de péché » et de « conspiration contre la vie » (Evangelium vitae, n. 12). L’avortement, dont la première victime est l’enfant in utero, laisse non seulement des marques profondes sur la femme qui l’accomplit et les personnes qui l’entourent mais dénature profondément l’agir soignant en pervertissant la vocation des professionnels de la grossesse. C’est sur ce dernier point qu’a particulièrement insisté le Pape François dans un discours peu commenté qu’il a adressé aux gynécologues catholiques du monde entier réunis au Vatican le 20 septembre 2013[1].

    Dès son introduction, le Saint-Père a alerté ses auditeurs sur « le danger pour le médecin de perdre son identité de serviteur de la vie » en raison d’une « mentalité diffuse de l’utile, une culture du rebut qui aujourd’hui rend esclaves les cœurs et les intelligences de beaucoup » d’un « égarement culturel qui porte atteinte à ce qui semblait un domaine inattaquable, la médecine ». La mission du gynécologue (et avec lui de tous les professionnels de santé qui ont cette mission singulière d’aider à la naissance de nouvelles vies humaines) est en effet aujourd’hui corrompue à sa racine au point que la pratique gynécologique semble uniquement focalisée sur les problématiques de dissociation de la sexualité et de la procréation (contraception sous toutes ses formes, insémination artificielle et fécondation in vitro,…), de contragestion et d’avortement (pose de stérilet, pilule du lendemain, avortement chimique ou chirurgical) sans oublier l’obsession récurrente d’un eugénisme prénatal en passe d’instaurer un contrôle qualité de l’enfant à naître quasiment infaillible.

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  • Sur Euthanasie Stop (8/1/2014)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 08/01/2014

    Ma fille devrait-elle être euthanasiée ?

    Publié par Sacewicz IWONA (Maman)

    La maman d'Isabella dont le témoignage figure à l'indice 1'49, habite Schaerbeek. Voici ce qu'elle écrit. "Je voudrais beaucoup qu'on ne pense pas en Belgique à l'euthanasie des enfants et des jeunes. Je sais que c'est la solution la plus facile. Cependant, au contraire, il faut faire face à ce grand enjeu et aider les enfants et leurs familles. Comme ça, on ne pensera plus à recourir à l'euthanasie. Chacun a le droit de vivre et mourir dignement." 1'49

    Lire « Ma fille devrait-elle être euthanasiée ? »

    Quelle réponse à la souffrance ?

    Publié par Rocco LIRADELFO (Employé)
    Nonobstant la prise en charge, en conscience, de la douleur de l'enfant et des familles concernées, il est important de promouvoir la vie plutôt que la mort dans notre société! La souffrance physique et morale font partie intégrante de la vie de l'Homme (un jour ou l'autre, nous y passerons tous), l'important est d'y apporter des réponses positives qui vont au-delà d'un acte comme l'euthanasie !

    Lire « Quelle réponse à la souffrance ? »

    Euthanasie et protection des plus fragiles

    Publié par Antoine MELLADO (Politologue)
    Dans le cadre de la loi actuelle, où les euthanasies ne seraient pratiquées que sur des personnes le demandant expressément et ayant toutes leurs facultés mentales, il y a toujours des doutes importants de la part des différents acteurs intervenant dans le processus, par rapport à la « véritable » liberté exercée lors de la prise de cette terrible décision. En effet, ces personnes fragiles souffrant de maladies graves, incurables et souvent longues, se trouvent dans des situations d'extrême dép...

    Lire « Euthanasie et protection des plus fragiles »

  • 2013 : les cinq meilleurs moments pour le combat pro-vie et pro-famille

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes cinq meilleurs évènements C-FAM 2013

    Selon C-FAM, il y a eu tellement d’évènements positifs cette année que nous avons eu bien du mal à faire notre choix. Le voici. 

