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Société - Page 756

  • Rendez-vous avec la mort, dix ans d'euthanasie légale en Belgique

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    RENMOR_large.jpgRendez-vous avec la mort

    présentation par Bruno Debois (didoc)

    A ce jour, seuls trois pays au monde ont dépénalisé la pratique de l’euthanasie : les Pays-Bas, la Belgique et, plus récemment, le Grand Duché de Luxembourg. Un peu plus de dix ans après l’entrée en vigueur de la loi en Belgique, l’heure est venue de dresser un bilan critique.

    Dans cet ouvrage à la lecture agréable et accessible au grand public, le Professeur Montero, doyen de la faculté de droit de l’Université de Namur et spécialiste en la matière, propose une approche particulièrement originale. Partant des travaux parlementaires ayant mené à l’élaboration de la loi, il met en vis-à-vis les intentions du législateur et les rapports successifs de la Commission fédérale de contrôle de l’euthanasie, permettant au lecteur d’avoir une vision objective de la réalité de ce contrôle organisé par le législateur, sans parti pris idéologique.

    Afin de mieux situer le lecteur dans la problématique, l’ouvrage commence par un passage en revue rapide et clair des concepts clés auxquels il sera confronté au long de l’ouvrage — euthanasie, soins palliatifs, contrôle de la douleur, acte à double effet, sédation palliative... Il s’attaque également à quelques idées reçues en vogue dans l’imaginaire collectif : distinction entre euthanasie passive et active, l’euthanasie comme remède à l’acharnement thérapeutique…

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  • Se fiancer ? Pourquoi ?

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    Lu sur le blog "Jeunes Cathos" :

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    Ayant reçu la bénédiction des fiancés le week-end dernier, nous répondons à la demande de Jeunes Cathos Blog pour témoigner de cette étape importante de notre vie de couple.

    Nous sommes deux jeunes lyonnais de 23 et 22 ans. Notre rencontre n’a rien d’original – pour certains elle serait presque caricaturale ! Nous nous connaissons depuis nos années de lycée et nous nous voyions souvent lors de soirées rallye et dans le cadre du scoutisme. D’abord amis, nous avons décidé de cheminer ensemble il y a un an et demi avec, très vite, le mariage en ligne de mire. Fiancés dans le secret de nos cœurs, nous avons officialisé notre amour en annonçant notre mariage à nos familles et amis à Pâques.

    Pourquoi se fiancer aujourd’hui ?

    « C’est en effet aller à contre courant de la société actuelle. Bien souvent, les jeunes s’installent ensemble et attendent parfois de nombreuses années avant d’oser l’engagement. Ils ne se rendent donc pas compte de la beauté, la richesse et l’importance des fiançailles. Choisir de se fiancer aujourd’hui, c’est accepter de se laisser du temps. C’est permettre à un couple d’apprendre à s’aimer. »

    Vous dites que l’amour s’apprend…

    « Evidement ! On tombe amoureux mais on apprend à aimer. Aimer, c’est vouloir aimer aujourd’hui et demain, chaque jour de notre vie, dans les joies et les souffrances. La volonté d’aimer s’éduque et engendre ainsi la fidélité. »

    Que représentent pour vous les fiançailles ? 

    Cette décision fait suite à un long temps de réflexion et de questionnement. Les fiançailles permettent de se dire mutuellement que nous avons une volonté commune : celle de se donner l’un à l’autre par le mariage et de faire ainsi naître une nouvelle famille.

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  • Le pape : chaque enfant avorté a le visage du Seigneur

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    Korazym.org (trad. par nos soins)

    Chaque bébé non né mais injustement condamné à être avorté a le visage du Seigneur qui déjà avant de naître, et ensuite à peine né a fait l’expérience du rejet du monde.

    Par ces paroles, le pape s’est adressé aux médecins et gynécologues catholiques reçus en audience ce matin.

