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Société - Page 873

  • La campagne de Gleeden et la position du Jury d'Ethique Publicitaire

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    La campagne du site Gleeden incitant les gens à l'infidélité a déclenché de nombreuses réactions. Certains se sont tournés vers le Jury d'Ethique Publicitaire en se demandant si cette campagne en faveur de l'adultère n'était pas en contradiction avec la loi belge et si le slogan affirmant que "l'amant coûte moins cher à la société qu'un anti-dépresseur" ne constituait pas une publicité mensongère.

    Dans sa réponse, le J.E.P. fait observer que l'adultère est dépénalisé en Belgique et que faire de la publicité en sa faveur ne constitue donc pas un délit; quant à la référence à l'adultère, elle présenterait un caractère de second degré manifeste qui pousse le JEP à estimer que "personne ne verra ça comme une alternative à l'anti-dépresseur".

    Il est bien clair que cette position offusque notre sens de la moralité publique et du respect de liens aussi sacrés que ceux qui lient les époux l'un à l'autre. Mais il faut bien constater que nos convictions sont en porte à faux par rapport à celles de la société libérale dans laquelle nous vivons. Celle-ci fonde sa législation sur le vote majoritaire dans les assemblées parlementaires et ne se réfère aucunement à une loi naturelle dont l'existence est d'ailleurs récusée par les théoriciens de la démocratie moderne, de Jean-Jacques Rousseau à... Laurette Onkelinx. Pour ceux-ci, la majorité exprime la volonté générale des citoyens et contester ses décisions revient à commettre un délit de lèse démocratie...

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  • Allemagne: la grande apostasie ?

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    Lu sur les matinales du site du magazine “La Vie”:

    24754_0280edb1bc_440x260.jpgRéunie à Ratisbonne, la Conférence épiscopale allemande (photo) s'est penchée sur la mauvaise santé de l'Eglise catholique, dont les statistiques sont assez accablantes.

    "Très préoccupés": c'est en ces termes que le porte-parole de l'épiscopat catholique allemand a décrit l'état d'esprit des évêques, notamment en ce qui concerne le nombre d'étudiants inscrits en cycle universitaire de théologie, qui représentent traditionnellement un vivier important de futurs prêtres. Seuls 2200 élèves ont choisi de s'inscrire à ces cours, ce qui représente une chute de 50%. Parallèlement, le nombre de professeurs de théologie a, lui, baissé de 25% cette année, notamment à cause du fait que les facultés de théologie de Bamberg et Passau ont perdu une part importante de leur financement... à cause de la baisse du nombre d'élèves.  C'est dans un contexte de sécularisation accélérée que ces mauvais chiffres sont tombés. L'Eglise catholique allemande a perdu en 20 ans 12.7% de ses fidèles. Sur la seule année 2010, ce sont 181.193 allemands qui ont décidé de quitter l'Eglise, à cause notamment du scandale des abus sexuels. Un chiffre qui dépasse pour la première fois le nombre de nouveaux baptisés, qui était en 2010 de 170.330. Le nombre de candidats à la prêtrise a chuté, lui, de plus de 60%, et les baptêmes de 43.1%.” Ici: Allemagne: les évêques inquiets pour l'avenir de l'Eglise

    Le diagnostic des causes a déjà été posé avec vigueur par Benoît XVI lors de son voyage en Allemagne en septembre dernier, mais est-il partagé par tout l’épiscopat germanique ?

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  • Les dinosaures se rebiffent

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    foto_1319616700_thumb.jpgLu sur le site Chiesa de Sandro Magister (extraits) : 

    « La revue internationale de théologie "Concilium" a consacré son dernier numéro à un thème plus que jamais actuel : "Économie et religion".

    Dans leur éditorial qui sert d’introduction, les deux responsables de ce numéro, le Brésilien Luiz Carlos Susin et le Néerlandais Erik Borgman, se fixent un objectif très ambitieux. Après l'"économie du salut" définie par Eusèbe de Césarée et l' "économie comme salut" théorisée par Max Weber, il faut aujourd’hui – écrivent-ils – un "salut de l'économie".(…)

    Parmi les neuf textes - dus au même nombre d’auteurs - qui composent ce numéro de "Concilium", il en est un qui analyse la doctrine sociale de l’Église telle qu’elle est contenue dans ceux de ses documents qui font le plus autorité.

    L'auteur de ce texte-là, Johan Verstraeten (photo), Belge, enseigne à l'Université Catholique de Louvain (ndlr : K.U.L.) et il est membre du comité de rédaction de la revue "Business Ethics" et de celui du "Journal of Catholic Social Thought".

    Il a intitulé son essai : "Repenser l'économie : une question d’amour ou de justice ? Le cas du 'Compendium de la doctrine sociale de l’Église et l'encyclique 'Caritas in veritate'".

