Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 336

  • Selon Science Magazine, l’Eglise catholique a joué un rôle majeur dans l’apparition des élites en Occident

    IMPRIMER

    Du site FSSPX.NEWS :

    Une étude anthropologique fait justice à l’institution du mariage chrétien

    08 JANVIER 2020

    Une étude publiée par Science Magazine tend à montrer que l’Eglise catholique a joué un rôle majeur dans l’apparition des élites en Occident. Comment ? En régulant les sociétés au moyen de l’institution du mariage chrétien.

    Pas si ringard que ça, le mariage à l’Eglise : c’est peut-être même la clé du succès et de l’épanouissement personnel. Du moins, si l’on en croit l’étude anthropologique fouillée, publiée par le mensuel de référence Science, le 8 novembre 2019.

    Une équipe de chercheurs américains de l’université George Mason (GMU) a constaté que ce qu’on a coutume d’appeler les « élites occidentales », constituent un groupe à part qui se démarque de tous les autres types de population dans le monde : plus altruiste, plus développé, plus enclin à la réussite. 

    Pour expliquer ce phénomène, nos spécialistes en sciences humaines ont fait appel aux « facteurs psycho-sociaux » dans lesquels ils voient l’héritage d’un modèle familial bien précis.

    Selon eux, l’Eglise catholique, en imprégnant peu à peu les sociétés, a lentement fait émerger un nouveau type de relations humaines, où le clan cesse de l’emporter sur le noyau familial. La famille peut alors s’épanouir, pour le bien de chacun de ses membres : les époux et les enfants.

    Le moyen privilégié de ce développement fut le mariage chrétien qui, en faisant disparaître l’endogamie, a permis à la famille d'acquérir un rayonnement moral, intellectuel et social. Cela fut rendu possible par la chrétienté, dont l’homme occidental est issu.

    Aux yeux de l’équipe de chercheurs du GMU, l’homme occidental doit sa réussite à « l’institution familiale durable » mise en place par l’Eglise, tout au long des siècles passés.

    Il n’est pas courant que les sciences humaines jettent ainsi un pavé dans la mare des chantres de la déconstruction et de l’idéologie du « genre », où il est de bon ton de voir dans le mariage chrétien la source de toutes les « discriminations ». Face aux transgressions et à la corruption morale généralisée, il n’est jamais trop tard pour revenir aux sources de la vraie civilisation, celles de la cité catholique. 

  • Il faut prier pour l'Espagne

    IMPRIMER

    Résultat de recherche d'images pour "cardinal canizares"

    Prières pour l'Espagne (source)

    8 Janvier 2020

    «En cette période cruciale pour l'Espagne: priez pour l'Espagne!»

    Avec la formation du gouvernement actuel (un "remake" du Front Populaire ?), les évêques sont très inquiets. Le Cardinal Canizares supplie le peuple espagnol, les communautés monastiques et religieuses  de prier pour l'Espagne. Dans sa lettre, le cardinal Canizares demande "de prier pour l'Espagne" face à une "situation critique, à une véritable urgence". Et  le cardinal Cañizares déclare que cette déclaration "n'est ni rhétorique ni stérilement dramatisante".

    EN CE TEMPS CRUCIAL POUR L'ESPAGNE, PRIEZ POUR L'ESPAGNE!

    Lettre de l'archevêque à tout le diocèse de Valence

    Nous sommes au début d'une nouvelle année et nous sommes en Espagne dans une situation critique, d'une véritable urgence pour votre avenir. Beaucoup dépendra de ce qui se passe ces jours-ci. Ce que je dis n'est ni rhétorique ni une dramatisation stérile. Il en est ainsi et on ne peut le nier, c'est un moment d'urgence cruciale.

