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Société - Page 753

  • "Un jour d'après" ou le salutaire coup de gueule d'un blogueur après la MPT etc.

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    Nous prenons la liberté de reproduire cette note intitulée "Un jour d’après" qui dit, avec beaucoup de justesse, même si c'est de façon directe et parfois très verte (pour ne pas dire davantage), le malaise que l'on peut éprouver au lendemain des évènements auxquels on vient d'assister en France à propos du "mariage gay" :

    PAR ICATHO 06/04/2013 

    Ce n’est rien de dire que ces derniers mois, ces derniers jours, je me suis senti déchiré. Déchiré comme jamais, entre la volonté de défendre la famille, et l’amour du prochain.

    Je sais que je ne suis pas le seul.

    J’aime ce que dit l’Église, de l’homme, et de la femme. J’ai honte, comme citoyen, de la farce ridicule qu’on a appelée "débat", honte comme républicain de l’humiliation faite par quelques abrutis zélés aux représentant des religions à l’assemblée. Honte, comme héritier de la révolution, qu’on utilise des flics à jouer les milices de la pensée. Voir des jeunes qui lisent des poètes autour de bougies traités comme la plupart des dealers de shit ne le seront jamais. Et pas le couplet sur tu sais pas ce que c’est, je suis né et j’ai grandi dans un de ces quartiers abandonnés même par les socialistes, et qu’on cache derrière des sigles dans lesquels il y a toujours "prioritaire".

    Je passe chaque jour devant le Cese, et je me demande comment ces gens peuvent ne pas crever de honte d’avoir chié sur la tête de 700 000 de leurs concitoyens.

    Mais je sais aussi, il est vrai, que tout le monde n’est pas motivé uniquement par la défense de l’altérité. Que de la haine en barre s’est déchaînée, et oui, j’ai entendu beaucoup le mot "pédé".

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  • Un de nous : mobilisation urgente pour protéger l'embryon en Europe

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    Chers amis,

    En Europe, les citoyens se mobilisent pour faire signer l’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS. L’enjeu : stopper le financement par l’Union européenne des programmes conduisant à la destruction d’embryons humains. En réunissant 1 million de signatures, la Commission européenne aura l’obligation de reconsidérer le financement de la recherche sur l’embryon et de tout programme menaçant l’être humain dès sa conception. Déjà plus de 20 000 signatures en France : Bravo ! Mais il reste beaucoup à faire, mobilisons-nous :
    OBJECTIF 60 000 SIGNATURES D'ICI CET ETE
     
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    L’Initiative Citoyenne Européenne est un nouvel instrument de démocratie participative pour les citoyens européens, avec des modalités légales de signature précises et encadrées. Il ne s’agit pas d’une simple pétition.

    La question est sensible en Europe : le budget européen de la recherche, en cours de négociation pour la période 2014-2020, crée des tensions éthiques entre les Etats membres. Plusieurs d’entre eux sont amenés à subventionner ces recherches, alors même qu’elles sont interdites par leur législation interne. 

    En France l’enjeu est brûlant d’actualité : le gouvernement vient de marquer sa volonté de faire voter avant cet été une proposition de loi visant à autoriser la recherche sur l’embryon. En signant UN DE NOUS, nous envoyons un signal fort d’opposition à cette dérive éthique majeure.

    Alliance VITA, la Fondation Jérôme Lejeune, les Associations Familiales Catholiques et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine, unissent leurs forces pour recueillir les signatures des citoyens qui veulent se faire entendre. Il en va du respect de la dignité de chaque être humain.

    Voir Toutes les informations sur le site Undenous.fr : des conseils pour signer, des arguments, des articles d’actualité…
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  • Nous n'avons pas à tenir un langage politiquement correct

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    Lu ICI

    Les chrétiens doivent avoir le courage de la « vérité contre l’hypocrisie et le langage socialement éduqué, car l’hypocrisie est le langage de la corruption ». Le chrétien doit se faire porte-parole de la « vérité de l’Evangile avec la même transparence que celle des enfants ». C’est ce qu’a demandé le Pape François mardi matin durant la messe célébrée dans la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican, en présence de la présidente de la Radio Télévision Italienne, Anna Maria Tarantola, et de son directeur général Luigi Gubitosi, leurs familles, ainsi que des employés de la Bibliothèque du Vatican.

