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Quand Montserrat Caballé éblouissait Benoît XVI en chantant le Notre Père
La légendaire diva espagnole, Montserrat Caballé, est décédée le 6 octobre dernier à l'âge de 85 ans.
La chanteuse lyrique Montserrat Caballé, icône du bel canto espagnol, vient de disparaître à l’âge de 85 ans. La « Superba », comme elle était surnommée en raison de son incomparable technique vocale, était célèbre pour ses grands rôles à l’opéra. Mais au cours de sa longue carrière, elle a aussi interprété des grandes œuvres de la musique sacrée.
Parmi ses plus belles interprétations, celle qu’elle a donné en 2006 en l’honneur du pape Benoît XVI a marqué les esprits. À l’occasion de la Rencontre mondiale des familles à Valence (Espagne), la chanteuse a interprété devant le souverain pontife le Notre Père composé par José Maria Cano. Un moment inoubliable qui a ému le pape Benoît XVI, grand amateur de musique et pianiste de talent.
La chanteuse était connue pour sa foi profonde et son amour pour la Vierge Marie, qu’elle n’hésitait pas à exprimer publiquement, comme en témoigne sa superbe interprétation de l’Ave Maria. « Chanter La Vierge ou Marie-Madeleine de Jules Massenet… c’est comme si vous ressentiez la douleur profonde de la Mère de Dieu », déclarait-elle.
Plus de six cents fidèles assistèrent, dimanche dernier 30 septembre à Sainte-Anne-d’Auray, à la messe de clôture du premier « Pèlerinage pour la Bretagne ». Messe solennelle, dans une nef comble, célébrée au maître-autel de la basilique. Orgue et bombarde soutenaient les cantiques bretons chantés par une foule fervente. Des pèlerins de toute la Bretagne historique avaient marché durant deux jours pour honorer sainte Anne, patronne de leur pays et de leurs familles.
Organisé par l’association Feiz e Breizh (Foi en Bretagne), ce pèlerinage novateur, ouvert à tous, se veut avant tout missionnaire. Il repose sur l’esprit de tradition et de chrétienté, dans un esprit d’attachement à la langue bretonne et d’enracinement. D’ores et déjà, Feiz e Breizh donne rendez-vous l’année prochaine – pour la seconde édition de ce pèlerinage – à tous les Bretons de cœur !
Cardinal Sarah : Le chant grégorien, du silence de l'âme unie à Jésus au silence de Dieu dans sa gloire
Rédigé par Son Eminence le Cardinal Robert Sarah le dans Religion
Les 22 et 23 septembre derniers, à l’occasion de l'Assemblée Générale de l'association Pro Liturgia (association fondée en 1988 qui milite pour l’application exactes des décisions du Concile Vatican II) dans l'Ain, Son Éminence le Cardinal Robert Sarah a adressé aux membres un message de reconnaissance et d'encouragement. À cette occasion le Cardinal a développé un élément essentiel du chant grégorien et qui peut sembler paradoxal : le silence sacré. Afin de faire profiter nos lecteurs de cette réflexion nous vous publions le texte complet ci-dessous :
Je suis heureux de vous adresser ce message d’encouragement et de reconnaissance à l’occasion de votre Assemblée Générale. En vous assurant de ma prière aux intentions qui vous sont chères, je profite volontiers de cette opportunité pour exprimer ma profonde gratitude à votre président, M. Denis Crouan et, par son entremise, à chacun d’entre vous pour votre détermination, malgré les obstacles qui jalonnent votre engagement, à défendre et à promouvoir la liturgie en langue latine de la forme ordinaire du Rite romain. Cette défense ne doit pas être menée avec des armes de guerre, ou avec la haine et la colère dans le cœur, mais au contraire « revêtons la cuirasse de la foi et de la charité, avec le casque de l’espérance du salut » . Que Dieu bénisse vos efforts si méritants et qu’il les rende toujours plus fructueux !
