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Société - Page 792

  • L'Edit de Milan et la liberté religieuse

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    Oasis a mis en ligne le texte d'une communication faite par le cardinal Scola, archevêque de Milan, le 6 décembre dernier dans le cadre de la commémoration de l'Edit de Milan (313)

    L’Édit de Milan : Initium Libertatis

    1. Le XVII centenaire de l’Édit de Milan

    L’Édit de Milan de 313 revêt un sens historique parce qu’il marque l’initium libertatis de l’homme moderne »1. Cette affirmation d’un éminent expert en droit romain, le regretté Gabrio Lombardi, permet de mettre en évidence la manière dont les mesures signés par les deux Augustes Constantin et Licinius déterminèrent non seulement la fin progressive des persécutions contre les chrétiens mais, surtout, l’acte de naissance de la liberté religieuse. Dans un certain sens, avec l’Édit de Milan, les deux dimensions que nous appelons aujourd’hui “liberté religieuse” et “laïcité de l’État” apparaissent pour la première fois dans l’histoire. Ce sont deux aspects déterminants pour la bonne organisation de la société politique

    On peut trouver une confirmation intéressante de cela dans deux enseignements importants de saint Ambroise. D’une part, l’archevêque n’hésite jamais à rappeler aux chrétiens qu’ils doivent être loyaux à l’égard de l’autorité civile, laquelle, à son tour - voilà le second enseignement - devait garantir la liberté des citoyens sur le plan personnel et social. On reconnaissait ainsi l’horizon du bien public auquel sont appelés à contribuer les citoyens et les autorités.

    Cependant, on ne peut pas nier que l’Édit de Milan fut une sorte de “début manqué”. En effet, les événements qui suivirent débutèrent une histoire longue et laborieuse.

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  • Pourquoi, chrétien et progressiste, il ira manifester dimanche contre le mariage pour tous

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    Jérôme Vignon, président de "Semaines de France", publie cette "tribune" dans le Monde sous le titre :

    "Chrétien et progressiste, j'irai manifester contre le "mariage pour tous"

    Lors de la présidentielle, les options principales du choix s'incarnaient dans la globalité de chaque programme. J'ai choisi de privilégier des critères qui me semblaient essentiels pour l'avenir : la justice sociale, l'accueil de la diversité et la cohésion, la priorité à la jeunesse.

    Il fallait trancher dans une situation complexe, avec le risque de devoir affronter des débats face auxquels les Français devaient tôt ou tard, par-delà leurs appartenances politiques, éprouver la solidité du socle de leurs valeurs communes.

    La question du mariage pour tous en faisait partie.

    Tronqué, caricatural lors de son traitement par les médias audiovisuels, le débat aura au moins permis de révéler sur quelles méprises est établi le projet de loi examiné par le gouvernement en novembre 2012.

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  • Contre le mariage gay: courageux mais pas téméraires

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    Lu sur le site de “La vie”

    Face à la marche du 13 janvier 2013, organisée par le collectif de la Manif pour tous, il n’existe pas de front unanime de la part des évêques français. Selon La Croix du 7 janvier, seuls huit évêques ont annoncé leur intention de défiler dans la foule, et 25 évêques (soit environ le quart de l’épiscopat) ont donné leur soutien. La plupart des hauts responsables de l’Eglise catholique n’ont donc pas souhaité renchérir sur leurs prises de position de l’été contre le projet de loi, considérant sans doute que leur message était alors clair et désormais suffisant

    Assez jaloux de leur indépendance, mais aussi soucieux de laisser une latitude à chaque conscience compte-tenu d’une opinion catholique assez diverse, les évêques se sont gardés de définir une ligne officielle épiscopale. Ils ont, le plus souvent explicitement, soutenu les prises de parole du cardinal André Vingt Trois, président de la Conférence épiscopale, lors de l’Assemblée plénière de Lourdes, début novembre. Le cardinal avait reconnu le droit des catholiques à “se manifester”, sans explicitement parler d’un devoir de manifester.

    Lire la suite ici: Pas de voix unique chez les évêques sur la "Manif pour tous"

    Les hommes de pouvoir, fut-il ecclésial, sont rarement prophétiques. Et les prophètes auto-proclamés cachent souvent de vrais idéologues. C’est de tous les temps.

