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Politique - Page 681

  • Légèreté de l'OMS et stratégie anti-vie

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    C-Fam.jpgC'est le menu du Friday Fax (C-FAM) de cette semaine :

    La recherche de l’Organisation Mondiale de la Santé a été encore remise en cause, et c’est la seconde fois en deux ans. L’OMS a très gravement sous-estimé les causes de la mortalité infantile mondiale et de la mort de la Malaria. L’article (ici) est signé Lucia Muchova.

    Les militants pro IVG ont œuvré pendant des années pour garder leurs gouvernants nationaux dans le silence et les empêcher de défendre leurs législations protectrices de la vie lors des conférences intergouvernementales de l’ONU. Et cela a eu son effet. Stefano Gennarini  (ici) vous présente une étude de cas brésilienne.

  • L’écheveau syrien

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    Une bonne analyse sur « catho.be ». Extraits.

    Une conférence internationale se tient actuellement à Tunis afin de définir un plan d’aide humanitaire et d’obtenir de Damas la fin des tueries, mais elle n’effacera probablement pas les divisions de la communauté internationale sur le dossier syrien  (…)

    Mais pourquoi les Occidentaux n’interviennent-ils pas en Syrie, comme ils l’ont fait contre Kadhafi en Libye? En fait, les raisons sont multiples et souvent très complexes.

    Premièrement, il y a peu de chances que les Occidentaux obtiennent le soutien de la Russie et de la Chine. Leur veto s’explique moins par un soutien indéfectible à Assad que par la volonté des deux pays de tenir tête aux Occidentaux, en particulier après le précédent libyen. « Le fait qu’ils ont été roulé dans la farine, lorsqu’on est passé de la protection des populations au changement de régime, fait qu’il est désormais plus difficile de trouver un accord avec eux sur Syrie »  avertissait déjà en novembre dernier Pascal Boniface, directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques à Paris (…).

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  • Quand un ministre chrétien démocrate veut supprimer le lundi de Pentecôte

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    L'information, judicieusement commentée, est parue sur info.catho.be :

    "Selon l’agence Belga, citée par divers médias, le ministre de la Défense, Pieter De Crem, a présenté à la veille du week-end une série de mesures qu’il suggère pour revenir à l’équilibre budgétaire. Parmi celles-ci, la suppression du jour férié octroyé à l’occasion de la Pentecôte.

    Véritable plaidoyer pour avoir un véritable leadership en politique, le ministre chrétien-démocrate flamand, encourage ses collègues à partir à la recherche d’économies dans tous les domaines. Objectif : le retour à l’équilibre budgétaire en 2015. Il avance donc quelques idées de mesures, susceptibles selon lui, de faire retrouver à la Belgique une situation financière saine. Et de citer, pêle-mêle, un arrêt des engagements dans la fonction publique et une nationalisation temporaire des centrales nucléaires avant de les privatiser de nouveau à des opérateurs qui auraient marqué leur accord sur un plan national concernant l’énergie. Il s’attaque aussi aux coûts salariaux trop élevés, à la définition des produits repris dans l’indice ou au blocage des prix de l’énergie qui n’aurait qu’un faible effet sur ceux-ci. Enfin, il avance l’idée de la suppression d’un jour férié, en l’occurrence… le lundi de Pentecôte !

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  • A Liège, le 28 février, un débat sur la laïcité dans le cadre des institutions européennes

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    « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne  »


    Un débat à l’université de Liège, le 28 février 2012 à 18h00  

     avec Mgr Piotr Mazurkiewicz, Secrétaire général de la COMECE

    Dans le cadre de son cycle de rencontres 2011-2012 « neutralité ou pluralisme », l’Union des Etudiants catholiques de Liège (Cercle « Ethique sociale ») organise un lunch-débat  sur le thème « La laïcité dans le cadre des institutions de l’Union européenne ».

    Qu’est-ce que la laïcité ?En quel sens les institutions publiques peuvent-elles ou doivent-elles être laïques ? A l'heure du pluralisme et du sécularisme, l'Eglise n'a-t-elle plus rien à leur dire, ni à la société civile? Ces pouvoirs sont-ils à ce point séparés?Qu’en est-il de la laïcité dans le droit positif et la pratique de l’Union européenne et de ses Etats membres ?

