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Spiritualité - Page 205

  • La Vierge des Pauvres : un message plein d'espérance (15 janvier)

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    D'Antonio Tarallo sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    La Vierge des Pauvres : un message plein d'espérance

    Le 15 janvier 1933, la Vierge Marie apparaît pour la première fois à Banneux, en Belgique, à Mariette Beco, âgée de onze ans. Lors de cette apparition mariale, reconnue par l'Église en 1949, la Mère de Dieu s'est présentée sous le titre de "Vierge des pauvres" et a indiqué une source bénie, en l'assurant qu'elle était venue "pour soulager la souffrance" de tous ceux qui souffrent.

    Mariette Beco, un visage, une biographie, une femme comme beaucoup : elle est la visionnaire des apparitions mariales de Banneux, en Belgique. Derrière les apparitions de la Vierge - comme l'histoire nous l'apprend - il y a toujours un "destinataire" particulier. En 1933, dans le petit village des Ardennes, dans un hameau appelé La Fange, la "Dame" qui se présente comme "la Vierge des pauvres" apparaît à Mariette. Mariette, née dans une famille modeste, avait 11 ans à l'époque. La Vierge se tourne toujours vers les "simples de cœur", nous le savons bien. Mais que s'est-il passé le 15 janvier 1933, dans ce village isolé de Belgique ?

    Notre histoire commence vers la fin de l'année précédente, en 1932. À cette époque, la nouvelle d'une apparition de la Vierge à cinq enfants à Beauraing, dans le sud de la province de Namur, s'était répandue. Les habitants du petit village ont commencé une neuvaine : ils voulaient un signe de la Vierge Marie, une confirmation de ces apparitions. La neuvaine devait se terminer le 16 janvier 1933. Et le soir du 15 janvier, le signe tant attendu a été donné à Banneux.

    Ce 15 janvier était un dimanche, le jour du Seigneur. Mariette a vu dans le petit jardin de sa maison une "Dame faite de lumière". Son père, Julien Beco, à qui la petite fille a rapporté l'événement, n'a pas cru ses paroles. Lui, grincheux, avait d'autres pensées. En fait, il était au chômage depuis un certain temps (il travaillait dans la métallurgie), et avait un fort ressentiment envers le Seigneur et la Vierge Marie. Le crucifix dans sa maison avait même été recouvert d'un tissu. La Vierge a choisi cet "habitat" familial très difficile pour apparaître et apporter son message d'espoir.  "Je suis la Vierge des pauvres et à tous ceux qui souffrent, je viens pour soulager leurs souffrances", lui dit la Dame. En plus de cette "présentation", deux jours plus tard, il y avait aussi l'indication d'un printemps. Comme toujours, Marie veut donner un signe tangible pour tout le monde. Pour tous ceux qui ne peuvent pas participer aux apparitions elles-mêmes. Et c'est ce qui s'est passé dans ce cas également.

    En effet, le 18 janvier, à sept heures du soir, Mariette a été confrontée à une deuxième apparition. La petite fille a quitté la maison et est allée s'agenouiller près du portail de sa maison. Elle a attendu la Dame. Elle l'a attendue en récitant le Saint Rosaire. Entre deux grands sapins, voici la nouvelle apparition : Marie fait signe à la petite fille de la suivre. Un autre événement extraordinaire a eu lieu : la Vierge lui a demandé de tremper sa main dans une source. "Cette source m'est réservée", lui a-t-elle dit. Immédiatement après, parmi ces mêmes sapins, elle disparaît. Cette source est vite devenue la source de "toutes les nations, de tous les malades". Ces mots lui ont été révélés lors de l'apparition du 19 janvier.

    Jusqu'au 2 mars 1933, il y a eu huit visites de la Vierge à la petite Mariette. Dans la dernière, la Dame a dit : "Je suis la Mère du Sauveur, la Mère de Dieu. Priez beaucoup". L'authenticité des huit apparitions à Banneux a été reconnue dans une lettre pastorale de Monseigneur Louis-Joseph Kerkhofs, évêque de Liège, le 22 août 1949. Monseigneur Kerkhofs avait reçu du Saint-Siège la tâche de traiter l'affaire.