    La semaine dernière, j'ai parlé avec un très important personnage d'Espagne, d'une grande sagesse, lucidité et expérience: que pouvons-nous et devons-nous faire en tant que chrétiens, dans l'Église, dans notre diocèse? De quoi l'Église a-t-elle besoin et en cette nouvelle année? Que pouvons-nous conseiller à l'Église dans ce moment où nous vivons, en cette année que nous venons de commencer? Cette question a été posée ce très important personnage d'Espagne et il m'a répondu avec toute la sincérité et tout le sens de la vie catholique: "Simplement, que ce soit l'Église et qu'elle nous annonce et témoigne de Jésus-Christ, en œuvres et en paroles, c'est ce dont ont besoin les hommes afin que nous puissions nous tourner vers Lui, pour construire un nouveau monde avec des hommes et des femmes nouveaux, avec une nouvelle mentalité, une nouvelle Espagne, pour que cela change le monde et notre Espagne. "

    C'est vrai ce que cet homme très important m'a dit, c'est ce dont nous avons besoin en cette nouvelle année. Il est providentiel que Dieu veuille que nous fêtions le Synode diocésain de Valence pour faire, que Dieu fasse, de ce diocèse un diocèse évangélisé et évangélisateur.

    Nous ferions très bien tous les chrétiens de Valence d'approfondir, de raviver et de renforcer la connaissance de Dieu, du Dieu de miséricorde, révélé dans le visage humain de Jésus-Christ, Fils du Dieu vivant. Les catéchistes et professeurs de religion feraient très bien d'entrer dans cette connaissance vivante et approfondie, méditée, intériorisée, pour animer leur expérience de Dieu et la communiquer en catéchèse ou en enseignement religieux. Nous ferions très bien en tant que prêtres d'intérioriser et de renforcer cette connaissance par l'étude calme, la méditation et la prière contemplative, de prêcher Dieu avec des paroles nouvelles et vigoureuses qui découlent de l'expérience accrue et renouvelée de Dieu miséricordieux.

    Lire la suite

  • Le contact physique entre un bébé et ses deux parents est crucial pour l'épanouissement de l'enfant (VUB)

    IMPRIMER

    Du site de la RTBF :

    Le contact avec les deux parents est important pour le bébé, selon une étude de la VUB

    Le contact physique entre un nouveau-né et son papa a autant d'effets positifs qu'un contact avec la maman, selon une étude menée par la VUB en collaboration avec l'Université de Liverpool. Ces résultats devraient encourager les pères à s'occuper activement de leur enfant dès la naissance.

    Le contact physique entre un bébé et ses parents est crucial pour l'épanouissement de l'enfant. Les câlins des parents assurent un développement optimal du système nerveux parasympathique, lié au repos et à la récupération physique. Grâce à ces contacts, les enfants supportent mieux le stress en grandissant, par exemple.

    Encourager les papas à être plus actifs

    Pour cette étude, il a été demandé à 25 mères et 25 pères d'enlacer et câliner leur enfant. Les rythmes cardiaque et respiratoire des bébés ont été mesurés avant, pendant et après les séances de câlins. L'étude montre ainsi que, tant avec la mère qu'avec le père, ces deux rythmes diminuent pendant et après les caresses. Les séquences vidéo indiquent également que les deux parents touchent intuitivement leur enfant aux mêmes endroits et de la même manière.

    "Nous voulons encourager les papas à être plus actifs dans les soins et l'attention portés à leur bébé. Aujourd'hui, les pères sont bien plus investis que dans le passé mais il y a encore un écart à combler vis-à-vis des mères. Les hommes pensent parfois que la mère a un lien physiologique privilégié avec le petit, du fait de la grossesse", selon la directrice de recherche Martine Van Puyvelde.

  • Les intellectuels chrétiens appelés à se lever

    IMPRIMER

    D'Eric de Beukelaer dans la Libre de ce 9 janvier, p. 41, cette chronique de bon aloi sinon que le cher chanoine se croit obligé de stigmatiser au passage "un pseudo-catholicisme identitaire" qui, selon lui, bénéficierait d'un "retour en grâce" (!?) et serait l'héritier de Maurras ("condamné par Pie XI" mais dont la condamnation fut levée par Pie XII en 1939), et aussi l'héritier "des régimes pétainiste et franquiste"... Que dire alors du pseudo-catholicisme libéral ? Ou du pseudo-catholicisme marxisant ? Ou encore du pseudo-catholicisme moderniste ? Tous ces pseudo-catholicismes dévoyés nous paraissent bien plus influents et bien plus présents que celui qu'évoque Eric de Beukelaer. 

