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Patrimoine religieux - Page 135

  • Luxembourg : six nouveaux circuits pour découvrir le patrimoine religieux

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    Du site de la RTBF :

    Six nouveaux circuits pour découvrir le patrimoine religieux dans quatre communes en Luxembourg

    Illustration - Six nouveaux circuits pour découvrir le patrimoine religieux dans quatre communes de la Province de Luxembourg.
    Illustration - Six nouveaux circuits pour découvrir le patrimoine religieux dans quatre communes de la Province de Luxembourg. - © Flickr - Autharite

    La Roche-en-Ardenne, Rendeux, Manhay et Tenneville. Au total, ce sont onze églises que les citoyens et touristes peuvent visiter au coeur de l'Ardenne. Géry de Pierpont, chargé de projet a la Région Wallonne...

    Ecouter ICI

  • Désaffecter ou désacraliser massivement les églises ?

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    De Mgr Jacques Habert sur le site aleteia.org :

    Allons-nous devoir désaffecter ou désacraliser des églises de façon massive ?

    porte d'une église

    Nos églises sont une chance pour la nouvelle évangélisation. Mais que faire quand nombre d’entre elles sont appelées à perdre leur affectation au culte divin ? Mgr Jacques Habert, évêque de Séez (Orne) participe au groupe de travail « Les églises, un nouvel enjeu pastoral » au sein de la Conférence des évêques de France (CEF). Il invite à la réflexion de tous les fidèles pour affronter l’avenir de nos églises avec discernement.

    Les évêques de France continuent de porter avec attention la question de l’avenir de nos églises. Des groupes de travail ont été mis en place ces dernières années pour rappeler les règles en matière de désaffectation et pour insister sur la dimension pastorale. Dans le cadre de ces réflexions, un colloque a eu lieu au Collège des Bernardins en mars 2018. Trois conclusions s’étaient imposées à l’issue de ce beau colloque : une invitation au dialogue avec les partenaires multiples — les élus, les amoureux du patrimoine, les communautés chrétiennes, les habitants des communes ; une invitation à la vigilance, dans un temps où bien des repères sont perdus : redire ce qu’est une église et sa vocation au sens large du terme ; une invitation à l’espérance : nos églises sont une chance pour la nouvelle évangélisation.

    Allons-nous devoir désacraliser de nombreuses églises ?

    Ces réflexions se conduisent sur un fond d’inquiétude : allons-nous devoir désaffecter, désacraliser des églises de façon massive, dans les années qui viennent ? Il n’est pas illégitime de se poser cette question. Elle nous attriste, elle peut même nous faire peur. Notons qu’il serait aussi irresponsable de ne pas se la poser. Les enjeux sont nombreux : ils sont pastoraux, mais aussi sociaux, politiques, juridiques, canoniques ou patrimoniaux.

    Aborder cette question, c’est entrer sur un terrain à la fois passionnant et un peu miné. Cette réflexion, nous ne sommes pas les seuls à la porter. Bien d’autres pays connaissent cette situation : en novembre dernier à Rome, le Conseil pontifical pour la culture organisait à son tour un colloque au titre évocateur : Dieu n’habite plus en ce lieu ? Au cours de cette rencontre, où fut évoquée la désaffection des lieux de culte, des Italiens, des Canadiens et des représentants venus des pays de l’Est de l’Europe sont venus partager des expériences d’utilisation nouvelle de leurs églises. Ainsi, la problématique n’est pas que française, même si elle se pose en France d’une façon originale suite aux lois de 1905 et 1907.

    Jusqu’où peut-on aller dans l’utilisation non-cultuelle d’une église ?

    Le plus souvent, on retrouve une tension sous-jacente entre l’option d’une utilisation non-cultuelle d’une église et la décision radicale de sa désaffection. Quels critères pouvons-nous nous donner ? Nous savons que la culture, la beauté, le patrimoine sont une porte d’entrée pour une évangélisation par les pierres, d’où l’importance des églises ouvertes, bien entretenues, accueillantes. Il y a dans ce domaine un bouillonnement et des initiatives très encourageantes. On se souvient de la belle expression que le pape Benoît XVI avait employée, la via pulchritudinis, la voie de la beauté pour nous faire accéder à Dieu.