    Déjà en 1934, l'"Union internationale de prières" était née à Banneux : de nombreux pays du monde se joignaient à la récitation du Rosaire chaque soir à la Vierge des pauvres. Depuis lors, Banneux est devenu un centre fort de la spiritualité mariale, la destination d'innombrables pèlerinages de tous ceux qui cherchent une guérison spirituelle et physique.

    Lors d'une visite au site marial le 21 mai 1985, Jean-Paul II l'a exprimé ainsi : "Depuis plus de cinquante ans, non seulement les malades, mais aussi l'immense nombre de pauvres se sentent chez eux à Banneux. Ils viennent ici pour chercher le réconfort, le courage, l'espoir, l'union avec Dieu dans leurs épreuves. Ils viennent ici pour louer et invoquer la Vierge Marie, sous l'appellation spéciale et magnifique de Notre-Dame des Pauvres. Ils sont à juste titre convaincus qu'une telle dévotion correspond à l'Evangile et à la foi de l'Eglise : si le Christ a défini sa mission comme étant d'annoncer la bonne nouvelle aux pauvres, comment sa Mère pourrait-elle ne pas être accueillante envers les pauvres".

    Un lieu peu connu, mais plein d'histoire et de spiritualité. Un lieu éloigné, oublié du monde, choisi par Marie pour donner son message aux souffrants. Une fois de plus - comme en d'autres occasions - la Vierge choisit des personnes "de tous les jours", et non des personnes extraordinaires. Dans ce cas, une fille de onze ans, humble et pas du tout "savante". Pourquoi ? C'est simple. C'est l'Évangile de Matthieu, au chapitre 11, qui nous donne une explication plus que valable : "Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, car tu as caché ces choses aux sages et aux savants et tu les as révélées aux enfants".

  • Cadeau : trois mois d'abonnement gratuit à Chrétiens dans la Cité

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    3 mois gratuits à Chrétiens dans la Cité

    60.00  0.00 

    Description

    Découvrez Chrétiens dans la Cité avec un abonnement gratuit de trois mois.

    Dans une société qui oublie Dieu, les chrétiens sont confrontés aux avancées d’une culture de mort. Avortement, euthanasie, propagande à l’école, attaques contre le mariage et la famille, christianophobie, violence économique, saccage de la nature, mépris des petits et des pauvres…
    Pourtant, les chrétiens ne restent pas inactifs. Ils sont sur tous les fronts… Avec détermination et générosité.

    Mais comment suivre les projets novateurs, les entreprises audacieuses ? Comment s’informer efficacement sur tous ces enjeux décisifs pour l’Église et pour notre monde ?

    C’est pour répondre à ces questions Chrétiens dans la Cité a été lancé en 1996. Cette lettre d’information propose dans chaque numéro :

    L’analyse d’un événement important ;
    Un agenda des principaux rendez-vous ;
    Des nouvelles brèves de tous les fronts ;
    Une fiche présentant un mouvement, un projet ;
    La présentation d’un livre.

    Chrétiens dans la Cité, en quatre pages, vise l’essentiel. Concis, complet, facile à lire, sans bavardages, parce que
    Vous ne pouvez pas tout lire
    mais vous voulez tout savoir…
    …sur les initiatives prises par les chrétiens dans la vie sociale, économique et politique : famille, école, entreprise, institutions…

    Vous êtes submergé d’informations. Internet, télévision, radio… Chrétiens dans la Cité  offre une synthèse et des informations difficiles à trouver ailleurs. Sans commentaires inutiles ou polémiques. Des faits. Seulement des faits. Des informations sûres. De nombreux responsables d’associations, personnalités religieuses, élus politiques, cadres d’entreprise, retraités actifs ou simples fidèles de base, nous disent combien ils apprécient d’avoir accès rapidement aux informations qu’ils recherchent.

