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Spiritualité - Page 399

  • Retour aux racines

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    Le livre du cardinal Robert Sarah, Dieu ou rien. Entretien sur la foi (Fayard), vient d'être traduit en allemand avec une préface de Mgr Georg Gänswein, préfet de la Maison pontifical et secrétaire personnel de Benoît XVI. Le mensuel « La Nef » publie ici ce beau texte :

    Ce livre est un livre radical. Bien sûr, pas dans le sens où nous utilisons souvent ce mot aujourd’hui, en référence aux contestations ou aux opinions politiques extrémistes. Non, c’est la radicalité de l’Évangile qui inspire ce livre, la radicalité qui a animé et anime encore tant de témoins de la foi, la radicalité d’une décision inéluctable que chacun doit prendre, tôt ou tard, lorsqu’il entend l’appel du Christ, le prend au sérieux, ne veut plus s’en détourner et doit finalement y répondre. 

    C’est là que chaque personne peut comprendre que toute son existence d’homme le mène6a00d83451619c69e201b8d150eb1e970c-320wi.jpg à cette question : Dieu ou rien !

    Le cardinal Robert Sarah ne craint pas de parler de la radicalité de l’Évangile pour la confronter sans concession à l’examen du temps. Il démontre de manière convaincante que les nouvelles formes d’athéisme et d’agnosticisme ne sont pas simplement des impasses intellectuelles concernant les individus. Pour lui, les profondes transformations morales que connaissent nos sociétés sont davantage une menace existentielle et ce, non seulement pour le christianisme, mais surtout pour la civilisation humaine. 

    D’abord, c’est Dieu qui disparaît, puis c’est au tour de l’homme de se faire dieu : « Aujourd’hui, dans des pays riches et puissants, l’éclipse de Dieu conduit l’homme vers un matérialisme pratique, une consommation désordonnée ou abusive, et la création de fausses normes morales. Le bien matériel et la satisfaction immédiate deviennent l’unique raison de vivre. Au bout de ce processus, il ne s’agit même plus de combattre Dieu ; le Christ et le Père sont ignorés. La cause est entendue : Dieu n’intéresse plus personne. Il est mort et son départ nous laisse indifférents. […] La nouvelle règle consiste à oublier le Ciel pour que l’homme soit pleinement libre et autonome. »

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  • Le pape recommande d'écouter son ange gardien avec docilité

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    De Radio Vatican :

    Homélie du Pape : écouter son Ange gardien « avec docilité »

    (RV) Dieu a donné à chacun la « compagnie » d’un Ange pour le conseiller et le protéger, un Ange à écouter avec docilité. En ce jour de la Fête des Anges gardiens, c’est sur ce thème que le Pape François a developpé son homélie à la messe ce matin, célébrée dans la chapelle de la maison Sainte-Marthe.

    La preuve d’une paternité qui aime et protége se trouve dans les premières pages de la Bible affirme François. Lorsque Dieu chasse Adam du Paradis, il ne le laisse pas seul, il ne lui dit pas, affirme le pape, « arrange-toi comme tu peux ».

    Un ambassadeur de Dieu à côté de nous

    François s'appuie sur des prières et des psaumes pour rappeler comment la figure de l'Ange gardien a toujours été présente dans la relation entre l'Homme et le Ciel. « J’envoie un ange devant toi pour te guider sur le chemin et pour te faire entrer dans le lieu que j’ai préparé », affirme le passage du livre de l’Exode proposé par la liturgie. Une liturgie consacrée à ces présences divines particulières, que, souligne le Pape, « le Seigneur a donné à tous ». « Chacun de nous en a un », qui « nous accompagne » :

    « Il est toujours avec nous ! C’est une réalité. Il est comme un ambassadeur de Dieu avec nous. Et le Seigneur nous dit : ‘Ayez du respect pour sa présence !’. Quand nous faisons un mal et nous pensons que nous sommes seuls : non, il est là. Il faut avoir du respect pour sa présence. Ecouter sa voix, parce que lui nous conseille. Ainsi, quand nous sentons cette inspiration : 'Agis comme ceci… cela est mieux… ne fais pas cela…’ Écoute ! Ne te rebelle pas contre lui ».