    « Quand Jésus parle à ses disciples, il dit : « Que votre manière de parler soit Oui, oui ! Non, non ! », tenait à souligner le Pape, pour qui « l’hypocrisie n’est pas un langage de vérité ». « Ceux-ci ( en se référant à ceux qui utilisent un langage politiquement correct) veulent une vérité soumise à leurs propres intérêts ». « Ils sont eux-mêmes victimes, expliquait-il, « de l’idolâtrie narcissique qui les porte à trahir les autres, et les porte à commettre des abus de pouvoir à l’encontre de ceux qui ont confiance en eux ». Et le Pape d’encourager à repousser la vanité, cette faiblesse qui fait que l’on aime les compliments, qui ne sont que « langage persuasif qui porte au contraire à l’erreur, au mensonge ».

    L’homélie de ce mardi, dans la continuité de celle de lundi matin sur la corruption, partait du texte de l’Evangile qui nous raconte les questionnements des pharisiens à Jésus au sujet du tribut à verser à César.

  • Liberté, égalité, parenté : une mise au point de participants belges à la Manif pour Tous

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    La Libre publie aujourd'hui une réponse à la publication, dans le même journal, d'une opinion parue le 28 mai dernier :

    Liberté, Egalité, Parenté

    Société Le mariage pour tous, c’est un changement de civilisation". Le mot pourra paraître excessif, et pourtant il n’est pas de Frigide Barjot mais de Christiane Taubira, la ministre de la justice française qui a donné son nom à la loi légalisant le mariage homosexuel. Et nous ne pouvons qu’approuver. La légalisation du mariage homosexuel pose plusieurs questions fondamentales pour lesquelles un débat de fond s’imposerait. Peut-on par exemple réduire le mariage à "simplement" un contrat entre deux être qui s’aiment et oublier qu’il est l’acte fondateur d’un foyer, d’une famille ? Les couples homosexuels, au-delà de leur amour, du respect qui leur est dû et à leur aspiration légitime à ce respect ont-ils vocation à fonder un foyer et à la parenté ? A l’instar de ce que disent de nombreuses personnes homosexuelles (comme par exemple "Homovox" ou "plus gay sans mariage"), des couples "différents" et se revendiquant comme tels ne devraient t’ils pas jouir de droits différents ? Mais surtout, surtout, remplacer la filiation biologique par une filiation "sociale", priver potentiellement un enfant de l’amour d’un père ou de l’amour d’une mère est-il justifiable, quelle que fût la cause servie ?

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  • Un chrétien décapité en Inde parce qu'il refusait d'embrasser l'hindouisme

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    Un officiel proche du gouvernement de l'Etat de Tripura (Inde) a décapité son gendre qui refusait d'abjurer le christianisme pour se convertir à l'hindouisme. Les faits se sont produits samedi soir. L'"exécution" s'est passée au terme d'un rituel traditionnel (une "puja") auquel a présidé un chamane. Ensuite, le corps a été jeté dans un ruisseau. Le meurtrier qui travaille avec le Département des sciences et de la technologie de l'Etat de Tripura est en fuite, tandis que le chamane (dénommé Krishnapada) qui se livre à des pratiques de sorcellerie est passé aux aveux et a donné un compte-rendu détaillé de l'assassinat. La victime était mariée depuis trois ans et avait un fils d'un an. Sa femme a déclaré que son père ne reconnaissait pas le mariage et qu'elle se sentait menacée, tout comme son enfant.

    d'après The Times of India

  • Quand le pape, il y a près de 75 ans, remettait les journalistes à leur place...