    Chrétiens dans la Cité n’est pas l’organe d’une chapelle ou d’une coterie, mais une lettre d’information indépendante. Avec une ambition : favoriser la communication entre chrétiens de diverses sensibilités.

    Les abonnés témoignent

    « Abonné depuis ie premier numéro, je lis toujours votre lettre avec profit. Elle est un élément fondamental d’information pour un responsable d’association. » (R. H., 59)
    « J’apprécie surtout votre ton positif : sans cacher les difficultés auxquelles sont confrontés les catholiques, vous montrez qu’ils sont capables d’agir et de réagir. » (C. S., 92)
    « Je suis très intéressé par les associations que vous présentez. Vous êtes bien les seuls à couvrir tout l’éventail des mouvements existants, qui souvent s’ignorent. » (J.-F. B., 13)
    « Père de famille nombreuse et cadre d’entreprise, j’ai peu de temps libre pour la lecture. En 10 minutes, je sais l’essentiel. Merci ! » (F. R., 69)

    Mgr Dominique Rey, un lecteur assidu

    Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, nous écrit :
    « Chrétiens dans la Cité apporte des informations utiles, souvent peu relayées par les médias français, concernant la vie de l’Église dans la cité, en particulier en ce qui concerne la dimension éthique et sociale. Pour sortir des “prêt-à-penser”, des poncifs et des préjugés, il est nécessaire de disposer de telles informations… Lecteur assidu de Chrétiens dans la Cité, je vous encourage à le faire connaître et je vous prie de croire à mon soutien et à mon souhait, pour qu’il soit promu et connu. »

  • La Révolution (Joseph Malègue) (Feuillet pour le temps du confinement)

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  • Le motu proprio Spiritus Domini : les femmes peuvent-elles servir la messe ?

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    D'Arnaud Dumouch sur sa chaine youtube :

    11 janv 2021 : motu proprio intitulé « Spiritus Domini » : Les femmes peuvent-elle servir la messe ? (8 mn) Ce 11 janvier 2021, Par un motu proprio intitulé « Spiritus Domini », le pape François a inscrit définitivement et pour toute l'Église catholique latine cette mesure dans le droit canonique : les « enfants de chœur » comme on les appelle communément, pourront être indistinctement des garçons ou des filles. Cette loi de l’Eglise a un sens profond : Si le Christ homme est représenté par un prêtre homme à l’autel, il est logique que l’Eglise pour qui il a donné sa vie, soit aussi symbolisée par des femmes selon ce texte de saint Paul : « Ephésiens 5, 32 ce mystère est de grande portée (le mariage est un grand sacrement) ; je veux dire qu'il s'applique au Christ et à l'Eglise ».

  • Crèche... (suite) : les noces de Cana (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Eloge du rite

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    De Denis Crouan sur le site ProLiturgia.org :

    Le rite a été depuis la préhistoire et jusqu’à une période récente le seul moyen qu’avait l’homme pour donner un sens à son existence et dominer les angoisses de la vie. Chesterton disait que « l’homme était ritualiste avant même de savoir parler ». Aujourd’hui, peu se soucient de connaître le rôle des rites ; la grande majorité des catholiques pratiquants ne savent plus ce qu’est un rite, quel est sa fonction, pourquoi il a sa place à tel endroit d’une liturgie et pas ailleurs. Les rites et les rituels ont été relégués dans une sorte d’armoire à vieilleries : de temps à autre, on les en sort, on les dépoussière un peu et on les utilise plus ou moins maladroitement comme pour donner un semblant de lustre à une cérémonie. Les rites ? À quoi bon ? En a-t-on besoin dans une société qui base son avenir sur l’avoir, sur les consolations artificielles que procure Mammon ? Et pourtant... N’est-ce pas en période de crise, de pandémie, que l’on redécouvre la nécessité des rites ? N’est-ce pas à ces moments-là que leur agencement liturgique donne du sens à nos existences ?

