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Spiritualité - Page 218

  • Dévolue à la famille : une année "Famille Amoris Laetitia" (mars 2021 - juin 2022)

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    Brochure du Dicastère sur l'Année "famille Amoris laetitia"

    De Vatican News :

    Le Pape convoque une année “Famille Amoris laetitia”

    L’annonce a été faite ce dimanche 27 décembre 2020, où l’Église célèbre la Sainte Famille de Nazareth: le Souverain pontife décrète une année “Famille Amoris Laetitia”, qui sera inaugurée au cours de la prochaine solennité de saint Joseph, le 19 mars 2021.

    Pour le Pape, la fête de ce dimanche rappelle l’urgence de redécouvrir l’appel de la famille à être «évangélisatrice par son exemple de vie» en proposant à nouveau «l'idéal de l'amour conjugal et familial, comme le souligne l'exhortation apostolique Amoris laetitia», dont le 5e anniversaire de publication aura lieu le 19 mars prochain. Aussi, cette année sera-t-elle l'occasion «d'approfondir le contenu de ce document», a annoncé le Saint-Père au cours de l'Angélus.

    Cette année spéciale, intitulée “Famille Amoris laetitia”, sera donc inaugurée lors de la prochaine solennité de Saint Joseph et se terminera avec la 10e Rencontre mondiale des familles qui se tiendra à Rome en juin 2022, en présence du Saint-Père, précise un communiqué du Dicastère Famille, laïcs et vie, cheville-ouvrière de l'événement.

    «Des outils pastoraux seront mis à la disposition des communautés ecclésiales et des familles, pour les accompagner dans leur cheminement», a expliqué le  Souverain pontife, qui invite en conséquence tous les fidèles à se joindre dès à présent aux initiatives qui seront promues au cours de cette année par le Dicastère romain.

    «Confions à la Sainte Famille de Nazareth, en particulier à saint Joseph, époux et père attentif, ce voyage avec les familles du monde entier», a conclu le Saint-Père, qui le 8 décembre dernier, a décrété une autre Année spéciale dédiée justement à l’Époux de la Vierge Marie, par le biais de la Lettre apostolique Patris corde.

    Une année spéciale qui exhorte à témoigner de l'amour familial

    Des initiatives spirituelles, pastorales et culturelles pour accompagner les familles face aux défis de notre temps. Le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie les propose afin de soutenir les paroisses, les diocèses, les universités et les associations dans la célébration de l'Année de la “famille Amoris laetitia”, convoquée par le Pape François dans le sillage de son exhortation Apostolique consacrée à l'amour familial.

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  • Suivre ici en vidéo, dès aujourd’hui, la messe traditionnelle de ce 27 décembre 2020,dimanche dans l’octave de Noël, chantée en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Dum medium »; Kyriale de la messe IX  « Cum jubilo » (XIIIe s.); Credo III (XVIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

           

    Le dimanche dans l’octave de la Nativité chante la royauté du Seigneur cachée dans le silence, l’humilité et l’obéissance. C’est que le Fils éternel a voulu prendre la « forme d’esclave » » pour libérer ceux qui étaient esclaves du péché, et en faire les libres enfants de Dieu.

    nativity-scenes-famous-paintings-scnes-de-la-nativit-les-tableaux-clbres-11-638.jpgDans son célèbre « Dialogue des carmélites », l’écrivain Georges Bernanos Bernanos a repris cette oxymore du « petit Roi de gloire » dont il souligne à la fois la puissance et la faiblesse qui renvoient aux priorités de la « kénose » du Christ : le royaume de Dieu (tout à la fois présent et absent) et les pauvres (tout à la fois mendiants et rois).

    Le chant d’entrée de cette messe exalte ainsi l’incarnation du Sauveur dont l’avènement s’opère dans le mystère et le silence, au milieu de la nuit de Bethléem tandis que le graduel et l’alleluia annoncent la majesté du Christ-Roi dont Siméon, dans la lecture extraite de l’évangile de saint Luc, prophétise qu’il sera un signe de contradiction : délivrance pour ceux qui l’accueillent, châtiment pour les autres. Car, comme le chante l’offertoire, si Dieu a fait de l’univers son siège inébranlable, Lui est de toute éternité et, par la Communion, le Christ vient prendre la tête de son peuple pour le conduire vers sa véritable patrie : le Ciel.

