Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Spiritualité - Page 207

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 14 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Quinquagésime:

    IMPRIMER

    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Esto mihi »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/ESlNX9wqZMw

    Lectures et chants du propre de la messe :

    Quinquagésime  2.jpgBien que nous soyons toujours dans le temps de la Septuagésime, les chants de ce dimanche de la Quinquagésime sont très différents de ceux de dimanche dernier, qui étaient en grande partie des appels suppliants du fond de notre misère mais, avant d’aborder les austérités du Carême, et pour nous donner courage, l’Église veut nous faire entrevoir la victoire finale et les bienfaits de la rédemption. Ce dimanche correspond d’ailleurs aux réjouissances du carnaval à la veille du mercredi des Cendres.

    Lire la suite

  • L'homélie de Mgr Aupetit lors de la messe à la mémoire de Robert Hossein

    IMPRIMER

    Du site de l'Eglise catholique à Paris :

    Homélie de Mgr Michel Aupetit - Messe du souvenir pour M. Robert Hossein en l’église Saint-Sulpice

    Saint-Sulpice (6e) - Mardi 9 février 2021

    Pour préparer cette célébration, j’ai relu le livre autobiographique de Robert Hossein : La Nostalgie.

    En refermant le livre, je me suis dit : vraiment cet homme est un vivant. Je sais, c’est un peu paradoxal et étrange de dire cela en parlant de quelqu’un qui vient de mourir. Et pourtant, la manière dont il a vécu, dont il a habité sa vie, m’a conduit à ce constat. Il y a tant de gens qui vivent leur vie par procuration comme le chantait Jean-Jacques Goldman, qui se laissent conduire par les événements, les contingences, les conditionnements de toutes sortes, que lorsqu’une personne s’empare de sa vie, devient libre, il n’y a pas d’autre expression que : « cet homme est vivant ».

    Car la vie ce n’est pas seulement de la biologie, car la biologie « ce ne sont que des algorithmes » comme l’affirmait le philosophe Michel Henry. La vie, c’est ce qui nous construit dans les relations, les découvertes, la curiosité, la soif de vivre, la tendresse, enfin tout ce qui nous manque aujourd’hui en ce temps de confinement.

    Il n’est pas étonnant que cet homme ait rencontré celui qui est le Vivant : Jésus-Christ. Il a dit dans son livre : « J’étais simplement fasciné par cet homme. J’éprouvais le besoin viscéral de monter un spectacle pour parler de ce Dieu de miséricorde venu délivrer un message d’amour à l’humanité ». Cette rencontre a été fulgurante. Il a demandé le baptême à 50 ans et il a vraiment assumé ce baptême.

    Être conséquent avec son baptême implique un changement de vie, ou plutôt conduit à une plénitude du regard. Désintéressé, capable d’accueillir des pauvres qui se présente à lui, il a compris cet évangile que nous venons de lire : « Ce que tu fais aux plus petits d’entre les miens c’est à moi que tu le fais » (Mt 25,40). « Car j’avais faim et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! » (Mt 25, 35-40)

    C’est bien ce qu’il avait compris quand il écrit dans son livre : « Il y a trop de détresse de nos jours pour qu’on admette de ne s’occuper que de soi ». Et combien c’est vrai de nos jours où nos prétentions à tout maîtriser sont mises à mal par un simple virus.

    Lire la suite

  • Pandémie : dix conseils à suivre

    IMPRIMER

    De l'abbé Stéphane Seminckx sur didoc.be :

    Dix conseils pour la pandémie

    9 février 2021

    Quelques réflexions à la veille du carême, inspirées par les circonstances du moment.

    Quand saint Paul écrit aux Philippiens, il est en prison — confiné, dirions-nous aujourd’hui. Il leur dit : dans ma prière, je demande que votre amour vous fasse progresser de plus en plus dans la pleine connaissance et en toute clairvoyance pour discerner ce qui est important (Ph 1, 9-10). Pour nous aussi, le confinement peut être l’occasion de prier pour discerner ce qui est important, car, quand Dieu permet le malheur, c’est pour que nous puissions en tirer un bien plus grand.

    Pour saint Paul, dans ce même premier chapitre de l’épître aux Philippiens, ce qui est important est évident : Pour moi, vivre c’est le Christ, et mourir est un avantage (Ph 1, 21). Qu’est-ce que cela signifie pour nous, en 2021, en pleine pandémie, à la veille du carême ?

