Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 361

  • Un nouveau blog dédié à l'art sacré italien

    IMPRIMER

    imageBandeau_bandeau.jpg

    cliquer sur le bandeau pour accéder au site

    "Aujourd’hui, nous dit son initiateur, nous entamons un périple à travers l’architecture, la sculpture et la peinture au cœur de l’art sacré italien. Des propositions de visites de sanctuaires, de musées et d’expositions, un regard détaillé sur telle ou telle œuvre majeure ou moins connue de maîtres de l’époque médiévale, de la Renaissance ou du Baroque : tout cela sera au rendez-vous chaque semaine à partir de la rentrée de septembre 2011.

    De Venise à Naples, de Turin à Parme, en passant par la Toscane ou l’Ombrie (et bien d’autres), sans oublier les grandes collections publiques ou privées de par le monde."

    Le maître d'oeuvre : "Frédéric Curnier-Laroche est né en 1963. Historien de l'Art (Ancien élève de l'Ecole du Louvre et de la Sorbonne) il a été ordonné prêtre en 1996. Ancien curé "in solidum" de Cluny, il est le responsable de la commission diocésaine d'art sacré du diocèse d'Autun. Sur narthex.fr, il a animé pendant un an et demi le blog « Abbaye de Cluny 910-2010 »."

  • Les méfaits des méthodes de lecture globale et autres farfeluteries pédagogiques

    IMPRIMER

    "Les francophones (de Belgique) moins bons en lecture que la moyenne européenne : 23,3 % des francophones de 15 ans éprouvent des difficultés pour lire, soit plus que la moyenne européenne qui est de 20 %."

    C'est dans Le Vif et à découvrir ICI : levif.rnews.be/fr/news/actualite/belgique/

  • Récitals d'Orgue à Mons (Sainte Waudru)

    IMPRIMER

    collegiadesaffiche.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder au site officiel

  • Une citation de Marcel Proust

    IMPRIMER

    « On peut dire que grâce à la persistance dans l’Eglise catholique des mêmes rites et, d’autre part, de la croyance catholique dans le  cœur des Français, les cathédrales ne sont pas seulement les plus beaux monuments de notre art, mais les seuls qui vivent encore leur vie intégrale, qui soient restés en rapport avec le but pour lequel ils furent construits »

    et encore :

    « Quand le sacrifice de la chair et du sang du Christ ne sera plus célébré dans les églises, il n’y aura plus de vie en elles ».


    (16 août 1905, "La mort des cathédrales", dans Le Figaro)

     

    source : http://proustien.over-blog.com/pages/Marcel_PROUST_et_la_religion-727584.html

  • 14 juillet : Les coureurs du Tour de France à Lourdes

    IMPRIMER

    Sur le site de la Conférence des Evêques de France, nous découvrons que :

    "Les Sanctuaires de Lourdes s'associent au passage du Tour de France dans la Cité Mariale. Le 14 juillet 2011, 180 cyclistes ouvriront la traditionnelle procession aux flambeaux. Un événement ouvert à tous, sur inscription.

    Alors que les coureurs du Tour de France seront déjà dans les Pyrénées, 180 cyclistes ouvriront la Procession aux flambeaux, le 14 juillet 2011 à 21 heures. Devant les malades, juste derrière la statue de la Sainte Vierge, ils s'avanceront, vélo à la main. Chacun portera un dossard au numéro d'un des coureurs du Tour. A l'arrivée de la procession, ils entoureront la statue. Puis une messe des cyclistes sera célébrée à la Grotte à 23h.

    « L'Église catholique a toujours tenu le sport en grande estime, explique Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes. L'effort, le bonheur, la souffrance certains jours, l'esprit d'équipe : tout cela n'est pas sans valeur pour un chrétien ».

    Le 15 juillet, pour l'arrivée des coureurs, les pèlerins de Lourdes (notamment les jeunes du pèlerinage de Strasbourg) formeront 12 étoiles géantes sur la prairie des Sanctuaires. Elles seront filmées par l'hélicoptère de France Télévisions qui survolera la ville au passage du Tour vers 17h.
     
    « Notre-Dame du Tour de France », priez pour nous !
    En 1948, le vainqueur de l'étape, l'Italien Gino Bartali (1914-2000), était allé à la Grotte porter la gerbe de fleurs qu'il avait reçue à l'arrivée."
  • Ces moines qui nous font du bien...

    IMPRIMER

    Le blog "juridique et culturel" de Denis Merlin mettait en ligne hier (fête de saint Benoît) ce commentaire :

    "En réplique involontaire au film "Le moine", un article du quotidien "Aujourd'hui en France" intitulé "Les moines nous font du bien". (Via le Forum catholique)

    Personne n'oblige les moines et les moniales à vivre leur vie.
    Sans le vouloir, mais par le seul exemple de leurs vies, les moines et les moniales nous rappellent que nous avons tous été créés sans notre consentement et qu'il n'est donc pas interdit de vouer sa vie entièrement à Dieu puisqu'il nous a créés par un décret éternel, librement et qu'il nous racheté non moins librement et plus admirablement encore.
    J'ajouterais à l'article du Parisien que les moines travaillent. Ils (et elles) cultivent la terre, construisent, sculptent, écrivent etc. Ils sont donc un exemple pour tous, ils travaillent pour nous, et ils nous montrent et nous démontrent que l'on peut vivre sans sexe dans une vocation qui n'est déjà plus de ce monde."
  • Concert de rentrée en septembre : la Société Littéraire de Liège promeut le chant grégorien

    IMPRIMER

    0005510ae.jpgLa Société Littéraire de Liège, fondée en 1779 par le prince-évêque François-Charles de Velbrück, demeure très active encore de nos jours et, à l’instar du Cercle Gaulois à Bruxelles, propose régulièrement à ses membres des activités et des rencontres culturelles dans la Cité ardente.