    Pour regarder toutes les vidéos de messes ou autres événements organisés à l’église du Saint-Sacrement, cliquez sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw

    JPSC

  • Prier pour les chrétiens persécutés; une invitation du pape François

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Le pape François prie et invite à prier pour les chrétiens persécutés

    Qu’ils puissent « vaincre le mal par le bien »

    DÉCEMBRE 26, 2020

    Le pape François invite à prier pour ceux qui « souffrent des persécutions pour le nom de Jésus », afin qu’ils puissent « vaincre le mal par le bien »Ala fin e son allocution, avant l’angélus de ce samedi 26 décembre 2020, fête de Saint Etienne, diacre et martyr, le pape a fait cette invitation: « Prions aujourd’hui pour ceux qui souffrent des persécutions pour le nom de Jésus.

    Malheureusement, ils sont nombreux. Ils sont plus nombreux que dans les premiers temps de l’Église. »Depuis la bibliothèque privée du palais apostolique du Vatican, et nom depuis le bureau qui donne  place Saint-Pierre, à cause du coronavirus, pour ne pas créer d’occasions de contagion le pape François a demandé de les soutenir dans la prière pour qu’ils puissent être « vainqueurs du mal par le bien »: « Confions ces frères et sœurs à Notre Dame, pour qu’ils répondent à l’oppression par la douceur et qu’en véritables témoins de Jésus, ils soient vainqueurs du mal par le bien. »

    Cette exhortation de saint Paul dans la Lettre aux Romains : « Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien » (12, 21) avait été choisi par le pape Jean-Paul II pour son Message pour la Journée mondiale de la Paix 2005. Jean-Paul II disait notamment: « Le mal ne se vainc pas par le mal : si l’on prend ce chemin, au lieu de vaincre le mal, on se fait vaincre par lui. »

  • Les pièces grégoriennes du dimanche dans l'octave de Noël

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    D'Una Voce :

    Dimanche dans l’octave de Noël – Ligugé – 45T – 1958

    « Intr. Dum médium »Dimanche dans l'octave de Noël - Ligugé - 45T - 1958

    Microsillon 45 T de Ligugé édité par le Studio SM en 1958

    C’est encore un disque historique que nous vous proposons d’écouter pour achever cette année (civile et non liturgique !). C’est un microsillon 45 T de Ligugé édité par le Studio SM en 1958. 

    La suite sur le site d'Una Voce

  • L'adoration des bergers (crèche de l'église du Saint-Sacrement à Liège) (feuillet pour le temps du confinement)

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    2020_12_27_09_50_52_Greenshot.png

  • « Redécouvrir la famille », source de paix pour toute l’humanité (Urbi et Orbi)

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    D'Anne Kurian-Montabone sur zenit.org :

    Urbi et Orbi : « redécouvrir la famille », source de paix pour toute l’humanité

    Prière pour les femmes qui ont subi des violences domestiques

    « Que Noël soit pour tous l’occasion de redécouvrir la famille comme berceau de vie et de foi », une « source de paix pour toute l’humanité » : c’est le voeu du pape François ce 25 décembre 2020.

    En donnant la traditionnelle bénédiction Urbi et Orbi – à la ville et au monde – de Noël, filmé depuis le hall des bénédictions du palais apostolique, le pape a adressé une pensée particulière à « tous ceux qui ne se laissent pas écraser par les circonstances adverses mais qui agissent pour porter espérance, réconfort et aide en secourant ceux qui souffrent et en accompagnant ceux qui sont seuls ».

    « Naissant dans la chair, le Fils de Dieu a consacré l’amour familial », a souligné le pape François en se tournant vers les familles, « celles qui aujourd’hui ne peuvent pas se réunir, comme aussi celles qui sont obligées de rester à la maison ». « Que Noël, a-t-il souhaité, soit pour tous l’occasion de redécouvrir la famille comme berceau de vie et de foi ; lieu d’amour accueillant, de dialogue, de pardon, de solidarité fraternelle et de joie partagée, source de paix pour toute l’humanité. »

    Le pape a aussi invité à être « disponibles, généreux et solidaires, spécialement envers les personnes les plus fragiles, les malades et toutes celles qui, en cette période, se sont retrouvés sans travail ou sont en grave difficulté en raison des conséquences économiques de la pandémie ». Il a mentionné particulièrement « les femmes qui, durant ces mois de confinement, ont subi des violences domestiques ».

    « La souffrance et le mal n’ont pas le dernier mot. Se résigner à la violence et aux injustices voudrait dire refuser la joie et l’espérance de Noël », a-t-il affirmé avant de donner sa bénédiction. Dans une Rome en confinement, le pape était entouré d’une vingtaine de représentants des forces de l’ordre – policiers, gendarmes, gardes suisses.

  • Noël : France Catholique vous offre un numéro spécial en accès gratuit

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    De France Catholique :

    France Catholique vous souhaite un saint et joyeux Noël !

