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Témoignages - Page 260

  • Regard sur la croix et la gloire

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    Témoins

    Resurrection Weyden.jpg

    Le regard porté sur le Christ ressuscité tout comme le regard porté sur le Christ en croix, nous incitent à penser : " le mal est ce qui n'aurait pas dû être ".  Semblablement, le regard porté sur le Christ en gloire nous invite à penser que le mal n'est pas lié métaphysiquement à la finitude de l'existence humaine.

    Le regard porté sur le Christ glorifié nous enseigne plutôt, à mon sens, que le mal n'est pas lié à la finitude, puisque nous contemplons en Jésus glorifié une nature humaine qui reste toujours marquée par la finitude ; nous ne sommes ni des anges, ni des éléphants, ni des tulipes, nous sommes une nature humaine circonscrite, déterminée, nous ne sommes pas n'importe quoi, et Jésus ressuscité n'a pas perdu les contours qui déterminent la nature humaine. Et pourtant " le Christ ressuscité ne meurt plus, la mort n'a plus sur lui aucun pouvoir ", c'est une humanité qui n'est plus infectée par le mal.

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  • Chemin de Croix à Bruxelles en présence de Mgr Léonard

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    IMG_2750.jpegEn ce vendredi saint 2015, plusieurs chemins de croix étaient organisés dans les rues de Bruxelles.
    Les franciscains du couvent de saint Antoine de Bruxelles (http://www.saintantoine.info) ont animé un chemin de croix aux flambeaux au départ de la Place du Luxembourg jusqu'à la Cathédrale St-Michel et Gudule. Monseigneur Léonard y a participé avec quelques centaines de fidèles. 

    Récit d'un participant arrivé suite à la réception du flyer ci-dessus.

    Première station, nous allumons les flambeaux et écoutons la première méditation.

    Au départ du parlement européen, place du Luxembourg.  On peut voir Mgr Léonard avec son béret au pied de la croix.

    IMG_2752.jpeg

    Les Franciscains ont donné de très belles méditations pour chaque station du chemin de croix.  Nous avons pu prier à de très nombreuses intentions.

    Ainsi, en fonction des lieux traversés, nous avons pu prier pour les membres des institutions européennes et principalement pour les sujets qui nous touchent tous profondément : les questions liées à la vie et la famille.  Nous avons également médité sur notre responsabilité dans la société : notre respect de la création, la recherche d'une distribution équitable des richesses, l'attention à donner au plus pauvres et aux plus faibles.

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  • 3 avril 2015 : le chemin de croix du vendredi-saint dans les rues de Liège

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    11115590_898107430232788_8619621610313652550_n.jpgIl est difficile d’évaluer  d’un simple coup d’œil le nombre exact de personnes qui ont pris part à la marche elle-même, qui s’est déroulée sous un ciel maussade et frileux, mais il y avait certainement 800 personnes dans la cathédrale pour l’office du vendredi-saint, qui la clôturait dignement. Dans la foule pieuse pérégrinant d’une rive à l’autre de la Meuse, au milieu d’une indifférence quasi générale, on est frappé par l’importante proportion 11073204_898103456899852_8050141668376153506_n.jpgd’Africains, confirmant ce que l’on sait : le printemps de l’Eglise vient aujourd’hui du continent noir. L’évêque de Liège, Mgr Delville, qui conduisait la marche en a exprimé le sens en ces termes : « Au long de ce chemin de croix nous allons évoquer les souffrances de Jésus, en les représentant par des images, par des textes, par l’imagination, par notre marche. Pourquoi reproduire aujourd’hui des souffrances d’il y a deux mille ans ? Parce que dire les souffrances contribue à les vivre, à les dépasser, à en être libérés. Regarder en face les souffrances de l’humanité nous fait entrer dans un chemin de solidarité et de communion. La foi chrétienne a parfois été accusée de dolorisme, parce qu’on valorisait la douleur. Mais en fait, la foi chrétienne possède, avec le judaïsme, les premiers documents au monde qui décrivent la souffrance d’un innocent, ce sont les évangiles et les psaumes. Décrire la souffrance est un progrès de l’humanité. C’est le premier pas pour en sortir. Et c’est pour cela que Jésus nous sauve de la souffrance : c’est parce qu’il affronte celle-ci chez chaque personne qu’il rencontre et il affronte celle-ci dans sa propre passion et sa mort. Alors mettons-nous à son écoute ».