Je voudrais que nous réfléchissions ensemble sur l’un des éléments essentiels du chant grégorien, à savoir le silence sacré. Cela peut paraître paradoxal, mais nous allons voir que si le chant grégorien, que vous défendez et promouvez avec ardeur, est si important, c’est en raison de sa capacité irremplaçable de nous introduire dans le silence de la contemplation, de l’écoute et de l’adoration du Dieu vivant. Du silence de l’âme unie à Jésus au silence de Dieu dans sa gloire : tel est le titre de ce bref message qui vous apporte mon amitié et mon soutien. En effet, nous allons voir que le chant grégorien et sa parure visible et splendide, le manuscrit enluminé du livre liturgique, naît du silence et conduit au silence.
Le chant grégorien comporte un double fondement indissociable : la Sainte Ecriture, qui constitue la trame de la prosodie, et la cantillation. Il est établi que, à l’ombre des cloîtres et dans la méditation silencieuse de la Parole de Dieu, les moines bénédictins ont élaboré, au fil des siècles, et pour les besoins de la prière de l’Office Divin chanté en commun, le phrasé cantillatoire pour chaque verset de la Bible qu’ils devaient proclamer, à commencer par les Psaumes. Il s’agissait de revêtir la Parole très sainte de Dieu, si délicate et subtile à l’ouïe et à la vue, cette double porte de l’âme, du parement très humble d’une mélodie à la fois dépouillée, élégante et raffinée de caractère modal qui respecte le rythme de la prosodie. L’ouïe, et aussi la vue, dis-je. En effet, le moine chante et il contemple ce qu’il psalmodie : des premiers manuscrits médiévaux aux incunables des premières années de la Renaissance, qui précédèrent l’apparition de l’imprimerie (la Bible de Gutenberg date de 1455), les psautiers, les antiphonaires, puis les lectionnaires et les évangéliaires se sont progressivement couverts d’ornements et d’enluminures. Les lettres ornées utilisées pour les titres des ouvrages et des divisions principales reçurent les formes les plus variées : ornements gothiques, armoiries, initiales en or… Elles représentaient des personnages de l’époque aussi divers que le laboureur, l’artisan, le ménestrel, la châtelaine filant la laine à l’aide du rouet, mais aussi des plantes, des fruits, des animaux : oiseaux multicolores s’élançant vers le ciel, poissons dans l’onde bienfaisante de la rivière… La salle où se tenaient les moines copistes portait le nom de « scriptorium ». Comme le chant grégorien, au cours de sa lente et patiente éclosion, le travail des copistes était le fruit de leur méditation silencieuse, car ils devaient travailler en silence et en lien intime avec Dieu ; c’est pourquoi, pour qu’ils ne fussent pas dérangés, seuls l’abbé, le prieur, le sous-prieur et le bibliothécaire avaient le droit d’entrer dans leur salle. C’était le bibliothécaire qui était chargé de leur indiquer ce qu’ils devaient transcrire, et de leur fournir tous les objets dont ils pouvaient avoir besoin.
L’antienne « Sub tuum praesidium confugimus » (nous nous réfugions sous ta protection) que le pape François nous invite à chanter durant ce mois d’octobre est l'une des plus anciennes prières adressées à Notre-Dame (son texte a été retrouvé en grec sur un papyrus égyptien daté du IIIe ou du IVe siècle). Elle est employée dans les rites tant romain (ci-dessus) et ambrosien que byzantin ou copte.
Belle prestation chorale, simple et très bien chantée, des voix claires sans fioritures maniéristes (25 septembre 2018). L’emploi du latin, langue officielle de l'Eglise consubstantielle au plain-chant, unissait aussi de la sorte un pape et une communauté ignorant, l'un et l'autre, la langue vernaculaire de leur interlocuteur .
De Jean-Claude Guillebaud, écrivain et journaliste, sur le site de « La Vie »
« Dès l’arrivée en Éthiopie, c’est un choc. Les Éthiopiens ont été christianisés au début du IVe siècle, bien avant nous. Or, ce très ancien christianisme est plus vivant que jamais. J’en témoigne : je connais ce pays depuis novembre 1973, et j’y retourne sans cesse. Grâce à la librairie La Procure, j’y accompagne cette fois une vingtaine de personnes « sur les traces du christianisme éthiopien ».