    Le rite ne se situe pas au terme d’une évolution religieuse, mais à son commencement : il est la forme première d’un culte rendu à Dieu et non le résultat de laborieuses réflexions menées en groupes. L’Église catholique elle-même n’a jamais songé à fabriquer des rites qui, mis ensemble, auraient permis l’élaboration d’une liturgie ; l’Église n’a fait que s’approprier des usages qu’elle a comme « triés » en jugeant certains convenables en tant qu’expression orthodoxe de sa foi et d’autres inappropriés en tant que porteurs d’une théologie bancale voire malsaine pour l’équilibre psychologique des fidèles.

    Les rites ainsi conservés ont pu être agencés de façon à former la liturgie : liturgie eucharistique évidemment, mais aussi liturgie des Heures (Laudes, Vêpres, Complies, etc.) venant rythmer le cours du temps.

    La liturgie ainsi élaborée est humaine par excellence : au milieu des tribulations de ce monde, elle permet à l’homme de s’assurer une zone où il lui sera possible de vivre tranquillement. Cependant, la liturgie ne devient un acte cultuel que dans le cadre de la religion et à son service.

    Le pouvoir d’accomplir les rites liturgiques est conféré par un mandat ou une consécration, ce qui est la même chose dans le contexte chrétien : « Nul ne s’attribue cette dignité, s’il n’est appelé de Dieu, comme le fut Aaron. Et Christ ne s’est pas non plus attribué la gloire de devenir souverain sacrificateur, mais il la tient de celui qui lui a dit : Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui ! » (Héb. 5, 4-5 ; Chant d’entrée de la messe de la nuit de Noël).

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  • "Le prêtre est et restera l’homme du sacré"

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    Lu sur le Salon Beige :

    Prêtre, pour quoi faire ?

    Depuis quelques décennies, le ministère de prêtre ne donne pas envie à des jeunes de s’y engager. En effet, ceux ceux-ci voient certains prêtres parfois lassés de leur ministère, d’autres sont débordés par des activités qui ne sont pas forcément principales dans leur vocation, d’autres encore de véritables managers, plus intéressés par la gestion d’une paroisse que par le Salut des âmes… Autant dire que la vocation de prêtre n’a plus son sens, tant elle n’est plus celle du prêtre disponible, mais elle devient celle d’un gestionnaire qui règle des conflits entre ses paroissiens et accommode le sacré par peur de choquer…

    Il y a peu, une enquête faite auprès des prêtres a fait état de chiffres alarmants quant à la dépression, la consommation d’alcool et d’anxiolytiques… mais pourquoi cela ? Cette question, beaucoup de personnes se la posent et ne comprennent pas, tout simplement parce que l’on ne regarde sûrement pas là où il faut. On regarde les branches de l’arbre, on constate qu’elles ne sont pas mirobolantes, mais avons-nous regardé les racines ? Non, pas vraiment, parce que cela pourrait remettre en question des pratiques ancrées depuis des décennies ! On préfère alors pérorer sur des futilités de la vie du prêtre : « Oui, mais le célibat du prêtre est un poids pour eux, marions-les ! » Ou encore : «il a trop de travail, faisons des choses à sa place ». Sur l’arbre, ces questions représentent le tronc. Mais le problème n’est pas là. Il est là où on sait que ça pourrait choquer ! Il est dans la relation avec les fidèles laïcs. Mais, là, il n’y a plus personne pour l’entendre tellement cela pourrait provoquer une guerre au sein même d’un clocher…

    Il y a quelques années est sorti un livre s’intitulant « Monsieur le Curé fait sa crise« [1] on voit sur la couverture l’ombre d’un homme partant en courant… Dans ce livre, est racontée l’histoire d’un curé d’une paroisse lambda qui se retrouve à gérer des problèmes entre les personnes, celle de l’équipe fleurs par exemple. Il décide alors de partir au fond de son jardin et de s’y cacher. Et personne n’arrive à le retrouver ! On s’inquiète : « qu’allons-nous faire pour les messes du dimanche ? » Ce livre, par son humour, a fait sourire des catholiques pratiquants ; mais, derrière cet humour cinglant, on peut constater qu’en sous-main, l’auteur veut montrer que ce prêtre, intérieurement, est en crise…

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  • Crèche... (suite) : le baptême de Jésus dans le Jourdain (feuillet pour le temps du confinement)

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  • 15 janvier à 10H00, messe en direct depuis Banneux sur KTO pour la fête de Notre-Dame de Banneux

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    D' sur Cathobel :

    Notre-Dame de Banneux fêtée à distance

    La chaîne  met cette année le sanctuaire de  à l’honneur, à l’occasion de la fête de Notre-Dame de  célébrée le vendredi 15 janvier.