    1. Vis la vraie vie

    La « vraie vie » (Benoît XVI) n’est pas la vie du corps, la vie physiologique, bridée par le port du masque, la distanciation sociale, l’isolement, etc., mais la liberté intérieure propre à la vie divine, à la vie du Christ en nous. Les vrais trésors ne se trouvent pas au-dehors. Le vrai et l’unique trésor de notre vie est au-dedans de nous : le Christ qui habite dans notre âme en état de grâce. Si nous nous rendions compte de ce que signifie la vie de la grâce ! Le moindre degré de grâce vaut plus que toutes les richesses de l’univers, disait le curé d’Ars.

    Cela ne veut pas dire que nous devons vivre « sur un nuage », étranger aux dimensions contingentes de l’existence et aux conséquences douloureuses de la pandémie. Cela veut dire que, pour résister à la tempête extérieure, il faut ancrer notre cœur dans l’essentiel.

    2. Ne crains pas la mort

    Si la « vraie vie » est la vie de Dieu en nous, alors on peut comprendre que, pour saint Paul, mourir est un avantage, car la mort ouvre à la plénitude de la vie en Dieu.

    Cependant, l’Apôtre ajoute : mais, à cause de vous, demeurer en ce monde est encore plus nécessaire (Ph 1, 24). Il ne faut donc pas désirer la mort, ni s’y exposer de façon téméraire, car « la vie et la santé physique sont des biens précieux confiés par Dieu. Nous avons à en prendre soin raisonnablement en tenant compte des nécessités d’autrui et du bien commun » (Catéchisme de l’Eglise Catholique, n. 2288). Il ne faut pas vivre non plus dans l’angoisse continuelle de la mort, car celle-ci fait partie de la vie et nous savons que Dieu — qui est un Père aimant — nous appellera à Lui au meilleur moment et de la meilleure manière.

    Lire la suite

  • Jérôme Lejeune "vénérable" : portrait d'un chrétien fervent et d'un généticien brillant

    IMPRIMER

    Des propos recueillis par Aymeric Pourbaix, sur le site de France Catholique :

    JÉRÔME LEJEUNE DÉCLARÉ VÉNÉRABLE

    La vie seule peut gagner

    © Fondation Lejeune

    Alors que le pape François a déclaré « vénérable » le professeur Jérôme Lejeune le 21 janvier, nous republions un entretien avec Aude Dugast, postulatrice de la cause du professeur Lejeune et auteur de Jérôme Lejeune. La liberté du savant, Artège. Fervent chrétien, le généticien à l’origine de la découverte de la trisomie 21 n’a jamais séparé sa foi de ses recherches.

    Vous êtes postulatrice de la cause de béatification de Jérôme Lejeune à Rome, et vous avez eu accès à des documents inédits. Qu’avez-vous découvert ?

    Aude Dugast : Lors de la phase d’instruction du dossier à Paris, nous avons dû réunir les documents et témoignages permettant de juger de l’héroïcité des vertus du «  candidat  » à la sainteté. Pour Jérôme Lejeune, homme public de réputation mondiale, cela signifie des dizaines de milliers de documents : les lettres qu’il a échangées avec Birthe, son épouse – ils s’écrivaient chaque jour quand ils étaient éloignés l’un de l’autre –, les courriers scientifiques avec des chercheurs du monde entier, les lettres amicales avec les familles de patients, la correspondance avec les serviteurs de la Vie de très nombreux pays, les lettres avec le Vatican, dont certaines de Jean-Paul II ou du cardinal Ratzinger. À cela il faut ajouter son Journal intime et les 500 articles qu’il a publiés, et enfin ses conférences. Tous ces documents ont été précieusement gardés par Madame Lejeune et présentent une source d’information considérable.

    Personne jusqu’à ce jour n’avait pu se plonger dans tous ces documents. Le procès de canonisation nous en a donné l’opportunité. L’immense majorité des documents qui m’ont servi pour écrire cette biographie sont donc inédits, je crois même pouvoir préciser qu’ils n’avaient été lus par personne depuis la mort de Jérôme Lejeune. Madame Lejeune, dans la postface, raconte qu’elle-même a découvert des événements et des lettres et redécouvert beaucoup de vieux souvenirs. Qu’ai-je découvert ? Une vie lumineuse qui se déploie dans le champ de la science et de la foi. L’épanouissement de la vie d’un saint. Une vie qui ressemble à un roman, mais qui est vraie, pleine de suspens : on voit que Jérôme, à travers sa vie d’époux, de père, de médecin, et de grand témoin de la beauté de la vie, n’est pas né saint mais qu’il l’est devenu. Cela montre que la sainteté est à notre portée.