    C’est Monseigneur Piotr Mazurkiewicz,Secrétaire général de la Commission des Episcopats de la Communauté européenne (COMECE) qui a été invité à débattre de ces questions avec le public. Mgr Mazurkiewicz est aussi professeur ordinaire d’Ethique politique à la faculté  des Sciences politiques de l’Université de Varsovie. La rencontre aura lieu le mardi 28 février 2012 à 18h00, au bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er étage: salle des professeurs (accès par la grande entrée de l'immeuble) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours à l’avance par tel 04.344.10.89 ouinfo@ethiquesociale.org

     Quelques informations sur le cycle :

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  • L'Europe est très loin d'être favorable à l'euthanasie

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    Pierre-Olivier Arduin, sur Liberté Politique, réfute les arguments en faveur de l'instauration d'une euthanasie légalisée en France. Il insiste sur le fait que seule une petite minorité d'états européens l'ont légalisée : les états du Benelux où ce serait surtout la mouvance néerlandophone (qualifiée par l'auteur de "flamande") qui y est favorable.

    "28 millions contre 320 millions

    ...les trois Etats du Benelux ne représentent que 28 millions de personnes sur les 800 millions enregistrées au Conseil de l’Europe et sur les 320 millions habitants de l’Union européenne. De fait, nous ne saurions oublier que l’écrasante majorité des Européens ignore toute législation légalisant l’euthanasie. Ainsi que nous le rappelle fort opportunément le groupe Ethique, droit et santé du Collectif Plus digne la vie, « croire que 28 millions d’habitants du Benelux peuvent avoir raison tous seuls contre les 321 millions des 24 autres Etats de l’Union européenne qui ont fait un choix contraire, c’est refuser la réalité, c’est raisonner exclusivement avec des préjugés idéologiques [1]». 

     

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  • Le Nobel de l'économie à Benoît XVI ?

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    C'est ce que suggère Ettore Gotti Tedeschi. L'information est rapportée par zenit.org

    Au théologien Ratzinger, ce qu’il faudrait c’est le Nobel de l’Economie, déclare l’économiste italien Ettore Gotti-Tedeschi.

    L’économiste (cf. Zenit du 4 novembre 2011) a en effet présenté, ce 23 février, à Rome, au siège de la librairie Paul VI, dans le « palais » de la Propaganda Fide, près de la place d’Espagne, un livre intitulé « Raisons de l’économie » (« Ragioni dell’economia », Libreria Editrice Vaticana), qui rassemble ses articles parus dans L’Osservatore Romano.

    Il définit ces articles comme des « éditoriaux techniques, conçus et écrits selon une vision catholique, avec cette conviction que les lois naturelles sont les prémisses essentielles des lois économiques et que ces dernières ne marchent pas si elles ne prennent pas en compte les premières ».

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  • Les organisateurs de la Marche pour la Vie croient que la législation peut changer

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    A notre question : "Semble-t-il réaliste, dans un pays aussi "libéralement avancé", d'espérer renverser la vapeur et d'inscrire à nouveau le respect de la vie dans la législation?",

    Antony Burckhardt, coordinateur de la Marche, nous répond :

    "C'est le rôle du législateur de protéger ceux qui ne sont pas en mesure de le faire eux-mêmes. Autrement c'est la loi du plus fort qui s'impose. Or, c'est exactement ce qui se passe en Belgique depuis 1990 avec le vote de la loi Lallemand-Michielsens. Le Parlement belge s'est octroyé le pouvoir de priver toute une partie de la population du droit à la vie. En agissant de la sorte l'Etat belge viole non seulement la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 mais il rompt d'une manière extrêmement brutale avec tous les principes qui fondent une civilisation pleinement humaine.

    Nous avons donc le devoir d'exiger que la loi Lallemand soit abolie ! Bien sûr, cela peut paraitre utopique aujourd'hui... Mais en 1940, on disait que le IIIe Reich durerait 1000 ans. Et en 1945, que le communisme était l'avenir du monde. On sait ce qu'il est advenu de ces idéologies.

    Le libéralisme avancé, que j'appelle la culture de mort, est lui-aussi un colosse aux pieds d'argiles car il porte en lui-même les germes de son auto-destruction : la mort n'a pas d'avenir. Sereinement, mais sans compromission, défendons le droit à la Vie pour tous et nous l'obtiendrons."

  • Liens du jour (24 février)

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    J. Smits :

    Irlande : l'avortement « jamais nécessaire » pour sauver la vie de la mère

    Etats du Washington : les pharmaciens ont le droit constitutionnel de ne pas vendre la pilule du lendemain

    Pays-Bas : refus de protéger un fœtus de 17 semaines menacé par un “crime d'honneur”

     

  • Les chrétiens appelés à "l'objection de croissance" ?

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    Sur son blog, "Pneumatis" développe une réflexion sur "l'objection de croissance", une attitude à laquelle les chrétiens d'aujourd'hui seraient invités pour vivre - socialement et économiquement - en conformité avec l'appel de l'Evangile :

    "L'objection de croissance, nouvel horizon des chrétiens en politique ? (1ère partie)

    Parce que « la conformation au Christ et la contemplation de son Visage  insufflent chez le chrétien un désir irrépressible d'anticiper dans ce monde, au sein des relations humaines, ce qui sera réalité dans le monde définitif » les chrétiens regardent avec une vibrante attention les paradigmes économiques propres à satisfaire les exigences de vie évangélique. C’est en ce sens que le choix de l’objection de croissance, éclairé par l’évangile et le magistère de l’Eglise, s’inscrit dans le champ bien plus vaste de l’économie du salut.