  • Homophobie et discrimination

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    Dans le bimensuel « L’homme Nouveau » du 5 janvier 2013, Denis Sureau écrit notamment (en marge de la vaste contestation du mariage gay qui s’annonce pour dimanche prochain à Paris) :

    Le concept d'« homophobie » n'est pas neutre : c'est une arme forgée pour paralyser toute tentative de critique des revendications homosexuelles. Avant d'être un outil de propagande, l'homophobie est une faute de français. Le préfixe grec « homo » signifie semblable (comme dans homogène, homonyme) et la racine « phobie », elle aussi grecque d'origine, signifie crainte ou peur (arachnophobie, peur des araignées). D'un strict point de vue linguistique, homophobie signifie donc crainte ou peur de son semblable, au lieu de suggérer quelque hostilité à l'égard des homosexuels. (…)

    D'un point de vue juridique, la loi française n'apporte aucune définition mais punit depuis 2004, les incitations à la haine ou à la violence, l'injure ou la diffamation visant une personne ou un groupe de personnes à raison notamment de leur « orientation sexuelle» (…)

    L'association SOS homophobie retient l'acception suivante (…) : Il s'agit de lutter contre toute discrimination, celle-ci étant définie comme « une attitude, une action ou une loi qui visent à distinguer un groupe humain d'un autre à son désavantage ».

    Sans revenir sur l’idéologie du Genre et la vision d’un monde indifférencié qui sous-tendent cette idéologie, il me semble important de rappeler aux chrétiens que, pour l’Église, toute discrimination n’est pas injuste. Le Catéchisme de l’Église catholique distingue les actes homosexuels, « intrinsèquement désordonnés », des personnes présentant des « tendances homosexuelles foncières », précisant : « On évitera à leur égard toute marque de discrimination injuste. » (n. 2358)

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  • Un serial killer agissant en toute légalité ?

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    « Suis-je un tueur en série légal ? » Témoignage d’un médecin belge

    03/01/2013 - Fin de vie

    Le Dr N. a été amené en un peu moins d’un mois à pratiquer 4 euthanasies. « Suis-je un tueur en série légal ? » est le titre de l’article paru dans le Journal du Médecin du 18/12/2012, qui a relayé son appel adressé à la rédaction. Le médecin se dit bouleversé et fragilisé. Ce à quoi certaines associations pro-euthanasie entendent répondre en proposant des formations aux médecins afin qu’ils soient « mieux armés face à des demandes d’euthanasie ». De plus, le Dr N. préférerait travailler en médecine de groupe car « cela dilue le poids des responsabilités ». Verra-t-on bientôt un accompagnement psychologique pour ces médecins administrant l’euthanasie et qui le vivent très mal ?

    source : Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique

  • L'Eglise catholique albanaise, 20 ans après la chute du communisme

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    Mgr Massafra se confie à l'AED  (Zenit.org).

    « Le 4 novembre 1990 la messe extraordinaire et courageuse célébrée par le père Simon Juban, dans le cimetière de Shkodrë  nous a ouvert les portes de la liberté », raconte Mgr Angelo Massafra, archevêque de Shkodrë et Pult et président de la conférence épiscopale albanaise, mais aujourd’hui « l’Eglise catholique est confrontée à tous les maux de l’Occident ».

    Dans un entretien avec l’association Aide à l’Eglise en Détresse (AED), Mgr Massafra décrit le parcours de cette renaissance compliquée de l’Eglise catholique en Albanie, après presque 50 ans de violente persécution. Avec l’écroulement du régime communiste d’Enver Hoxha et l’abolition de la loi qui, depuis 1967, interdisait l’exercice de toute pratique religieuse, raconte-t-il, la foi, «  jalousement gardée dans le temps par les familles albanaises » a permis à l’Eglise catholique, « souffrante, lacérée et décimée », de sortir de longues années de silence. Et la partie centrale du nord du pays, qui est à majorité catholique, compte aujourd’hui 5 diocèses qu’il faut ajouter à l’administration apostolique du sud de l’Albanie. Mais libérée de l’oppression de la dictature, raconte l’archevêque, l’Eglise s’est heurtée dès le début à de nouveaux problèmes «  non plus causés par le communisme et par le marxisme mais par un changement trop brusque qui, avec l’arrivée de la liberté, a introduit tous les maux de l’Occident » : corruption, surconsommation, drogue, prostitution, chômage.