    Un discours dans lequel le Souverain Pontife a mis en évidence le paradoxe moderne d’une science médicale qui, malgré son grand développement technologique, oublie de servir authentiquement la vie: « alors que de nouveaux droits sont attribués à la personne - des droits aussi parfois supposés - la vie n’est pas toujours protégée comme valeur première et comme droit primordial de chaque homme. Le but ultime de l'acte médical reste toujours la défense et la promotion de la vie. »

    Les médecins catholiques, explique le pape, doivent répondre à l'appel de l'Eglise pour lutter contre l’utilitarisme;  "la culture du rebut », qui asservit aujourd’hui les cœurs et les esprits de tant de monde, a un coût très élevé : elle requiert d’éliminer des êtres humains, surtout s’ils sont physiquement ou socialement plus faibles. Notre réplique face à une telle mentalité est un "Oui" à la vie fort et sans hésitation. »

    L'homme n'est pas une chose commercialisable, avec un prix: « c’est pour cela que l’attention à la vie humaine dans son intégralité est devenue ces derniers temps une véritable priorité du Magistère de l'Eglise, en particulier à l’égard des plus vulnérables, à savoir les personnes handicapées, les malades, l'enfant à naître, le bébé, la personne âgée. »

    Le pape pense aux bébés et aux personnes âgées, aux personnes handicapées: "chaque enfant à naître, mais injustement condamné à être avorté, a le visage du Seigneur, qui même avant de naître et ensuite à peine né a fait l’expérience du rejet du monde. Et chaque personne âgée, lorsqu’elle est aussi infirme et en fin de vie, porte en elle le visage de Christ. On ne peut les rejeter!"

    Les médecins catholiques doivent donc être « les témoins et les propagateurs de cette "culture de vie". »

    Voici la consigne du pape: « Votre identité catholique implique une plus grande responsabilité : tout d'abord par rapport à vous-même, par un engagement en cohérence avec votre vocation chrétienne ; ensuite à l’égard de la culture contemporaine, pour contribuer à la reconnaissance dans la vie humaine de la dimension transcendante, de l'empreinte de l’œuvre créatrice de Dieu, et cela depuis le premier instant de la conception. C’est une exigence de la nouvelle évangélisation qui exige souvent d’aller à contre-courant en payant de sa personne. Le Seigneur compte aussi sur vous pour diffuser l’"Evangile de la vie". »

    Un engagement qui se poursuit chaque jour dans les salles d'hôpitaux avec la conscience qu’au cœur de l’activité médicale et d’assistance il y a la personne humaine en situation de fragilité. Et le pape a conclu: "il n’existe pas une vie humaine qualitativement plus valable qu’une autre. La crédibilité d'un système de santé ne se mesure pas seulement par son efficacité, mais surtout par l'attention et l'amour à l’égard de la personne dont la vie est sacrée et inviolable. »

  • Immortels ?

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    523aa6323570bed7db9975ff.jpgLu sur le site de « La Libre », ce 20 septembre :  "L’homme qui vivra 1.000 ans… est déjà né !"

     "On a commencé à euthanasier la mort"

    Cette prophétie aussi incroyable que surprenante est signée Laurent Alexandre. Un simple aperçu de son curriculum vitae impressionne déjà: chirurgien-urologue et neurobiologiste, diplômé de Science Po, d'HEC et de l'ENA, fondateur de Doctissimo et auteur de l’essai ‘La mort de la mort’. Ce Français vivant à Bruxelles s’est penché sur les bouleversements de l'humanité face aux progrès de la science en biotechnologies. Son constat a de quoi interpeller. C’est pourquoi LaLibre.be l’a rencontré.

    Lors de vos conférences, vous concluez "l’homme qui vivra 1.000 ans est  probablement déjà né !". Cela sonne comme une provocation…

    Non, c’est une conviction. Il est probable que l’homme qui vivra 1.000 ans est déjà né. Je n’ai pas dit qu’il s’agirait de quelqu’un de mon âge, ni que cela est possible avec les technologies actuelles. Quelqu’un qui naît aujourd’hui aura 90 ans en 2103, il bénéficiera des nombreuses innovations en nano-biotechnologie juste inimaginables aujourd’hui. Il s’agît de cellules souches, de thérapies géniques, de séquençage de l’ADN et de futures innovations -inconnues à l’heure actuelle- qui vont radicalement changer l’espérance de vie des humains.

    Mais l’espérance de vie peut-elle s’envoler à ce point ?

