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Culture - Page 293

  • Basilique de Bonne-Espérance : reprise des célébrations en grégorien

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     BONNE-ESPÉRANCE(Estinnes, à Vellereille-les-Brayeux)

    La saison pastorale reprend à la Basilique

    Célébrations mariales, messes chantées en grégorien, accueil de chorales… voilà les grands axes de la saison 2013. Elle débute par l’Annonciation, célébrée ce lundi 8 avril à 18h30.

    En raison de la semaine sainte, la solennité de l’Annonciation du Seigneur à la Vierge Marie sera célébrée le lundi 8 avril. A Bonne-Espérance, lieu de pèlerinage marial depuis le XIVe siècle, c’est également la fête patronale de l’abbaye. L’Eucharistie de 18h30 sera présidée par l’abbé Philippe Pêtre, doyen principal de la région pastorale de Mouscron-Comines, et aumônier des Anciens du Collège de Bonne-Espérance.

    L’Assomption de la Vierge Marie, célébrée le jeudi 15 août, est l’autre grand rendez-vous marial de l’année. La messe, précédée du chapelet à 16h40, sera présidée à 17h par l’abbé José Bouchez, doyen principal de la région du Centre-Soignies.

    Ces deux célébrations mariales seront animées liturgiquement par la chorale paroissiale de Jumet Gohyssart.

    La messe dominicale reprend aussi : elle sera célébrée à la  Basilique du 14 avril au 15 octobre à 17h, avec chaque fois la prière du chapelet à 16h40. 

    Comme l’an dernier, la messe du premier dimanche du mois sera chantée en grégorien. 

    En juillet et août, les chorales qui veulent venir passer une après-midi d’été à Bonne-Espérance sont invitées à chanter la messe de 17h.

    Plus d’infos sur la saison ici

  • Au nom du fils : quand on en remet une couche...

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    Un ami dont la vigilance n'est jamais prise en défaut nous fait part de la promotion par RTL du film de Vincent Lannoo qui exploite le filon de la pédophilie ecclésiastique sur l'air de "quand il n'y en a plus, il y en a encore" :

    RTL TVI en a fait l'annonce « urbi et orbi », ce dimanche de Pâques, au JT de 19h :

    « Présentation du film "Au nom du fils" de Vincent Lannoo qui sort mercredi »

    http://www.rtl.be/videos/video/438598.aspx

    En voici une présentation 'édifiante' lors du FIFF 2012 :

    http://cineuropa.org/nw.aspx?t=newsdetail&l=fr&did=226824

    « Au nom de la mère, du fils, et du malsain esprit »
    avec entre autre venin : « Il est question d’Église, il sera donc question de pédophilie. » 
    Si le réalisateur en est Vincent Lannoo, et le producteur Lionel Jadot, le financement en est assuré par le CCA (Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie Bruxelles).

    Or , c'est cette même Fédération Wallonie Bruxelles qui a interdit à Child Focus en 2012 d'aider les centaines de mineurs, victimes d'abus sexuels en Wallonie et à Bruxelles, à oser se faire connaître et à oser porter plainte. Ces gens prouvent donc qu'ils se moquent du problème des abus sexuels sur mineurs dans la société belge, mais ne visent qu'à salir l'Église, par tous les moyens.

    Et RTL semble bien décidée à collaborer à tout prix pour éviter que ne se propage en Belgique la vague de sympathie pour l'Église, initiée par le Pape François.

  • Quand Natasha St-Pier chante Thérèse de Lisieux

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    130326151116682_72_000_apx_470_.jpgC’est dans un registre pour le moins surprenant que l’on découvre la chanteuse canadienne Natasha St-Pier, bien connue en France pour ses tubes (Tu trouverasMourir demain, Bonne nouvelle…).

    Son nouvel album Vivre d’amour (sortie le 22 avril) reprend les poèmes de Thérèse de Lisieux, la carmélite française née à Alençon et morte en 1897 d’une tuberculose à l’âge de 24 ans.

    C’est le chanteur Grégoire qui a composé les mélodies de l’album. Natasha St-Pier n’est pas seule sur ce projet audacieux : Anggun, Elisa Tovati, Michaël Lonsdale, Mgr Di Falco, les Petits Chanteurs à la Croix de Bois…

    Vivre d’amour, le premier single, est interprété par Natasha St-Pier et Anggun. C’est pour mieux s’imprégner de la vie de Thérèse, que Natasha St-Pier a passé une journée ce mardi à Lisieux, deuxième ville de pèlerinage en France après Lourdes.

