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Spiritualité - Page 216

  • Tends ta main aux pauvres

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    De Vatican News (Delphine Allaire) :

    Journée mondiale des pauvres: le Pape invite à tendre la main aux démunis

    Le message du Pape François à l’occasion de la prochaine Journée mondiale des pauvres du 15 novembre 2020, a été dévoilé ce samedi 13 juin, mémoire liturgique de saint-Antoine de Padoue. Il s’intitule «Tends ta main au pauvre» (Si 7, 32), et le Saint-Père y encourage à prendre en charge le fardeau des plus faibles, car le but de toute action «ne peut être que l’amour».

    «La pauvreté prend toujours des visages différents qui demandent une attention à chaque condition particulière: dans chacune d’elles, nous pouvons rencontrer le Seigneur Jésus qui a révélé sa présence dans ses frères les plus faibles (cf. Mt 25, 40)», explique d’abord François pour introduire sa réflexion.

    Être dans le besoin et avoir confiance

    Dès les premières pages, le Livre de Ben Sira dont est issu le thème de ce message donne des conseils relatifs à la pauvreté. Il insiste sur le fait que, dans le besoin, il faut avoir confiance en Dieu, relève le Pape: «Ne t’agite pas à l’heure de l’adversité. Attache-toi au Seigneur, ne l’abandonne pas, afin d’être comblé dans tes derniers jours. Toutes les adversités, accepte-les; dans les revers de ta pauvre vie, sois patient. Dans les maladies comme dans le dénuement, aie foi en lui. Mets ta confiance en lui, et il te viendra en aide; rends tes chemins droits, et mets en lui ton espérance. Vous qui craignez le Seigneur, comptez sur sa miséricorde, ne vous écartez pas du chemin, de peur de tomber.» (Si 2, 2-7).

    Accompagner la prière du service aux pauvres

    Ainsi, en déduit le Saint-Père dans son message, la prière à Dieu et la solidarité avec les pauvres et les souffrants sont «inséparables». Pour célébrer un culte qui soit agréable au Seigneur, il est nécessaire de reconnaître que toute personne, même la plus indigente et la plus méprisée, porte l’image de Dieu imprimée en elle, précise-t-il.

    De cette attention découle «le don de la bénédiction divine», attirée par la générosité pratiquée à l’égard du pauvre. Par conséquent, le temps consacré à la prière ne peut jamais devenir un alibi pour négliger le prochain en difficulté, avertit le Successeur de Pierre. Le contraire, aussi, est vrai: la bénédiction du Seigneur descend sur nous, et la prière atteint son but quand elle s'accompagne du service des pauvres.

    Ainsi, ce choix de consacrer une attention aux pauvres, à leurs nombreux et divers besoins, ne peut être conditionné seulement par le temps disponible ou par des intérêts privés, ni par des projets pastoraux ou sociaux désincarnés, estime l’évêque de Rome. «On ne peut étouffer la force de la grâce de Dieu par la tendance narcissique de toujours se mettre à la première place».

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  • L'Église ne se renouvelle pas en se conformant à l'esprit du monde, mais par l'esprit du Christ

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    De Laurent Dandrieu sur Valeurs Actuelles :

    Cardinal Müller : “L'Église ne se renouvelle pas en se conformant à l'esprit du monde, mais par l'esprit du Christ”

    14/11/2020

    Face aux diverses interrogations auxquelles se retrouvent confrontés les catholiques en ces temps d'épidémie, le cardinal Müller invite à rester fixés sur le Christ. Entretien.

    Propos recueillis par Laurent Dandrieu.

    Préfet de la congrégation pour la Doctrine de la foi de 2012 à 2017, le cardinal Müller, ancien évêque de Ratisbonne, est une personnalité qui pèse dans l'Église, n'hésitant pas à prendre position d'une voix forte. À l'occasion de la parution de son livre la Force de la vérité, où il rappelle les fondamentaux de la foi catholique, il confie à Valeurs actuelles ses convictions sur le rapport des fidèles au pape, la récente encyclique, l'attitude de l'Église pendant le confinement ou sur l'immigration. Et rappelle que l'Église est là pour témoigner du plan de salut de Dieu et non pas proposer des solutions humaines à des problèmes terrestres.

    Valeurs actuelles. Vous avez publié, en 2019, un “Manifeste de et pour la foi”, repris en conclusion de votre livre la Force de la vérité. Pourquoi écrire ce texte qui énonce les vérités fondamentales de la foi, que tout catholique est censé déjà connaître ?
    Cardinal Müller. 