    Diaporama: cliquer ici

    Lire aussi : Chemin de croix au cœur de Liège

    JPSC

  • Ce qui fait la vitalité d'un diocèse

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    Lu ICI :

    La Vie consacre son dernier numéro à la fin ou la résurrection du catholicisme en France. Le journal dresse un panorama de l’Eglise en France, en grande difficulté à bien des niveaux. Toutefois, il s’est penché sur le cas peu commun du diocèse de Fréjus-Toulon, véritable laboratoire de la nouvelle évangélisation :

    « Les faits sont là : le diocèse de Fréjus-Toulon, qui correspond au département du Var, avec son million d’habitants, est celui qui ordonne le plus de prêtres par habitant en France. Il en compte actuellement 252 en activité et 93 en mission à l’extérieur, un chiffre en croissance constante et qui suffit pour assurer une présence dans chaque paroisse. Cinq jeunes hommes y ont embrassé le sacerdoce l’année dernière, alors que le grand diocèse de Lyon en a seulement ordonné trois.

    dominique_rey_01.jpgPremier moteur de ce renouveau, Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, annonce d’emblée que l’important est de « partir des besoins des gens ». Depuis 15 ans qu’il assure son ministère, il assume ce pragmatisme. Des traditionalistes aux charismatiques en passant par les fidèles les plus classiques ou les militants du CCFD-Terre solidaire, tout le monde est le bienvenu. L’évêque a aussi fait venir des dizaines de communautés étrangères spécialisées dans l’évangélisation. Selon lui, un des rôles de l’Église est de permettre la « fertilisation » – un de ses maîtres mots – entre gens de cultures différentes. »

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  • KTO : entretien exclusif avec le cardinal Müller

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    Entretien exclusif sur KTO avec le cardinal Gerhard Ludwig Müller, gardien de la doctrine à Rome. Cet homme, plutôt réservé, laisse transparaître sa personnalité. Brillant professeur en théologie dogmatique, il fut également évêque de Ratisbonne en Allemagne pendant une dizaine d'année jusqu'en 2012. C'est Benoit XVI qui l'a appelé au Vatican comme préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le pape François l'a confirmé à ce poste et créé cardinal. Ses recherches théologiques et ses convictions l'ont conduit à être tout à la fois curateur de l'oeuvre complète de Benoit XVI mais aussi ami du théologien de la libération Gustavo Gutiérrez. Dans son dernier ouvrage Pauvre pour les pauvres (Parole et Silence), il revient sur son expérience très concrète de l'Eglise dans les slums de Lima au Pérou. A Rome, le cardinal Müller se trouve au coeur des débats théologiques actuels.

    S’agissant de la famille et du mariage, on notera que le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi défend les positions traditionnelles de l’Eglise, telles que Mgr Léonard, par exemple les a clairement exprimées récemment à l’Université de Liège. Pour rappel voici ce que disait notamment le Primat de Belgique (extrait de sa conférence) : 

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  • Il y a vingt-cinq ans, le Roi Baudouin refusait de signer la loi sur l'avortement

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    dyn001_original_250_295_jpeg_2664393_549087aa97c26690f186ebc22c1565a7.jpgLu ICI :

    Au matin du 4 avril 1990, une nouvelle inouïe est transmise par la radio: la Belgique n'a plus de Roi! Baudouin ayant refusé de signer la loi autorisant l'avortement, le gouvernement a déclaré qu'il se trouve dans l'impossibilité de régner. Le 29 mars, le Parlement avait voté une loi libéralisant l'avortement, acceptée par le Sénat le 6 novembre précédent. Or, selon la Constitution belge, aucune loi ainsi votée par les Chambres ne peut être promulguée sans avoir reçu la signature du Roi.

    Des choix parfois douloureux

    Dans nos sociétés, il semble que le vote d'une majorité ne se discute pas, et qu'il suffise pour rendre une loi légitime. Mais, dans son encyclique Evangelium vitæ, publiée le 25 mars 1995, le Pape Jean-Paul II rappellera que le vote démocratique n'est pas un absolu: «Dans la culture démocratique de notre temps, l'opinion s'est largement répandue que l'ordre juridique d'une société devrait se limiter à enregistrer et à recevoir les convictions de la majorité... En réalité, la démocratie ne peut être élevée au rang d'un mythe... Son caractère «moral» n'est pas automatique, mais dépend de la conformité à la loi morale, à laquelle la démocratie doit être soumise comme tout comportement humain» (nn. 69-70). Le Roi Baudouin se trouve dans la situation que Jean-Paul II décrira dans la même encyclique: «L'introduction de législations injustes place souvent les hommes moralement droits en face de difficiles problèmes de conscience en ce qui concerne les collaborations, en raison du devoir d'affirmer leur droit à n'être pas contraints de participer à des actions moralement mauvaises. Les choix qui s'imposent sont parfois douloureux et peuvent demander de sacrifier des positions professionnelles confirmées» (n. 74). Baudouin sait qu'en refusant de signer, il s'expose à être incompris par nombre de ses concitoyens au sens moral affaibli, et risque même de devoir abdiquer.