    Respecte-le et écoute-le

    L’Ange gardien nous défend toujours du mal, assure François. Parfois, observe-t-il, « nous pensons que nous pouvons cacher les choses », « de mauvaises choses », qui finalement seront toujours mis en lumière. Et l’Ange est là « pour nous conseiller », exactement comme ferait « un ami ». « Un ami que nous ne voyons pas, mais que nous sentons ». Un ami qui un jour « sera avec nous dans le Ciel, dans la joie éternelle » :

    « Il demande seulement de l’écouter, de le respecter » et cela s'appelle « la docilité ». « Le chrétien doit être docile à l’Esprit Saint. La docilité à l’Esprit Saint commence avec cette docilité aux conseils de ce compagnon de chemin ».

    Dociles avec l’Ange qui nous guide

    Pour être dociles, indique le Pape François, nous devons être petits, comme des enfants. Donc, conclut-il, l’Ange gardien est « un compagnon de chemin » qui enseigne l’humilité et que nous devons écouter comme des enfants :

    « Demandons aujourd’hui au Seigneur la grâce d’être docile, d’écouter la voix de ce compagnon, de cet ambassadeur de Dieu qui est à côté de nous, et d’être soutenus par son aide. D'être toujours en chemin… Et pendant cette messe, par laquelle nous louons le Seigneur, souvenons-nous comme le Seigneur est bon, car après avoir perdu son amitié, il ne nous a pas laissés seuls, il ne nous a pas abandonnés. »

  • Le Synode de la famille? Parlons-en

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     Le Synode de la Famille ?  Parlons-en 

     2 dates au choix : Mercredi 7 octobre - samedi 17 octobre à 20h

     « Communion eucharistique et divorcés remariés, homosexualité, contraception :

    (dire autrement) ce que l’Eglise en dit vraiment et pourquoi.

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     par Véronique Hargot-Deltenre

    Formatrice-accompagnatrice Affectivité-Sexualité-Fécondité/ Couple- Célibat-Famille

    Auteur d’un document : « Pourquoi il faut (…aurait fallu) annuler le Synode 2015 »

    Disponible sur commande à partir du 20 octobre: 5 EU + frais de port

     Square Vergote, 18

    1040 Bruxelles

    Métro Montgoméry (+ 10 min à pieds) ; Tram ou bus arrêt Diamant

    P.A.F à titre indicatif: 5 EU (couples 7 EU ; étudiants 3 EU) 

    Inscription obligatoire : vie.amour.belgique@gmail.com ( de préférence) ou sms: 0478 31 33 45

     NB : Ces conférences seront par après itinérantes, selon les demandes.

    JPSC

  • La formation spirituelle des prêtres dans une société sécularisée : il est temps d’y réfléchir

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    Dans « La Libre Belgique – Gazette de Liège de ce jeudi 1er octobre 2015 : une réflexion de l’abbé Claude Germeau, directeur du Foyer des jeunes d’Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement (Liège) : 

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    JPSC

  • Prions pour le Synode

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    Jésus, Marie et Joseph
    en vous nous contemplons
    la splendeur de l’amour véritable,
    à vous nous nous adressons avec confiance.
    Sainte Famille de Nazareth,
    fais aussi de nos familles
    des lieux de communion et des cénacles de prière,
    des écoles authentiques de l’Évangile
    et des petites Églises domestiques.
    Sainte Famille de Nazareth,
    que jamais plus dans les familles on fasse l’expérience
    de la violence, de la fermeture et de la division :
    que quiconque a été blessé ou scandalisé
    connaisse rapidement consolation et guérison.
    Sainte Famille de Nazareth,
    que le prochain Synode des Évêques
    puisse réveiller en tous la conscience
    du caractère sacré et inviolable de la famille,
    sa beauté dans le projet de Dieu.
    Jésus, Marie et Joseph
    écoutez-nous, exaucez notre prière.
    Amen

    « Je vous demande de prier pour la famille et le Synode » 