    En savoir plus

    Thérèse - Vivre d'amour
    Thérèse - Jeter des fleurs

    Voici un projet singulier et surtout véhiculant un message fort d'amour . À l'origine, Grégoire qui découvre les poèmes de Sainte Thérèse de Lisieux , un coup de coeur unique . Comme une déclinaison à l'infini de ce que symbolise l'amour , Thérèse est également un projet singulier de par sa dimension collective .
    L'album sortira le 22 avril prochain, porté par Natasha St-Pier qui incarne à merveille Thérèse.
  • De Mozart à Carlos Gardel (*) : question de style ?

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    Est-ce que cela recommence, comme au bon vieux temps des années conciliaires ?  Dans son homélie du vendredi-saint, le prédicateur officiel de la cour pontificale, le bien nommé Père Cantalamessa, s’empresse de ressortir un dique d'archive bien connu :  

     «  Nous devons faire en sorte que l’Eglise ne ressemble jamais à ce château compliqué et encombré décrit par Kafka, et que le message puisse sortir d’elle libre et joyeux comme lorsqu’il a commencé sa course. Nous savons quels sont les empêchements qui peuvent retenir le messager: les murs diviseurs, à commencer par ceux qui séparent les différentes églises chrétiennes entre elles, l’excès de bureaucratie, les restes d’apparats, lois et controverses passées, devenus désormais de simples détritus.  [ en italien, "i residui di cerimoniali", les restes des cérémoniaux].Il faut le courage d’abattre tout cela, et de ramener l’édifice à la simplicité et à la linéarité des origines. C’est la mission que reçut un jour un homme qui priait devant le crucifix de Saint Damien : « Va, François, et répare ma maison ».

    Et si on commençait alors par abolir l’esprit courtisan ?

    Carlota, la collaboratrice de notre consoeur du site « Benoît et moi »,  partage ici  la  perplexité de ceux qui s’efforcent de comprendre le nouveau pape et de l’accueillir sereinement (extraits) :

    « Je suis actuellement témoin de l’expression de beaucoup d’opinions contraires par rapport au nouveau pape François. Mais je crois que même en Argentine, il ne laissait personne indifférent. J’ai lu un article d’un curé de bidonville de Buenos Ayres parlant de son ex-évêque et qui disait : ou les gens le détestent ou ils l’adorent.

    Il est évident que chez les catholiques « non adultes » pour employer le langage de l’adversaire, il y a un énorme désarroi par rapport à l’élection du cardinal Jorge Bergoglio. J’ai même vu le rédacteur d’un blog hispanophone qui est tenu par un honnête homme dans le meilleur sens du terme, qui a pris l’attitude (que je respecte) très espagnole (catholique) de l’auto-flagellation morale : Si Benoît XVI (l’auteur de l’article l’aime beaucoup) est parti c’est que nous n’avons pas pendant son pontificat assez prié pour lui, c’est de notre faute, notre très grande faute…

    Il est évident que le Pape François n’a pas le même langage simple et lumineux que Benoît XVI, ni le même caractère et tempérament, et c’est tout à fait normal, ce sont deux hommes différents. Quelle surprise ! Par ailleurs la sur-représentation qui est faite de François pas les médias n’aide pas, pour ceux qui ont une sensibilité plus traditionnelle, à rester très sereins. Mais pourquoi attacher tant d’importance à ce que serait François avant de le voir agir, alors même que nous avons tant critiqué la présentation qui était faite de son prédécesseur par les médias ? Les journaux seraient-ils devenus objectifs et équilibrés au changement de pontificat ? Un miracle à faire enregistrer au Vatican !

    Je comprends néanmoins l’inquiétude de certains car leur reviennent à la mémoire toutes les injustices qu’ils ont subies à la grande époque des furieux (certains encore bien vivants) de l’esprit dit conciliaire (un esprit qui faisait bien mal écho à l’étymologie commune d’entente et conciliation) qui voulaient faire commencer l’Église aux années 1960, critiquant au mieux, effaçant au pire tout le reste (une attitude qui correspond bien aux habitudes des régimes totalitaires que certains avaient pour modèle en la personne idéalisée d’un certain Ernesto dit le Che pour sa façon très argentine de s’exprimer!). C’est comme si l’on avait voulu créer un homme nouveau de rien. Alors de penser que ce Pape François pourrait les priver, les catholiques de sensibilité plutôt d’avant le Concile, de tout ce que Benoît a tenté d’apporter, peut entraîner une angoisse qui exclut un minimum de rationalité pour n’être plus que sensations. Il ne faut pas, je crois céder, à cela. Il faut se rappeler combien notre bien aimé Pape désormais émérite nous a dit et redit, martelé même, mais avec une pointe de diamant et pas un marteau piqueur, la double nature de l’homme sans laquelle il n’est pas homme, la raison et la foi, le cœur et l’esprit….