    En 250 ans, l’espérance de vie en Belgique a triplé, passant de 25 à plus de 80 ans. Actuellement, elle croît de 3 mois par an. En clair, quand on vieillit une année, l’on ne se rapproche de sa mort que de 9 mois. A partir de là, il faut être conscient que toutes technologies qui permettent de modifier nos comportements biologiques ont une croissance de leurs capacités comparable à l’explosion des microprocesseurs avec la Loi de Moore. 

    Ce qui signifie un doublement rapide de ces technologies.

    Oui, contrairement à l’automobile, l’aviation et autres secteurs où les progrès sont lents. Prenons un seul exemple, le coût du séquençage ADN a été divisé par 3 millions en seulement 10 ans : le premier a pris 13 ans, mobilisé 22.000 chercheurs à travers le monde et coûté 3 milliards de dollars. Demain, il prendra quelques heures et coûtera 100 dollars. Alors qu’en 1990, tous les savants affirmaient que ce serait - à jamais - impossible à réaliser, on dénombre aujourd’hui 1 million d’humains dont l’ADN a été séquencé.

    Quel est l’intérêt de séquencer l’ADN de tous les humains ?

    Ce séquençage offre une lecture des 3 milliards d’instructions ou messagers chimiques présents dans nos chromosomes, soit notre identité biologique qui définit la manière avec laquelle nous sommes construits. A partir de cette lecture, on a une idée précise des pathologies qu’on va avoir et des traitements à appliquer. Dans un premier temps, nous savons lire mais pas encore modifier notre ADN. Dès les années 2018, le bricolage de nos chromosomes deviendra possible. La modification de l’ADN sera même une chose banale dans la prochaine décennie ! Ces technologies nous offrent donc une explosion de notre capacité à changer notre nature et donc à faire reculer la mort.

    Quand on évoque la mort de la mort, on pense immédiatement aux cancers qui touchent en moyenne 1 Belge sur 3. Vous en tenez compte ?

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  • Quand la France se réveilla

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    1862_home_218_137951054526529300.jpg

    Et la France se réveilla

    de Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, Toucan, 288 pages

    La recension de Famille Chrétienne :

    Comment, et pourquoi, La Manif pour tous a-t-elle mobilisé ses troupes ? Et quelles leçons peut-on en tirer ? Deux journalistes, Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, répondent dans un essai en forme de rétrospective.

    C’est l’histoire d’une des plus grandes mobilisations de l’après-guerre. Une série de manifestations que ni les grands médias, ni les intellectuels, ni les politiques n’avaient vu venir – surtout pas les politiques, qui pour la plupart sont passés à côté. Aujourd’hui que les clameurs se sont tues, deux journalistes, Raphaël Stainville et Vincent Trémolet de Villers, dressent un premier bilan de La Manif pour tous.

    Leur livre, bien informé et très vivant, se lit avec plaisir, truffé qu’il est de choses vues et de portraits bien troussés, de Virginie Tellenne, alias Frigide Barjot, à Tugdual Derville (Alliance Vita), de Béatrice Bourges (le Printemps français) à Ludovine de la Rochère (présidente de La Manif pour tous), d’Albéric Dumont (La Marche pour la vie), à François-Xavier Bellamy, philosophe de 27 ans…

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  • La reconnaissance des unions homosexuelles : un séisme d'après l'archevêque de Bologne

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    S'exprimant lors d'une conférence magistrale au Théatre Manzoni de Bologne, le cardinal Caffarra a qualifié de « séisme » le résultat de la reconnaissance des unions homosexuelles. Jeanne Smits propose sa traduction de ce discours d'une grande clarté, en deux parties :

  • Les Conférences épiscopales d'Europe vont plancher sur la laïcité et le laïcisme

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    Europe: Dieu et l'Etat: entre laïcité et laïcisme
    Assemblée du CCEE en Slovaquie

    ROME, 17 septembre 2013 (Zenit.org) - "Dieu et l’Etat: entre laïcité et laïcisme": ce sera le thème de l'assemblée plénière annuelle des Présidents des Conférences épiscopales d’Europe aura lieu, cette année, à Bratislava (Slovaquie) à l’occasion du 1150ème anniversaire de l’arrivée des Saints Cyrille et Méthode sur sol slovaque.