          « Puissions-nous être tous des prophètes ! Puissions-nous tous être ouverts aux miracles de l’amour pour toutes les familles du monde, et ainsi vaincre le scandale de l’amour étroit, mesquin, enfermé sur lui-même, impatient envers les autres. Et qu’il serait beau si, partout, même au-delà de nos frontières, nous pouvions apprécier et encourager cette prophétie et ce miracle! Nous renouvelons notre foi dans la parole du Seigneur qui invite les familles croyantes à cette ouverture. Elle invite tous ceux qui veulent partager la prophétie de l’alliance entre l’homme et de la femme, qui donne vie et révèle Dieu!
    Quiconque veut fonder dans ce monde une famille qui enseigne aux enfants à être enthousiasmés par chaque geste visant à vaincre le mal – une famille qui montre que l’Esprit est vivant et à l’œuvre – trouvera notre gratitude et notre appréciation…
    »
    (Pape François – USA Septembre 2015)
         « Je vous invite à prier ensemble en famille à partir de la lecture de l’Évangile qui nourrit le cœur de chacun, et de la méditation du Rosaire. Vos familles s’en trouveront davantage unies dans les moments forts comme dans les moments difficiles. »
    (Pape François – 26/08/15)
         Oui, nous répondons à l’appel du saint-Père de prier pour la famille et le Synode : en prenant l’engagement,  de prier seul, en famille une dizaine du chapelet chaque jour du mois d’octobre, mois du Rosaire.
     
    Cette prière commence le 1er octobre 2015,  fête de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, patronne des Missions, et se termine le 1er novembre 2015, jour de la Toussaint.
     
    Ce dimanche 18 octobre, le pape François canonisera pour la première fois dans l’histoire de l’Eglise deux époux  Louis et Zélie Martin, parents de Ste Thérèse.
    • Abbé Hubert Lelièvre - délégué épiscopal à la famille, diocèse d’Avignon, France
    • Bernard et Emilie de la Croix, mariés et parents de 3 enfants, diocèse de Bruxelles, Belgique
  • Cardinal Burke à Versailles : « De l’Église, nous attendons l’enseignement de la vérité du Christ »

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    De François de Lens sur le site "Liberté Politique" :

    Cardinal-Burke-De-l-Eglise-nous-attendons-l-enseignement-de-la-verite-du-Christ_visuel.jpgVERBATIM | La paroisse Saint-Symphorien de Versailles recevait ce dimanche 27 septembre le cardinal Raymond Leo Burke, à l’occasion de la sortie de son livre d’entretien (Artège) avec Guillaume d’Alançon. Le cardinal est un homme simple, ne rechignant pas à prolonger sa présence auprès de simples paroissiens, malgré son emploi du temps. « Mon espérance est que l’Église soit de plus en plus fidèle à son identité d’Épouse du Christ. J’espère communiquer cette espérance à travers mon livre. »

    Le cardinal est d’abord revenu sur son enfance, et la naissance de sa vocation. Il a rendu hommage à sa famille, à ses parents, et ses grands-parents, immigrés irlandais aux États-Unis, qui lui ont transmis « la foi et sa pratique ». Dans ses entretiens avec Guillaume d’Alançon, il « examine le grand don de [sa] vie de [sa] vocation », réfléchissant « à ce que le Seigneur peut encore [lui] demander comme fidèle serviteur. »

    Lorsqu’il était jeune, l’Église était florissante, puis il a vu les effets de la crise au cours de sa formation au séminaire, notamment à cause du « soi-disant esprit du concile Vatican II », différent de son enseignement lui-même. « Le séminaire subissait de manière particulièrement dévastatrice la crise que l’Église a connu au cours de premières années de la mise en ordre des enseignement du concile Vatican II. […] Ayant vécu cette époque particulièrement tumultueuse, marquée symboliquement par les émeutes de mai 68 à Paris, je me suis interrogé sur ce qui était sous-jacent à la tranquillité de mes premières années au séminaire et a conduit à la remise en cause inconsciente et soupçonneuse de la doctrine et de la discipline de l’Église. »

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  • Le danger de la tiédeur en matière de foi (vingt-sixième dimanche du temps ordinaire) par le Père Zanotti-Sorkine

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    Prédication du 30 septembre 2012 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mc 9, 38-45.47-48) / Visitez son site Internet :http://www.delamoureneclats.fr / Visitez également le site : http://www.unfeusurlaterre.org / Références bibliques : http://aelf.org/

  • Vêpres grégoriennes de sainte Waudru, à Mons le 11 octobre 2015 à 17h00

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    JPSC

  • Divorcés remariés, l’Eglise vous aime !

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    A l'approche du Synode sur la famille, il nous paraît opportun de mettre en ligne ce texte que notre archevêque, faisant oeuvre de précurseur, publiait dans les Pastoralia de son diocèse en octobre 2011. Il y résumait de façon nuancée la doctrine de l'Eglise sur cette question délicate (source) :

    Divorcés remariés, l’Eglise vous aime !