Commençons par les détails. Les adolescents et les hommes portent tous aujourd’hui autour du cou une croix tenue par un fil noir, rappel des souffrances du Christ. Les femmes ne sont pas en reste, avec le châle blanc dont elles s’enveloppent, la chamma traditionnelle. Dans chaque bourgade traversée, on entend dès l’aube les chants orthodoxes qui correspondent à nos matines, laudes et prime. Un peu partout, de Lalibela à Bahir Dar, Gondar ou Aksoum, on restaure des monastères. On construit aussi beaucoup d’églises. Elles sont pleines, surtout pour les fêtes religieuses qui scandent le calendrier éthiopien, comme chez nous jadis. Ce jeudi 27 septembre par exemple, c’est le Mesqel ou fête de la Vraie Croix. Des milliers d’Éthiopiens sont dans la rue ou sur les places, autour d’un grand feu. Cette fête célèbre la découverte, en 326, de la croix sur laquelle Jésus-Christ aurait été crucifié. La mère de l’empereur romain Constantin aurait retrouvé cette relique à Jérusalem.
On sent dans le pays une indéfinissable joie de pratiquer à nouveau sa foi, de chanter, d’être en procession.
Pour comprendre l’intensité d’une telle ferveur, il faut se souvenir que l’Éthiopie a vécu une dictature militaire soutenue par l’ex-URSS, de 1974 à 1991. L’Église fut persécutée, nombre de monastères profanés et incendiés. La foi fut non seulement proscrite, mais moquée. L’ « avenir radieux »,« les lendemains qui chantent » et autres fadaises promises par le marxisme ne se discutaient pas. J’ajoute que ces années ont été ensanglantées par une terreur rouge qui n’épargna pas les enfants. Le gouvernement militaire du derg (« comité » en amharique) traqua sans pitié les deux partis révolutionnaires qui lui étaient hostiles. À ces violences s’ajoutaient les guerres en cours, celle d’Érythrée au nord, celle de l’Ogaden au sud.
Aujourd’hui, on sent dans le pays une indéfinissable joie de pratiquer à nouveau sa foi, de chanter, d’être en procession. Les accompagnateurs éthiopiens ne manquent jamais d’inviter les touristes au respect des lieux de culte. Certes, les « laïcs » que nous sommes devenus pourront trouver désuet ce christianisme qui fait son retour en Abyssinie. Mais son ancienneté inspire le respect. Quand on visite à Lalibela ces prodigieuses églises monolithes, creusées dans la roche autour des XIe et XII e siècles, on peut difficilement ne pas être ému. On vient du monde entier pour les voir. Elles sont devenues l’un des épicentres planétaires de notre mémoire chrétienne.
Le paradoxe est le suivant : alors que les chrétiens d’Éthiopie renouent ainsi avec leur foi millénaire, ils apprivoisent en même temps la modernité. Internet est accessible par le Wi-Fi dans la plus modeste bourgade. Et la télévision est partout. Mais le nouveau danger que l’Éthiopie profonde doit affronter, c’est le tourisme de masse. Ses effets pervers sont connus : avidité, mendicité auprès de ces farandj (« étrangers ») qui, bouleversés par la misère ambiante, donnent parfois 20 € à un enfant, soit la moitié du salaire de son père. Le péril est redoutable. Il nous faut apprendre à aimer l’Éthiopie, mais sans la corrompre. »
En juin dernier, le Prix d’histoire des religions de la Fondation “Les amis de Pierre-Antoine Bernheim”, décerné par l’Académie des inscriptions et belles-lettres, a été remis à Guillaume Cuchet pour son livre Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, publié au Seuil (1).
Comme il l’explique dans l’entretien qu’il nous a accordé, cet ouvrage propose une nouvelle interprétation des causes du très vif recul religieux survenu en France dans les années 1960. En effet, alors que ce phénomène est généralement expliqué par des causes essentiellement sociologiques se confondant peu ou prou avec l’irruption de ce que l’on appellera ensuite la postmodernité, Guillaume Cuchet estime, lui, que “les phénomènes religieux ont aussi des causes religieuses”.
