| Introitus | Introït |
| Ps. 94, 6-7 | |
| VENÍTE, adorémus Deum, et procidámus ante Dóminum, plorémus ante eum, qui fecit nos: quia ipse est Dóminus Deus noster. Ps. ibid., 1 Veníte, exsultémus Dómino: iubilémus Deo, salutári nostro. ℣. Glória Patri. | Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur, et pleurons devant Lui qui nous a faits : car Il est le Seigneur notre Dieu. Ps. Venez, réjouissons-nous dans le Seigneur ; chantons des hymnes à Dieu notre Sauveur. ℣. Gloire au Père. |
Spiritualité - Page 219
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Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur
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L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault

Plus d’1,5 million d’internautes ont déjà visionné le magnifique « teaser » de Fons Amoris, le documentaire réalisé par Marc Jeanson sur les moines de Fontgombault. Il faut dire que la pureté des images et le chant grégorien s’avèrent bouleversants dès les premières secondes de cette bande-annonce.
L’abbaye de Fontgombault, fondée il y a plus de 1000 ans, est une abbaye bénédictine de la congrégation de Solesmes, située dans l’Indre. Elle comprend aujourd’hui une soixantaine de moines vivants, selon la règle de saint Benoît, dans le silence, alternant prières, travail manuel et offices dans la liturgie traditionnelle.
« Mystère que toutes ces vies cachées au long des siècles, consumées derrière des murs. Mystère insondable et qui, pourtant, à travers les interrogations qu’il éveille au coeur des hommes du monde, peut conduire chacun, selon des voies diverses, aux portes d’un Mystère plus grand encore, celui devant qui seul le silence est éloquent… », souligne le commentaire dès le début du documentaire.
Voici la bande-annonce de ce documentaire français sur l'abbaye bénédictine de Fontgombault : un documentaire diffusé depuis 2016, avec un succès international, aussi massif que mérité :
Ref: L’incroyable succès d’une vidéo sur les moines bénédictins de Fontgombault
JPSC
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Où en sont les films SAJE ? Etes-vous abonnés à sa plateforme ?
Chers amis,
Vous vous demandez peut-être " Où en sont les films SAJE " dans cette période compliquée? Malheureusement la confirmation que les salles de cinémas ne réouvriront pas de sitôt, nous a obligé à décaler nos sorties Cinéma.
Mais la mission continue et nous avons beaucoup de propositions pour vous !
Première nouvelle
La reprise des séances de E-cinéma avec le film Bella !
A partir du 9 février, découvrez le nouveau film d'Alejandro Monteverde, réalisateur de Little Boy !Synopsis : Ancienne gloire du football, aujourd’hui cuisinier dans le restaurant mexicain de son frère, José s’est retiré du monde mais quelque chose l’intrigue chez Nina, une jeune serveuse à qui il tend la main. Au cours d’une longue journée ordinaire à New York, ils vont non seulement affronter leur passé, mais découvrir comment le pouvoir de guérison d’une famille peut les aider à embrasser l’avenir.

Deuxième Nouvelle
Vous avez toujours rêvé d'un "Netflix" Chrétien ! SAJE l'a fait !
Une plateforme consacrée à toute la famille et un abonnement qui vous permet d'accéder à + de 100 films à partir de 6,99 euros par mois !

Troisième nouvelle
Vous rêviez que vos projections privées pour vos institutions reprennent?
Avec SAJE, c'est désormais possible ! Nous vous proposons plusieurs options pour proposer des séances à distance !
Proposez des séances gratuites ou payantes pour vos invités, en E-cinéma ou via notre plateforme VOD !Toutes nos offres pour vos séances privées ici !
Nous avons vraiment besoin de votre soutien ! On compte sur vous pour continuer la Mission!
Soyez assurés de nos prières et à très bientôt !
L'Equipe Programmation et Animation Réseau de SAJE DistributionLien permanent Catégories : Actualité, Art, Culture, Eglise, Ethique, Films, Foi, Médias, Société, Spiritualité 0 commentaire -
Polémiques : Marie-Madeleine est bien la soeur de Marthe et de Lazare
De Marzena Devoud sur Aleteia.org :
Marie-Madeleine est bien la sœur de Marthe et de Lazare
04/02/21
En décrétant le 2 février 2021 l’inscription au calendrier romain de la mémoire des saintes Marthe, Marie et saint Lazare le 29 juillet, le Vatican a mis fin aux doutes et aux polémiques concernant l’identité de Marie-Madeleine. En effet, celle qui fut le premier témoin de la Résurrection du Christ est bien la sœur de Marthe et de Lazare.