    Intellectuels chrétiens, levez-vous

    Le catholique belge se veut "modéré" et craint d’être taxé d’extrémiste s’il se dévoile. Pourtant, il est temps qu’il fasse entendre sa voix. Il y a quelques années, je participais à un débat sur l’avortement. Comme à mon habitude, j’évoquai le besoin de défendre la vie humaine à naître, en me gardant bien de juger les femmes en détresse. Ma contradictrice, une intellectuelle laïque, me répondit abruptement : "Voir en l’embryon autre chose qu’un ensemble cellulaire dont décide celle qui en est porteuse, c’est polluer un débat de santé publique avec des présupposés religieux." À ce moment précis, je me rendis compte que les divergences éthiques entre chrétiens et laïques sont surtout dues au fait que nous jaugeons une même réalité avec d’autres lunettes. De fait, je ne connais aucun laïque sérieux qui prétende que l’avortement est un acte facile ou agréable, ni aucun chrétien équilibré qui souhaite accabler les femmes qui avortent. Bref, les deux camps posent un regard assez consonant sur la situation, mais ils le font avec des lunettes différentes. Une partisane de l’élargissement de la dépénalisation de l’avortement, déclara récemment dans la presse : "À 12 ou 18 semaines, avorter n’est pas supprimer une vie. C’est choisir la sienne." Belle illustration des lunettes de l’anthropologie individualiste, que promeut la laïcité philosophique : être libre, signifierait choisir souverainement sa vie. Et donc la femme enceinte serait seule maîtresse de son ventre. L’embryologie apprend cependant qu’une vie nouvelle surgit dès la fécondation de l’ovule. Le chrétien jauge l’avortement avec les lunettes de l’anthropologie personnaliste : pas de liberté sans respect de l’altérité. Dès lors, la liberté de la femme enceinte ne peut se réaliser qu’en prenant en compte cette vie en devenir, qu’elle porte en son sein.

    Un laïque peut-il être aussi généreux qu’un chrétien ? Bien sûr, mais son altruisme se fonde sur un choix individuel et non sur une grammaire de l’existence, comme l’enseigne l’idéal personnaliste. Traditionnels défenseurs du personnalisme, les intellectuels chrétiens se font - hélas - discrets dans la société belge. Ils ne sont pas légion, les politiques, académiques ou hommes d’affaires, qui s’affichent publiquement en son nom. Pourquoi ? Parce que le dogme individualiste est puissant et qu’il est ardu de se mouiller à contre-courant des évidences sociales. Parce qu’on répète à l’envi que personne ne devrait "imposer ses convictions" aux autres. Parce que le catholique belge se veut "modéré" et qu’il craint d’être taxé d’extrémiste s’il se dévoile. Surtout depuis le retour en grâce, dans une société en deuil de repères, d’un pseudo-catholicisme identitaire - héritier de Charles Maurras (dont la pensée fut condamnée en 1926 par Pie XI) et des régimes pétainiste ou franquiste. L’intellectuel chrétien se contentera donc souvent de promouvoir des "valeurs", tellement passe-partout ("être ouvert et tolérant"), qu’elles en deviennent insignifiantes.

