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Témoignages - Page 257

  • Brunor et Duphot remportent le prix de la BD chrétienne 2015

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    daniel-brottier-remuer-ciel-et-terre.jpgPrix de la BD chrétienne 2015 à Brunor et Duphot pour leur "Daniel Brottier"

    (Zenit.org) - Le prix de la BD chrétienne francophone 2015 a été décerné à "Daniel Brottier - Remuer ciel et terre" de Brunor et Hervé Duphot par le jury du Festival de la BD chrétienne d'Angoulême 2015. Il sera remis lors du festival d'Angoulême, jeudi 29 janvier 2015.

    Après une pré-sélection du comité de lecture, ce titre qui concourait avec 11 autres BD, a reçu le prix à l'unanimité. Celui-ci sera remis aux auteurs, le scénariste Brunor et le dessinateur Hervé Duphot, le jeudi 29 janvier à 15h à l'occasion du festival d'Angoulême.

    En 45 planches, Brunor et Duphot retracent la vie du bienheureux Daniel Brottier, directeur des Orphelins Apprentis d’Auteuil de 1923 à 1936, à travers les témoignages croisés de soldats rencontrés dans les tranchées.
 Le scénario original s’ouvre en effet sur la période de la « Grande Guerre », que Daniel Brottier - alors surnommé l’aumônier verni - vit au front, au plus près des soldats, avant de créer l’Union nationale des combattants aux côtés de George Clémenceau.

    "Daniel Brottier – Remuer Ciel et Terre" revient également sur son attachement pour le Sénégal où il passe quelques années au début du siècle, avant de contribuer à la construction de la cathédrale de Dakar depuis la France
Pour retranscrire au mieux la richesse de cette existence hors-norme et la faire découvrir aux nouvelles générations, Brunor s’est appuyé sur les archives historiques d’Apprentis d’Auteuil. À la fondation, la force symbolique du Père Brottier n’a en effet jamais faibli.

    Aujourd’hui encore, dans les 200 établissements qui accueillent – comme au temps du Père Brottier- des jeunes en difficulté, il reste une figure incontournable et une inspiration quotidienne pour les collaborateurs de l’institution, les donateurs mais aussi les jeunes et les familles accueillies.

    Fondateur du fameux Fanzine PLG avec deux autres étudiants, Brunor a été journaliste, puis responsable des pages BD de Tintin-Reporter. Il est également illustrateur pour la presse depuis de nombreuses années et est connu pour son humour décapant.

    Auteur de la collection Les Indices pensables, série d’enquêtes sur la question de l’existence de Dieu, qui réjouissent chaque semaine les lecteurs de Zenit, il offre des informations vérifiables qu’il transmet avec enthousiasme lors de multiples conférences. 

    Chez Mame, il scénarise toute la collection « À ciel ouvert » : Bernadette, Jehanne d’Arc, Martin, Monsieur Vincent (prix 2011 du Festival international de la BD chrétienne), Paul... Il travaille actuellement sur Louis.

    Après des études de communication visuelle à Olivier de Serres, Hervé étudie le graphisme à l’école des Beaux arts de Mulhouse. Il travaille ensuite dans une agence de publicité qu’il quitte pour devenir enseignant en infographie et communication visuelle. Parallèlement, il commence à publier ses travaux de bande dessinée sur internet. Ils sont remarqués par Christophe Bec qui lui confie une histoire courte pour un album collectif (chez Soleil) et par Jean David Morvan avec qui il réalise une adaptation littéraire en BD : Le Tour d’écrou d’après l’œuvre d’Henry James (chez Delcourt).

    Sa collaboration avec les éditions Delcourt se poursuit avec la série Les Combattants (scénario: Laurent Rullier). C’est à la lecture de ces albums que Brunor pense à lui pour illustrer la vie du Père Brottier aux éditions Mame. Après une histoire courte pour un collectif sur Les Enfants sauvés, toujours chez Delcourt, je travaille actuellement sur un projet dont le premier tome sortira en 2016 chez Glénat.