Le pape François a tranché. Sa décision est à la fois liturgique et théologique. Par le décret de le Congrégation du culte divin publié le 2 février le Souverain pontife a ordonné d’inscrire au calendrier romain la mémoire des saintes Marthe, Marie et saint Lazare, tous les trois ensemble, le 29 juillet. Comme l’explique le décret, cette décision vient du fait que « l’incertitude de la tradition de l’Église latine quant à l’identité de Marie – la Marie-Madeleine à qui le Christ est apparu après sa Résurrection, la sœur de Marthe, la pécheresse dont le Seigneur a pardonné les péchés – a été résolue dans des études et des temps récents comme l’atteste le Martyrologe romain actuel, qui commémore également Marie et Lazare ce même jour ». Une raison de plus a été également donnée : dans certains calendriers particuliers, les trois membres de cette fratrie sont célébrés ensemble ce jour-là.
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La mémoire des martyrs bulgares du totalitarisme communiste
De Vatican News :
Une messe du cardinal Sandri pour les 4 martyrs bulgares du stalinisme
Le préfet de la Congrégation pour les Églises orientales a célébré lundi 1er février à Rome une messe votive en hommage aux quatre bienheureux martyrs bulgares du totalitarisme communiste: Mgr Eugène Bossilkov, premier catholique bulgare à être béatifié -en 1998-, et trois prêtres assomptionnistes, les bienheureux Pavel Dzidzov, Kamen Vichev et Josafat Scisckov.Ils étaient 2 618. Politiciens, officiers de l'armée, professeurs d'université et nombreux religieux, orthodoxes ou catholiques, tous ont été condamnés à mort le 1er février 1945 par un «Tribunal populaire» du régime communiste bulgare naissant. Une centaine d’entre eux ont été exécutés le jour même. C'est à cette date symbolique que la Bulgarie célèbre chaque année la «Journée de reconnaissance et du respect des victimes du totalitarisme et en particulier du régime communiste», instituée par le gouvernement bulgare le 20 janvier 2011.
Sofia et Rome unies dans la commémoration
Il s’agit d’une journée commémorée par les autorités civiles et par l'Église orthodoxe bulgare, qui a été rejointe spirituellement hier à Rome par le cardinal Leonardo Sandri. Le préfet de la Congrégation pour les Églises orientales a présidé lundi 1er février une célébration eucharistique votive en la basilique Saint-Barthélemy-en-l'Île sur l’île Tibérine au cœur de Rome (San Bartolomeo all'Isola) pour les quatre bienheureux martyrs bulgares, également victimes du totalitarisme communiste: l'évêque passionniste de Nicopolis, Mgr Eugène Bossilkov (1900-1952) et les trois pères assomptionnistes Pavel Dzidzov, Kamen Vichev et Josafat Scisckov, condamnés à mort et fusillés en 1952.
L'initiative, promue à Rome par l'ambassade de Bulgarie près le Saint-Siège, s’est déroulée de manière «connectée» avec le pays, visité par le Pape François en mai 2019, à l'occasion même du dixième anniversaire de l'institution de cette journée commémorative.
Le sang des martyrs pour l’avenir
Dans son homélie ce lundi, le cardinal Sandri a souligné le fil rouge qui lie les quatre martyrs catholiques aux autres victimes du régime communiste en Bulgarie: «Par leur martyre, ils ont témoigné que les catholiques, les byzantins et les latins, aujourd'hui comme alors, sont et veulent être de véritables enfants de la Bulgarie, des citoyens exemplaires qui contribuent à sa croissance et au bien commun, aux côtés de leurs frères de l'Église orthodoxe, des musulmans, des juifs et des hommes et femmes de bonne volonté», a souligné le cardinal argentin. Leur sang, a-t-il noté, citant les paroles du bienheureux Bossilkov, est le garant d'un avenir splendide pour l'Église en Bulgarie.