    Lire la suite

  • "Celui qui prie est comme un amoureux, qui porte toujours dans son cœur la personne aimée, où qu’il se trouve"

    IMPRIMER

    La catéchèse du pape de ce mercredi 10 février (source) :

    Chers frères et sœurs, bonjour!

    Dans la catéchèse précédente, nous avons vu que la prière chrétienne est “ancrée” dans la liturgie. Aujourd’hui, nous mettrons en lumière comment de la liturgie, celle-ci revient toujours à la vie quotidienne: dans les rues, dans les bureaux, dans les moyens de transport… Et là, elle continue le dialogue avec Dieu: celui qui prie est comme un amoureux, qui porte toujours dans son cœur la personne aimée, où qu’il se trouve.

    En effet, tout est assumé dans ce dialogue avec Dieu: chaque joie devient un motif de louange, chaque épreuve est l’occasion d’une demande d’aide. La prière est toujours vivante dans la vie, comme un feu de braises, même quand la bouche ne parle pas, mais le cœur parle. Chaque pensée, même si elle est apparemment “profane”, peut-être imprégnée de prière. Même dans l’intelligence humaine, il y a un aspect orant; en effet, celle-ci est une fenêtre qui s’ouvre sur le mystère: elle éclaire les quelques pas qui se trouvent devant nous et, ensuite, elle s’ouvre à la réalité tout entière, cette réalité qui la précède et la dépasse. Ce mystère n’a pas un visage inquiétant ou angoissant, non: la connaissance du Christ nous rend confiant que là où nos yeux et les yeux de notre esprit ne peuvent pas voir, il n’y pas le néant, mais il y a quelqu’un qui nous attend, il y a une grâce infinie. Et ainsi la prière chrétienne transmet au cœur humain une espérance invincible: quelle que soit l’expérience qui touche notre chemin, l’amour de Dieu peut la transformer en bien.

    A ce propos, le Catéchisme dit: «Nous apprenons à prier à certains moments en écoutant la Parole du Seigneur et en participant à son Mystère pascal, mais c’est en tout temps, dans les événements de chaque jour, que son Esprit nous est offert pour faire jaillir la prière. […] Le temps est entre les mains du Père ; c’est dans le présent que nous le rencontrons, ni hier ni demain, mais aujourd’hui» (n. 2659). Aujourd’hui, je rencontre Dieu, il y a toujours l’aujourd’hui de la rencontre.

    Lire la suite

  • Diocèse de Liège : reprise des activités paroissiales au seuil du carême

    IMPRIMER

    Lu sur le site web officiel du diocèse :

    diocese-150x150.jpg« A l’approche du Carême, alors que le protocole pour les cultes n’a pratiquement pas changé  depuis deux mois, les responsables du diocèse de Liège souhaitent une reprise progressive des activités et célébrations, tout en invitant les acteurs pastoraux à faire preuve de créativité.

    Dans une lettre publiée cette semaine et adressée à tous les acteurs paroissiaux du diocèse, y compris les Fabriques d’église, le vicaire général du diocèse de Liège, Eric de Beukelaer, souhaite que partout, on reprenne « un rythme de vie pastorale, dans le respect des règles sanitaires qui risquent de durer ».

    Au centre évidemment, les eucharisties dominicales, qui ont déjà repris dans un grand nombre de paroisses. Actuellement et jusqu’à nouvel ordre, les assemblées ne peuvent pas dépasser 15 personnes. Malgré cette limitation, le vicaire général souhaite que l’eucharistie soit de nouveau célébrée partout, normalement sur réservation. Il est même permis d’agrandir le nombre de messes, « mais en veillant de ne pas dépasser le doublement du nombre de messes normalement célébrées ».

    Cendres sans messe ?