    1. Le Parlement européen nie l’existence d’un « droit » à l’avortement 

    On ne pourra pas vous reprocher d’avoir pensé que l’Europe est une cause perdue dans le domaine de la protection de la vie et de la famille. C’était le cas jusqu’à l’échec dramatique de la Résolution Estrela sur la santé sexuelle et reproductive. Ce rapport qualifiait l’IVG de « droit de l’homme », niait aux praticiens de santé leur droit à l’objection de conscience, et donnait aux enfants des droits sexuels. Peu nombreux étaient ceux qui se doutaient que cette résolution serait rejetée. Mais le Parlement européen l’a rejeté deux fois en un peu plus d’un mois suite à des objections de la population pro vie européenne. A la place, une résolution a été votée qui reconnaît le droit des Etats à légiférer dans le domaine comme ils l’entendent. A l’époque, nous vous avons montré que les lobbies de l’IVG étaient livides quand ils ont découvert que le Parlement européen n’était pas leur terrain de jeu exclusif.

    2. La renaissance européenne pro-vie et pro-famille

    L’affaire Estrela n’était pas un accident isolé. Nous sommes actuellement témoins d’une renaissance des forces pro vie et pro famille en Europe. Une initiative a été lancée pour mobiliser plus d’un million de personnes pour demander un débat public européen. C’est la deuxième à avoir réussi à mobiliser le nombre de signatures requise. La Commission européenne devra se saisir de la question cette année. La Croatie a récemment banni le mariage des homosexuels par référendum. Des Millions de citoyens français se sont mobilisés contre le mariage gay et l’adoption par les homosexuels dans toutes les plus grandes villes de France. Des millions de citoyens espagnols ont défilé dans les rues de Madrid pour la vie et la famille. Enfin, les députés européens de l’OSCE on rejeté une proposition dangereuse sur l’homosexualité et les droits de l’homme.

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  • Manuel Valls témoigne son soutien aux catholiques de France

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    Profanation d’une église dans le XVIIe arrondissement de Paris

    Communiqué de presse du ministre de l'Intérieur du 08 janvier 2014.

    Après l’interpellation d’une personne suspectée d’être responsable des dégradations commises le 4 janvier dans l’église Sainte Odile (Paris XVIIe), Manuel VALLS, ministre de l’Intérieur, tient à féliciter les enquêteurs pour l’efficacité et la rapidité de leur action.

    Toutes les dégradations commises contre les lieux de culte sont des offenses à nos valeurs républicaines de tolérance et de liberté de conscience.

    Les agissements récents, notamment à l’église de la Madeleine, ont constitué à cet égard une provocation inutile. Manuel VALLS tient à témoigner son soutien aux catholiques de France qui ont pu être offensés par ce geste extrêmement irrespectueux.

    Mais cela suffit-il ? Le mouvement des Femen ne devrait-il pas être interdit tout autant que les spectacles de Dieudonné, comme le suggère le directeur-adjoint du Figaro ?

  • L'Eglise et le droit à l'immigration

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    La délicate question de l'accueil des personnes qui se présentent en masse aux frontières de l'Europe en taraude plus d'un. Quelle attitude prendre pour concilier à la fois l'accueil du plus pauvre venu d'ailleurs et le souci de ne pas se laisser submerger par des flux migratoires incontrôlés? Dans son message pour la journée du migrant et du réfugié (2011), le pape Benoît XVI, se faisant l'écho de ses prédécesseurs, évoquait cette délicate question (source) :

    Le vénérable Jean-Paul II, à l'occasion de cette même journée célébrée en 2001, souligna que «[le bien commun universel] englobe toute la famille des peuples, au-dessus de tout égoïsme nationaliste. C'est dans ce contexte qu'il faut considérer le droit à émigrer. L'Eglise reconnaît ce droit à tout homme, sous son double aspect: possibilité de sortir de son pays et possibilité d'entrer dans un autre pays à la recherche de meilleures conditions de vie» (Message pour la Journée mondiale des migrations 2001, n. 3; cf. Jean XXIII, Enc. Mater et Magistra, n. 30; Paul VI, Enc.Octogesima adveniens, n. 17). Dans le même temps, les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale. «Il faudra alors concilier l'accueil qui est dû à tous les êtres humains, spécialement aux indigents, avec l'évaluation des conditions indispensables à une vie digne et pacifique pour les habitants originaires du pays et pour ceux qui viennent les rejoindre» (Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la paix 2001, n. 13).