    Intellectuels chrétiens, levez-vous. Le pays a besoin d’entendre votre voix. Une voix avec sa tonalité propre : jamais agressive, ni même défensive, mais assertive, c’est-àdire décomplexée, joyeuse, sans haine, ni barrières. "Heureux les doux, ils posséderont la terre" (Matthieu 5,5). Cette voix chante la liberté. Mais non la liberté du "moi" souverain. La liberté chrétienne s’éveille dans la rencontre et la relation. Relation à soi et à l’écosystème malmené. Relation à l’autre, surtout pauvre ou petit. Et - la Grâce aidant - relation à l’Autre… qui en Christ se fit pauvre et petit. La liberté chrétienne n’est pas une possession à défendre, mais une dépossession à partager. "Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera." (Matthieu 16, 25) "L’enfer, c’est les autres", professait Sartre. Pour le chrétien, tout "autre" est chemin de conversion. Qui pour l’annoncer ? Intellectuels chrétiens, levez-vous.

  • Plus mou que ça... Les propos convenus du cardinal De Kesel

    IMPRIMER

    Le discours du plus haut dignitaire ecclésiastique de notre pays est d'une mollesse confondante. On pourra le vérifier une nouvelle fois en lisant l'interview que le cardinal De Kesel a accordée à Cathobel avec ce titre hardi : "l'homme ne peut pas faire tout ce qu'il veut !". Ce n'est évidemment pas avec ce genre de propos, convenus et sans aspérité, que l'Eglise de Belgique sortira de son marasme actuel.

  • Débordements antichrétiens au Chili : une église incendiée

    IMPRIMER

    Résultat de recherche d'images pour "chile fire church"

    De Vatican News :

    Église incendiée au Chili : «Ils ont brûlé le temple mais ils n’ont pas brûlé la foi»

    Lors de la première manifestation de l'année contre le gouvernement du président Piñera, des manifestants ont brûlé l'église San François Borgia et son mobilier le vendredi 3 janvier. L'évêque du diocèse aux armées, Mgr Santiago Silva Retamales, a célébré la messe de réparation pour cette église rattachée à sa juridiction.

    Alina Tufani - Cité du Vatican

    L'évêque du diocèse aux Armées du Chili, Mgr Santiago Silva, a présidé une messe de réparation devant l'église de San Francisco Borgia, dédiée à la gendarmerie, qui a été incendié vendredi dernier par un groupe d'hommes cagoulés qui manifestaient sur une place voisine.

    «Ils ont brûlé le temple, mais ils n'ont pas brûlé la communauté, ils n'ont pas brûlé la foi», a dit Mgr Silva pendant l'homélie de la messe à laquelle ont participé le nouveau nonce apostolique au Chili, Mgr Alberto Ortega Martin, les évêques auxiliaires de l'archidiocèse de Santiago, les aumôniers des trois branches des Forces armées, le directeur général des carabiniers et des centaines d'officiers et de civils.

    Le besoin d’une «conversion du cœur»

    Dans un autel improvisé devant les portes brûlées de l'église, l'évêque aux Armées a réfléchi sur «la violence, les justes désirs du peuple, le manque de dialogue, le manque de respect pour les personnes et les institutions», qui se sont exprimés à travers les manifestations et les émeutes de rue qui, depuis octobre 2019, ont plongé dans le chaos plusieurs villes du pays, en particulier la capitale. «Nous avons besoin d'une conversion du cœur, afin que le Seigneur, face à cette église institutionnelle détruite des carabiniers, ne nous fasse jamais perdre le désir d'avoir un Sauveur pour que nous puissions reconstruire notre société, comme une société dans la justice, la paix et la loi», a souligné Mgr Silva.

    L'église saint François Borgia, construite à la fin du XIXe siècle et assignée aux gendarmes en 1976, a été attaquée par un groupe d'hommes cagoulés qui participaient à une manifestation sur une place toute proche. Les manifestants ont sorti des chaises, des meubles et des Bibles qui ont été brûlés devant l'enceinte alors que l'intérieur de l'église était complètement détruit, car les vandales ont bloqué l'action des pompiers pour maîtriser le feu.

    À la fin de la messe de réparation, en même temps que la prière de l'Ave Maria, la communauté a été invitée à ouvrir et à passer les portes de l'église brûlée.