  • Des réfugiés yazidis racontent les tortures que leur ont fait subir les jihadistes

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    Lu sur le site de l'Orient - Le Jour :

    « Deux d’entre nous ont refusé et ils leur ont coupé la tête devant nous »

    Des réfugiés yazidis racontent les tortures que leur ont fait subir les jihadistes.

    « Lorsque j'ai rencontré Melhem Khalaf au Liban, il m'a dit qu'il voulait venir en aide aux réfugiés kurdes fuyant les daéchistes. Je lui ai dit que ceux qui étaient le plus dans le besoin étaient les yazidis. Il m'a dit pas de problème, nous sommes prêts à aider tout le monde, quelle que soit leur religion », raconte Bachir, un chrétien.

    « En quelques semaines, nous avons réussi à monter un petit campement à Dohouk, où nous venons en aide à environ 650 personnes ayant fui la montagne de Sinjar, à la frontière irako-syrienne, à l'approche des daéchistes », dit-il. Le camp est rudimentaire et assez sale. Il y a seulement deux toilettes et bien sûr pas d'eau chaude, mais au moins ces réfugiés ont des tentes de toile, des abris très précaires, alors que les grands froids de l'hiver approchent et toujours le même spectacle. De la marmaille souvent à moitié nue, des femmes à l'œuvre pour la lessive et la cuisine, et des hommes désœuvrés qui suivent les informations, fumant cigarette sur cigarette et buvant des litres de thé pour se réchauffer. « Ce qui nous manque cruellement, ce sont des écoles pour les enfants. Mais pour cela, nous avons besoin de l'aide du gouvernement irakien, qui, pour l'instant, a d'autres chats à fouetter », affirme Bachir. Il indique que les besoins du camp sont assurés seulement en nourriture par Offre-Joie et les églises chrétiennes de la région. Beaucoup de ces familles ont échappé à une mort certaine, ou pire pour les femmes, d'être utilisées comme esclaves sexuelles ou d'être vendues comme esclaves par les daéchistes. Sur ce chapitre, le récit Tahsin Khalaf est édifiant. « Quand on a su que les daéchistes arrivaient sur des véhicules sur Sinjar, nous avons fui vers la montagne. Là nous avons rencontré des Arabes sunnites qui ont tenté de nous rassurer. Sur ce, sont arrivés des daéchistes qui nous ont demandé pourquoi on fuyait. Retournez dans vos villages, il ne vous arrivera rien », poursuit-il.

    « Ils nous ont demandé si nous étions yazidis ou musulmans »

    « Nous sommes donc retournés. Mais à un barrage, les intégristes sunnites nous ont arrêtés. Ils nous ont demandé si nous étions yazidis ou musulmans. Ils ont laissé passer les musulmans et ont regroupé les yazidis, puis ils ont séparé les hommes des femmes, et lorsque l'un des maris a protesté, ils lui ont tranché la tête devant tout le monde après lui avoir tiré deux balles, raconte-t-il. C'est alors qu'on a commencé à avoir peur. Au début, on ne leur a pas menti parce qu'ils nous avaient assuré qu'on était en sécurité. »

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  • Bruxelles (Stockel), 20 décembre : des airs de Noël sur le marché

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    UP STOCKEL-AUX-CHAMPS
    Le 20/12/2014 - Des airs de Noël au marché

    Nous vous invitons à venir écouter et à chanter avec la chorale et des Paroissiens de Notre-Dame de Stockel, des airs de Noël, le samedi 20 décembre à 10h30, sur la Place Dumon, près de la crèche, à l’occasion du marché.

    L’abbé Édouard Marot, soutenu par la chorale paroissiale, est l’initiative de cette joyeuse animation que nous avions déjà faite l’année dernière, pour la grande joie des passants.