    Le Manifeste contient en effet les vérités les plus importantes que tout catholique devrait connaître, mais malheureusement ce n'est pas le cas de tout le monde. Il indique également que les évêques et les prêtres doivent prêcher avant tout sur la Trinité, l'Incarnation, les sacrements, le Christ que nous devons suivre et la vie éternelle. Ce n'est qu'ensuite que l'on peut aussi parler d'environnement, de climat et du thème de l'immigration. L'Église n'a pas la même mission que l'État de veiller au bien-être temporel des citoyens, bien que dans ce domaine aussi elle énonce les fondements moraux de la politique. Jésus a envoyé les apôtres dans le monde pour annoncer l'évangile du royaume de Dieu et permettre à ceux qui croient d'être baptisés au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. L'Église est un signe d'espérance au-delà des limites étroites de la vie terrestre. Elle est le témoin du plan de salut de Dieu, qui veut que tous les peuples soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité du Christ.

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  • Sur le soin des personnes en phase critique ou terminale (Samaritanus bonus) (feuillet pour le temps du confinement)

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    2020_11_15_08_40_34_Greenshot.pngFeuillet 118 Samaritanus Bonus CDF 2020 07 14.docx

  • Covid 19 : confinement sanitaire et liberté du culte en France

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    Puppinck.jpgEmission du 14 novembre sur RCF à propos des manifestations demandant la restauration de la liberté de culte et du maintien de l’instruction religieuse pendant le confinement :

    avec, entre autres, Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice

    rendes nous la messe 531796_1.jpeg

     

    Ref.  Comment maintenir l’instruction religieuse et le culte public

    Et en Belgique, les convoyeurs attendent dans la morne plaine ?

    JPSC

  • Fabrice Hadjadj reçoit le prix du cardinal Lustiger attribué par l'Académie française

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    De Christophe Henning sur le site du journal La Croix :

    L’Académie française attribue le prix du cardinal Lustiger à Fabrice Hadjadj

    Le philosophe catholique Fabrice Hadjadj est distingué par les académiciens. L’écrivain engagé est aussi directeur de l’institut Philanthropos.

    12/11/2020

    L’Académie française a décerné, jeudi 12 novembre, le prix du cardinal Lustiger au philosophe Fabrice Hadjadj « pour l’ensemble de son œuvre ». Créé en 2012, par les Immortels du quai de Conti, ce prix doté de 3 000 € vient distinguer tous les deux ans une œuvre « répondant aux intérêts du cardinal Jean-Marie Lustiger et portant sur les enjeux spirituels des divers phénomènes culturels, sociaux et historiques ».

    S’étant déjà présenté comme « juif, de prénom arabe et de confession catholique », Fabrice Hadjadj porte, à l’instar du cardinal Lustiger, une philosophie sans frontière, explorant les racines juives d’un christianisme en mouvement perpétuel. Volontiers provocateur, la plume incisive, Hadjadj développe une approche éclectique de la foi chrétienne.

    Succès de librairie

    Né en 1971 dans une famille athée, il s’est converti au christianisme après être entré dans une église du quartier latin. Baptisé à l’abbaye de Solesmes, cet agrégé de philosophie attaque avec impertinence – au moins dans les titres – les sujets tels que le corps, le salut, la foi. Ainsi Réussir sa mort (2005), La Profondeur des sexes (2008) ou encore Dernières nouvelles de l’homme (et de la femme aussi) (2017) s’imposent comme des succès de librairie.

    Ce touche-à-tout prolixe s’essaie encore au théâtre avec Massacre des innocentsJeanne et les post-humains ou plus récemment La Confession de Don Juan. Il se fait à l’occasion auteur-compositeur-interprète et se lance dans la littérature pour la jeunesse avec L’Attrape-malheur (Ed Joie de lire, 2020). Longtemps enseignant de philosophie dans le sud de la France, ce père de famille nombreuse est aujourd’hui directeur de l’institut Philanthropos, à Fribourg (Suisse), qui propose une formation intellectuelle et spirituelle d’une année à de jeunes étudiants.

    Débat public

    Déjà distingué par plusieurs prix, notamment le grand prix catholique de littérature (2006) et le prix spiritualités aujourd’hui (2013), il participe au débat public, signe régulièrement des tribunes dans la presse et accompagne les travaux de la revue d’écologie intégrale Limite. Le prix du cardinal Lustiger vient encourager ce cinquantenaire déjà distingué « pour l’ensemble de son œuvre ». Un prix remis les années précédentes à des auteurs tels que Jean-Louis Chrétien, Pierre Manent ou Nicolas Diat.