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  • Le couronnement des « opera omnia » de Joseph-Ratzinger-Benoît XVI : Jésus de Nazareth

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    Événement sur KTO. Le cardinal Gerhard Ludwig Müller, grand théologien, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a été chargé par Benoît XVI de l'édition des oeuvres complètes du pape émérite. La publication en français comprend à présent la réunion en un seul volume des 3 ouvrages que Joseph Ratzinger a consacrés à la figure et au message de Jésus de Nazareth, fruit de toute une vie de travail et de méditation, source de débats. Qu'apporte cette recherche scientifique et spirituelle à la compréhension de Jésus ? Pourquoi lire et relire ce livre ? Le cardinal Müller lui-même vient présenter cette oeuvre majeure sur le plateau de Régis Burnet, en compagnie de plusieurs professeurs du Collège des Bernardins.

    JPSC

  • Liège, 3 avril : Chemin de croix du Vendredi Saint dans les rues de la ville

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    Chemin de croix

    dans les rues de Liège 

    Vendredi 3 avril (Vendredi saint) à 18h

    Présidé par Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

    39734794.2.jpg

    RDV : église Saint-Pholien(pl. Saint-Pholien 4020 Liège – dès 17h 30)

    Arrivée à 19h 15, Cathédrale

    Suivi de : Office du Vendredi saint à la Cathédrale à 19h 30

    + temps libre pour les confessions jusque 21h 30

    Participation libre

    Editeur responsable : Pastorale urbaine, Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be, 

    JPSC

  • Dix ans après sa mort : « Saint Jean Paul II, l'héritage occulté »

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    photo-1261225085078-5-0 (1).jpgEt si l'héritage du pape polonais était plus vital que ce nous voulons en voir ? Bilan sur la dette que l'Eglise catholique a envers Jean Paul II. Une « paposcopie » de Jean Mercier (JPSC) :

    « Il y a dix ans exactement, je m’envolais vers Rome pour couvrir les derniers instants de Jean Paul II. Moments extraordinaires, presque irréels, que je ne me remémore jamais sans émotion, voire une certaine nostalgie. La longue attente, pendant plus de 24 heures sur la Place Saint-Pierre, dans la nuit froide, et puis l’annonce de la mort, suivie du son lancinant du glas... Comment oublier ce soulagement presque joyeux qui a envahi la foule (surtout italienne) ce 2 avril 2005, sur la Place Saint-Pierre ? Seuls les Polonais apparaissaient glacés de chagrin...

    Dix ans après, que reste t-il de Jean Paul II ? On a parfois l’impression que l’héritage s’est un peu perdu dans les sables, en raison du pontificat très “solaire” de Bergoglio, qui semble éclipser le tandem Wojtyla-Ratzinger. Il me semble au contraire qu’il nous reste un très fort héritage, bien plus fort en tous cas qu’une analyse trop politique le laisserait croire. Il s’agit de scruter les profondeurs.

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  • Remettre Dieu à sa place

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    Le mensuel « La Nef » a rencontré le Cardinal africain Robert Sarah à Paris : un entretien sur la foi à lire d’urgence. JPSC : 

    Source : La Nef N°269 d'avril 2015. Photo: Mgr Sarah avec des séminaristes de la Communauté Saint-Martin


    IMG_9057.jpgLa Nef – Le sous-titre de votre livre, « Entretien sur la foi », fait écho au célèbre livre du cardinal Ratzinger qui portait ce même titre en 1985 ; j’imagine que ce n’est pas un hasard : vous considérez-vous comme un « ratzingerien » ?