    Pour le sanctuaire de Banneux, l’année commence souvent à la date du 15 janvier. A cette date, il y a 88 ans, Marie est apparue pour la première fois à Mariette Becco. Le recteur actuel du sanctuaire, Léo Palm, resitue le contexte : « C’était un dimanche soir, en plein hiver, dans un contexte de crise économique… » Ce soir-là donc, la jeune Mariette a vu, selon le récit officiel, « une Belle Dame lumineuse dans le jardin devant la maison. Sa maman la voit aussi. La Vierge invite l’enfant par un signe de la main, mais Mme Beco prend peur et ferme la porte à clef. » Lors des apparitions suivantes, Marie a délivré son message en huit étapes.

    Chaque année, Banneux organise une messe pour célébrer l’anniversaire de cette première apparition mariale. Vu la météo hivernale, peu de public fait généralement le déplacement vers le sanctuaire. Depuis quelques mois, en raison des contraintes sanitaires, Banneux a fait le choix de ne pas organiser de messes puisqu’il est très difficile d’en limiter l’accès à seulement 15 personnes. Alors, comment marquer l’évènement du début des apparitions ? Léo Palm raconte avoir reçu comme un « cadeau du Ciel » la possibilité que la chaîne KTO vienne retransmettre la messe célébrée ce jour-là à 10h. La diffusion sera suivie d’un entretien avec le recteur du sanctuaire où il rappellera le message marial délivré en ce lieu au début du siècle dernier.

    « Je viens soulager la souffrance« , cette phrase prononcée par la Vierge Marie le 11 février 1933 avait été choisie comme thème d’année en 2020. Puisque beaucoup des évènements et activités prévus l’année dernière ont été annulés, le sanctuaire garde ce même thème en le complétant. En 2021, les pèlerins sont invités à « contempler Marie comme mère de l’Espérance« . Cette démarche est d’ores et déjà possible lors d’une visite sur place puisqu’un chemin de prière a été mis en place avec un texte d’accompagnement disponible à la maison de la Source. Les pèlerins peuvent aussi se recueillir à la grande chapelle du message, en respectant évidemment les gestes barrières. Peut-être les circonstances seront-elles un peu assouplies pour le dernier anniversaire des apparitions en date du 2 mars…

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    Vendredi 15 janvier 2021, messe depuis Banneux à 10h diffusée sur KTO

    Regarder KTO en Belgique: Proximus canal 215, Telenet 36 (Bruxelles et Wallonie), VOO 147, Orange 98, Scarlet 299.

  • Crèche (suite) : le recouvrement de Jésus au Temple (feuillet pour le temps du confinement)

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  • À l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège : quelques variations pour chœur et orgue en ce temps de noël et la messe dominicale du 10 janvier 2021 dédiée à la Sainte Famille

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    Une animation autour de la crèche aux 150 santons 2021

    Entrée libre durant le mois de janvier 

    dans le respect des conditions sanitaires prescrites:

    santons liégeois pour fêtes de  noël st sacrement DSC00444.JPG

    Tous les mardis, de 17h à 19h

    Tous les jeudis, de 10h à 12h et de 14h à 17h

    Tous les vendredis de 12h à 14h

    Tous les samedis de 15h à 17h

     

    Enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du dimanche 10 janvier 2021 à 10h,  la messe traditionnelle (missel de 1962) est dédiée à la Sainte Famille de Jésus, Marie, Joseph :

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  • "Dilexisti iustitiam"; introit grégorien de la messe du dimanche du Baptême du Seigneur

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