    C’est à l’invitation de l’Archevêque de Bratislava, Mgr Stanislav Zvolenský, que cette année aura lieu à Bratislava (3-6 octobre) auprès du Falkensteiner Hotel (Pilárikova ulica 5 - Bratislava), l’Assemblée plénière du Conseil des Conférences épiscopales d’Europe (CCEE), l’organisation continentale qui réunit les présidents des 33 Conférences épiscopales en Europe, les archevêques du Luxembourg, de la Principauté de Monaco, de Chypre des Maronites, l’évêque éparchialde Mukachevo (Ukraine) et l’évêque de Chişinău (Moldavie).

    Pendant quatre jours, les sommets de l’Eglise catholique en Europe aborderont, à l’aide d’experts, les aspects sociaux et spirituels des défis auxquels l’Europe contemporaine doit faire face. Les débats de la rencontre de Bratislava se pencheront notamment sur la place laissée à la religion et donc sur le rôle de l’Eglise dans les sociétés des pays européens, qui se débattent entre laïcité et laïcisme. Le sujet sera introduit par Madame le prof. Emila Hrabovec, professeur d’histoire, qui aura la tâche de présenter les conclusions d’une enquête menée auprès des Conférences épiscopales. Les présidents aborderont également d’autres sujets tels que :l’évangélisation dans un monde sécularisé, l’objection de conscience et les travaux de l’Union Européenne et du Conseil de l’Europe.

    Les travaux seront suivis par le Préfet de la Congrégation pour les Evêques (Saint Siège), leCardinal Marc Ouelletet par le Nonce Apostolique en Slovaquie,l’archevêque Mario Giordana.

    À Bratislava arriveront également le secrétaire général du Symposium des Conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SECAM) ; mons. William Shomali, évêque auxiliaire du Patriarcat latin de Jérusalem ; Sa Béatitude Ignace Youssif III Younan, Patriarche Syriaque d’Antioche et un représentant de la Conférence épiscopale du Kazakhstan.

    Les évêques réunis à Bratislava rencontreront également Son Excellence Robert Fico, Premier Ministre du Gouvernement Slovaque, ainsi qu’un certain nombre de représentants des institutions civiles et ecclésiales du Pays.

    Jeudi 3 octobre, à partir de 21h30, à l’Eglise Saint Jean de Matha, aura lieu une veillée de prière pour la Terre Sainte et pour les chrétiens du Moyen Orient.

    La rencontre est à huits clos.

    Le programme complet de la rencontre est disponible sur le site www.ccee.eu (section featured today).

  • Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

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    Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. 

     

    Tous nés d’un homme et d’une femme

    Paris, le 17 septembre 2013 

    Communiqué de presse

    Parlement Européen - Rapport sur la santé et les droits sexuels et reproductifs

    L’Europe, l’éducation sexuelle et le genre :

    La Manif Pour Tous en alerte 

    sur un projet d’enseignement obligatoire dès le primaire

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. La Manif Pour Tous est particulièrement inquiète des dispositions envisagées en matière d’éducation sexuelle, de lutte contre les stéréotypes et d’éducation à l’égalité des genres. Elle dénonce fermement la volonté affirmée dans l’amendement 151 de promouvoir l’égalité de genre dans les programmes et manuels scolaires.

    Une nouvelle menace pour l’enfant et les libertés fondamentales

    La Manif Pour Tous dénonce l’amendement 151 de la députée européenne Barbara Matera (PPE) qui propose de rendre obligatoire des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles primaires et secondaires des Etats membres. De tels cours n’ont certainement pas leur place en primaire, et d’autant moins qu’ils aborderaient notamment la question de « l’égalité des genres ». La Manif Pour Tous dénonce ce projet de promotion de l’identité de genre, notion qui fait débat chez les spécialistes et qui n’est pas un sujet pertinent à l’âge de l’école ! Imposée aux écoles, cet enseignement serait ainsi décidé sans concertation avec les parents, sans respect de leur rôle de premiers et principaux éducateurs de leurs enfants.