    Lors du colloque romain, le pape François a adressé un message aux participants invitant à creuser la piste sociale. Comment un « bâtiment-église » peut-il être mis au service de finalités sociales ? Le Pape évoquait la figure du diacre saint Laurent dont l’iconographie sacrée le montre en train de vendre de précieux objets du culte pour en distribuer le produit aux pauvres. Pour le Pape, « ceci constitue un enseignement ecclésial constant qui, tout en inculquant le devoir de protection et de conservation des biens de l’Église, et en particulier des biens culturels, déclare qu’ils n’ont pas de valeur absolue mais qu’en cas de nécessité ils doivent servir au plus grand bien de l’être humain, et spécialement au service des pauvres ». Une église où, par exemple, on donnerait à manger, où les personnes seraient accueillies, ne serait que la mise en pratique de l’Évangile : « J’avais faim, vous m’avez donné à manger… j’étais un étranger, vous m’avez accueilli » (Mt 25, 35). Agir en ce sens nous inviterait à reconsidérer le canon 1214 qui définit une église comme « l’édifice sacré destiné au culte divin où les fidèles ont le droit d’entrer pour l’exercice du culte divin, surtout lorsqu’il est public ».

    En cas de désaffection d’une église

    Devant la décision radicale de la désaffection d’une église, trois questions surgissent. Premièrement, la future utilisation du bâtiment n’est-elle pas inconvenante (cf. canon 1222, non sordidum) ? Ensuite, en quoi un bâtiment qui n’est plus une église mais qui continue de lui ressembler, peut-il demeurer un signe ? Ne risque-t-il pas aussi de devenir un « contresigne » laissant penser qu’autrefois il y avait des chrétiens, mais que maintenant c’est fini ? Enfin, tout est-il fait « pour assurer un nouvel usage religieux ou culturel, compatible autant que possible avec l’intention initiale de la construction »1 ? L’intention peut être excellente, mais le risque est de dédier une ancienne église par exemple au silence, à la beauté, à l’intériorité, à l’harmonie, en mettant sur un même plan une certaine religiosité ambiante avec le message initialement chrétien du bâtiment.

    On le voit, ces questions sont complexes, ne pas les regarder en face serait irresponsable, les traiter trop rapidement aussi. Dans la conclusion du colloque romain, il a été demandé à plusieurs reprises que le peuple de Dieu dans son ensemble soit engagé dans ces réflexions. Chaque évêque, dans son diocèse, est invité à une réflexion ample, qui continuera de nous mobiliser dans les années qui viennent.


    [1] Texte d’orientation du colloque de Rome Dieu n’habite plus en ce lieu ?

  • " Nos vies offertes " : Séminaire diocésain de Bayonne

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    Film réalisé sur le nouveau Séminaire de Bayonne relancé et rénové sur l'initiative de Mgr Marc Aillet :

    Ref. " NOS VIES OFFERTES " Séminaire de Bayonne

    Loin des débats déprimants sur les abus sexuels cléricaux, l’abolition du célibat obligatoire des prêtres et l’ordination des femmes: autant de rengaines qui obsèdent et polluent, aujourd’hui plus que jamais, la vie ecclésiale dans l’Eglise latine postconciliaire:

    Monseigneur Aillet est issu de la Communauté Saint-Martin  http://www.communautesaintmartin.org/

    JPSC

  • Notre-Dame, pape, idolâtrie... : un nouveau débat des "hommes en noir"

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Le Club des Hommes en Noir : neuvième épisode ! Tous les mois un nouvel épisode. Le Club des hommes en noir revient pour l'édition du mois de mai. Cette émission fondée en 2012, sur une radio bien connue, par Philippe Maxence, a un concept simple : l'actualité de l'Église décryptée par des prêtres et un laïc, sans langue de buis ! Vous pouviez les entendre, grâce au studio vidéo de L'Homme Nouveau vous pouvez maintenant les voir ! 

    Pour cette neuvième émission, avec l'abbé Grégoire Celier, l'abbé Guillaume de Tanouärn, l'abbé Michel Viot et  Daniel Hamiche, sous la direction de Philippe Maxence les sujets suivants ont été abordés : 

    1°) L'incendie de Notre-Dame de Paris.
    2°) Des pétitions, avertissements, dénonciations, etc. circulent mettant en cause le pape ? Est-ce un procédé normal dans l’Eglise ? Signe de rancœurs, de goût de revanche d’un parti dans l’Eglise ou la traduction actuelle d’un moyen de contribuer au bien commun ?
    3°) Catholiques êtes-vous idolâtres ? Certains protestants et les musulmans nous accusent d’adorer la Mère du Christ. Et, au fait, pourquoi le mois de mai est-il consacré à la Vierge Marie ? 