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  • France : un bébé nommé désir

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    Source : revue de presse de genethique.org d'après Famille Chrétienne

    "Un bébé nommé désir"

    Voilà le titre du documentaire sur France 2, le 22 février dernier, proposant une réflexion sur les "bébés éprouvettes", les "bébés médicaments", les embryons congelés, ou encore les dons de gamètes.

    "Un bébé quand je veux, si je veux, comme je veux", résume le journaliste. Dans ces techniques de procréation artificielle, le statut de l’embryon reste la grande question.

    Au cours de l’émission, une psychologue exprime l’incertitude française : "L’embryon, dans les hôpitaux, on ne sait pas très bien ce que c’est : tantôt une cellule, tantôt une potentialité d’enfant".

    Le professeur Israël Nisand, gynécologue à Strasbourg, reconnait que l’embryon est un être humain, "mais pas encore une personne […] il a sa dignité [mais] il va acquérir ses droits petit à petit". 

    Aude Mirkovic, professeur de droit à l’université d’Evry, s’insurge : "voilà un concentré [d’] inepties […] Si certains êtres humains ne sont plus des personnes, ou à moitié, on change de civilisation ! C’est le retour à l’époque romaine, quand l’embryon n’était que la pars viscerum matris, un morceau des entrailles de la mère. Un gigantesque retour en arrière !". Elle explique que la France est en pleine incohérence, mais que même si la question du statut de l’embryon est une question philosophique, le droit, dans le doute, ne peut que s’abstenir et est obligé de traiter l’embryon comme une personne.

    Il y a ensuite les conséquences psychologiques que l'assistance médicale à la procréation engendrent. Passées sous silence dans le documentaire, Benoît Bayle, psychiatre et docteur en philosophie, entend les dénoncer. En parlant des embryons crées in vitro, il explique : "Nous avons affaire à une population d’individus qui doit sa vie à la société, à la médecine, un peu à l’État, note Benoît Bayle. Cette intrusion dans une histoire intime n’est pas sans conséquence pour la structuration de l’identité de la personne". Il constate ensuite le "phénomène de survivance" chez l’enfant né, seul survivant parmi les autres embryons conçus in vitro qui sont supprimés par le tri opéré avant implantation ou par la réduction embryonnaire (NDLR : avortement d'un ou plusieurs embryons déjà implantés). Enfin, note Benoit Bayle, les parents de ces enfants auront tendance à développer un "mode d’éducation mégalomaniaque", ou bien emprunt d’une "culpabilité inconsciente".

    Soutenons la Fondation Jerôme Lejeune

  • Suisse : le suicide assisté a la cote...

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    Source : revue de presse de genethique.org

    En Suisse, de nouveaux chiffres montrent que le nombre de personnes qui se sont tournées vers des organisations de suicides assistés pour se tuer a considérablement augmenté en 2011.
    Récemment, l'organisation Exit, qui propose des suicides assistés exclusivement aux résidents suisses, a annoncé qu'il avait "aidé" 416 patients à se suicider en 2011. Les adhésions à Exit sont également en plein essor : le groupe compte aujourd'hui 75 000 adhérents.
    Dignitas, autre organisme suisse de suicide assisté, a pour sa part "aidé" 144 personnes à se tuer en 2011, soit une augmentation de 35% selon le journal Sonntag Zeitung.

    Jérôme Sobel, président d'Exit pour les cantons suisses de langue française, estime que l'augmentation des suicides assistés est directement corrélée à l'augmentation des adhérents. "Il y a des gens qui nous appellent pour être réconfortés et qui fixeront une date [pour mettre fin à leurs jours] si leur situation se détériorait davantage. Il y a des gens pour lesquels le fait de nous appeler est un réconfort et d'autres que nous sommes allés voir mais qui en fait sont ensuite morts de mort naturelle", déclare-t-il.

    Dernièrement, des rapports sur le "tourisme du suicide" ont soulevé un débat houleux, tant national qu'international, faisant croître la pression sur le gouvernement Suisse pour qu'il durcisse ses lois sur le suicide assisté. En juin 2011, le gouvernement a rejeté l'introduction d'une nouvelle loi pour réglementer la pratique, mais il a proposé depuis une série de mesures pour renforcer la prévention du suicide et pour améliorer les offres de soins palliatifs.

    Soutenons la Fondation Jérôme Lejeune

  • Carême de partage : faire le bon choix

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    Voici le témoignage d’Isabelle de Bock, présidente de l’AAI Belgique

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    Isabelle, pourquoi êtes-vous devenue présidente de l’AAI Belgique ?