    C’est traditionnellement à l’automne que l’Académie française attribue 62 prix dans diverses disciplines. À noter qu’un prix d’académie a été remis à Frédéric Boyer pour la nouvelle traduction des Georgiques de Virgile, sous le titre Le Souci de la terre (Gallimard, 2019), et aussi « pour l’ensemble de son œuvre de traducteur ». Frédéric Boyer, chroniqueur à La Croix L’Hebdo, a notamment traduit les Confessions de saint Augustin (sous le titre Les Aveux, POL, 2008) et dirigé la nouvelle traduction de la Bible dite Bible des écrivains chez Bayard (qui possède La Croix).

  • Le chapelet quotidien et l'Eucharistie (feuillet pour le temps du confinement)

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  • En l'honneur de saint Martin de Tours (feuillet pour le temps du confinement)

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  • La grande pitié du Royaume de France (P. Bessières S.J.) (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Léon le Grand, un pape à la barre sur une mer démontée (10 novembre)

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    ih4059.jpgBenoît XVI a consacré sa catéchèse à saint Léon le Grand lors de l'audience générale du mercredi 5 mars 2008 :

    Chers frères et soeurs,

    En poursuivant notre chemin parmi les Pères de l'Eglise, véritables astres qui brillent de loin, nous abordons pendant notre rencontre d'aujourd'hui la figure d'un Pape qui, en 1754, fut proclamé Docteur de l'Eglise par Benoît XIV:  il s'agit de saint Léon le Grand. Comme l'indique l'épithète que la tradition lui attribua très tôt, il fut véritablement l'un des plus grands Papes qui aient honoré le Siège romain, contribuant largement à en renforcer l'autorité et le prestige. Premier Evêque de Rome à porter le nom de Léon, adopté ensuite par douze autres Souverains Pontifes, il est également le premier Pape dont nous soit parvenue la prédication qu'il adressait au peuple qui se rassemblait autour de lui pendant les célébrations. Il est naturel de penser également à lui dans le contexte des actuelles Audiences générales du mercredi, des rendez-vous qui pendant les dernières décennies sont devenus pour l'Evêque de Rome une forme habituelle de rencontre avec les fidèles et avec de nombreux visiteurs de toutes les parties du monde.

    Léon était originaire de la région italienne de la Tuscia. Il devint diacre de l'Eglise de Rome autour de l'an 430 et, avec le temps, il acquit au sein de celle-ci une position de grande importance. Ce rôle de premier plan poussa Galla Placidia, qui à cette époque dirigeait l'Empire d'Occident, à l'envoyer en Gaule en 440 pour résoudre une situation difficile. Mais au cours de l'été de cette année, le Pape Sixte III - dont le nom est lié aux magnifiques mosaïques de Sainte-Marie-Majeure - mourut, et ce fut précisément Léon qui lui succéda, recevant la nouvelle alors qu'il accomplissait justement sa mission de paix en Gaule. De retour à Rome, le nouveau Pape fut consacré le 29 septembre 440. C'est ainsi que commença son pontificat, qui dura plus de vingt-et-un an, et qui a été sans aucun doute l'un des plus importants de l'histoire de l'Eglise. A sa mort, le 10 novembre 461, le Pape fut enterré auprès de la tombe de saint Pierre. Ses reliques sont conservées aujourd'hui encore dans l'un des autels de la Basilique vaticane.

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  • Homélie de saint Césaire d'Arles pour une dédicace (feuillet en temps de confinement, 9 novembre)

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  • Des messes quotidiennes enregistrées sur vidéo en l’église du Saint-Sacrement à Liège

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    En live à l'église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d'Avroy, 132), la messe traditionnelle confinée de ce dimanche 8 novembre 2020

    Suite aux dispositions de l’arrêté ministériel du 1er novembre 2020 portant des mesures sanitaires de lutte contre la pandémie du covid19 la liturgie publique est interdite sur tout le territoire belge depuis le lundi 2 novembre 2020 jusqu’au moins le dimanche 13 décembre 2020.

    Toutefois, en vertu de l’article 10 de l’arrêté ministériel précité, des célébrations enregistrées sont permises, dans le but d’une diffusion par tous les canaux disponibles, en présence des personnes en charge dudit enregistrement (en tout maximum 10 personnes) avec le maintien d’une distance d’1,5 mètre entre chaque personne, et pour autant que le lieu reste fermé au public pendant l’enregistrement du culte.

    A ce titre, des messes selon le missel de 1962 (avec orgue et plain-chant) sont célébrées et enregistrées quotidiennement à Liège, en l’église du Saint-Sacrement. On peut suivre toutes ces messes en vidéo au jour de leur célébration en cliquant sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw

    Par ailleurs, l’église du Saint-Sacrement a choisi d’ouvrir ses portes pour la prière individuelle avec disponibilité d’un prêtre: tous les mardis de 17h à 19h, tous les jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, tous les vendredis de 12h à 14h, tous les samedis de 15h à 18h et tous les dimanches de 15h à 18h.

    JPSC