    Ces problèmes, qui affligent l’Albanie, sont évoqués dans la lettre pastorale « Fides et Patria », publiée par les évêques du pays le 28 novembre dernier à l’occasion du centenaire de l’indépendance du territoire, dans laquelle ils confirment  que « l’Eglise s’est toujours engagée et qu’elle continue à s’engager, de manière parfois héroïque, afin que le message évangélique puisse atteindre les profondeurs intimes du cœur des hommes.« La voie est tracée, mais il reste encore tant à faire », soulignaient-ils.

    A ce propos, une tendance préoccupante a récemment été dénoncée par le responsable international de l’AED pour l’Albanie, Peter Rettig, qui a pu constater, lors d’un voyage dans le pays, que beaucoup de jeunes imams locaux prêchaient un Islam plus « pur et rigoureux ». En Albanie, la religion musulmane – arrivée au XVème siècle avec l’empire ottoman et aujourd’hui suivie par 61,9% de la population, est connue pour sa modération, mais les nouvelles recrues, qui sont formées en Turquie et en Arabie saoudite, cherchent à répandre un version plus conservatrice de celle-ci. L’influence turque sur la péninsule balkanique, rapporte Mgr Massafra, intéresse aussi les principaux secteurs de l’économie nationale : banques, télécommunications, industries automobile et agro-alimentaires. « Après un siècle, la Turquie est revenue dans les Balkans et les communautés musulmanes en Albanie, au Kosovo et en Bosnie, constituent le fondement de son action », a-t-il ajouté.

    Les revenus pétroliers de l’Arabie saoudite jouent un rôle lui-même très important. Au début des années 90, Ryad a financé l’impression de plus d’un demi-million de copies du Coran ; a sponsorisé de nombreux pèlerinages à la Mecque ; a construit des écoles islamiques et subventionné les jeunes albanais dans l’étude de la théologie islamique en Turquie, Syrie, Arabie saoudite et Egypte. L’Eglise catholique n’est pas la seule a être préoccupée par ces ingérences. Le clergé musulman local, explique Mgr Massafra à l’AED, a créé un comité ad hoc dont l’objectif est de fonder la première université islamique du pays. Celle-ci a déjà obtenu l’aval du gouvernement de Tirana et espère accueillir des étudiants albanais, macédoniens et kosovars. « Pour les guides modérés de l’islam, relève l’archevêque, l’ouverture de cette université est importante,  car cela évite que les jeunes musulmans aillent ailleurs et assimilent des dogmes et idéologies fanatiques qui ne reflètent pas la tradition nationale ».

    En 2011, l’AED a donné à l’Eglise albanaise plus de 210.000 euro. Parmi les divers projets soutenus, la restauration et la construction d’églises et autres édifices appartenant aux diocèses et l’aide à la formation de prêtres, religieuses et religieux. 
    Traduction d’Océane Le Gall
  • Familles monoparentales et échecs scolaires

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    enseignons.be se fait l'écho d'une étude parue en France sur les facteurs qui provoqueraient le redoublement; parmi ceux-ci, la structure familiale joue un rôle non négligeable, même si l'on évite (bien sûr! et pour rester politiquement et culturellement correct) de porter des jugements de valeur qui pourraient avoir une connotation moralisatrice :

    "...la structure familiale, qui a en effet une influence déterminante dans le parcours et la réussite scolaire des enfants. Pour Laurette Cretin, du Bureau des études statistiques sur les élèves, toutes les enquêtes sur les familles monoparentales – menées aux États-Unis et aux Pays-Bas – laissent penser qu’elles pourraient être associées à un risque plus grand d’échec scolaire. « Les écarts de réussite entre les enfants vivant avec un seul parent et ceux vivant avec leurs deux parents seraient assez importants et subsisteraient quel que soit le milieu social. » Mais attention : si les enfants de parents divorcés ou séparés rencontrent plus de difficultés scolaires que les autres, il est en revanche difficile d’en déduire une relation causale : l’impact négatif pourrait être le fait de la conflictualité existant dans un couple avant sa séparation.