    Le Carême commence par le grand geste du Mercredi des Cendres. Comment faire en sorte qu’un maximum de paroissiens puisse recevoir les cendres? Réponse du chanoine de Beukelaer: « Dans toutes les églises, il est suggéré de déléguer une équipe de fidèles pour imposer les cendres à diverses heures, au cours d’une célébration de la parole dépouillée, permettant à un maximum de groupes de 15 personnes de vivre ce moment fort de l’entrée en carême. »

    Les baptêmes, mariages et funérailles peuvent être célébrés dans le respect des restrictions sanitaires. Mais qu’en est-il des premières communions, professions de foi et confirmations? Après les annulations en 2020, le retard n’avait pas été rattrapé partout. « Il n’est pas bon de continuer à remettre indéfiniment ces étapes dans le parcours chrétien des jeunes », lit-on dans la lettre aux acteurs pastoraux.  « Nous vous invitons donc à célébrer les premières communions avec une ou maximum deux familles. Pour les professions de foi, on peut imaginer une proclamation des jeunes filmée par vidéo et diffusée sur les réseaux sociaux et un accueil individualisé dans l’église de chaque jeune avec sa famille et parrains. Pour les confirmations, quelque chose de similaire peut être mis en œuvre, le confirmateur accueillant, tour à tour, chaque jeune et sa famille dans l’église. »

    Le texte complet de cette lettre des responsables diocésains peut être consulté en français ou allemand en cliquant ici.

                                                                                                               Ralph SCHMEDER »

    Ref. : Diocèse de Liège : reprise des activités paroissiales au seuil du carême

    Voir aussi : ouverture du carême 2021 : célébrations du mercredi des cendres à l’église du saint-sacrement à Liège

    Le mouvement se prouve en marchant : il avait déjà largement et spontanément anticipé les souhaits officiels qui l’entérinent maintenant et en attendant mieux que la jauge sanitaire absurde prescrite par les arrêtés ministériels qui l’entravent encore aujourd’hui.

    Faut-il rappeler ici ce que déclarait avant-hier le pape François au corps diplomatique accrédité auprès du Saint-Siège à propos de l’importance de la liberté du culte dans le cadre de la crise sanitaire :

    « […] Les exigences pour contenir la diffusion du virus ont aussi eu des conséquences sur diverses libertés fondamentales, y compris la liberté de religion, en limitant le culte et les activités éducatives et caritatives des communautés de foi. Il ne faut pas négliger cependant le fait que la dimension religieuse constitue un aspect fondamental de la personnalité humaine et de la société, qui ne peut être effacé ; et que, alors que l’on cherche à protéger les vies humaines de la diffusion du virus, on ne peut considérer la dimension spirituelle et morale de la personne comme secondaire par rapport à la santé physique.

    La liberté de culte n’est pas un corollaire de la liberté de réunion mais dérive essentiellement du droit à la liberté religieuse qui est le premier et plus fondamental droit humain. Il est donc nécessaire que celle-ci soit respectée, protégée et défendue par les Autorités civiles, comme la santé et l’intégrité physique. D’ailleurs, un bon soin du corps ne peut jamais faire abstraction du soin de l’âme… ».

    JPSC

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 7 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche de la Sexagésime:

    IMPRIMER

     Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Exsurge, Domine »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/doW9TJXAjy8

     

    « Exsurge, quare obdormis Domine?  Exsurge et ne repellas in finem Domine » : lève-toi, pourquoi dors-tu, Seigneur. Lève-toi et ne nous repousse pas pour toujours. Tiré du psaume 43, l’Introït de cette messe est une prière très simple dans laquelle le peuple Juif, écrasé sous l’épreuve et se croyant abandonné de Dieu sans raison, lui demande de revenir et de le sauver.

    Lire la suite

  • Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur

    IMPRIMER

    Introitus Introït
    Ps. 94, 6-7  
    VENÍTE, adorémus Deum, et procidámus ante Dóminum, plorémus ante eum, qui fecit nos: quia ipse est Dóminus Deus noster. Ps. ibid., 1 Veníte, exsultémus Dómino: iubilémus Deo, salutári nostro. ℣. Glória Patri. Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur, et pleurons devant Lui qui nous a faits : car Il est le Seigneur notre Dieu. Ps. Venez, réjouissons-nous dans le Seigneur ; chantons des hymnes à Dieu notre Sauveur. ℣. Gloire au Père.
  • L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault

    IMPRIMER

    Fongombault2.jpg

    Plus d’1,5 million d’internautes ont déjà visionné le magnifique « teaser » de Fons Amoris, le documentaire réalisé par Marc Jeanson sur les moines de Fontgombault. Il faut dire que la pureté des images et le chant grégorien s’avèrent bouleversants dès les premières secondes de cette bande-annonce.