    Aider les divorcés remariés

    Si l’échec conjugal en général est déjà le lieu de profondes souffrances, le problème des divorcés remariés est peut-être plus délicat encore. En effet, quelles que soient les raisons, parfois si compréhensibles, qui les ont amenés à contracter civilement une nouvelle union, il reste que leur situation contredit objectivement l’indissolubilité de l’alliance voulue par le Christ. Dans le sillage de la miséricorde évangélique, l’Eglise invite cependant ses membres à aider les divorcés remariés, à les entourer de beaucoup de charité afin qu’ils ne se sentent pas séparés de l’Eglise. Dans son Exhortation apostolique sur la famille chrétienne, Jean-Paul II insistait beaucoup sur ce point : « que l’Eglise prie pour eux, qu’elle les encourage et se montre à leur égard une mère miséricordieuse, et qu’ainsi elle les maintienne dans la foi et l’espérance » (§ 84, 3).

    Ils peuvent et doivent participer à la vie de l’Eglise

    Comme tous les autres baptisés, les divorcés remariés peuvent donc et même doivent participer à la vie de l’Eglise sous ses divers aspects. Ils ne sont en aucune manière excommuniés ! Ils éviteront cependant de solliciter des tâches qui les mettraient en position délicate de porte-à-faux, comme l’enseignement de la religion, par exemple, ou la direction d’une école catholique.

    Le problème le plus délicat reste, bien sûr, celui de la participation au sacrement de l’Eucharistie. L’Eglise demande en effet aux divorcés remariés de participer à la messe, mais de s’abstenir de communier au Corps du Seigneur. La raison de cette attitude est connue. Les divorcés remariés se trouvent en situation objective de rupture avec l’Alliance nouvelle et éternelle proclamée par le sacrement de mariage. Comment pourraient ils, sans contradiction, proclamer en même temps cette même Alliance nouvelle et éternelle dans la réception du Corps eucharistique du Seigneur ?

    Adopter un point de vue objectif

    Cela semble choquant à première vue. C’est qu’il n’est pas facile, dans la mentalité d’aujourd’hui, d’adopter un point de vue « objectif ». L’Eglise connaît ses enfants. Elle sait très bien que les dispositions subjectives des divorcés remariés peuvent être parfois excellentes, voire plus généreuses que celles de couples réguliers, mais médiocres. Mais qu’arriverait-il si, au nom de ces dispositions subjectives louables, l’Eglise oubliait la contradiction objective entre le remariage après divorce et l’Eucharistie ? Elle rendrait incompréhensible et vain l’enseignement du Christ sur l’indissolubilité du mariage et démobiliserait, voire découragerait les chrétiens qui s’efforcent, au prix de grandes souffrances, de demeurer fidèles à l’alliance conjugale, même après avoir été victimes d’une douloureuse trahison.

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  • Génération François

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    Un de nos correspondants attire votre attention sur cette "carte blanche" de Hugues Bocquet (23 ans) Philippine Cartier (23 ans) Geoffrey de Hemptinne (23 ans) Aline Terlinden (25 ans) Tanguy Bocquet (23 ans) Priscille de Truchis (25 ans) Norman Sinamenye (23 ans) Stephanie du Bois (25 ans) Louis Tonneau (26 ans) Augustin Cosse (27 ans). Jeunes catholiques belges. C’est paru dans « La Libre » d’hier, 24 septembre 2015 :

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    "Où la jeunesse se mobilise-t-elle ?", demandait lundi Dany De Baeremaeker dans ces pages. Nous sommes là ! A nous engager. Face aux défis du monde, la passivité et l’indifférence nous sont interdites. Yallah, comme le disait sœur Emmanuelle, en avant !

    Nous sommes sur la même barque et nous allons vers le même port." La phrase du pape François pourrait rythmer nos pensées. Dans la petite chapelle que nous avons aménagée au dernier étage, sous les charpentes de l’ancien prieuré de Corsendonk, nous sommes une centaine. Une centaine de jeunes et quelques prêtres unis en prière alors que devant nous brille le Saint Sacrement.

    De loin, la scène peut paraître étrange, mais elle fut au cœur de la Session Lead (Leaders d’espérance, ambition pour demain) (1), notre première université d’été qui s’est déroulée du 9 au 13 septembre, et qui nous a permis de dialoguer autour de la foi et de l’engagement avec des chefs d’entreprises, des politiciens de premiers plans, des artistes ou des personnalités actives dans le monde associatif et scolaire.