    LA PRÉCARITÉ EST UN ÉLÉMENT ESSENTIEL DE LA DIFFÉRENCIATION DES FAMILLES MONOPARENTALES

    Mais à quoi les études d’études associent-elles la moindre réussite scolaire des enfants de familles monoparentales? Au fait que ces familles peuvent mobiliser moins de ressources que les autres. On parle ici de différences de revenus, de conditions de logement, de la possibilité de profiter d’activités extrascolaires, etc. Intéressant car cela nous permet de distinguer ici l’économique (niveau de vie) du (capital) culturel.

    Il est en effet établi par ailleurs que ces élèves appartiennent à des milieux sociaux moins favorisés que les autres familles et que la monoparentalité est en relation avec d’autres facteurs qui influent sur la scolarité, tels que le capital culturel, la taille de la fratrie ou encore les conditions de logement.

    De plus, l’implication des parents isolés dans la scolarité de leur enfant est moins importante que lorsque le père et la mère vivent encore ensemble, même s’ils sont un peu plus nombreux à solliciter un entretien avec un enseignant en cours d’année. L’aide est aux devoir est également réduite. Mais est-ce décisif quant à la réussite ou non des petites têtes blondes? Peut-être…

    Il est difficile de répondre de manière convaincante à cette question car, si le degré d’implication des parents est dépendant des ressources qu’ils peuvent mobiliser, du fait de leurs diplômes ou de leur statut socio-économique, il n’est pas non plus indépendant du niveau de réussite scolaire de l’enfant : ainsi, plus celui-ci rencontre de difficultés, plus l’aide au travail scolaire et les demandes de rendez-vous avec les professeurs s’intensifient.

    Faut-il donc incriminer davantage des ressources économiques amoindries pour les parents isolés plutôt qu’un moindre contrôle scolaire exercé par ces parents en cas de séparation? Sans doute. Et on en revient à l’environnement socio-économique moins favorable… Encore!

  • France : le mariage pour tous provoque la division de tous

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    Analyse sur radinrue.com (Michel Montielle) :

    A quelques jours d’une grande manifestation nationale contre le projet de loi socialiste de dénaturer le mariage, de plus en plus de voix s’élèvent contre la propagande des lobbys homosexuels et la promotion du mariage gay largement revendiquée par le gouvernement. Les ministres quant à eux, comme Peillon, n’hésitent pas à s’attaquer aux valeurs catholiques, allant même jusqu'à tenter de faire la leçon à l’Enseignement Catholique !

    Alors que la dénaturation du mariage est largement revendiqué par les socialistes français, le débat qui a dès le départ était « civiquement » interdit, a laissé la place à la colère et aux attaques.

    Ainsi, face à cette situation devenu fatigante, François Bayrou, président du MoDem, a mis en garde mardi contre une « exaspération des oppositions » autour du mariage homosexuel. Expliquant ainsi sur i-Télé que « Le gouvernement a une responsabilité importante », selon lui il peut « répondre à l’attente » des couples, des associations « qui demandaient reconnaissance et droits », « sans porter atteinte à ce que des millions de Français considèrent comme très précieux, cet héritage que le mariage représente pour eux ». Et de proposer « une union reconnue, et pas le mot de mariage qui signifie tout à fait autre chose ».

    Enfin Bayrou a pointé « une exaspération des oppositions au sein du pays », et « ceci est très malsain pour un peuple et spécialement pour un peuple en crise ». Sur les attaques inadmissibles qui sont tentées par les socialistes contre l’école catholique, Bayrou les a résumé en un comportement « excessif et blessant ». « La solution existe pour qu’on fasse prévaloir la compréhension réciproque et pas l’antagonisme et l’affrontement perpétuels, dans lesquels un pays en crise ne peut pas triompher de ses difficultés », a-t-il insisté.

    Un autre politique, l’ancien ministre Chatel a répondu également aux attaques de Peillon à l’encontre de l’Ecole Catholique : « François Hollande, qui avait déclaré vouloir apaiser et rassembler les Français, est en train de les diviser sur un sujet majeur », a déploré le député-maire de Chaumont (UMP) sur LCI, en poursuivant : « Ce qui s’est passé ces derniers jours, en particulier sur l’enseignement catholique, est très regrettable. On a le sentiment de raviver la guerre scolaire, de raviver des tensions qui n’existent plus ».(…) « Je veux l’application stricte des textes, a poursuivi le vice-président délégué de l’UMP. La loi Debré est très claire. Elle prévoit un contrat d’association avec l’Etat et aussi un caractère propre : le fait que, dans ces établissements, on transmet un certain nombre de valeurs ». (…) « En s’immisçant dans ce caractère propre, le ministre prend une responsabilité risquée de revenir sur l’existence-même de ces établissements d’enseignement privé ».