    Nos ancêtres manifestaient leur joie dans les grandes occasions en criant  «  Noël !  », l’expression même de leur cœur dilaté par la merveille du Christ sauveur. C’est cette joie que nous voulons partager avec vous tous, amis lecteurs, à l'occasion de la grande fête de la Nativité. Noël à tous, joie à tous !

    À cette occasion nous vous offrons notre numéro spécial que nous vous invitons à lire et à diffuser largement autour de vous.

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  • Et déjà le premier martyr

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    Saint Etienne, le premier martyr, est fêté le 26 décembre. L'évangile du jour nous invite à "nous méfier des hommes"; l'homélie du Père Joseph-Marie Verlinde nous aide à comprendre ce texte qui peut surprendre au lendemain de Noël.

    Mt. , 10, 17-22

    Jésus disait à ses disciples : « Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues. Vous serez traînés devant des gouverneurs et des rois à cause de moi : il y aura là un témoignage pour eux et pour les païens. 
    « Quand on vous livrera, ne vous tourmentez pas pour savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. Car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est l'Esprit de votre Père qui parlera en vous. 

    « Le frère livrera son frère à la mort, et le père, son enfant ; les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mettre à mort. Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé. » 

    Homélie (Archive 2008) (homelies.fr)

    « Méfiez-vous des hommes » : venant de la part de Jésus, cette injonction peut surprendre. L’Evangile ne nous exhorte-t-il pas tout au contraire à la charité qui « excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout » (1 Co 13, 7) ? En compulsant les travaux des exégètes, on trouve cependant qu’une traduction plus littérale - et plus proche de l’intention du Seigneur - pourrait être : « Prenez de la distance dans vos relations aux hommes ». En clair : Jésus ne nous invite pas à nous replier frileusement dans un ghetto ecclésial, mais il nous recommande de garder un espace de discernement dans nos relations humaines.

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  • Le Noël du chameau (Marie Noël) (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Suivre ici en vidéo, dès aujourd’hui, la messe traditionnelle de ce Jour de Noël 25 décembre 2020 en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Puer natus est »; Kyriale de la messe IX  « Cum jubilo » (XIIIe s.); Credo IV (XVe s.); hymne "Adeste fideles", noëls macaroniques "In dulci iubilo" et "Diei solemnia fulget dies ista".

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    Le saint jour de Noël est caractérisé par un triple Sacrifice eucharistique

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    L’ancienne Église de Rome a, en cela, suivi l’exemple vénérable de l’Église de Jérusalem. Les fidèles se rassemblaient, la nuit, dans la grotte de la Nativité et sanctifiaient l’heure de la naissance du Seigneur par la célébration de la messe. A la fin de cette messe ils retournaient à Jérusalem. Que pouvaient-ils faire de mieux que de commémorer l’heure de la Résurrection, dans l’église de la Résurrection, et d’y célébrer en même temps Noël avec les bergers ? C’était la seconde messe. Pendant le jour, ils se réunissaient dans l’Église pour l’Office solennel.

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  • Les contes de Noël sont-ils en voie de disparition ?

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    De Famille Chrétienne (via le site "Pour une école libre au Québec) :

    Les contes de Noël publiés aujourd’hui diluent voire effacent les valeurs chrétiennes

    24 Dec 2020

    Pourquoi est-il important de lire des contes aux enfants ?

    Les contes véhiculent un imaginaire qui permet de structurer leur intelligence et leur apprend à construire leur univers intérieur. Parce qu’ils placent d’emblée le récit hors du temps, hors de la réalité, les contes ont la vertu de stimuler l’imagination de l’enfant, de lui montrer que le champ des possibles est ouvert devant lui, et de le pousser ainsi à grandir, à devenir adulte. On voit malheureusement se développer toute une littérature destinée aux enfants qui consiste essentiellement à explorer des problèmes psychologiques auxquels ils peuvent être confrontés. C’est un dévoiement de la lecture, parce qu’on les prive dans ces livres de la dimension imaginaire, si structurante à leur âge.

    Quels sont les ingrédients d’un bon conte de Noël ?

    Comme dans tous les contes, il faut qu’il délivre une morale qui élève l’enfant. Pour Noël, cette morale est par essence chrétienne. Et il faut de belles illustrations, car l’image est pour les enfants une porte d’entrée dans la lecture. À Noël, cette nécessité de créer une ambiance qui fasse rêver et donne envie de lire est plus importante encore, car c’est une période de l’année où la vue est très sollicitée, on le voit bien avec les illuminations dans les rues, les vitrines de Noël… C’est le moment par excellence où l’on peut toucher les enfants par de beaux livres illustrés.


    Les contes de Noël sont-ils en voie de disparition ?