     

     

  • «Se sentir chrétien» : une conscience sourde beaucoup plus largement répandue qu’on ne le croit

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    De Jean-Marie Guénois sur le site "Smart Reading Press" :

    BEAUX RESTES ET PETITS RESTES DU CHRISTIANISME

    L’incendie de Notre-Dame de Paris a ravagé l’un des «beaux restes» du catholicisme français. Pour partie seulement. Ce qui est pierre est resté debout. Fragilisé, mais fier. Droit et tenant sa position. Ce qui semblait protecteur, le toit, s’est curieusement enfumé. Sans doute une parabole pour le troisième millénaire. Dire au monde que l’unique protection vient de Dieu. En tout temps. En tout lieu. Les flammes dantesques crachées des voûtes de l’un des plus beaux temples dédiés au Christ et à Marie l’ont rappelé au cœur humain. Avec stupeur.

    L’élan de générosité qui a suivi a surtout illustré que ce «beau reste» n’était pas seulement architectural, mais spirituel. Ce Lundi saint 2019, toute une société s’est levée d’un bond. En France, dans le monde, «les gens» se sont émus. Ce qui indique que «l’appartenance» chrétienne n’est pas d’abord sur le déclin, mais «en attente». La torche de feu de la grande Notre-Dame a réveillé des cœurs, mais elle a révélé, par sa lumière, l’immense jachère des âmes.


    «Se sentir chrétien» est une conscience sourde beaucoup plus largement répandue qu’on ne le croit.


    En France, ces champs s’étendent à perte de vue. Beaucoup de ces «gens» furent ensemencés par le baptême. Puis voués à l’abandon, sans eaux, desséchés, étouffés par les ronces. Des «gens» pourtant prêts à donner le denier. D’un cœur d’enfant, sans réfléchir, «pour Notre-Dame !» Dans cette geste sociale inattendue, il n’y avait pas que de la sauvegarde d’un patrimoine. L’artiste – hyper sensible – Luchini a instinctivement senti le sens du vent. Il a lancé : «métaphysique !»

    Peut-être faut-il alors réaliser que le «petit reste» chrétien – souvent donné comme lot de consolation à l’Église, avec en prime l’espérance des «minorités actives» – n’est pas le tout. Certes, ce «petit reste» est réel, bien que comptablement déprimant pour l’Église. Elle y voit le «petit troupeau» – David et Goliath, peuple en exil, poignée d’apôtres – qui a souvent permis le miracle d’une transmission au long cours quand tout semblait éteint.

    Mais il est également permis de voir ce «petit reste» comme une trace fine, cachée, subtile, vacillante de christianisme. Elle subsiste dans le cœur des gens apparemment les plus éloignés de l’Église. Or c’est bien ce «petit reste» qui est devenu braise ardente devant le spectacle des images de Notre-Dame en proie aux flammes. Un «petit reste» qui finit par donner, là aussi, de «beaux restes» à un christianisme qui est loin d’être mort.

    Après l’incendie de Notre-Dame, une passionnante enquête de l’institut américain Pew Research dans les pays européens démontre cette impressionnante différence qui subsiste entre les croyants pratiquants et ceux qui destinent leur argent à l’Église quand la collecte de l’impôt leur donne ce choix. Les écarts peuvent aller de 1 à 8 ! 10 % de pratiquants pour 80 % de donateurs pour l’Église.

    Cette quête étatique, organisée, intéressée, n’est évidemment pas celle des piécettes de la messe du dimanche matin. Elle est même loin d’être liturgique. Mais elle prouve que «se sentir chrétien» est une conscience sourde beaucoup plus largement répandue qu’on ne le croit. Quand sonnent des heures de vérité – décès, drames, catastrophes –, cette identité des profondeurs est capable de se réveiller d’un seul coup.

    Jean-Marie Guénois

  • France : vols et dégradations d'églises se poursuivent

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    De Mélinée Le Priol sur le site du journal La Croix :

    De la Manche à la Côte d’Azur, les vols et dégradations d’églises se poursuivent

    Les faits 

    Au moins cinq églises ont fait l’objet de vols et de dégradations en France dans le courant du mois d’avril. Certains gestes, comme l’ouverture du tabernacle et le vol d’hosties consacrées, peuvent laisser croire à une volonté de profanation.