    La suite ici : Le pape François et une chanson de Gardel

    A priori, nous pensons que ces craintes sont excessives et qu’une clarification pédagogique du fond dissipera, tôt ou tard, les premiers malentendus qui pointent. Le plus vite sera le mieux.

    ____

    (*) Carlos Gardel, chanteur, compositeur de tango naturalisé argentin (1890 ?-1935)

  • Il a surgi de la mort ! Alleluia !

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  • Le virtuel, c'est bien; la proximité physique, c'est mieux !

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    Lors d'un entretien avec une journaliste de la Vie, Fabrice Hadjadj mesure les limites de la technologie de communication :

    Les moyens désincarnés ne sont pas les plus aptes à dire le mystère de l’Incarnation. Plus on se perdra dans le virtuel, plus la nouveauté se trouvera dans la proximité physique. L’avenir n’est pas dans l’iPad, mais dans la chair. La plus haute technologie de communication est celle donnée par la nature : être face à face, ou côte à côte. Tous les amoureux le savent. Le christianisme ne vient pas délivrer qu’un message ou une information. Si tel était le cas, il faudrait préférer les mass media à la messe. Le christianisme vient manifester une présence.

    Cependant, comme le rappelle Mgr Giraud (évêque de Soissons), l'Eglise doit habiter les réseaux sociaux : http://www.leblogducommunicant2-0.com/2013/03/28/mgr-herve-giraud-leglise-doit-habiter-les-medias-sociaux/

  • Ongelooflijk ! Quand la téléréalité s'invite au monastère...

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    Pays-Bas : une télé-réalité au coeur d'un monastère (source : fait religieux.com)

    "Elles sont cinq. Deux mannequins, deux actrices et une chanteuse. Plus habituées des plateaux de télévision et des podiums que des confessionnaux et des chapelles, ces célébrités néerlandaises ont accepté de se prêter au jeu de la télé-réalité pour passer plusieurs semaines dans un très vieux monastère situé à Oosterhout, près de Breda, dans le sud du pays. L'idée vient de la chaîne de télévision protestante néerlandaise Evangelische Omroep (EO), qui diffuse régulièrement depuis quelques années un programme télévisé intitulé « Op zoek naar God » (« À la recherche de Dieu », OZNG) - un peu l'équivalent du « Jour du Seigneur » dans l'Hexagone."

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    La bande-annonce de l'émission (en néerlandais) :

    (Via France Catholique)

  • Le portrait de Pierre Chaunu brossé par Philippe Levillain

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    Dans notre civilisation caractérisée par un phénomène d'accélération vertigineux, on risque d'oublier des disparus dont l'oeuvre mériterait pourtant de rester en mémoire et de nourrir notre réflexion. Tel est le cas de celle de l'immense historien que fut Pierre Chaunu. Un hommage en forme de "notice" vient de lui être consacrée par Philippe Levillain à l'Académie des Sciences morales et politiques, le 18 mars 2013 :

    ... Avant de proposer une biographie historique d’un des « Monstres sacrés » de l’Histoire au XXe siècle- j’emprunte à Jean Cocteau l’expression qui désigne les grands acteurs de grandes rôles –, je voudrais esquisser un portrait de l’homme, de l’homme Pierre Chaunu, encore si proche pour sa famille, laquelle partage volontiers sa mémoire avec celle de ses contemporains, attristés encore par cette disparition qui s’appelle la mort. La mort qui fut au cœur vivant de Pierre Chaunu la voix permanente de l’Espérance, la mort qui fut pour lui au commencement. « À 40 ans - a dit Kipling - un homme est responsable de son visage ». A fortiori l’est- il ensuite, quelques effets trahissant le temps qui ne suspend pas son vol. On eût dit que la stature habitée par Pierre Chaunu était taillée dans le noir granit du Sidobre. Elle portait un visage impérial digne de figurer au Palazzo Altemps à Rome, éclairé, si l’on peut dire, par un regard inquisitorial, mystérieusement porteur d’une promesse de douceur. La bouche ne démentait pas une certaine distance, boudeuse parfois : celle d’une certitude acquise, inaccessible et peu discutable. Mais cette prise instantanée du visage fige un orateur immobile qui était dans la vie un acteur aux mains agiles, aux bras expressifs et aux yeux sévères, quelquefois ourlés par la lumière rase de larmes retenues.