Plus précisément, en s’appuyant sur de nombreuses données chiffrées, notamment issues des travaux du chanoine Boulard, auteur de la célèbre Carte religieuse de la France rurale, il estime que, loin de résulter seulement de mai 1968 ou de l’encyclique Humanae vitae par laquelle l’Église réaffirmait son opposition à la contraception, cet effondrement trouve son élément déclencheur dans l’effet profondément déstabilisant sur le clergé et les fidèles de la réforme de Vatican II.
Jean-Robert PITTE Président de Canal Académie (1) Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, par Guillaume Cuchet, Editions du Seuil, février 2018, 276 p., 21 euros
Anatomie d’un effondrement religieux
« Le recul du catholicisme en France depuis les années 1960 est un des faits les plus marquants et pourtant les moins expliqués de notre histoire contemporaine. S’il reste la première religion des Français, le changement est spectaculaire : au milieu des années 1960, 94 % de la génération en France étaient baptisés et 25% allaient à la messe tous les dimanches ; de nos jours, la pratique dominicale tourne autour de 2% et les baptisés avant l’âge de 7 ans ne sont plus que 30%. Comment a-t-on pu en arriver là ? Au seuil des années 1960 encore, le chanoine Boulard, qui était dans l’Église le grand spécialiste de ces questions, avait conclu à la stabilité globale des taux dans la longue durée. Or, au moment même où prévalaient ces conclusions rassurantes et où s’achevait cette vaste entreprise de modernisation de la religion que fut le concile Vatican II (1962-1965), il a commencé à voir remonter des diocèses, avec une insistance croissante, la rumeur inquiétante du plongeon des courbes.
Guillaume Cuchet a repris l’ensemble du dossier : il propose l’une des premières analyses de sociologie historique approfondie de cette grande rupture religieuse, identifie le rôle déclencheur de Vatican II dans ces évolutions et les situe dans le temps long de la déchristianisation et dans le contexte des évolutions démographiques, sociales et culturelles des décennies d’après-guerre. »
Présentation par l’éditeur de Comment notre monde a cessé d’être chrétien. Anatomie d’un effondrement, par Guillaume Cuchet, Editions du Seuil, février 2018, 276 p., 21 euros
La présence carmélitaine se délite dans notre pays : après le départ des Pères carmes de Chèvremont et des Soeurs carmelites de Cornillon (Liège), c'est à présent le tour du carmel de Louvain-la-Neuve :
Lu dans l'édition de ce jour de "La Capitale Brabant-Wallon", p. 8 :
Court-Saint-Étienne : Le carmel va fermer !
Nous l’avons appris hier : le carmel de Louvain situé à Court-Saint-Étienne mais tout près de Louvain-la-Neuve va fermer ! « Il y a 45 ans, la communauté des carmélites de Louvain, fondée en 1607 à Leuven, quittait cette ville pour poursuivre sa vie de prière et d’intercession à Court-Saint-Etienne, à proximité de la nouvelle université et ville de Louvain-la-Neuve » , expliquent les carmélites dans un communiqué. « Aujourd’hui, à l’écoute des signes des temps et des interpellations de l’Eglise relayées par le Père Général de l’Ordre du Carmel, notre communauté a décidé de réfléchir sur sa situation concrète actuelle. En l’absence de nouvelles vocations depuis 17 ans, nous sommes en petit nombre dans un bâtiment prévu pour deux fois plus de sœurs. Nous avons décidé de quitter notre monastère de Louvain-la-Neuve pour poursuivre un chemin de vie ailleurs : nous rejoindrons d’autres carmels, chacune étant libre de choisir sa nouvelle communauté. Une page se tourne, non sans peine » .
THÉODOOR VAN LOON, PEINTRE CATHOLIQUE BAROQUE | EXPO ET CONCERTS | BOZAR
Du 10 octobre au 13 janvier prochain, BOZAR proposera une nouvelle exposition sur Theodoor van Loon (XVI-XVIIe siècle), peintre trop peu connu, souvent comparé à Rubens. Cet artiste venu des Pays-Bas méridionaux, a été très actif en Belgique, où il notamment peint des fresques pour la basilique Notre-Dame de Scherpenheuvel-Montaigu.
