

Bd d'Avroy, 132 à Liège
Tous renseignements : Tél. 04.342.18.56
E-mail : cecileleleux@sfr.fr Site web : www.foliamusica.be
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Rencontre de clôture du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège.
Mercredi 19 juin 2013 à 18 heures

à l'Université de Liège
Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)
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Eclipse de Dieu, éclipse de l’homme |
Rémi BRAGUE
Professeur ordinaire à l'Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et à la Ludwig-Maximilian Universität de Munich , Membre de l'Institut de France , Prix 2012 de la Fondation Ratzinger-Benoît XVI .
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Rémi Brague vient de publier aux éditions Flammarion un essai (1) sur l’antihumanisme contemporain, ses causes, son histoire, ses origines et il s’interroge sur ce qui justifie un projet humaniste. L’homme n’est pas encore mort, mais il est mal en point : destitué de ses privilèges sur l’animal, désormais considéré comme « une menace globale pour la vie », c’est la légitimité même de sa présence sur Terre qui en vient à être mise en question. Dans ce vaste « détricotage de l’humanisme », Rémi Brague, grand connaisseur de la philosophie grecque et des religions, s’intéresse particulièrement à l’étape de l’humanisme « exclusif », fondé au XIXe siècle sur l’exclusion du divin. Car c’est en voulant penser l’homme hors de toute transcendance que la pensée moderne s’est, selon lui, mise dans l’incapacité de justifier son existence. (1) Rémi Brague, « Le propre de l’homme. Sur une légitimité menacée ». Flammarion 2013, 272 pages, 19 € . Pour un commentaire détaillé de cet ouvrage, cliquez ici : Lettre ouverte aux humanistes à propos du livre d'un vieil ami |
La rencontre du 19 juin avec Rémi Brague aura lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.
Inscription obligatoire avant le 17 juin 2013. Téléphone 04.344.10.89 ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €, à régler sur place. L'accès à la salle ne peut être garanti aux personnes qui ne s'inscrivent pas au préalable
«J’étais un joyeux païen, ma femme vient d’une famille très engagée dans le protestantisme, raconte Michel Petrossian. Un jour, elle m’a dit : "Il y a quelque chose que nous ne partageons pas et qui est important pour moi : la Bible." Je l’ai lue pour lui faire plaisir. J’ai été saisi. La figure de Jésus m’a interpellé.» Alors que sa carrière de compositeur est en train de décoller, Michel Petrossian plaque la musique pour entrer en religion...
Lire ce témoignage : http://www.liberation.fr/societe/0101641458-j-etais-un-joyeux-paien-jesus-m-a-interpelle
Intéressante aussi la profession de foi du finaliste Sean Kennard : http://www.rtbf.be/video/detail_interview-de-sean-kennard-demi-finaliste?id=1823776
La palme d'or du Festival de Cannes est non seulement exaltée par La Vie mais aussi par la radio qui se dit "la voix du Pape et de l'Eglise". Réflexion de Riccardo Cascioli, pour la Bussola (27/5/2013). Traduction parue sur le site « Benoît et moi » :
« Festival de Cannes, la palme va au film «La vie d'Adèle », qui le jour de sa projection a fait surtout parler de lui pour la scène longue et détaillée d'amour lesbien entre les deux protagonistes. Je n'ai pas vu le film, mais je n'ai aucun doute sur le fait qu'il est bien fait et bien joué - certains disent que parfois même des films pornos le sont - mais entendre Radio Vatican exalter aussi le contenu du film laisse sans voix. Voici ce qu'a dit le correspondant de Cannes: «Adèle lit Marivaux et s'interroge sur l'amour. Elle ressent le besoin d'un sentiment fort qui habit son corps, mais pas encore l'attraction fatale, l'affinité qui la lie à un autre être humain. En attendant elle essaie - elle met à l'épreuve les autres, et elle-même - peut-être comprend-elle qu'elle peut trouver ce qu'elle cherche dans la sexualité féminine. Puis l'amour vient à travers un regard, un plaisir partagé, un vague désir de vivre l'autre personne en profondeur ».
En somme, pour Radio Vatican - qui s'auto-définit «la voix du pape et de l'Eglise » - il n'y a absolument aucun problème, rien d'étrange dans le fait qu'une fille s'ouvre à l'amour avec une autre fille: hétérosexuel ou homosexuel, cela ne fait aucune différence, l'important c'est l'amour, l'important c'est d'essayer. Certainement un beau message pour les adolescents: si même la radio du pape se plie à l'idéologie homosexualiste, à quoi devons-nous encore nous attendre?