  • Le progressisme ne tolère que lui-même

    IMPRIMER

    Du site "Pour une école libre au Québec" :

    Mathieu Bock-Côté : « Le progressisme ne tolère que lui-même »

    Chronique de Mathieu Bock-Côté dans le Figaro du 4 janvier 2020. À noter que, le même jour où paraissait cet article, le juge des référés ordonne la reprise de l’affichage de la campagne d’Alliance VITA par Mediatransports

    La formule est désormais consacrée : la liberté d’expression ne serait pas celle de dire n’importe quoi. Reste à déterminer ce qu’est ce « n’importe quoi » et, surtout, qui peut le définir. L’espace public ne cesse de se rétrécir. Vu de l’étranger, par exemple, on ne peut que se demander quelle est la légitimité d’un organe comme le CSA, qui veille moins à l’éthique journalistique qu’à l’encadrement idéologique de la parole publique. Plusieurs de ses interventions, aussi ubuesques qu’orwelliennes, mériteraient d’être rassemblées dans une anthologie de la bêtise.

    On refoule dans les marges ceux qui s’entêtent à ne pas célébrer l’esprit de l’époque. Dans une société démocratique normale, ils n’existeraient pas. On vient de le voir à nouveau avec l’étrange polémique entourant Alliance Vita, qui, dans les transports publics, faisait une campagne publicitaire anti-PMA et GPA, au nom de l’importance du père et de la mère. Cette campagne a scandalisé la Mairie de Paris. Anne Hidalgo l’a dit clairement : le point de vue exprimé par les affiches ne devrait pas être admis dans le domaine public. Il faudrait les retirer. Le progressisme est obligatoire.

    La référence à la paternité et la maternité par Alliance Vita passe pour une provocation morbide. D’ailleurs, l’évolution du vocabulaire ne pousse-t-elle pas au remplacement de « père » et « mère » par « parent 1 » et « parent 2 » ? Hommes et femmes ne sont-ils pas appelés à s’effacer progressivement devant la fluidité identitaire, qui résisterait à son encadrement symbolique et juridique ? On ne naît plus homme ou femme : on se fait assigner un sexe à la naissance par un pouvoir médical encore marqué par la logique patriarcale. Chacun est appelé à s’en libérer. Qui ne voit pas le monde ainsi doit se taire.

    En d’autres mots, ce qu’on appellera très imparfaitement le conservatisme n’a plus droit de cité. Il est réduit à une série de préjugés irrecevables. Lorsqu’il parvient néanmoins à se faire entendre, c’est que les mécanismes de régulation de la parole publique ont échoué. Normalement, une telle parole devrait être contenue dans les marges et ne pas rejoindre le commun des mortels, qui pourrait la croire alors normalisée. Les invariants anthropologiques ne doivent plus apparaître qu’à la manière des restes usés du monde d’hier. La promotion de la famille traditionnelle relève aujourd’hui du discours discriminatoire et haineux. Les gardiens de la révolution diversitaire ne rient pas.

    Lire la suite

  • Les lois bioéthiques ne limitent pas les dérives; elles sont les dérives

    IMPRIMER

    JEAN-MARIE LE MÉNÉ : "LES LOIS DE BIOÉTHIQUE NE SONT NI BIO, NI ÉTHIQUES, ELLES N’ONT PAS LIMITÉ LES DÉRIVES, ELLES SONT LES DÉRIVES"

    02 janvier 2020  Embryon: recherche et alternatives

    Dans une tribune publiée dans Valeurs actuelles, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, dénonce l’utilisation de l’embryon humain, rendu « disponible » par la « légalisation de la PMA », comme cobaye de la recherche. Aussi, il note que « contrairement au nom qu’elles portent, les lois de bioéthique ne sont ni bio, ni éthiques, elles n’ont pas limité les dérives, elles sont les dérives ».