    De la Manche à la Côte d’Azur, les vols et dégradations d’églises se poursuivent

     L’église Saint-Vivien de Pons. JLPC/WIKIMEDIA COMMONS

    C’est au lendemain du week-end pascal, mardi 23 avril, que le père Philippe Teullé, curé des paroisses de Pons et de Gémozac (Charente-Maritime), a fait part à ses paroissiens d’une « bien désagréable nouvelle ».

    « L’église Saint-Vivien de Pons, haut lieu marial diocésain, sanctuaire à Notre Dame de Recouvrance, vient d’être profanée », indique-t-il gravement sur le site Internet de la paroisse, mentionnant la « profanation » du tabernacle, le vol de calices et d’hosties consacrées.

    Après avoir été exceptionnellement fermée, l’église Saint-Vivien accueillera vendredi 3 mai une messe dite de réparation, comme il est d’usage en cas de profanation d’un lieu sacré, afin de rendre l’édifice à sa fonction.

    Présence réelle

    Selon le droit canon, la profanation est établie lorsqu’on s’attaque à ce que les catholiques considèrent comme la présence réelle du Christ : les hosties consacrées (ou le tabernacle où elles sont entreposées) ou encore l’autel, où est célébré le sacrement de l’eucharistie.

    Plus de 500 km au nord des côtes charentaises, face à l’île anglo-normande de Jersey, deux autres églises avaient déjà été détériorées la semaine précédente : les églises Saint-Jean de Créances et Saint-Martin de Pirou (Manche).

    Des individus s’y sont introduits dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 avril, renversant du mobilier liturgique, ouvrant les tabernacles et, à Pirou, jetant les hosties à terre. La mairie de Pirou a d’ores et déjà porté plaine.

    Trois actes par jour ?

    Le 9 avril, c’est à Montluçon (Allier) que l’église Saint-Pierre a été profanée. Le curé avait alors constaté que la porte du tabernacle avait été fracturée et que le ciboire contenant les hosties avait été dérobé. « Un acte terrible et dramatique », avait commenté le diocèse de Moulins, estimant que cela « nous touche dans le cœur de notre foi ».

    Selon une enquête publiée le 28 mars dans Le Figaro, le Service central de renseignement criminel (SCRC) de la gendarmerie a recensé, en 2018, 129 vols et 877 dégradations ciblant des édifices catholiques en France. Le journal évoque « près de trois actes de vandalisme commis par jour ». (....)

  • Al-Baghadi lance une nouvelle guerre contre les chrétiens mais en Occident aussi l'Eglise est attaquée

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    De Sandro Magister (Settimo Cielo) en traduction française sur le site diakonos.be :

    La nouvelle guerre d’al-Baghdadi contre les chrétiens.  Mais l’Occident aussi attaque l’Église

    Le dimanche et le lundi de Pâques, place Saint-Pierre, le pape François a fait tout ce qui était possible – au nom du dialogue avec l’Islam – pour faire passer comme de vagues actes n’étant cependant “jamais justifiables” les attentats terroristes en chaîne qui ont tué des centaines de chrétiens réunis à l’église pour célébrer le Christ ressuscité.  Un cinquième de ces victimes étaient des enfants. 

    Mais le lundi 29 avril, soit une semaine plus tard, la “justification” sans équivoque est tombée.  Cinq ans après sa mémorable prédication depuis la grande mosquée de Mossoul, le chef suprême de l’État islamique, Abu Bakr al-Baghdadi, a refait surface non seulement pour revendiquer l’hécatombe du Sri Lanka mais surtout pour présenter cette dernière comme étant le modèle d’une nouvelle offensive sur le point d’éclater à l’échelle mondiale, surtout en Afrique et en Asie, avec comme première cible les chrétiens. 

    Entretemps, dans toutes les églises du Sri Lanka, aucune messe n’a été célébrée le dimanche après Pâques, par peur de nouveaux attentats.  Là-bas, les chrétiens représentent environ 7% de la population et ils ont été comme touchés en plein cœur. 