Radio Vatican continue, en affirmant que le film est «joué par deux actrices (Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos), mis en scène avec une fluidité qui fait qu'on ne voit pas le temps passer (ndt: le film dure trois heures), plein de scènes inoubliables d'explosion des sentiments »
Explosion de sentiments? Voici ce qu'explique le journal Repubblica: «Très longues scènes explicites entre les actrices Léa Seydoux et Adèle Excharchopoulous qui s'aiment avec une extrême variété, voracité, fantaisie de positions, quantité d'orgasmes. Moments qui sont "nécessaires pour raconter l'enchantement de leur relation", explique le réalisateur ».
Ce n'est pas une question de moralisme, mais de jugement: un fruit empoisonné peut être joliment présenté, de la façon la plus attrayante possible, mais il reste un fruit empoisonné. Cela doit être dit clairement, mais désormais, le jugement semble être une denrée rare, même là où l'on s'attendrait à trouver le dernier point d'appui, la dernière résistance à la mentalité du monde. »
L'article de radio Vatican ici: http://it.radiovaticana.va/ (mais Riccardo Cascioli se réfère à un texte plus détaillé
...cela donne ceci que vous découvrirez sous la plume du très consensuel Frédéric Théobald :
http://www.lavie.fr/culture/cinema/la-vie-d-adele-une-palme-de-notre-temps-28-05-2013-40757_35.php
Finalement, ces cathos, dont nous sommes, que fâchent les interminables scènes de sexe de ce film et qui trouvent anormal qu'on assiste à une telle promotion de l'homosexualité ne sont que de tristes esprits chagrins, complètement décalés, et qui ne veulent rien comprendre à l'innocente beauté d'une histoire d'amour, peu importe quelles en sont les modalités...
Dans « Famille Chrétienne », Aymeric Pourbaix appelle les catholiques à réinvestir le champ des médias, de l'enseignement, bref, de la culture en général :
« Je crois aux forces de l’esprit », affirmait François Mitterrand avant de quitter l’Élysée. François Hollande, lui, n’y croit pas (1), même s’il affiche une certaine « peur du démon » (2), ce qui, après tout, pourrait être le commencement de la sagesse…
L’actuel chef de l’État serait pourtant avisé de prêter enfin attention aux signes du ciel, comme des esprits facétieux n’ont pas manqué de le noter : après de longues semaines d’hiver prolongé, le soleil a enfin fait sa réapparition dans le ciel, au soir de ce dimanche 26 mai, juste au-dessus de l’esplanade des Invalides à Paris…
Mieux encore qu’en de vagues « forces », nous croyons à l’Esprit Saint, en sa force qui est aussi douceur, amour et vérité. Et qui, tantôt forte bourrasque, tantôt brise légère, a fini par susciter dans ce pays un vent de liberté, contre tous les conformismes. Si elle n’est pas encore déracinée, l’idéologie née de Mai 68 ne tient plus que par la force d’institutions politiques (partis, assemblées) et culturelles (médias, universités) qu’elle a lentement gagnées à sa cause. En un mot, cette idéologie est devenue conservatrice.
Mais nous, chrétiens, croyons-nous vraiment à la force des idées ? Car il semble que nous ayons abandonné ce champ : dans les médias, dans l’enseignement, dans la culture en général, nous avons, hélas, laissé la place à d’autres, lui préférant les activités rentables, pour assurer l’avenir de nos enfants. C’est ainsi toute la culture, semblable à « l’air que l’on respire » selon Thibon, qui demande désormais à être purifiée de ces germes, contraires à l’édification des âmes des plus jeunes.
Mais n’allons pas nous leurrer pour autant : la cité et la culture chrétiennes parfaites n’existeront pas ailleurs qu’au Ciel. Nous avons à être au milieu de la culture de notre époque comme le sel qui ne se dénature pas, et à y affirmer une transcendance.
Ce combat culturel, aussi important que celui de la politique, sera long. Il demandera de nombreuses années, et cette patience chère au pape François, celle qui suppose des sacrifices, du souffle et de la persévérance. Mais qui, au bout du compte, produit l’espérance. Et pour nous y aider, nous pourrons toujours trouver l’inspiration dans les chefs-d’œuvre de nos prédécesseurs.
On trouve ainsi dans ce magnifique Cantique de Jean Racine, mis en musique par Fauré, une haute expression de l’ambition qui nous anime, et qui est d’abord une prière : « Dissipe le sommeil qui rend l’âme insensible, et la conduit à l’oubli de tes lois ».
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(1) Comme l’a montré le livre enquête de Samuel Pruvot, François Hollande, Dieu et la République (Salvator).