    L’amendement 151 est une grave atteinte à l'article 26 (§3) de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui stipule que le droit d'éducation est reconnu prioritairement aux parents. Il met en danger la liberté et le droit des parents à s'opposer à l'interférence d'acteurs étatiques ou non étatiques dans cette éducation. La défense d'un droit d'accès de l’enfant à une information scientifique et dégagée de tout jugement en matière de sexualité ne doit pas se faire sans l’implication des parents et l’assurance que les contenus contribuent à l’équilibre de l’enfant. Par ailleurs les concepts de genre n’entrent pas dans le champ « d’une information scientifique » et n’ont donc pas de place dans ce cadre.

    La Manif Pour Tous en alerte

    Le 18 septembre prochain, La Manif Pour Tous suivra avec attention les débats de la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen. Elle se prépare à se mobiliser et à mener toutes les actions nécessaires si cet amendement devait être adopté. La Manif Pour Tous demande aux députés européens de cette  commission permanente de prendre concrètement position à l’occasion de ce vote pour défendre les intérêts de l’enfant, le rôle de ses  parents et la neutralité des instances nationales d’éducation gravement mis en danger par ce rapport. Elle leur rappelle que :

    1. La Manif Pour Tous s’oppose fermement à la diffusion à l’école du concept de genre, notion floue et non scientifique conduisant notamment à la remise en cause des identités sexuelles homme/femme.

    2. Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La liberté d’éducation des parents est un droit fondamental et inaliénable qu’aucune institution ne peut retirer et que toutes les conventions internationales garantissent.

    3. La Manif Pour Tous défend les droits de l’enfant. Elle est prête à agir aussi bien au niveau français qu’au niveau européennif Pour Tous est un mouvement spontané, populaire et divers qui s’oppose à la généralisation de la PMA, à la GPA (mères Contact presse

      Tel : 06 43 90 35 81    /    contact-presse@lamanifpourtous.fr  

  • Vous avez dit "décadence" ?

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    L'unisexe, tendance de la mode de demain; c'est dans la Libre (p. 61) de ce jour :

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  • La distinction Nansen attribuée à une religieuse congolaise

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    Lu ICI (Par Freddy Mulongo, mardi 17 septembre 2013)

    Soeur Angélique Namaika, religieuse congolaise est lauréate de la prestigieuse distinction Nansen du HCR

    Soeur Angélique Namaika
    Sœur Angélique, avec son Centre pour la réintégration et le développement, a transformé la vie de plus de 2 000 femmes et jeunes filles qui avaient été chassées de chez elles et brutalisées, principalement par les rebelles de la LRA. Beaucoup des femmes qu’elle a secourues témoignent d’enlèvements, de travail forcé, de coups, de meurtres, de viols et d’autres violations des droits fondamentaux.

    L’approche personnalisée mise en œuvre par la religieuse aide les survivantes à guérir de leurs traumatismes et des atteintes qu’elles ont subies. En plus des violences dont elles ont souffert, ces femmes et jeunes filles vulnérables sont souvent ostracisées par leur propre famille et leur communauté en raison des épreuves qu’elles ont traversées.

    Il faut des soins particuliers pour leur permettre de guérir et de recoller les morceaux de leur vie brisée. Sœur Angélique y parvient en leur donnant la possibilité d’apprendre un métier, de créer une petite entreprise ou de retourner à l’école. Les témoignages de ces femmes montrent les résultats remarquables de son travail pour les aider à prendre un nouveau départ. Beaucoup d’entre elles l’appellent d’ailleurs affectueusement « mère ».

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  • Les divorcés-remariés au coeur des préoccupations du pape

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    Sur Radio Notre-Dame : La question des divorcés-remariés au coeur du « G8 » papal

    Et plus particulièrement la question de la nullité des mariages, et des secondes noces pour les divorcés… Des thèmes chers à Benoît XVI, et que le Pape François souhaite aborder en profondeur lors de sa rencontre en octobre prochain avec les 8 cardinaux nommés pour le conseiller.

    C’est une information Radio Vatican. En diffusant l’intégralité des propos improvisés par le Pape, à huis clos, devant tous les prêtres de Rome, à Saint Jean-de-Latran, la radio officielle du Saint Siège a donné la couleur du prochain G8 papal, qui se tiendra à Rome du 1er au 3 octobre prochain.