    Sous le titre « Mille ans d’histoire de la musique occidentale », elle organise le jeudi 15 septembre prochain à 20h, en l’église du Saint-Sacrement (XVIIIe s.), Boulevard d’Avroy, 132 à Liège (photo), un concert de chants  grégoriens interprétés par le quatuor vocal féminin Caliomène (direction Inès Gonzalès), issu du prestigieux chœur grégorien de Paris.

    Ce concert privé comporte un certain nombre de places disponibles pour le public, au prix de 10 € , à verser au compte IBAN BE58 0003 2522 9579  BIC BPOTBEB1 de l’asbl « Sursum Corda » à Liège, en mentionnant « concert 15/09 » et un n° de téléphone.

    Réservation obligatoire par email gregorien.liege@gmail.com ou par téléphone : 0472.60.69.59.

  • Le tourisme pour rapprocher les cultures ?

    IMPRIMER

    Du Conseil Pontifical pour la Pastorale des Migrants et des Personnes en déplacement :

    Message à l’occasion de la Journée Mondiale du Tourisme 2011 (27 septembre)

    La Journée Mondiale du Tourisme, promue par l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) sera célébrée le 27 septembre. Le Saint-Siège y a adhéré dès sa première édition, en 1980.

    Le thème de cette année, Tourisme et rapprochement des cultures, entend souligner l'importance des voyages dans la rencontre entre les diverses cultures du monde, en particulier en ces temps où plus de neuf cents millions de personnes effectuent des voyages internationaux, favorisés par les moyens modernes de communication et par la réduction des coûts.

    De la sorte, le tourisme se présente comme une « contribution à la disparition des barrières entre les cultures et au développement de la tolérance, du respect de l’autre et de la compréhension mutuelle. Dans notre monde, souvent en proie aux dissensions, ces valeurs représentent un tremplin vers un avenir plus paisible ».  . / ...

    Lire la suite

  • La mort d'un insoumis : Vladimir Dimitrijevic

    IMPRIMER

    Dans Valeurs Actuelles, ce bel hommage rendu au patron des éditions de l'Age d'Homme par Bruno de Cessole, intitulé "Adieu à un insoumis, Vladimir Dimitrijevic"

     

    "C’est à l’entrée de Clamecy, sur cette route de Lausanne à Paris qu’il empruntait tous les quinze jours au volant d’un véhicule croulant sous les livres, et où il avait déjà subi un grave accident, que ce grand “passeur” de l’édition a trouvé la mort ce mardi 28 juin. Une mort qui endeuille non seulement sa famille et ses proches mais tous les ressortissants de l’univers sans frontières de la littérature et de l’esprit.

    Il y a deux semaines, nous dialoguions ensemble autour du micro de Lydwine Helly et c’était, comme toujours, un bonheur que de l’écouter célébrer la littérature et les écrivains qui nous étaient chers. « C’est la famille ! », s’exclamait-il avec une ferveur communicative, avant de m’offrir, prodigue, ses “derniers-nés” : le premier volume de la nouvelle édition des oeuvres complètes de Charles-Albert Cingria, le volume 36 des Cahiers Alexandre Vialatte, et le somptueux Dictionnaire Octave Mirbeau… Le lendemain, je passai rue Férou pour un hommage à Vladimir Volkoff dont il publiait un inédit, Douce orthodoxie. Et nous convenions de nous revoir prochainement pour l’article que je comptais écrire sur le quarante-cinquième anniversaire de la création de l’Âge d’Homme, qu’il avait lancé en 1966 à Lausanne.

    Le destin en a décidé autrement. “Dimitri”, comme l’appelaient ses amis, a rejoint la seule patrie où il ne connaîtra pas la douleur de l’exil, ce bannissement qu’il avait lui-même choisi pour ne pas subir l’oppression communiste dont sa terre natale, la Yougoslavie, était victime. Démuni et solitaire, mais riche de courage, de ferveur et de projets, le jeune homme qui avait débarqué en Suisse avec un faux passeport à l’orée des années 1950 avait exercé maints petits boulots précaires avant de concrétiser son rêve, servir la cause du livre, d’abord comme libraire puis comme éditeur.