    Après avoir été chassé des territoires qu’il avait initialement conquis en Syrie et en Irak, al-Baghdadi a déclaré une nouvelle “guerre d’usure”, en arabe “niqaya”, contre les “croisés”, sans armée sur le terrain mais avec des actes de guérilla, des assauts, des attentats, perpétrés par des militants éparpillés et cachés un peu partout, même en Europe, à en juger par les nombreux “foreign fighters” rentrés en France, en Grande-Bretagne, en Italie, en Belgique, en Allemagne, etc. après avoir combattu en Syrie et en Irak dans les rangs de l’État islamique vaincu.

    Et tout cela au nom d’une idéologique islamique radicale dont se prévaut non seulement “l’émir des croyants” al-Baghdadi mais qui est “encore largement répandue et qui jouit du soutien, notamment financier, de plusieurs personnes, une vision djihadiste empreinte d’esprit de vengeance basée sur des textes datant du septième siècle et sur une interprétation rigoureuse de la loi islamique”, a déclaré le patriarche chaldéen de Bagdad et cardinal Louis Raphael Sako le 30 avril à “Asia News”.  “La responsabilité de combattre cette idéologie incombe aux autorités musulmanes”, a-t-il ajouté. 

    *

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  • Liège, dimanche 5 mai 2019 à 10h00 en l’église du Saint-Sacrement, messe du Bon Pasteur : plain-chant, orgue et violons

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    affiche_premier dimanche du mois.jpg

    L’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) offre chaque premier dimanche du mois à 10h00 une messe particulièrement soignée sur le plan musical.

    Le dimanche 5 mai prochain, l’organiste Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers et l’Ensemble instrumental Darius interpréteront deux œuvres du XVIIIe siècles : l’une de Mozart et l’autre de Vivaldi. 

    Le propre grégorien de la messe du 2e dimanche après Pâques dédiée au « Pastor Bonus » est chanté par la Schola du Saint-Sacrement : il exprime la confiance des enfants de Dieu dans le bon pasteur qui a donné sa vie pour ses brebis. Se chante également au cours de la liturgie du jour l’hymne célèbre « Regina Caeli », dédiée à la Vierge au temps pascal.

    Regina Caeli (solennel):

     

    JPSC

  • Tous pour Notre Dame.com, un nouveau site d’évangélisation !

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    De lightsinthedark.info :

    Tous pour Notre Dame.com, nouveau site d’évangélisation !

    Moins de 24h après l’incendie de Notre Dame, nous avons mis en ligne un nouveau site pour ceux qui sont loin de l’Eglise : www.touspournotredame.com.

    Cet évènement touche bien au-delà des catholiques. Notre mission est d’écouter l’émotion de tous les amoureux de cet édifice, d’y trouver un prolongement, pour leur donner une chance de découvrir la place de Notre Dame dans leur vie.

    Sur ce site – qui n’est pas un site d’appel aux dons ! – se trouve la possibilité de laisser un message de soutien ou un témoignage sur Notre Dame, d’y déposer une intention de prière, de découvrir l’édifice et la figure de Notre Dame avec des liens vers d’autres sites, mais aussi un coin pour les enfants (coloriages, atelier vitrail, jeu de 7 erreurs…).

    Des internautes non-croyants visitent le site, comme Béatrice, qui témoigne : « Notre Dame, je suis athée, mais pour moi, tu as accompagné mes pensées depuis petite, je t’ai vue plusieurs fois, j’ai marché, marché dans Paris pour te rejoindre, tu es l’emblème de notre histoire de France, et je rêve de monter caresser tes gargouilles. Les films, les dessins animés : tu fascines tout le monde et j’espère qu’on réparera les blessures avec savoir-faire et respect. Mon coeur est en deuil. »

    Sur le live chat’, des e-missionnaires discutent en direct avec les internautes, comme Michel, qui se dit « débaptisé » mais très ému par ce drame.

    Notre Dame est toujours là !

    Visiter le site et le partager à ses amis : www.touspournotredame.com

    La page Facebook : Facebook.com/touspournotredame

    Sur Twitter : twitter.com/all4notredame

  • Le catholicisme est le noyau civilisationnel de nos pays

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    Des propos recueillis par Guillaume Bonnet sur le site de France Catholique :

    Mathieu Bock-Coté : « Le catholicisme est le noyau civilisationnel de nos pays »

    Dans L’Empire du politiquement correct (Le Cerf), le sociologue québécois livre une analyse implacable de la fragmentation accélérée de la civilisation occidentale. Le projet diversitaire, qui substitue le particulier à l’universel, s’appuie sur une arme redoutable : le politiquement correct. France Catholique l’a rencontré au lendemain de l’incendie de Notre-Dame de Paris.