    Il déplore que depuis 1994 et les premières lois de bioéthique, on soit passé de « l’interdiction de la recherche sur l’embryon à l’interdiction de s’y opposer » et que « le respect de l’embryon » soit « devenu une exception au principe de son non-respect ». Il regrette que « la loi de bioéthique ne protège pas la dignité de l’embryon mais l’intérêt des chercheurs ». Pourtant, la Fondation Lejeune qui combat cet état de fait, « a apporté systématiquement la preuve scientifique qu’aucune recherche ne requérait l’instrumentalisation de l’embryon humain ».

    Jean-Marie Le Méné considère que « céder sur le respect inconditionnel qui est dû à chaque membre de notre espèce dans son extrême jeunesse c’est absoudre par avance tous les crimes à venir ».

  • L'avortement a fait 42 millions de victimes dans le monde en 2019

    IMPRIMER

    De Kath.net :

    42 millions d'enfants dans le monde sont morts de l'avortement en 2019
     
    L'avortement reste le tueur numéro un

    Washington DC (kath.net/pl) 42 millions d'enfants ont été empêchés de voir la lumière du jour en 2019 en les tuant délibérément par avortement. Cela a été rapporté par LifeSiteNews en utilisant les données des Worldomètres, qui sont basées sur les statistiques de santé et de mortalité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'avortement est la première cause de décès dans le monde. À titre de comparaison: même si l'on additionne tous les décès dans le monde dus à des maladies, il n'y a que 13 millions de décès. Le nombre d'avortements peut seulement être estimé, et probablement tous les avortements (par exemple les avortements précoces par la "pilule du lendemain") ne sont pas sont enregistrés. Mais rien que le 1er et le 2 janvier 2020, 190 000 enfants dans le monde sont probablement morts de nouveau par un avortement ciblé.

  • 2019 : l'année où les attaques anti-chrétiennes en Europe ont battu tous les records

    IMPRIMER

    De Soeren Kern sur le site du Gatestone Institute :

    Europe : les Attaques Anti-Chrétiennes ont Battu Tous les Records en 2019

    • Les médias européens font rarement mention du vandalisme anti-chrétien ; mais en février 2019, ils ont commencé à s'y intéresser quand neuf églises ont été attaquées en l'espace de deux semaines. L'incendie suspect qui a ravagé l'emblématique Notre-Dame de Paris en avril 2019, a de nouveau ramené le sujet à la Une. Mais la chape de silence est depuis, retombée.
    • « Chercher à détruire ou endommager des édifices chrétiens est une manière de faire « table rase » du passé. » - Annie Genevard, députée Les Républicains, entretien accordé au Figaro, le 2 avril 2019.
    • « Dans le passé, même si l'on n'était pas chrétien, l'expression du sacré était respectée. La liberté religieuse est aujourd'hui clairement menacée. La laïcité ne doit pas être un rejet du religieux, mais un principe de neutralité qui laisse chacun libre d'exprimer sa foi. » - Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, entretien accordé au magazine italien Il Timone, 5 août 2019.

    L'hostilité anti-chrétienne se répand en Europe occidentale. En 2019, jour après jour, des églises et des symboles chrétiens ont été délibérément attaqués. Le problème a fait la une des journaux en avril 2019, quand un incendie suspect a ravagé l'emblématique cathédrale Notre-Dame de Paris (photo). Mais depuis, la chape de silence médiatique est à nouveau retombée. (Photo de Véronique de Viguerie / Getty Images)

    L'hostilité anti-chrétienne se répand en Europe occidentale. En 2019, jour après jour, des églises et des symboles chrétiens ont été délibérément attaqués.

    Le Gatestone Institute a passé en revue des milliers d'articles de presse, de rapports de police, d'enquêtes parlementaires, de publications sur les réseaux sociaux et de blogs spécialisés tant en Grande-Bretagne, qu'en France, Allemagne, Irlande, Italie et Espagne. Notre recherche a établi qu'environ 3000 églises, écoles, cimetières et monuments chrétiens ont été vandalisés, pillés ou dégradés en Europe, en 2019 - ce qui constitue une année record pour les sacrilèges anti-chrétien sur le continent.