    L’Âge d’Homme n’était pas une maison d’édition banale, c’était, c’est, un archipel voué à accueillir les “anges exilés”, incompris ou bannis de toutes les littératures européennes. En quelques décennies, au mépris des contingences mesquines mais avec une générosité, un enthousiasme, rares, Dimitri y a publié 4 500 ouvrages, de tous horizons, avec pour seuls critères la qualité des textes et l’exigence, l’engagement des auteurs, de quelque obédience qu’ils fussent. On ne compte plus les écrivains russes et slaves, mais aussi italiens, anglais, français et suisses, dont il fut le découvreur, l’exhumeur ou l’ambassadeur, aussi tenace que convaincant. D’Andreï Biély à Alexandre Blok, d’Ignacy Witkiewicz à Alexandre Zinoviev, de Thomas Wolfe et Ivy Compton-Burnett à Eugenio Corti et Umberto Saba, de Milos Tsernianski à Ivo Andritch, de Georges Haldas à Étienne Barilier, de Pierre Gripari à Vladimir Volkoff…

    Que grâces lui soient rendues pour avoir ouvert tant de portes, et si bien servi ceux qui font chanter les mots de la tribu. Et que l’Âge d’Homme poursuive encore longtemps son aventure !"

    Bruno de Cessole

    À lire L’autobiographie sous forme d’entretiens avec Jean-Louis Kuffer : Personne déplacée, aux éditions Pierre-Marcel Favre (1986)

  • L'intègre totalitarisme post-moderne

    IMPRIMER

    "Sous couvert de “bien public”, et de “Bien” tout court, on en arrive à cultiver la soumission de masse, à renforcer le fatalisme de tous, à renvoyer chacun à l’impuissance politique de son isolement hyper-communicant saturé d’objets pauvres et sans cesse relancé, harcelé, par un présent factice qui se veut perpétuel, à faire prendre enfin les vessies pour des lanternes en masquant habilement les vrais enjeux, qui sont idéologiques : en vérité, le contrôle social par l’éducation à la soumission, l’imposition de faux choix, par l’aveuglement organisé, avec la destruction méthodique de toute capacité critique et un endoctrinement dès la classe maternelle, ne sont que les moyens de la domination sans partage de l’idéologie nécessaire aux choix d’une oligarchie mondialiste qui attend d’être mondiale.

    Demi-vérités érigées en dogmes irréfutables, tabous plus aveugles que jamais alors qu’on prétend les pourchasser tous, sophismes jouant avec des évidences préalablement lourdement imposées, sensiblerie affligeante mais désarmante, bonté obscène, émasculation systématique, démagogie permanente et promotion de la vulgarité qui s’emballe d’elle-même (il n’y a pas qu’à l’école que “le niveau monte”…), manipulations de foules atomisées car virtuelles, toute la palette des moyens les plus vils ou les plus dangereux est mise à contribution, massivement, sans vergogne. Les ombres de la Caverne ne sont pas que fantomatiques, elles sont hélas fermement orientées, elles ont un sens, et il est totalitaire sous prétexte de totalisation, de “globalisation”‘ selon le néologisme convenu."

    Ce texte est extrait d'une note de Didier Bourjon consacrée à l'"Intègre totalitarisme post-moderne" et parue aujourd'hui sur "Enquête&Débat" : http://www.enquete-debat.fr/archives/integre-totalitarisme-post-moderne

  • Les monastères et la démocratie : Chantal Delsol et Léo Moulin

    IMPRIMER

    Chantal Delsol rendit, l'an dernier, un hommage à Léo Moulin, grand sociologue, fin connaisseur du fait religieux :

    "On connaît peu l’histoire politique des monastères européens, pourtant riche de significations. N’étant pas historienne, je voudrais vous proposer une réflexion sur ces significations, à partir des travaux de l’historien Léo Moulin, qui s’est intéressé particulièrement à ces questions. Ce qui me permet pour commencer d’adresser un bref hommage à un homme hors du commun, qui a beaucoup fait pour l’Europe et pour la culture européenne.

    Né en 1906 dans une région ouvrière de la Belgique, Léo Moulin a été élevé dans un milieu d’athées militants, socialistes, et adeptes de la libre pensée. Son esprit curieux et honnête va prendre le « libre examen » à la lettre, si bien qu’il va se défaire peu à peu de toutes ses croyances antérieures, d’abord en lisant la Somme contre les gentils dans la prison italienne où son anti-fascisme l’a enfermé pour 13 mois, puis en découvrant la réalité du communisme et la pensée chrétienne de son temps. En 1942, ayant accompagné un ancien élève dans un monastère bénédictin (par curiosité toujours, il n’avait jamais pénétré dans ce genre de lieu), comme on doit y rester silencieux, il réclame des livres et le supérieur lui propose une histoire de la Règle de l’ordre. Il est stupéfait. Il était sûr de tomber sur l’autocratie absolue et arbitraire –perinde ac cadaver- et il découvre le règne du droit. Il s’extasie, creuse, fouille, devient spécialiste de l’histoire politique des ordres religieux. Grand européen, l’un des fondateurs du Collège de Bruges, il est persuadé que l’esprit de l’Europe prend sa source dans la liberté et que la liberté politique moderne prend sa source dans les monastères catholiques."

    Voir la suite sur le blog de Chantal Delsol : http://www.chantaldelsol.fr/monasteres-et-democratie/