    En tant que jeune médecin ayant suivi une formation en médecine tropicale, je désirais servir dans un pays en voie de développement. J’ai rencontré Frère Jean-Philippe Renders qui m’a mis en contact avec l’hôpital de Kabinda soutenu par la communauté des Béatitudes en RDC. J’y ai travaillé quelques mois dans le service de pédiatrie et l’unité mère-enfant créée à cette période face au fléau de la malnutrition. Depuis mon retour, l’AAI-Belgique me permet de poursuivre cette mission en soutenant de façon très concrète l’équipe locale. L’AAI-Belgique m’a demandé d’en prendre la présidence.

    Qu’est-ce que l’AAI-Belgique ?

    Branche belge de l’AAI (Association Alliances Internationales), elle a été fondée en 2003 par Paul Vanden Dael dans le but d’offrir la déduction fiscale aux donateurs belges. Notre partenaire local prioritaire a toujours été l’hôpital de Kabinda desservant une très vaste zone sanitaire du Kasaï oriental RDC. Nous sommes aujourd’hui une dizaine de membres à nous investir dans le soutien de l’hôpital chacun avec nos compétences particulières. Nous travaillons en partenariat avec l’AAI-France tout en soutenant des projets propres. Vu l’histoire commune de nos deux pays, certaines voies de coopération avec le Congo existent de façon privilégiée. Ainsi l’armée belge nous offre régulièrement le transport de personnes et de matériel entre Bruxelles et Kinshasa.

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  • Le "genre" s'invite dans la campagne d'Entraide et Fraternité

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    entraide_et_fraternit.jpgEn nous rendant sur le site d'Entraide et Fraternité, nous constatons avec étonnement que le concept du genre ("gender") y a fait son apparition. Ainsi, nous découvrons douze articles et une rubrique faisant appel à ce concept.

    Nous ne sommes pas vraiment surpris de voir cet organisme, dûment cautionné par les autorités ecclésiastiques pour orchestrer la campagne de carême, avoir recours à ce concept très contestable. Ainsi, on nous présente, parmi les "témoins invités", Maria Ramirez :

    "En 2005, elle obtient une bourse qui lui permet d’étudier un an afin d’obtenir un diplôme en Etudes de genre. Depuis, sa vie a été transformée. Elle se bat en faveur de l’égalité des genres et de l’importance de la culture maya. Tant au sein du CDRO qu’au sein de sa communauté."

    Nous constatons que l'organisme belge relaie ainsi des orientations que l'on peut constater dans d'autres pays dont la Suisse. Dans ce pays, l'association "Choisir la Vie" fait d'ailleurs circuler une "Pétition Ré-Action de Carême" pour refuser l'introduction du "genre" dans les oeuvres caritatives des Eglises. En voici le texte :

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  • L'euthanasie sans phrases inutiles ?

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    41-pape-MgrRoland_DH.jpgSuite à l’enquête lancée par son diocèse, l ’évêque de Moulins publie ce diagnostic sans langue de buis :

    « Moulins, le 23 janvier 2012

    Lettre de Monseigneur Roland (photo) aux fidèles du diocèse de Moulins.

    Les 1er et 2 octobre 2011, aux 92 messes du week-end, vous avez répondu massivement à un questionnaire portant sur les caractéristiques démographiques des fidèles du diocèse.

    Les données recueillies ont été exploitées pendant le dernier trimestre 2011, et je voudrais vous communiquer aujourd’hui les grandes lignes des résultats de l’enquête à laquelle vous avez participé.

    1) La fréquentation constatée aux différents offices représente 2,2% de la population globale du département, soit 7.500 personnes. Elle est représentative de la fréquentation hebdomadaire habituelle aux messes du diocèse.

    2) Les fidèles sont à 71% des femmes et 29% des hommes. La caractéristique la plus notable est l’âge moyen élevé : 60% ont plus de 60 ans.

    3) Les projections d’ici à 15 ans montrent une diminution de -40% à -50% du nombre des fidèles. Ceci s’explique notamment par l’absence très marquée des tranches d’âge 20-30 ans et 30-40 ans.

    4) Dans 15 à 18 ans, en absence d’ordination, les prêtres diocésains de moins de 75 ans seront au plus une quinzaine.

    5) Au plan financier, en l’absence de toute décision d’orientations, par an il manquera 500.000 € au diocèse dès 2015 pour un budget annuel de l’ordre de 4 millions d’euros. Ceci s’explique d’abord par la démographie et la diminution du nombre des personnes donnant aux quêtes, denier de l’église, legs, etc. Ce phénomène s’explique aussi par la fin de la vente de l’immobilier non utilisé.