(2) Jean-Yves Boulic, Ceux qui croient au Ciel et ceux qui n’y croient pas (Grasset).
Ici : Après la Manif pour tous du 26 mai, un vent de liberté
Ceci ne concerne pas que la France et regarde prioritairement les laïcs chrétiens, bien plus que les clercs quels qu’ils soient.
Un ami nous écrit :
Sais-tu que je suis très fort, devin, ou je ne sais quoi. Quand le festival de Cannes a commencé et qu'on a présenté le sujet des films projetés, en apprenant qu'il y avait un film abordant la question de l'homosexualité, j'ai immédiatement déclaré à ma femme qu'il serait primé! Sans l'avoir vu, sans connaître le réalisateur! Ne suis-je pas extralucide?
Quelle farce que ce festival! On prime un film inachevé! Hugues Dayez lui-même, au JT de dimanche 19h30 était embarrassé par les longues séquences de sexe. Il n'avait pas l'air convaincu que la palme ait été attribuée à ce film et non le film de Farhadi (Le passé). Le lendemain, il se reprenait et déclarait que c'était un beau palmarès.
Misère! Pourquoi s'acharne-t-on à faire un plat avec ce festival tape-à-l'oeil qui se branche volontiers sur l'actualité? La palme d'or au film d'Hanneke sur l'euthanasie était prévisible. Le regretté abbé Carlier (animateur d'un cinéma de quartier à Namur ndB), lui, allait à Berlin où, disait-il, on a affaire avec des gens sérieux. Et pourquoi laisser dans l'ombre la Mostra de Venise où de grands films ont été récompensés dans l'indifférence des gazettes.
Pour en revenir à Cannes, qui a vu le film d'Apichatpong Weerasethakul, palme d'or en 2010? Je l'ai vu et je m'interroge encore sur ce qui a poussé un jury de "spécialistes" à donner ce prix à un film abscons. La volonté de se singulariser à tout prix? Le snobisme parisien est contagieux. Vive l'Allemagne, vive l'Italie!
Lire aussi : http://www.france-catholique.fr/Palme-d-or.html
Source : le figaro - étudiant
Pour la première fois, des élèves d’un lycée de Sarcelles étudient l’araméen, une des plus vieilles langues au monde, aujourd’hui menacée.
«Shlama lokun!» clament-ils en coeur pour se saluer. Depuis janvier dernier, ils sont une vingtaine de jeunes de seconde, première et terminale à se presser au cours d’araméen moderne. Le lycée Jean-Jacques Rousseau de Sarcelles est le premier en France à initier ses élèves à cette langue vieille de 3000 ans.
Parlé par 500.000 personnes dans le monde, l’araméen est surtout connu pour être la langue de la Bible. «C’était la langue parlée en Palestine à l’époque du Christ... Mais contrairement à ce que les gens pensent, elle n’est pas morte. Elle n’a jamais cessée d’être parlée depuis 3000 ans», explique le professeur et linguiste, Pablo Kirtchuk.
Autre langue, autre écriture. Apprendre tout l’alphabet araméen pourrait en décourager certains. Pourtant le cours est facultatif et ne rapporte aucun point. Les élèves sont là par pur plaisir. Si bien que l’araméen est même devenu plus populaire que l’hébreu dans ce lycée très attaché à l’enseignement des langues.
Apprendre à écrire la langue qu’ils parlent depuis l’enfance
Pourquoi ces élèves de la banlieue parisienne se ruent apprendre la langue des apôtres venue des confins du Proche-Orient? Parce que pour certains, «c’est la langue de leur famille», explique le professeur Pablo Kirtchuk à l’AFP. Car à Sarcelles vit une importante communauté assyro-chaldéenne originaire du sud est de la Turquie et du nord ouest de l’Irak depuis plus de trente ans maintenant. L’araméen est donc toujours d’actualité.
De nombreux jeunes le parlent à la maison mais «n’ont jamais eu l’occasion d’en apprendre l’écriture ou la grammaire», souligne M. Kirtchuk, qui dit vouloir avant tout «faire mieux comprendre la langue» à ses élèves. L’enseignement porte ses fruits. Melody se réjouit d’apprendre l’origine et l’écriture de mots qu’elle prononce depuis son enfance. «C’est étrange car c’est une langue qu’on parle parfois depuis tout petit, mais sans pour autant bien la connaître», souligne-t-elle.
«L’araméen c’est notre patrimoine, il faut le préserver», déclare fièrement Joni, 16 ans, qui n’est pas de ce lycée mais vient spécialement pour ce cours. Son enseignement et sa pratique se sont étiolés au fil des migrations de la communauté. Aujourd’hui, selon l’Unesco, l’araméen est une des 3000 langues en danger.