Adepte du peintre italien Michelangelo Merisi da Caravaggio dit « Le Caravage », il voyagera plusieurs fois au cours de sa vie entre Bruxelles et Rome. Il y adoptera un style de peinture baroque en y représentant des scènes religieuses dans un ton classique.
Afin que le public puisse apprécier au mieux l’art de Van Loon, plusieurs peintures ont fait l’objet d’une restauration approfondie. Grâce à l’intermédiaire de la Fondation Roi Baudouin, le Fonds Baillet Latour a généreusement financé le traitement de cinq toiles de Van Loon, traitement confié à l’Institut royal du patrimoine artistique (IRPA). Ces tableaux comptent parmi les œuvres majeures du patrimoine artistique bruxellois : quatre toiles proviennent de l’église Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage (endommagée par un incendie en 2000) tandis que la cinquième appartient au couvent des Carmélites de Bruxelles. Quatre conservateurs-restaurateurs ont travaillé pendant environ deux ans à leur restauration.
Découverte insolite d'une restauration monumentale
Les Journées 2018 du Patrimoine en Wallonie dévoilent les dessous du patrimoine, avec une programmation inattendue pour découvrir les aspects cachés des lieux ou une expérience originale de visite : une présentation sous le signe de la même thématique que celle de l’année du tourisme 2018. A Liège, l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy (face à la statue équestre de Charlemagne) révèle au public le plan de la restauration prochaine de ce bel édifice néo-classique du XVIIIe siècle à travers une série d’animations multiformes :
►Samedi 8 septembre 2018, entrée libre de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 17h30
Horaire des animations :
10h00 : présentation du projet de restauration (Louis Schockert, auteur du projet) *;
10h30 : visite guidée des lieux ;
11h00 : retour au cœur de la cité de Liège au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;
11h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) ** ;
14h30 : visite guidée des lieux ;
15h00 : retour au cœur de la cité de Liège au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;
15h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) **.
►Dimanche 9 septembre 2018, entrée libre de 14h00 à 17h30
Horaire des animations :
14h30 : visite guidée des lieux ;
15h00 : retour au cœur de la cité au XVIIIe siècle avec André-Modeste Grétry (Michel Jaspar, comédien-musicien) *;
15h30 : œuvres de musique ancienne et airs traditionnels wallons revisités (Jean-Denis Piette, orgue et Gautier Bouchat, cornemuse) ** ;
16h00 : présentation du projet de restauration (Louis Schockert, auteur du projet) * ;
16h30 : découverte des charpentes anciennes du clocher et du dôme octogonal (avec Louis Schockert). Accès limité pour une dizaine de personnes (se munir de chaussures adéquates). Réservation obligatoire (tel 04 344 10 89).
►Du samedi de 10h00 à 12h30 et 14h00 à 17h30 au dimanche de 14h00 à 17h30: visite de l’exposition de photos inédites de l’édifice réalisées par le Gamma Photo Club de Liège (président, Philippe Reginster).
(*) Grétry : retour au cœur de la cité ardente au XVIIIe siècle, sam. 8/9 à 11h00 et 15h30 et dim. 9/9 à 15h00
(**) Cornemuse et orgue sam. 8/9 à 11h30 et 15h30 et dim. 9/9 à 15h30
Au programme: Buxtehude, prélude fugue et chaconne, 137 do majeur (1637-1707); le passepied del Neure Poye et variations de J-P Van Hees, do mineur; le plaintif de J-M Hotteterre en sol majeur (1673-1763); Est-ce mars, J-P Sweelinck, do majeur (1562-1621);; l'iris, livre duo des fleurs de Philibert Delavugne (1690-1750) et une étude de J.-M. Hotteterre pour musette baroque, si b majeur. Composition pour cornemuse de Gautier Bouchat et air traditionnel (l'apprentie et deux airs traditionnels d'Europe). Choix du jour pour la clôture: variations sur le "Valeureux Liégeois"
(***) Présentation du projet de restauration de l'église du st sacrement, sam. 8/9 à 10h00 et dim. 9/9 à 16h00:
Faire un don ? Compte bancaire : IBAN BE58 0003 2522 9579 BIC BPOTBEB1 de l' asbl Sursum Corda à Liège, avec la mention « soutien église du saint-sacrement ».