    Pierre Chaunu se défendait contre lui-même. Acteur, il l’était dans une étonnante harmonie entre la voix et le geste. Il savait utiliser son grand galop chromatique. Le regard ne démentait jamais ce que la voix affirmait, prétendait, contestait. Mais cette voix s’exprimait sur deux registres : celle de la conscience de l’âme, douce, mélodique, accueillante ; celle du corps, voix des passions irrépressibles, fulgurantes, proches de celle du devin transporté. ...

    A lire sur le site de l'Académie

  • Verviers, 29 mars : la Passion selon saint Jean de J.S. Bach

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  • Quand la crise de l'Union européenne fait furieusement penser à la chute de la République romaine

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    livre-engels.jpgC'est Joseph Savès, sur Herodote.net qui nous donne l'envie de lire un ouvrage dont le compte-rendu met incontestablement en appétit :

    Le déclin; La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine

    David Engels (éditions du Toucan, 384 pages, 20 euros,  2013)

    Avec cet essai plein d'érudition et de finesse, le jeune historien belge David Engels (33 ans) a réussi un coup de maître.

    Professeur d'histoire romaine à l'Université libre de Bruxelles, il dresse un parallèle audacieux et tout à fait inédit entre la situation actuelle de l'Europe et celle de Rome... à la fin de la République, autrement dit au 1er siècle av. J.-C., à l'époque de Marius, Sylla, Pompée, César et Auguste !

    Avant lui, dès le XIXe siècle, de nombreux historiens et essayistes s'étaient inquiétés de l'évolution du Vieux Continent et avaient cherché des grilles d'explication dans une comparaison avec la fin de l'empire romain (IIIe-Ve siècles de notre ère), mais jamais encore personne n'avait songé à la crise du 1er siècle av. J.-C.

    Point par point, dans une première partie, David Engels confronte l'Europe du XXIe siècle et la République romaine : il analyse la première principalement à travers les sondages d'opinion et la seconde à travers les chroniques, les écrits et la correspondance des contemporains (Cicéron, Salluste...).

    Les similitudes dans les moeurs et les mentalités sont confondantes...

  • Noël, Toussaint et Pâques bannis du calendrier scolaire en Belgique francophone

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    Nous lisons dans La.Libre :

    Noël et Pâques éjectés du calendrier scolaire

    Un nouveau décret édicte une règle pour fixer les congés scolaires. Et scelle au passage leurs appellations.

    Le gouvernement de la Communauté française vient d’adopter un décret-cadre déterminant les vacances et jours de congé dans l’enseignement obligatoire, l’enseignement de promotion sociale et l’enseignement secondaire artistique à horaire réduit. (...)

    ... les appellations des différents congés scolaires - modifiées dans les années 2000 déjà ! - sont, cette fois, utilisées dans un décret. On peut ainsi lire "congé d’automne" pour le congé de la Toussaint, "vacances d’hiver" pour vacances de Noël, "congé de détente" pour le congé de Carnaval et "vacances d’été" pour les grandes vacances. (...)

    Signer la pétition pour maintenir les appellations issues de notre culture chrétienne : https://www.lapetition.be/en-ligne/Rendez-nous-nos-conges-de-Noel-Paques-Toussaint-12733.htm

  • www.lapetitejulienne.be : un nouveau site web interactif pour les enfants dévolu à sainte Julienne

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    Invitation

    Conférence de presse et mise en ligne
    Ce jeudi 28 mars  - 16h30 – Liège-centre

    Nouveau site web interactif pour les enfants

    www.lapetitejulienne.be

    Julienne, dite de Cornillon, est une des plus grandes figures féminines liégeoises. Son intuition a eu un important rayonnement international qui se traduit encore actuellement par un jour férié dans certains pays, dont l’Allemagne. Ce site web, développé par l’agence web Synchrone, est centré sur son enfance et permettra aux enfants et aux parents d’apprendre sa vie et son appel de façon ludique. Un dessin animé, des jeux en ligne, des bricolages, une randonnée thématique régaleront les visiteurs.

    Ce jeudi 28 mars 2013 à 16h30 aura lieu la mise en ligne du site internet lapetitejulienne.be en présence des auteurs et de Mgr Jousten, évêque de Liège, au « 42 », le pub dominicain au cœur de Liège, Place Xavier-Neujean, 42, 4000 Liège, à l’ombre de l’église Saint Jean où déjà vers 1240, les dominicains encourageaient Julienne à aller au bout de son intuition.

    Petite conférence de presse, présentation du site internet, rencontre avec l’auteur, l’illustratrice et l’équipe de développement web.image003.jpg