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Benoît XVI : un pape amoureux de musique sacrée
D'Augustin Talbourdel sur le site de l'Homme Nouveau :
Benoit XVI, pour l'amour de la musique sacrée
« En regardant le cours de ma vie, je rends grâce à Dieu d’avoir placé à mes côtés la musique comme une sorte de compagne de voyage, qui m’a toujours offert réconfort et joie », confiait Benoît XVI en 2007, au terme d’un concert offert pour ses 80 ans dans la salle Paul VI. Le plus mélomane des papes depuis saint Pie X a toujours accordé un intérêt particulier à la musique sacrée et au renouveau de la musique liturgique, à l’aune du concile Vatican II. Qui mieux que Benoît XVI, tout à la fois mélomane et musicien, prêtre et théologien, pouvait comprendre la nature de la musique sacrée ? Il en a notamment expliqué toute la portée dans son célèbre livre L'Esprit de la Liturgie, un texte nécessaire alors que la réforme liturgique a apporté dans son sillage une incompréhension, voire une négation, du rôle propre de la musique sacrée. Une synthèse éclairante de l'apport de Benoit XVI sur le sujet.
Depuis sa jeunesse en Allemagne jusqu’à ses dernières années à Rome, le pape Benoît XVI a été à la fois un grand amateur de musique et un bon musicien. Pianiste réputé et fin connaisseur de la musique sacrée et profane, de Palestrina à Arvo Pärt, il aime raconter sa première rencontre avec la musique, lorsqu’en 1941 il s’est rendu au Festival de Salzbourg, avec son frère Georg, pour écouter la Messe en ut mineur de Mozart. Depuis, sa passion pour la musique classique, et notamment pour le compositeur autrichien, n’a jamais faibli. Si son frère a consacré toute sa carrière à la musique, devenant le Kapellmeister de la cathédrale de Ratisbonne, prestigieux berceau du renouveau grégorien au siècle précédent, Joseph Ratzinger a, quant à lui, œuvré pour sauver la musique de la double crise, esthétique et liturgique, qui la menaçait depuis Vatican II. Évêque de Rome, il a redonné ses lettres de noblesse au patrimoine musical de l’Église tout au long de son pontificat ; théologien, il s’est efforcé de repenser musiques sacrée et liturgique à la lumière des Écritures et de l’histoire de l’Église.
Malgré l’invitation de saint Pie X et de ses successeurs à privilégier le grégorien et la polyphonie classique et l’insistance des pères conciliaires quant à la promotion du « trésor de la musique sacrée », la musique liturgique a connu une réforme radicale au lendemain du concile. Déplorant l’opposition systématique entre une musique créative, festive et porteuse de la communauté et un « répertoire ancien mythifié », symbole d’une « contre-culture catholique », le pape émérite invite à repenser le rapport entre musique et liturgie.
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Trois docteurs de l'Eglise, Hildegarde de Bingen, Grégoire de Narek et Jean d’Avila, inscrits au Calendrier romain général
D'ANNE KURIAN-MONTABONE sur zenit.org :
Hildegarde de Bingen, Grégoire de Narek et Jean d’Avila inscrits au Calendrier romain général
Les trois Docteurs de l’Eglise de cette dernière décennie
Dans un décret publié ce 2 février 2021, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements rappelle que les « Docteurs de l’Eglise » sont des « disciples de la Sagesse divine », qui sont « à leur tour devenus des enseignants de sagesse pour toute la communauté ecclésiale ».
La religieuse bénédictine allemande sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), le prêtre espagnol saint Jean d’Avila (1500-1569) ont été proclamés Docteurs de l’Eglise en 2012 – sous le pontificat de Benoît XVI – et l’abbé arménien saint Grégoire de Narek (950-1005) en 2015 – sous celui du pape François.
Ces « figures particulières de saints d’Occident et d’Orient », précise le texte du décret signé du cardinal Robert Sarah, préfet du dicastère, sont désormais des mémoires facultatives qui doivent être inscrites dans tous les calendriers et les livres liturgiques pour la célébration de la messe et de la Liturgie des Heures.
Les lectures fixées pour la messe de leur fête sont en première lecture Sagesse 7, 7-10. 15.16, ; en Psaume 36, 3-4. 5-6. 30-31 ; en Evangile Matthieu 7, 21-29.
Hildegarde de Bingen
Surnommée « la sybille du Rhin », prophétesse et poéte, médecin et moraliste politique, Hildegarde de Bingen est considérée comme la première des grandes mystiques allemandes. Elle réprimanda des papes et des princes – sans exception pour l’empereur Frédéric Barberousse -, des évêques et des laïcs, avec, dit-on « une probité entière et une justice sans erreur ».
Elle n’avait pas huit ans lorsque ses parents la confiérent à la mystique Jutta de Sponheim qui vivait auprés des bénédictines de Diesenberg et gouvernait le monastère. A la mort de celle-ci, en 1136, elle lui succéda comme abbesse. Dix ans plus tard, elle transféra le monastère à Rupertsberg, prés de Bingen.