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    Un savant ami, très familiarisé avec les écrits des papes, nous communique un texte déjà ancien et qui n'a rien perdu de son actualité :

    Je "tombe" sur ce texte qui a été écrit, bien sûr, dans le contexte du fascisme mais Jean XXIII, comme on va le lire, estime, en 1959, qu'il est intéressant "pour tous les temps". Et en effet, le texte peut fustiger bien des comportements journalistiques d'aujourd'hui. A mon avis.

    Le 10 février 1939, Pie XI devait prononcer un discours devant les évêques d’Italie. Pie XI ne le prononça pas car la mort le saisit  alors qu’ « il était encore en train d’écrire les mots de son discours par lesquels il prenait congé de ses évêques d’Italie »[1]. Toutefois, le 26 janvier 1959, Jean XXIII révéla, quelques extraits de ce message. Notamment ces « lignes pleines d’enseignements utiles pour tous les temps » :

                « Ce que Nous estimons devoir dire à vous et de vous, Nous devons le dire d’abord à Nous-même et de Nous-même.

                Vous savez, très chers et vénérables Frères, comment souvent on traite la parole du pape. On s’occupe de Nous et non seulement en Italie, de Nos allocutions, de Nos audiences, le plus souvent pour en altérer le sens et même en inventant du commencement à la fin, pour Nous faire dire des sottises et des absurdités. Il y a une presse qui peut tout dire contre Nous et Nos affaires, même en rappelant et en interprétant faussement et perversement l’histoire proche et lointaine de l’Eglise, jusqu’à nier opiniâtrement toute persécution en Allemagne, négation qu’accompagne l’accumulation fausse et calomnieuse de politique, comme la ;persécution de Néron s’accompagnait de l’accusation de l’incendie de Rome. Et on laisse dire, puisque’ notre presse ne peut même pas contredire ou rectifier.

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  • Pays-Bas : quand un cardinal qui est aussi médecin s'interroge sur le droit à l'euthanasie à tout-va

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    Sur le blog de Jeanne Smits :

    La clinique de fin de vie créée en 2012 aux Pays-Bas pour répondre aux demandes d'euthanasie qui ne sont pas honorées par les médecins traitants, soit que ceux-ci fassent partie des 15 % d'objecteurs de conscience, soit qu'ils estiment qu'une demande donnée ne répond pas aux critères de l'euthanasie légale, connaît un franc succès avec le doublement des « escadrons de la mort » en un an, et une cinquantaine d'euthanasies effectivement à son actif.

    Le cardinal Willem Eijk, archevêque d'Utrecht, médecin de formation et spécialiste de la bioéthique, a réagi à cette information sur une radio catholique néerlandaise en se demandant d'emblée si la demande publique est bien ce qui est explique le succès de la clinique de fin de vie. En notant que c'est bien souvent l'offre qui crée la demande.

    Il a souligné par rapport à ces médecins qui sont prêts à pratiquer des euthanasies alors que le médecin traitant du demandeur ne le veut pas, que « la question est de savoir comment ces médecins considèrent les critères existants, qui exigent une souffrance sans perspective d’amélioration et aussi insupportable. »

    De fait la KNMG, l'association professionnelle des médecins, a publié des directives en 2011 annonçant que ces critères étaient appliqués de manière trop restrictive. Loin de s’en tenir aux critères dans le cadre d’une maladie physique ou psychique déterminée, souligne le cardinal Eijk :

    « La KNMG est d’avis au contraire qu’il faut tenir compte d’un ensemble complexe de facteurs et d’affections liés à la vieillesse. (…) On constate une tendance ces dernières années à vouloir étendre le champ de la souffrance sans perspective et insupportable, une tendance que l’on constatait dès le début des discussions dans les années 1980. Au départ il était question d’agir pour mettre un terme à la vie à la demande personnelle du patient et dans une phase de maladie vraiment terminale – quelques semaines tout au plus avant la fin de vie attendue – et c’est après que de tout autres indications se sont ajoutées, visant les affections psychiatriques par exemple. Aujourd’hui on voit qu’on n’exige même plus d’un diagnostic médicalement répertorié. 