    De nombreux contes liés à Noël continuent d’être publiés chaque année. Ce qui, en revanche, est en voie de disparition, c’est le conte de Noël traditionnel, celui qui est pétri de traditions chrétiennes. Dans les contes de Noël publiés aujourd’hui, ces valeurs chrétiennes sont très souvent diluées, voire effacées. Seule persiste la connotation positive de Noël. On continue d’y trouver l’idée du don de soi, souvent d’ailleurs à travers les cadeaux qui sont une tradition païenne, l’idée de convivialité, de rassemblement, d’esprit de famille qui disent quelque chose de ce qu’est l’amour.

    Est-ce pour cette raison que vous ne choisissez que des contes de Noël plus anciens ?

    Le principe de TétrasLire est de mettre à la portée des enfants la littérature classique à laquelle ils n’ont plus vraiment accès, notamment parce qu’il y a de moins en moins de bibliothèques familiales dans lesquelles ils peuvent puiser. Chaque mois, nous leur faisons découvrir un auteur classique et les aidons à entrer dans son œuvre. Nos numéros de Noël n’échappent pas à cette logique, et la plupart des contes antérieurs au XXe siècle sont imprégnés de tradition chrétienne, y compris chez les auteurs non croyants. C’est le cas par exemple de l’auteur américain O. Henry, dont nous avons publié le conte Le Cadeau des rois mages, ou d’Alphonse Daudet avec Les Trois Messes basses. Nous avons à cœur de faire découvrir des contes vraiment liés à la tradition chrétienne de Noël qui donnent à cette période de fêtes une dimension spirituelle, et qui présentent la naissance de Jésus comme la révélation de l’amour faite au monde.

    Il arrive toutefois que des contes anciens soient revisités et vidés de ces valeurs chrétiennes…

    Oui, il arrive fréquemment que des contes soient réécrits pour s’inscrire dans un registre plus matériel en phase avec la société actuelle. L’exemple le plus flagrant est probablement La Reine des neiges que les enfants connaissent à travers la version complètement modifiée qu’en a donné Disney. La version initiale, écrite par Andersen, raconte l’histoire de deux enfants liés par une amitié très forte qui se dévouent l’un pour l’autre afin d’échapper à la reine des neiges qui incarne le mal, la froideur et l’extinction de l’amour dans le monde. Ce conte qui célébrait le triomphe de l’amour sur le mal a été vidé de son message.


    Comment s’assurer que l’on achète la bonne version d’un conte ?

    Il est difficile de s’y retrouver, car les éditeurs donnent généralement peu d’indications sur la nature des contes qu’ils publient. Et surtout, la plupart des contes proviennent du folklore, de la tradition orale. Cette absence d’auteur laisse une totale liberté à ceux qui souhaitent les retranscrire. Or, on observe aujourd’hui une large tendance à retourner les contes pour casser les stéréotypes culturels et moraux. Il y a une volonté de les transformer jusqu’à obtenir quelque chose de totalement subversif. On se retrouve ainsi avec un petit chaperon rouge qui mange le loup ou une princesse qui envoie balader son prince charmant. Ce phénomène affecte tous les contes, ceux de Noël y compris. Le seul conseil que je peux donner, c’est de feuilleter les livres avant de les acheter pour vérifier qu’ils sont bien écrits et que la morale n’a pas été escamotée ou l’histoire transformée.

  • Pour Noël, le chemin que nous vous souhaitons

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    adorazione dei pastori | La Nativité italienne

    Niccolò di Pietro Gerini, Adoration des bergers, 1383.

    "... Nous vivons dans les réflexions, dans les affaires et dans les occupations qui nous absorbent entièrement et depuis lesquelles le chemin vers la crèche est très long.

    De multiples manières, Dieu doit sans cesse nous pousser et nous aider, afin que nous puissions sortir de l’enchevêtrement de nos pensées et de nos engagements et trouver le chemin qui va vers Lui.

    Mais pour tous, il y a un chemin. Pour tous, le Seigneur dispose des signes adaptés à chacun. Il nous appelle tous, pour que nous aussi puissions dire: Allons, «traversons», allons jusqu’à Bethléem – vers ce Dieu, qui est venu à notre rencontre.

    Oui, Dieu s’est mis en chemin vers nous. De nous-mêmes, nous ne pourrions le rejoindre. Le chemin dépasse nos forces. Mais Dieu est descendu. Il vient à notre rencontre. Il a parcouru la plus grande partie du chemin. Maintenant, il nous demande: Venez et voyez combien je vous aime."

    (Benoît XVI, homélie de la messe de minuit, 24 décembre 2009.)

    L'équipe de Belgicatho vous souhaite une belle et lumineuse fête de Noël