    La violence contre les sites chrétiens est la plus répandue en France. Si l'on en croit les statistiques gouvernementales, les églises, écoles, cimetières et monuments chrétiens sont vandalisés, profanés et brûlés au rythme de trois par jour en moyenne. En Allemagne, les attaques contre les églises chrétiennes se produisent à un rythme moyen de deux par jour, selon les déclarations de police.

    Les attaques contre les églises et les symboles chrétiens sont également monnaie courante en Belgique, en Grande-Bretagne, au Danemark, en Irlande, en Italie et en Espagne. Les sites et symboles du catholicisme romain sont visés en premier, mais en Allemagne, les temples protestants sont également pris pour cible.

    Les auteurs de violences antichrétiennes - qui vont des incendies criminels au vandalisme en passant par la défécation, le sacrilège, le pillage, la moquerie, la profanation, le satanisme, le vol, et le crachat - sont rarement arrêtés. Lorsqu'ils le sont, la police et les médias censurent leur identité et leur origine ethnique. Les suspects sont la plupart du temps traités en déséquilibrés ; si bien que les attaques anti-chrétiennes ne sont pas classées comme des crimes de haine.

    En France et en Allemagne, cette envolée des attaques antichrétiennes a coïncidé avec l'immigration de masse en provenance du monde musulman. L'absence de statistiques officielles sur les auteurs et les motivations empêche de savoir précisément combien d'attaques peuvent être attribuées à l'antichristianisme musulman ou à la cause jihadiste.

    Lire la suite

  • L'incendie d'une crèche de Noël a failli détruire la Basilique Notre-Dame de Consolation à Vilvoorde

    IMPRIMER

    On sait que plusieurs crèches de Noël ont été dévastées en Flandre. L'incendie qui a détruit celle de Vilvorde et qui a failli se communiquer à la Basilique attenante serait-il purement accidentel ? Toujours est-il qu'une enquête est en cours...

    Lu sur Het Laatste Nieuws de ce 7 janvier, p. 15:

    Vilvoorde: La Basilique de Notre-Dame de Consolation sauvée du feu

    Les sœurs de la Basilique de Notre-Dame de Consolation de la Leuvensestraat à Vilvoorde ont été surprises hier par un violent incendie dans un bâtiment jouxtant la basilique. L'incendie a commencé dans une crèche qui se trouvait juste devant l'entrée du bâtiment. (...) Les sœurs, qui étaient à l'arrière du bâtiment à ce moment, étaient terrifiées. "Chacune de nous a trouvé l'événement très effrayant", explique une sœur choquée. "Nous avons eu de la chance que nos voisins aient remarqué l'incendie et qu'ils aient rapidement informé les pompiers et la police. Des témoins ont sonné à la porte et ont donné l'alerte par le parlophone: " Ça brûle! La crèche a été incendiée! ". J'ai immédiatement informé la responsable. Entre-temps, nous avons vu la fumée noire passer le long d'une petite porte de la basilique. "De plus, la basilique vient juste d'être restaurée, ainsi que les tableaux qui y sont accrochés. "Nous avons récemment célébré un anniversaire ici", souligne-t-elle. "C'est très malheureux", estime la sœur. "Mais nous sommes également très reconnaissantes aux pompiers d'avoir pu arrêter le feu au bon moment."

  • Lumière sur le mouvement pro-pédophile des années '70

    IMPRIMER

    Sur le site de France Culture, voici un article qui montre que les médias "mainstream" découvrent - enfin - l'étonnante tolérance dont la pédophilie a bénéficié dans l'intelligentsia des années '70 et '80. Bien sûr, on continuera de nous seriner que cette perversion est liée à la culture patriarcale ou à l'omerta pratiquée au sein de l'Eglise catholique, mais on se félicite tout de même que cette culture marquée par une libération sexuelle incontrôlée et par des dérives perverses soit enfin mise en lumière.

    De Cécile de Kervasdoué et Fiona Moghaddam sur le site de France Culture :

    Quand des intellectuels français défendaient la pédophilie

    Lire la suite