    S’engager au service du bien commun

    Nous provenions de villes, de professions et de sensibilités différentes, mais nous étions sur la même barque tournés vers un même désir : s’engager dans la société au service du bien commun, c’est à dire au service de chaque homme jusqu’aux plus faibles et aux plus fragiles. Reconnaissons-le, le défi n’est pas facile car cette ambition nous invite à servir l’autre dans l’humilité et la justice. Elle trouve ses racines dans la prière et dans la charité qui sont au cœur de notre foi; une foi qui nous donne le désir de nous engager, d’aimer le monde et d’espérer le rendre meilleur.

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  • 18 octobre : canonisation de Louis et Zélie Martin

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    Les parents de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus seront canonisés le 18 octobre prochain; à cette occasion, la maison d'éditions Téqui publie deux livres qui leur sont consacrés : 

    I-Grande-7797-l-histoire-extraordinaire-de-la-famille-martin.net.jpgL'histoire extraordinaire           de la famille Martin 

    La famille de Thérèse de Lisieux

     

    Stéphane-Joseph Piat, ofm 

    Présentation de l'éditeur :

    Ce sont les sœurs de la « petite Thérèse » qui ont recommandé le Père franciscain Stéphane Piat pour rédiger la biographie de la famille Martin. Elles estimaient sa plume et se trouvaient en plein accord avec l'interprétation qu'il donnait de la pensée thérésienne. Il passera donc des heures à interroger les filles Martin sur leurs parents, pour raconter comment ce foyer vivait le cœur de l'Évangile.

    Ce récit aux allures de monographie retrace au fil des jours les mille événements qui ont jalonné l'existence de la famille Martin. Il permet d'en scruter les ressorts cachés, d'en saisir la profonde tendresse qui les liaient les uns aux autres. Des documents d'archives, d'une valeur inestimable, ont servi à dépeindre ce tableau exceptionnel d'une famille exemplaire.

    En France, en Amérique surtout, et spécialement au Canada, se multiplièrent les demandes d'ouverture d'une procédure de béatification pour ce couple. Et ce sera enfin à l'occasion du Synode de la famille (2014-2015) que la canonisation du couple a lieu.

    (Préface du Père Pierre Descouvemont, juin 2015)

    L'auteur :

    Stéphane Piat, aumônier jociste, devint pourtant le premier historien de la famille Martin. À côté de ses ouvrages, il deviendra un prédicateur infatigable de la « petite voie » de Thérèse. La spiritualité du couple Martin, estimait-il, tient « en ces trois principes : souveraineté de Dieu, confiance en sa Providence, abandon à sa volonté », principes accessibles à tous.

    et, pour les plus jeunes : 

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    Saints Louis et Zélie Martin - Aimer c'est tout donner

    Odile Haumonté

     

     

    Présentation de l'éditeur :

    Sainte Thérèse a écrit à la fin de sa vie : « Aimer, c'est tout donner et se donner soi-même. » Quel programme de vie ! Mais la petite sainte de Lisieux ne fait qu'exprimer ce que ses parents ont vécu, eux aussi.

    Louis est horloger et Zélie à la tête d'une entreprise de fabrication de dentelle, le fameux « point d'Alençon ». Un jour, providentiellement, ils se croisent sur un pont de la ville... et se marient quelques mois plus tard. Profondément unis, ils mènent de front vie familiale et professionnelle, accueillant avec bonheur de nombreux enfants.

    Tous les deux affrontent très tôt de grandes épreuves. La mort de quatre de leurs enfants est la pire de toutes ! Puis ce sont les difficultés professionnelles, les soucis d'orientation de Léonie, le cancer de Zélie...

    Les Martin voulaient devenir « saints en famille ». Qu'est-ce qui a donc fait la « réussite » de leur vie ? Un mariage d'amour, une tendresse débordante, une éducation dans la confiance ? Oui, mais avant tout une vie ancrée dans l'amour de Dieu présent à chaque instant... Louis et Zélie sont des modèles et des protecteurs pour toutes les familles d'aujourd'hui. 

    L'auteur
    Mère de cinq enfants, Odile Haumonté est rédactrice en chef de la revue Patapon. Elle écrit aussi des romans pour la jeunesse depuis plus de dix ans, ainsi que de nombreuses vies de saints.