    Cardinal Robert Sarah – Le cardinal Ratzinger, devenu Benoît XVI, est pour moi un modèle, un maître, un exemple, une référence spirituelle. C’est un homme qui a toujours cherché à être fidèle au message de Jésus et de l’Église. Malgré son pontificat bref, il a marqué profondément l’Église, en orientant sa réflexion vers les vraies questions d’aujourd’hui. 
    D’abord, il a vu la crise de la foi, et nous a ainsi invités à vivre une année de la foi. Nos sociétés occidentales vivent comme si Dieu n’existait pas, et les chrétiens vivent une « apostasie silencieuse ». Benoît XVI à Subiaco, avant son élection, avait dit qu’aucune crise semblable n’avait touché l’Occident auparavant. Il avait raison d’attirer là-dessus notre attention et nous pousser à crier vers Dieu : « Seigneur, augmente notre foi ! » 
    La crise sacerdotale ensuite : le problème n’est pas seulement le manque de prêtres, mais aussi le fait qu’ils soient moins zélés. D’où l’année sacerdotale qu’il a lancée, sous le patronage du saint curé d’Ars. 
    Enfin, il a insisté sur la nécessité de l’évangélisation en proclamant notamment l’année saint Paul, pour nous rappeler que chacun d’entre nous doit annoncer le Christ, chacun dans notre vie, et chacun devant travailler radicalement à sa propre conversion pour transformer notre vie par une rencontre personnelle, intérieure avec le Christ.
    Benoît XVI a également été un profond analyste de Vatican II, en montrant que le concile portait sur Dieu. L’ordonnancement des textes le prouve. Le premier, Sacrosanctum Concilium, porte sur la liturgie, comme adoration divine. Le second, Lumen Gentium, sur l’Église, qui sans Dieu n’existe pas. Le troisième texte, Dei verbum, évoque la parole de Dieu qui régénère l’Église, texte d’une grande importance pour aujourd’hui. Nietzsche croyait avoir tué Dieu. Mais l’Église doit porter le parfum de Dieu sur son passage. Benoît XVI a ainsi prolongé le souci du concile, afin que le monde connaisse plus de lumière et il l’a fait en montrant l’harmonie entre la foi et la raison. Je voudrais être comme un élève qui balbutie les leçons reçues de son maître, et Dieu, qu’il s’agit de remettre à sa place, est donc bien le cœur de mon livre, d’où le titre de Dieu ou rien.

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  • Le parcours étonnant d'un hérault de l'Eucharistie et de l'Eglise

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    De KTO :

    UN COEUR QUI éCOUTE
    Père Nicolas Buttet - Un hérault de l'Eucharistie et de l'Eglise au parcours étonnant

    Engagé très tôt en politique (à l'âge de 17 ans), Nicolas Buttet est élu député-suppléant dans le canton du Valais en Suisse à 23 ans. Menant sa vie " à toute allure " et de façon un peu débridée, le jeune avocat va littéralement se convertir quand un ami l'invite à passer Noël au Cottolengo près de Turin : au cours d'une nuit sur place, n'ayant d'autre choix que celui de laver des personnes handicapées souillées par leurs excréments, il se rend compte que " Dieu rend possible les choses impossibles ". Désormais il consacrera sa vie à Jésus dans le pauvre. Fondateur de la Fraternité Eucharistein, centrée sur l'Eucharistie, le père Nicolas Buttet revient sur son parcours étonnant et propose des conseils pour bien vivre cette Semaine sainte à l'approche de Pâques.

  • Transmettre la culture de la vie

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    Les « marches » et autres manifestations « pour la vie » se succèdent,  avec des succès divers. La Belgique n’est pas, pour l'instant, à la pointe du succès sur ce point. Quoi qu’il en soit, dans la promotion de la culture de la vie, il est fondamental de ne pas abandonner la bataille de l’opinion publique. Sur le site "Didoc", Lucia Martinez Alcade nous rappelle quelques clés utiles pour réussir à transmettre le message:

    « Cela s’est vérifié aux Etats-Unis : bien que les médias les plus importants y soient pro choice (« pour le choix », c'est-à-dire en faveur de l’avortement), les pro life (« pour la vie ») ont réussi à entretenir le débat social jusqu’à obtenir un soutien majoritaire dans l’opinion publique.

    Avec une majorité de médias pro choice, 48% de la population des États-Unis se déclare pro life, face à 45% qui se déclarent en faveur de l’avortement, d’après l’enquête Gallup réalisée en mai 2013. Il a fallu quarante ans pour obtenir ce revirement de l’opinion publique, depuis que le Tribunal Suprême a éliminé les restrictions à l’avortement en 1973. Cela n’a été possible que grâce au dynamisme de la société nord-américaine.

    Avec ce panorama, comment communiquer la culture de la vie de façon efficace ? María Martínez Orbegozo propose six clés, qui tiennent compte des années de pratique de l’avortement dans la société occidentale et des différentes campagnes réalisées autour du sujet.

    Communication positive

    Dans des enquêtes réalisées auprès de femmes en âge de procréer et susceptibles d’affronter des situations induisant à avorter, on a constaté que les campagnes pro life négatives (par exemple, des photos de fœtus avortés) provoquaient un rejet. Il n’en va pas de même avec d’autres types de campagnes centrant leur message sur la femme, sur la valeur positive de la maternité, sur des clips mettant en scène des filles courageuses qui décident de garder leur enfant…

    « Les messages positifs t’inclinent à dire “oui” à ce qu’on te propose », signale María Martínez Orbegozo. Elle ajoute que les manifestations pro life produisent le même effet : on y voit de la joie, des familles, on y entend de la musique ; tout le contraire de l’attitude de féministes radicales qui manifestent de façon violente, en proférant des insultes et en posant des gestes grossiers.

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