    L'objection de croissance, au sens où nous l’entendons, rejoint au fond  une démarche de foi et de découverte du mystère de l’incarnation et de la rédemption. Elle nous appelle à faire le choix radical de la sobriété partagée et vécue dans la confiance en la divine providence. Nous la reconnaissons dans l'esprit de fraternité qui animait les premières communautés chrétiennes, dans le témoignage d’un saint François et chez tous ceux qui depuis des siècles à la suite du Christ s’engagent à vivre quel que soit leur état de vie le conseil de pauvreté évangélique." ...

    Lire cette réflexion, du plus haut intérêt, ici : l'objection de croissance

  • Marche pour la Vie à Bruxelles, la video

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    Et vous ? Serez-vous sur les images de la Marche, édition 2012 ?

    Le 25 mars, c'est demain!

    Il faut "se bouger" pour atteindre le cap des cinq mille participants...

    http://www.marchforlife.be/

  • Liens du jour (23 février)

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    Adoption homosexuelle: comment on pousse à la roue en Angleterre (J. Smits)

    Genethique.org :

    "Face à la déshumanisation : l'écologie humaine" 22/02/12

    Baisse de la fertilité en France : l’environnement mis en cause 22/02/12

    Les avancées de l'AMP, 30 ans après le 1er "bébé-éprouvette" 22/02/12

    Euthanasie : sortir d'un "débat empoisonné" 21/02/12

    Zenit.org :

    Suivre Benoît XVI sur « twitter » pendant tout le carême
    Twitter, une « avenue » pour le message de l'Eglise

    Pèlerinage de l'ordinariat de Notre Dame de Walsingham
    Audience du mercredi

    Le carême, temps des responsabilités assumées
    Catéchèse de Benoît XVI sur le carême

    France : Mgr Olivier de Germay nommé évêque d'Ajaccio

    Un Saint-Cyrien spécialiste en théologie morale

    L'amour des pauvres et l'amour de Dieu c'est tout un
    Congrès à Rome sur « Jésus notre contemporain »

    « Relire le Concile, historiens et théologiens en débat »
    Cycle de six conférences à Rome

    Pérou : préserver l'identité catholique de l'université pontificale
    Adapter les statuts d'ici Pâques

  • Mères porteuses: encore une "avancée" aux Pays-Bas?

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    Source : Genethique.org

    La législation néerlandaise sur les mères porteuses pourrait bien être remaniée prochainement. Aujourd'hui aux Pays-Bas, il est déjà possible d'avoir recours à une mère porteuse à plusieurs conditions : la femme qui portera l'enfant doit être de la famille, avoir déjà eu elle-même des enfants et ne plus en souhaiter. Ce geste doit être aussi "absolument gratuit".
    Selon  Fred Teeven, secrétaire d'Etat néerlandais chargé de la Justice, "de plus en plus de femmes cherchent des mères porteuses et sont prêtes à payer ce service". Il dit donc vouloir modifier la loi pour que les enfants de ceux qui payent des mères porteuses étrangères soient reconnus aux Pays-Bas. En effet, un véritable commerce s'élevant à 1,7 milliard d'euros s'instaure avec l'Inde via des cliniques spécialisées, où des femmes pauvres vendent leurs "services" à des couples occidentaux.

    René Hoksbergen, professeur émérite spécialiste de l'adoption, trouve "ridicule" que "les lois soient adaptées" et estime que ce n'est pas sans raison si cette pratique est interdite. D'une part, il constate que l'intérêt et le bonheur de l'enfant ne sont pas pris en compte. Celui-ci pourra bientôt penser : "Je proviens d'un utérus indien et cette femme indienne qui était pauvre, a reçu 1 000 dollars (760 euros)" . Cette réalité atteindra la vision qu'il a de lui-même :  "je suis tout simplement un objet de commerce".
    D'autre part, le Pr Hoksbergen explique qu' "être mère porteuse pour des raisons commerciales relève tout simplement de la prostitution de procréation". Il contredit les arguments de certains, comme Nayna Patel, médecin indienne pour laquelle les deux parties profitent du marché : les parents ont un enfant, la mère porteuse peut utiliser l'argent pour faire des choses qu'elle n'aurait pas pu faire sans cet argent. Pour René Hoksbergen, utiliser "les fonctions corporelles d'une autre pour pourvoir à [ses] propres besoins", c'est de "la prostitution".