    Les critères s’étendent de plus en plus, comme il est naturel lorsque vous avez entrouvert la porte : elle va d’elle-même s’ouvrir de plus en plus. Si vous portez atteinte au principe fondamental selon lequel les hommes ne disposent pas du droit sur la vie et la mort, si dans certains cas, des “exceptions”, vous permettez d’y déroger, en affirmant que dans certains cas il n’y a plus de perspectives ou que la souffrance est insupportable, alors si le cas est tout petit peu moins sans perspectives ou juste un peu moins insupportable, pourquoi ne pourrait-on pas accepter l’euthanasie ou l’aide à mourir dans ces cas ? »

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  • MPT : la réponse de l'abbé Grosjean à Thierry Peltier

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    Sur Mediapart, l'abbé Grosjean répond à la lettre de Thierry Peltier que nous avons répercutée sur belgicatho pour y susciter un débat franc et ouvert sur la question (voir ICI, , et encore ICI, et encoresans oublier cette note, ni celle-ci) :

    En Actes et en Vérité

    Thierry est un catholique belge, qui a publié sur médiapart une « Lettre ouverte à l’Abbé Grosjean et à ceux qui le suivent », me reprochant la façon dont j’ai pu prendre part, avec de nombreux autres prêtres, et à la suite de nos évêques, au débat autour de la loi Taubira. Nous avons prévu de nous voir bientôt, pour un dialogue franc. En attendant, voici ma réponse. 

    Cher Thierry,

    J’ai bien lu votre longue lettre. Je vous remercie de votre franchise et je voudrais vous répondre avec la même franchise. Non pas seulement pour moi dans l’échange personnel que je vous ai proposé, ou pour ceux qui partagent vos questions, mais aussi pour tous ceux qui ont pu se sentir blessés ou incompris par la publication de votre message.

    Tous vos arguments ne révèlent au fond qu’une seule chose : c’est que la caricature permanente qu’on a tenté de faire peser sur le débat du mariage pour tous, depuis le début, a fini par susciter de vraies incompréhensions. Même entre nous, entre frères chrétiens. Je ne vous demande pas d’être d’accord avec moi dans ce débat ; mais je vous demande juste, en frère, de faire l’effort de dépasser les mensonges les plus absurdes et d’essayer de me comprendre…

    Pour mieux éviter de répondre à nos questions, une majorité politique mal à l’aise a tout fait pour nous diaboliser. Je le déplore, mais c’est ainsi. En revanche, qu’un catho cède à cette diabolisation, c’est bien le comble. Et pour tout vous dire, cela me blesse profondément. Comment pouvez-vous me faire tenir des propos que je n’ai jamais eus ? Me prêter des intentions qui sont si loin de ce dont j’ai témoigné ? Jamais je n’ai traité les homosexuels en bouc émissaire ; au contraire, je n’ai cessé de rappeler que chaque personne devait être aimée et respectée. Où avez-vous lu ces mots que je n’ai jamais dits ? Vous évoquez le procès du Christ : à sa suite, nous avons été jugés par un pouvoir sans justice, qui ne voulait pas entendre. Ne vous faites pas procureur à votre tour sans répondre à sa question ! « Si j’ai mal parlé, montre où est le mal... Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? »

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  • La position inchangée de l'Eglise à l'égard de la franc-maçonnerie

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    CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI

    DÉCLARATION SUR L’INCOMPATIBILITÉ ENTRE L’APPARTENANCE À L’ÉGLISE ET LA FRANC-MAÇONNERIE

    On a demandé si le jugement de l’Eglise sur les associations maçonniques était changé, étant donné que dans le nouveau Code de droit canonique il n’en est pas fait mention expresse, comme dans le Code antérieur.

    Cette Congrégation est en mesure de répondre qu’une telle circonstance est due au critère adopté dans la rédaction, qui a été suivi aussi pour d’autres associations également passées sous silence parce qu’elles sont inclues dans des catégories plus larges.