    Radinrue.com

  • Un nouveau site qui mérite le détour

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    Grâce à une note parue sur le blog de l'abbé de Beukelaer, nous découvrons "les chroniques philosophiques d'une sexologue newyorkaise". En voici la recommandation faite par le chanoine liégeois :

    "L’univers des blogs cathos (du moins ceux que je connais) est un peu trop masculin à mon goût. De plus, le monde chrétien manque de jeunes voix pour aborder avec compétence et autorité, le délicat sujet de la sexualité. C’est donc de bonne grâce que je relaie l’info: Thérèse Hargot et son mari François Jacob habitent New-York. Pour 2013, la sexologue belge – qui est aussi maman – a décidé d’ouvrir un blog: www.theresehargot.com à visiter, lire, commenter, partager, suivre…  L’auteure explique: « L’objectif est d’y réunir mes chroniques, mes lectures, mes opinions, mes réponses à vos questions pour partager et échanger au-delà de tout ce qui nous sépare. Voici pour aujourd’hui un nouvel ARTICLE publié sur French Morning. J’en profite pour vous souhaiter une très belle année 2013! »

    Je vous conseille de suivre ce blog. Thérèse Hargot se dévoile dans une écriture intelligente, vive, joyeuse, voire même taquine. Et la mise en page par son petit mari, renvoie mon propre blog au Moyen Age. En cette semaine qui suit l’Epiphanie, voici donc une nouvelle étoile à suivre…"

  • Cour européenne : en attente de quatre verdicts sur la liberté religieuse

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    L'ECLJ craint « une régression de la liberté religieuse en Europe »

    Gregor Puppinck

    ROME, 8 janvier 2013 (Zenit.org) - Quatre affaires concernant des employés du Royaume-Uni sanctionnés en raison de leur religion, portées devant la Cour européenne, montrent une « tendance liberticide contemporaine visant à cantonner la liberté religieuse à une simple liberté de culte », qui de ce fait « ne garantit pas aux croyants la faculté de se comporter en public conformément à leur conscience, différemment de la majorité ».

    C’est l’anayse de Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), pour qui « cette diminution de la liberté religieuse, réduite à une simple liberté de culte, serait une régression de la liberté religieuse en Europe ».

    Le 15 janvier 2013 la CEDH rendra public ses arrêts dans les quatre affaires opposant au Royaume-Uni des employés chrétiens pour violation de leur liberté de religion dans le cadre professionnel.

    L’une de ces affaires est particulièrement d’actualité dans le contexte du débat français sur le « mariage homosexuel » car elle porte sur la faculté pour un officier d’état civil de refuser, au nom de sa conscience, de « célébrer » des partenariats civils entre personnes de même-sexe.

    Strasbourg, le 8 Janvier 2013.

    Mardi 15 Janvier 2013, la Cour européenne des droits de l’homme rendra public ses jugements dans les affaires Nadia Eweida, Shirley Chaplin, Lillian Ladele et Gary McFarlane contre le Royaume-Uni, concernant le droit d’employés chrétiens de ne pas être victime de discrimination dans le cadre professionnel en raison de leur religion (affaires nos. 48420/10, 59842/10, 51671/10 et 36516/10).

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  • BXL, 11 janvier : messe pour la Vie au Couvent de la Madeleine

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    Le 11 Janvier 2013 messe pour la vie

    Le deuxième vendredi de chaque mois, l’EUCHARISTIE est célébrée pour la vie : à 18h
    Précédée de l’adoration silencieuse, à 17h par la communauté Saint Jean.

    « Congrégation Saint Jean » Couvent de la Madeleine,
    225 avenue de Jette 1090 Jette Bruxelles.

  • France : un premier résultat de la mobilisation contre "le mariage pour tous" ?

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    D'après Libé :  "La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a laissé entendre lundi sur RTL que les socialistes renonceraient à déposer leur amendement au projet de loi sur le mariage homosexuel ouvrant la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes."

    l'article est ici : http://www.liberation.fr/