    Les familles catholiques inquiètent le Pape

    Cette réunion abordera donc la question des familles catholiques, et plus particulièrement les problèmes relatifs au mariage, à l’annulation de ce mariage, et aux divorcés remariés, en délicate situation au sein de l’Eglise. « Notre devoir est de trouver une autre voie, dans la justice » a notamment expliqué le Pape François devant les prêtres du diocèse de Rome, revêtant pour l’occasion son habit d’évêque diocésain.

    Benoît XVI, en son temps, s’était déjà penché sur la question. Pour lui, cette question ne pouvait « se réduire seulement à la question de savoir s’il est possible ou non de communier ». Pour le Vatican, le problème est plus profond que cela, et le Pape François entend bien y réfléchir, et si possible « entreprendre quelque chose pour résoudre les problèmes de la nullité des mariages ».

    Vers l’abolition de la nullité du mariage ?

    Selon la doctrine catholique, les hommes et les femmes qui s’unissent dans le mariage s’engagent pour la vie. S’il y avait rupture de ce lien, le divorce mais aussi le remariage les empêcherait alors de communier, si le précédent mariage n’a pas été annulé. Actuellement, de nombreux divorcés-remariés, pleinement actifs dans l’Eglise, souffrent, de fait, de cette exclusion.

    Terrain sensible donc… Tout comme son prédécesseur, François a témoigné la volonté que ces couples se sentent aujourd’hui accueillis dans la communauté chrétienne. Devraient donc être approfondis au cours de ce « G8 » les raisons de la nullité du mariage, avec notamment l’idée de les rendre possibles pour plusieurs raisons : les cas d’immaturité, de manque de foi, et ce, quand le sacrement a été conclu par simple convention sociale.

    La société, justement, sera au cœur des discussions. Le pape s’inquiète en effet de la remise en question de la famille traditionnelle, avec l’explosion des divorces, des difficultés des familles recomposées, et des nouvelles formes de famille, comme notamment le mariage des personnes de même sexe qui continuera de faire couler beaucoup d’encre. Toutes ces questions pourraient par la suite être confiées à un synode d’évêque pour examen.

  • Pakistan : la vaccination, une sombre machination de l'Occident

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    Les talibans empêchent la vaccination de 1,5 million d’enfants (EDA -17/09/2013)

    Le Pakistan est aujourd’hui l’un des trois pays au monde où la poliomyélite est encore endémique (avec l’Afghanistan et le Nigéria). Depuis que l’OMS a lancé sa campagne d’éradication de la polio en 1988, en faisant vacciner tous les enfants de moins de 5 ans, l’incidence de la maladie sur la planète a chuté de façon drastique, passant de 350 000 cas recensés en 2008 à seulement 223 en 2011. Avec 198 cas confirmés en 2011, le Pakistan totalise le nombre de malades contaminés le plus élevé de toutes les nations du monde.

    Alors que son programme de vaccination intensive commençait à faire les preuves de son efficacité l’année dernière (le nombre de cas de polio étant passé de 198 à 58), le Pakistan est en passe de voir ses efforts demeurer vains en raison de l’opposition farouche des talibans. Dans les zones tribales où ils font la loi, se trouvent aujourd’hui les derniers foyers de poliomyélite, qui risquent de propager de nouveau la maladie dans les régions environnantes. Plus d’une trentaine de cas ont été signalés récemment au Balouchistan, au Waziristan, au Pendjab et dans le Sind, sans compter la quarantaine de « cas suspects » actuellement en cours de vérification.

    L’alarme a été lancée ces jours derniers par les autorités sanitaires nationales et l’OMS, constatant l’échec partiel de la dernière campagne de vaccination de laquelle ont été exclus 1,5 million d’enfants sur les 34 millions concernés.« Notre crainte est que le virus se répande à partir de ces zones d’infestation et mette en péril l’achèvement de la campagne d’éradication de la polio qui était prévu dans deux ans », s'inquiète le Dr. Elias Durry, coordinateur pour l’OMS de la vaccination contre la polio au Pakistan.

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