    L’unité nationale qui s’est manifestée dès l’embrasement de la cathédrale, ne vient-elle pas démontrer que l’idéologie diversitaire est encore loin d’avoir gagné ?

    Nous avons sans aucun doute connu un grand moment de communion. Tout le monde s’est senti touché, bouleversé, car nous était arrachée une part fondamentale de ce pays et de notre civilisation. En d’autres mots, les peuples résistent à leur décomposition même si le régime diversitaire travaille à leur dissolution. C’est que les peuples ne sont pas des constructions sociales artificielles, comme le soutient une certaine vulgate universitaire : ils existent et possèdent – comme le disait Paul Ricoeur - un noyau éthico-mythique fondamental. C’est ce noyau qui a été touché au cœur et s’est d’un coup réactivé. On pourrait dire les choses autrement : une nappe profonde d’identité française est remontée à la surface. Dans un monde friable, qui ne se cesse de se décomposer, Notre-Dame incarnait la continuité de la France. Cet incendie nous rappelle que les constructions humaines les plus lumineuses et les plus remarquables peuvent s’effacer devant nous. On les voudrait immortelles, mais telle n’est pas la condition de l’homme et de ses œuvres sur cette terre.

    Avez-vous été surpris par l’émotion manifestée par de nombreuses personnalités, peu suspectes d’indulgence à l’égard du monde catholique ?

    C’est la part d’optimisme que l’on peut déduire de ce drame. Face à des événements de cette nature, la meilleure part de l’homme rejaillit, elle resurgit. C’est la vertu paradoxale des grandes épreuves qui permettent aux peuples de refaire leur unité, ou du moins, de la ressentir. Lorsque l’histoire redevient tragique, la société des individus déliée peut s’effacer alors que la nation réapparaît. Les peuples refont leur unité autour de grandes épreuves. Sur le plan symbolique, affectif et culturel, nous venons de traverser une grande épreuve qui rappelle aux hommes ce qui les unit au-delà de ce qui les divise. Les jours ordinaires et les divisions vont revenir. La politique est ainsi faite, la démocratie aussi. Mais pour quelques heures, quelques jours, peut-être quelques semaines, s’impose très vivement le sentiment d’appartenir à cette patrie commune et millénaire qu’est la France.

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  • Vendredi 3 mai 2019 à 20h00, en la Cathédrale de Liège: concert du Choeur universitaire de Liège

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    concert_Choeur_Universitaire_Liège-1.jpg

    JPSC

  • La renaissance de la cathédrale d’Alep, un signe d’espoir pour la Syrie

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    De Vatican News :

    La renaissance de la cathédrale d’Alep, un signe d’espoir pour la Syrie

    La cathédrale de la Dormition de la Vierge Marie d’Alep a rouvert ses portes après plusieurs années de guerre. Un signe d’espoir pour l’ensemble des chrétiens de Syrie.
     
    Entretien réalisé par Delphine Allaire – Cité du Vatican

    Église martyrisée pendant la guerre, la cathédrale grecque-melkite de la Dormition de la Vierge Marie d’Alep, a rouvert ses portes mardi 23 avril lors d’une messe présidée par le patriarche d’Antioche et de tout l’Orient, S.B Yousef Absi. Cet événement est «un geste symbolique et un signe positif du retour de la Syrie comme elle était dans sa beauté et sa vitalité» a-t-il affirmé.

    À ses côtés, lors de la cérémonie, étaient présents Mgr Jean-Clément Jambart, l’archevêque de rite melkite d’Alep, et le nonce apostolique, le cardinal Mario Zenari, qui a adressé les félicitations du Saint-Siège pour cette réouverture et sa gratitude pour les efforts accomplis pour la restauration de l’édifice après les dommages subis pendant la guerre. 

    «Outre les dommages matériels aux lieux de culte, l’Église syrienne s’engage pour réparer les dommages spirituels qui ont frappé les communautés de fidèles», a expliqué le cardinal Zenari à Radio Vatican. Fin 2013, l’édifice avait été touché lors de la bataille d'Alep, la toiture, le dôme, l’entrée et la sacristie avaient été détruits. 

    Très ému, Mgr Jean-Clément Jeanbart, l’évêque grec-catholique melkite d’Alep, perçoit cette reconsécration comme un souffle d’espérance pour la Syrie tout entière. 

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