    L’abbaye de Fontgombault, fondée il y a plus de 1000 ans, est une abbaye bénédictine de la congrégation de Solesmes, située dans l’Indre. Elle comprend aujourd’hui une soixantaine de moines vivants, selon la règle de saint Benoît, dans le silence, alternant prières, travail manuel et offices dans la liturgie traditionnelle.

    « Mystère que toutes ces vies cachées au long des siècles, consumées derrière des murs. Mystère insondable et qui, pourtant, à travers les interrogations qu’il éveille au coeur des hommes du monde, peut conduire chacun, selon des voies diverses, aux portes d’un Mystère plus grand encore, celui devant qui seul le silence est éloquent… », souligne le commentaire dès le début du documentaire.

    Voici la bande-annonce de ce documentaire français sur l'abbaye bénédictine de Fontgombault : un documentaire diffusé depuis 2016, avec un succès international, aussi massif que mérité :

    Ref: L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault

    JPSC

  • Où en sont les films SAJE ? Etes-vous abonnés à sa plateforme ?

    IMPRIMER

    Chers amis, 

    Vous vous demandez peut-être " Où en sont les films SAJE " dans cette période compliquée?  Malheureusement la confirmation que les salles de cinémas ne réouvriront pas de sitôt, nous a obligé à décaler nos sorties Cinéma.

    Mais la mission continue et nous avons beaucoup de propositions pour vous !

    Première nouvelle

    La reprise des séances de E-cinéma avec le film Bella !

    A partir du 9 février, découvrez le nouveau film d'Alejandro Monteverde, réalisateur de Little Boy ! 

    Synopsis : Ancienne gloire du football, aujourd’hui cuisinier dans le restaurant mexicain de son frère, José s’est retiré du monde mais quelque chose l’intrigue chez Nina, une jeune serveuse à qui il tend la main. Au cours d’une longue journée ordinaire à New York, ils vont non seulement affronter leur passé, mais découvrir comment le pouvoir de guérison d’une famille peut les aider à embrasser l’avenir.

    Prenez vos places ici !

    Deuxième Nouvelle

    Vous avez toujours rêvé d'un "Netflix" Chrétien ! SAJE l'a fait ! 
    Une plateforme consacrée à toute la famille et un abonnement qui vous permet d'accéder à + de 100 films à partir de 6,99 euros par mois !

    Abonnez vous ici !

    Troisième nouvelle

    Vous rêviez que vos projections privées pour vos institutions reprennent?

    Avec SAJE, c'est désormais possible ! Nous vous proposons plusieurs options pour proposer des séances à distance ! 

    Proposez des séances gratuites ou payantes pour vos invités, en E-cinéma ou via notre plateforme VOD ! 

    Toutes nos offres pour vos séances privées ici !

    Nous avons vraiment besoin de votre soutien ! On compte sur vous pour continuer la Mission! 

    Soyez assurés de nos prières et à très bientôt ! 


    L'Equipe Programmation et Animation Réseau de SAJE Distribution

  • Polémiques : Marie-Madeleine est bien la soeur de Marthe et de Lazare

    IMPRIMER

    De Marzena Devoud sur Aleteia.org :

    Marie-Madeleine est bien la sœur de Marthe et de Lazare

    04/02/21

    En décrétant le 2 février 2021 l’inscription au calendrier romain de la mémoire des saintes Marthe, Marie et saint Lazare le 29 juillet, le Vatican a mis fin aux doutes et aux polémiques concernant l’identité de Marie-Madeleine. En effet, celle qui fut le premier témoin de la Résurrection du Christ est bien la sœur de Marthe et de Lazare.

    Le pape François a tranché. Sa décision est à la fois liturgique et théologique. Par le décret de le Congrégation du culte divin publié le 2 février le Souverain pontife a ordonné d’inscrire au calendrier romain la mémoire des saintes Marthe, Marie et saint Lazare, tous les trois ensemble, le 29 juillet. Comme l’explique le décret, cette décision vient du fait que « l’incertitude de la tradition de l’Église latine quant à l’identité de Marie – la Marie-Madeleine à qui le Christ est apparu après sa Résurrection, la sœur de Marthe, la pécheresse dont le Seigneur a pardonné les péchés – a été résolue dans des études et des temps récents comme l’atteste le Martyrologe romain actuel, qui commémore également Marie et Lazare ce même jour ». Une raison de plus a été également donnée : dans certains calendriers particuliers, les trois membres de cette fratrie sont célébrés ensemble ce jour-là.

    lire la suite sur aleteia.org