Pas d’option au bac pour le moment
À raison d’une heure de cours hebdomadaire, cet enseignement ne fait pas encore l’objet d’une option au bac ,contrairement à l’hébreu. «Cela ne rapporte pas de points. Mais ça valorise et reconnaît la culture de la communauté chaldéenne. On est plus sur de la découverte et de l’accompagnement personnalisé que sur un programme d’enseignement officiel», explique le proviseur du lycée Philippe Bonneville.
L’an prochain, il souhaite développer cet enseignement, en augmentant les effectifs jusqu’à trente élèves. Pour en faire une option au bac ,le professeur Pablo Kirtchuk a bon espoir. «On espère que ça viendra», souligne-t-il, en tout cas, l’araméen le mérite».
« Inferno », le nouveau roman de Dan Brown : « un manifeste anticatholique de la culture de mort » (source : aleteia.org)
Outre la phobie de l’Eglise, le sociologue italien Massimo Introvigne y relève des appels répétés à l’avortement, la stérilisation forcée et l’euthanasie.
« Le Vatican me déteste », déclare le docteur Elizabeth Sinskey, dans un passage du nouveau roman américain de Dan Brown « Inferno ». Celle-ci dirige l’Organisation mondiale de la santé et incarne une sainte laïque qui apparaît en vision au personnage principal, le professeur en symbologie, Robert Langdon, héros de ses trois précédents romans. « Vous aussi ? » lui répond ce dernier, « je croyais pourtant être le seul ».
Encore une fois le Vatican, donc l’Eglise catholique, est dans le collimateur de l’auteur. C’est « le fil rouge qui unit tous ses romans », relève le sociologue italien Massimo Introvigne, directeur du CESNUR (Centre d’Etudes sur les nouvelles religions) et auteur de trois ouvrages critiques vis-à-vis des précédents romans de Dan Brown.
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Pendant toute la durée du Festival de Cannes, L'écran présente à ses abonnés la face cachée des personnalités de cet événement. Cette semaine : Léonardo Di Caprio :
L’interprète culte de Titanic et Roméo+Juliette est surtout connu comme un militant environnementaliste convaincu. Dans cette optique, il s’est notamment fait connaître en annonçant en 2007 à l’occasion de la cérémonie des Oscars que l’Academy Award avait inclus des méthodes écologiques efficaces dans son processus de production, et pour être apparu au concert Live Earth de juillet 2007. En 2010, l’émission Do something award sur VH1 l’honora pour son engagement environnemental. La même, il s’impliqua en faveur des victimes du tremblement de terre à Haiti, faisant don d’un million de dollars. Il en donna autant à la Worl Life Consevration Society. Fervent démocrate, il soutint les candidatures de John Kerry en 2004 et Barack Obama en 2008. Favorable aux causes homosexuelles, en 2013, il fit un don à la Gay and Lesbian Alliance Against Diffamation.
Grégor Puppinck
STRASBOURG, 24 mai 2013 (Zenit.org) - Que sait-on du projet de M. Vincent Peillon de Refonder l’école de la République qui est actuellement en discussion au Sénat ? Pas grand-chose concrètement.
Le texte du projet de loi rend obligatoire l’enseignement des « valeurs de la République » et de « l’esprit critique » qui feront maintenant partie du droit de tout enfant à l’instruction, même pour les enfants bénéficiant d’une instruction privée hors contrat ou à domicile (nouvel article L131-1-1).
Le projet de loi remplace en outre le cours d’instruction civique par un « un enseignement moral et civique » visant à faire « acquérir aux élèves le respect de la personne, de ses origines et de ses différences, de l'égalité entre les femmes et les hommes ainsi que de la laïcité. » (nouvel article L311-4). Cet« enseignement moral et civique vise notamment à amener les élèves à devenir des citoyens responsables et libres, à se forger un sens critique et à adopter un comportement réfléchi. Cet enseignement comporte, à tous les stades de la scolarité, une formation aux valeurs de la République, à la connaissance et au respect des droits de l'enfant » (nouvel article L. 312-15).
Quant à l’école primaire, le texte adopté par l’Assemblée nationale en première lecture indique que « Elle assure les conditions d'une éducation à l'égalité de genre. Elle assure conjointement avec la famille l'éducation morale et civique, qui comprend obligatoirement, pour permettre l'exercice de la citoyenneté, l'apprentissage des valeurs et symboles de la République et de l'Union Européenne, notamment de l'hymne national et de son histoire. »