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  • Marche pour la Vie, le chemin parcouru

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    A une amie qui nous demande : "J'aimerais que vous m'expliquiez un peu le chemin parcouru par "marcheforlife". Je me suis engagée à distribuer des feuillets et à afficher le beau poster au sein des différentes paroisses de mon UP, mais tout en étant partie prenante de la démarche je dois avouer que je ne connais pas l'historique du mouvement et j'aimerais pouvoir répondre intelligemment aux questions qui ne manqueront pas au moment de la distribution."

    ...les organisateurs répondent :

    La Marche pour la Vie de Bruxelles est née en 2010 à l'initiative d'un groupe d'étudiants, néerlandophones et francophones, à l'occasion des 20 ans de la dépénalisation de l'avortement en Belgique. Les organisateurs sont nés alors que l'avortement devenait légal en Belgique (loi Lallemand-Michielsen du 3 avril 1990). Non seulement ils n'ont donc pas eu leur mot à dire en 1990, mais c'est toute une partie de leur génération qui a été décimée par la pratique de l'avortement massif (plus de 300 000 victimes en 20 ans). Le 28 mars 2010 la première Marche pour la Vie a rassemblé  1700 personnes et le 27 mars 2011, la seconde édition comptait près de 3000 participants, y compris l'archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr. Léonard.

  • Revitaliser le catholicisme ?

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    ...dans le monde hispano-américain; mais nous en aurions bien besoin ici.

    Cité du Vatican, 28 février 2012 (VIS). Dimanche 4 mars, les diocèses espagnols célèbrent la journée hispano-américaine. Pour l'occasion, la Commission pontificale pour l'Amérique latine, présidée par le Cardinal Marc Ouellet, PSS, leur a fait parvenir le traditionnel message, qui souligne cette année les enjeux voisins que connaît la riche tradition catholique en Espagne comme en Amérique latine, en particulier son érosion et « une sécularisation qui avance partout. Les signes d'hostilité envers l'Eglise et son message ne manquent pas. L'hédonisme et le relativisme de la société de la consommation et de l'apparence tendent à remplacer et à déraciner la culture chrétienne de ces pays ». Il convient donc de « reformuler et revitaliser la tradition catholique, de l'enraciner plus profondément...afin que resplendisse la vérité qui annonce pour tous un bonheur et un vivre plus humain ». Comme l'Europe, l'Amérique latine a besoin d'une nouvelle évangélisation.

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  • "Une infécondité de l'évangélisation actuelle" ?

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    Il s'agit du prochain SYNODE DES EVEQUES :

    Cité du Vatican, 28 février 2012 (VIS). Le Conseil ordinaire du Secrétariat général du Synode des évêques vient de tenir sa septième réunion, en vue de la XIII Assemblée générale ordinaire d'octobre, consacrée à la nouvelle évangélisation. Dans un communiqué, le Secrétaire général Mgr.Nikola Eterovic précise qu'a été examiné le projet d'Instrumentum Laboris, qui identifie notamment les destinataires de la nouvelle évangélisation et le profil du chrétien face à l'Evangile. Les débats ont été particulièrement fructueux sur « le primat de la foi dans une période de crise de la foi et de sa transmission. On a fait état d'une infécondité de l'actuelle évangélisation, notamment au contact d'une culture ambiante qui, outre un obstacle, constitue un défi pour les chrétiens et pour l'Eglise. L'Année de la foi sera donc une bonne occasion d'approfondir le don de la foi reçue du Seigneur, pour le vivre et le transmettre ». Il est aussi rappelé que « le lieu premier de la transmission étant la famille, il faut expliquer aux jeunes la nécessité d'apprendre à vivre la foi chrétienne dans le cadre de l'expérience familiale. La mission de la famille doit être prolongée par les institutions ecclésiales, puis dans la liturgie, les sacrements et la prédication. Il faut développer les missions paroissiales et la piété populaire, et donner leur place aux mouvements et nouvelles communautés ecclésiales ».

  • Les églises classées dans le collimateur du PS ?

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    C'est P.G., sur catho.be, qui relaie cette information ("Le PS veut "screener" les églises classées") :

    Les députés wallons planchent sur un projet de décret qui établirait un cadastre des lieux de culte classés. Ce document renseignerait notamment sur leur état et leur fréquentation afin d’envisager la réaffectation de certains d’entre eux.

    Les députés socialistes Isabelle Simonis et Daniel Senesael ont déposé au parlement wallon une proposition de décret visant à répertorier dans un cadastre les monuments classés affectés à l’exercice d’un culte. Il y aurait environ 380 églises et 200 chapelles ainsi concernées en Région wallonne et les députés aimeraient avoir davantage de données sur celles-ci, notamment leur état, les travaux à entreprendre (à plus ou moins long terme) pour les sauvegarder, mais aussi leur fréquentation. Pour ces deux parlementaires, un tel cadastre permettrait de disposer d’une base objective à toute décision de restauration ou de réaffectation.

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