    Le jugement négatif de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise, et l’inscription à ces associations reste interdite par l’Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.

    Les autorités ecclésiastiques locales n’ont pas compétence pour se prononcer sur la nature des associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci dessus, dans la ligne de la déclaration de cette Congrégation du 17 février 1981 (cf. AAS 73, 1981, p. 240-241: DC 1981, n° 1805, p. 349. Voir aussi la déclaration de l’épiscopat allemand du 12 mai 1980, DC 1981, n° 1807, p. 444-448).

    Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans l’audience accordée au cardinal préfet soussigné, a approuvé cette déclaration, qui avait été délibérée en réunion ordinaire de la Congrégation, et en a ordonné la publication.

    A Rome, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, le 26 novembre 1983.

    Joseph, card. RATZINGER

    Préfet

    + Fr. Jérôme Hamer, O.P.

    Secrétaire

    vatican.va

    https://www.facebook.com/events/512840105436261/

  • Poursuivons le débat : Pascal de Roubaix répond à Thierry Peltier

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    Nous poursuivons le débat en publiant cette :

    Réponse à M. Peltier dont la lettre ouverte à un prêtre militant contre le mariage « gay » a fait les choux gras d’un site d’extrême gauche très à la mode.(MEDIAPART)

    Monsieur,

    Je n’ai d’autre vocation à répondre à votre lettre que celle de concitoyen belge désespéré par vos propos.

    Sur la personne d’abord :

    D’après vos propres dires vous ne connaissez pas bien du tout l’abbé auquel vous vous attaquez, or, à la surprise du lecteur, vous lui reprochez (avec très peu de charité), des attitudes et des manquements qui supposent que vous connaissez non seulement ses faits et gestes, mais l’ensemble de sa démarche et même ses pensées et intentions.  Ceci signifie clairement qu’ou bien vous avez menti en disant que vous le connaissez mal, ou bien toute votre lettre n’est qu’un pur procès d’intention. Inutile de vous dire que c’est cette seconde alternative qui a la faveur de l’observateur critique.

    Sur le fond ensuite :

    Premier argument, selon vous, un prêtre catholique n’a pas à se prononcer pour les homosexuels non-chrétiens pour la simple raison qu’ils ne sont pas chrétiens !   C’est une plaisanterie ? Vous vous considérez comme ouvert et progressiste mais un prêtre ne peut pas donner de conseils ou même expliquer ses convictions à des non chrétiens ?

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  • La dimension spirituelle de la citoyenneté européenne

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    Communiqué de Presse de la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne :

    Pour un engagement actif : la dimension spirituelle de la citoyenneté européenne

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  • Homoparentalité et dynamitage de l'ordre biologique

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    “Homoparentalité” : la piste des cellules souches

    Article rédigé par Pierre-Olivier Arduin, le 31 mai 2013 pour Liberté Politique

    Les personnes homosexuelles n’ont aucun pouvoir de procréation entre elles, leur « relation » étant par définition stérile. Comment les lobbies homosexuels veulent-ils satisfaire le « droit à l’enfant » qu’ils revendiquent pour leurs membres ? Comment souhaitent-ils faire abstraction de la complémentarité des sexes et mettre en oeuvre ce « droit à l’enfant » en le déconnectant de la sexualité ?

    LA REPONSE à ces questions tient essentiellement dans le recours aux techniques de procréation artificielle qui ont multiplié à l’infini les possibilités d’engendrer. Le droit à la fabrication artificielle d’enfants est la condition indispensable pour rendre effectif ce droit à l’enfant.

    Le terme d’une construction

    Avec l’assistance médicale à la procréation, l’enfant n’est plus fondamentalement un don à accueillir mais le terme d’un projet de construction volontariste.  Pourquoi se priver de ces moyens pour satisfaire à présent le projet parental des « couples » de même sexe ? Les biologistes et les médecins ont simplement besoin de briques appelées gamètes (ou cellules sexuelles) pour fabriquer l’enfant programmé.

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