Grégoire de Narek
Grégoire de Narek, prêtre et moine, a vécu au 10e siècle en Arménie : il est né aux environs de 950 à Andzevatsik (aujourd’hui en Turquie) et mort à Narek vers 1005. Issu d’une lignée d’érudits et d’hommes d’Église, il entra dans la vie monastique – il vécut la plus grande partie de sa vie au monastère de Narek – à un âge précoce et excella en musique, astronomie, géométrie, mathématiques, littérature et théologie.
Il devint prêtre à l’âge de 25 ans et commença ses écrits par un commentaire du « Cantique des cantiques », qui lui avait été commandé par un prince arménien. Son oeuvre fut réputée pour la clarté de sa pensée et de son langage et pour l’excellence de sa présentation théologique. Il écrivit aussi de nombreuses lettres, « sharagans » (ou hymnes), trésors, odes, mélodies et discours connus. Beaucoup de ses prières sont incluses dans la Divine liturgie célébrée le dimanche dans les églises arméniennes à travers le monde.
Jean d’Avila
Né en 1499 ou 1500 près de Tolède, dans une famille de juifs qui avaient embrassé la foi chrétienne, Jean d’Avila a été ordonné prêtre dès 1525, après la mort de ses parents. Il mit ses talents d’orateur au service de l’Evangile, à Tolède, tout en menant une vie simple et sainte.
A Salamanque, Jean d’Avila était aussi proche de la Compagnie de Jésus. Il a guidé certains jésuites, il a étudié avec eux, et il les a aidés dans les difficultés. Constatant cette proximité, saint Ignace de Loyola aurait voulu qu’il rejoigne la Compagnie. Une grande partie de l’expansion des Jésuites en Espagne lui est en effet attribuée.
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Sur le don de sagesse (avec Yvonne Estienne, les invités de la Pentecôte, 3e partie) (feuillet pour le temps du confinement)
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Un séminaire diocésain ressuscité par Mgr Marc Aillet , évêque de Bayonne: modèle à suivre ?
Après la crise post-conciliaire, le séminaire devenu trop grand ferme ses portes en 1973 et il est vendu à la municipalité qui en fait un conservatoire de musique, de théâtre et de danse. Les séminaristes s'installent dans d'autres locaux. Ce séminaire forme les futurs prêtres du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, ainsi que ceux du diocèse de Dax. Mgr Molères décide de le fermer en 2005, les vocations n'étant pas assez soutenues. L'ancien séminaire de Mgr Gieure abrite aujourd'hui la Cité des Arts de la ville de Bayonne et l'ancienne chapelle aux vitraux remarquables de Mauméjean est devenue l'auditorium Daniel-Dechico.
Mgr Aillet, évêque de Bayonne depuis 2008, réagit en ouvrant en 2009 une classe de propédeutique et en septembre 2010 cinq étudiants entrent dans des locaux provisoires, puis il lance en 2011 le projet de l'Espace Cestac installé dans l'ancien couvent des capucins, au 50 avenue de la Légion tchèque. Cet espace réunit la bibliothèque diocésaine avec salles de conférences, riche d'un fonds ancien exceptionnel de 45.000 livres et 6.000 documents, et le séminaire proprement dit. Il y a déjà une vingtaine d'étudiants dès 2013-14. Les travaux débutent en septembre 2015. Les nouveaux locaux rénovés sont bénis par lui le 1er octobre 2016 en présence du maire de la ville, M. Jean-René Etchegaray et de diverses personnalités. Le séminaire est placé sous les vocables des Saints Cœurs de Jésus et de Marie.Le cursus au séminaire de Bayonne s'étend aujourd'hui sur six annéesː deux ans de formation philosophique, deux ans de stage pratique suivis de deux ans de formation théologique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9minaire_de_Bayonne
JPSC
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À voir ou à revoir : un monastère de religieuses orthodoxes de Bucovine
A voir sur ARTE :
À l’extrême nord de la Roumanie, non loin de l’Ukraine et de la Moldavie, se trouve le monastère de Sucevita, l'un des plus beaux sites de la région de Bucovine, coeur historique de la Moldavie adossé aux Carpates. C'est le seul monastère dont les murs intérieurs et extérieurs sont intégralement décorés de fresques et de peintures.
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Le drame liturgique dans l'Eglise (jeux de la Résurrection et de la Nativité) (feuillet pour le temps du confinement)
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Aux origines de la crèche (7) : 2 versions de la procession des prophètes (feuillet pour le temps du confinement)
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