  • Cycle de formation bioéthique d'Alliance VITA

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    Pourquoi les Belges n'iraient-ils pas participer au cycle de formation d'Alliance Vita à Lille (par exemple) ?

     
    Cycle de formation bioéthique 

    d'Alliance VITA


     Venez vous former sur les sujets bioéthiques

    5 soirées du 13 janvier au 10 février 2014

    J-8 pour vous inscrire et inviter vos amis ! 

    Partagez ce message à vos contacts 


    Le thème 2014 : QUI EST L'HOMME ?

    Quelle vision de l’homme se dessine, quelle culture est en train de s’élaborer : une culture de la toute-puissance, ou de la vulnérabilité ?


    Au programme :
    • A l’origine de la vie humaine : anthropologie, procréation, maternité, paternité,
    • Homme ou femme : interchangeables ?
    • Fragilité, dépendance et interdépendance
    • Un temps pour vivre, un temps pour mourir
    • Le transhumanisme : vers une “intégration homme – machine” ?
    OU ?
    Dans 50 villes en France en simultanée par visioconférence. 
    > consulter la liste des villes

     QUAND ?
    5 lundis soir du 13 janvier au 10 février 2014 de 20h15 à 22h30
    > Voir le détail du programme

    COMMENT ?
    Une formation inédite en visioconférence, interactive et participative
    AVEC QUI ?
    Tugdual Derville, le Dr Xavier Mirabel, des philosophes, experts et témoins 


    Pour vous inscrire, rendez-vous sur le site www.universitedelavi.fr
    N'hésitez pas à en parler largement autour de vous  !
  • Ecole : quatre libertés à reconquérir

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    Elles sont énoncées par Lionel Devic, président de la Fondation pour l'école. Bien que formulées dans le contexte français, elles sont tout aussi bien adaptées aux réalités scolaires de notre pays où le fonctionnarisme asservi à l'idéologie étouffe l'enseignement :

    Les libertés sont en recul dans notre société, et en particulier à l’école. Chacun le ressent, mais pas question de s’y résoudre ! La première liberté de l’école est… d’être une école, c’est-à-dire un lieu consacré avant tout à l’instruction des enfants.

    Ce qui nous semble une lapalissade ne va plus de soi pour ceux qui nous gouvernent : le ministre Peillon affirme ainsi vouloir se servir de l’école pour changer les mentalités, rééduquer les consciences en brisant les stéréotypes culturels, bref instrumentaliser l’école à des fins politiques. Cette dérive de l’institution scolaire n’est bien sûr pas neuve : la transformation en 1932 du ministère de l’«Instruction publique» en celui de l’«Éducation nationale» le prouve. Cette ingérence étatique dans l’éducation des consciences a eu pour conséquence malheureuse une perte d’efficacité de l’école dans sa mission constitutive qui est d’instruire. C’est en chargeant l’école de missions étrangères à sa nature qu’on a enclenché son déclin : depuis qu’elle est priée de casser les mécanismes de reproduction sociale, elle est devenue un accélérateur d’inégalités. Les tests PISA de l’OCDE montrent que la France est le pays où les origines sociales pèsent le plus dans les différences de résultats académiques des enfants, et où les disparités de niveau entre élèves sont les plus fortes. Bref, l’obsession égalitariste de l’école n’a su que conduire au creusement des inégalités sociales par l’école. C’est en instruisant sans faire de politique que l’école redeviendra un outil de justice sociale.

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  • Bulletin de l'I.E.B. : rétrospective 2013

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  • Euthanasie : rétrospective 2013 (Bulletin de l'I.E.B.)

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