    (source)

    Voir aussi : Le-20-12-2014-Bruxelles-chante

  • L'hommage de Daniel-Ange à Fabiola "Reine-Lumière"

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    Lu sur france-catholique.fr :

    Fabiola, Reine-Lumière 
     
    par Daniel-Ange

     

    Ce 5 décembre, premier vendredi du mois, à l’heure du Cœur transpercé de Jésus, Fabiola la tant-aimée de son peuple, s’est élancée pour rejoindre son Époux aux Noces royales du Ciel. Juste 54 ans après son mariage avec Baudouin (le 15 décembre 1960), quand la Belgique enthousiasmée l’accueillait comme sa reine, inaugurant de manière nuptiale un règne sans faille de 33 années-lumière.

    Baudouin découvre cette ardente jeune Espagnole pour la première fois à la Grotte de Lourdes et c’est là qu’ils vivront leur premier éblouissement mutuel sous le Regard de la Reine du Ciel. Elle lui communique son fantastique enthousiasme, sa vivacité, sa spontanéité, sa fraîcheur, sa gaieté naturelle. L’extraordinaire complicité d’âme, de cœur avec elle, a touché profondément le cœur des Belges. Cette bouleversante tendresse entre eux non seulement ne s’est jamais démentie, mais n’a jamais cessé de s’intensifier, en crescendo. Ils n’ont jamais eu honte de la laisser paraître en public — parfois en pleine réception ou cérémonie officielle  : échange d’un regard, d’un mot, main du roi sur les épaules ou le genou de la reine, sourires complices. Je connais des couples qui y ont puisé la force de continuer ensemble, de s’aimer davantage, parfois de retrouver la fraîcheur d’un premier amour. Leur ressembler, quoi  ! Avec la grâce de Dieu  ! Et cela s’est avéré possible  !

    Le Roi ne disait-il pas  : «  Celui qui veut l’unité dans son pays doit s’exercer à la faire dans son foyer et sa famille. En effet, les deux maisons sont construites avec le même ciment, celui de l’amour.  » C’était du vécu au quotidien. Elle sera pour lui une source intarissable de bonheur. Il faut ici laisser la parole à Baudouin lui-même, avec la simplicité d’un cœur d’enfant  : «  Pourquoi Seigneur, as-tu bougé le Ciel et la terre pour me donner cette perle précieuse qu’est ma Fabiola  ?

    Elle a une manière d’être avec les gens qui est idéale. Elle est tellement attentive, tellement toute aux autres, que je comprends qu’on l’adore. Seigneur, merci. [...] Remplis Fabiola de ta sainteté. Qu’elle vive de ta joie et de ta paix. Apprends-moi à l’aimer avec ta tendresse.[...] Jésus, je te remercie d’avoir fait grandir en moi un immense amour pour ma femme. Je Te remercie de m’avoir donné une épouse qui m’aime après Toi par-dessus tout. Que nous croissions en Toi Seigneur. [1] »

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  • Le film "Don Bosco" est disponible en français

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    A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Don Bosco, SAJE Distribution et les Salésiens de Don Bosco co-éditent en DVD le film réalisé par Lodovico Gasparini (2 épisodes d'1h40 chacun), avec Flavio Insinna et la participation d'Alessandra Martines.

    Ce téléfilm à succès diffusé sur la RAI est enfin disponible en version française.

    La bande-annonce est ici.

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    Vous pouvez commander le DVD .

    Bonne découverte.

    L'équipe de SAJE Distribution

  • Philippe Pozzo di Borgo ("Intouchables") : "Il faut aider à vivre, pas à mourir"

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    De la synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    PHILIPPE POZZO DI BORGO : "IL FAUT AIDER À VIVRE, PAS À MOURIR"

    synthèse de presse bioéthique (12 décembre 2014) 

    Ce vendredi, le président de la République a annoncé une loi permettant de "mourir dans la dignité" et demandé l'ouverture d'un débat au Parlement sur ce thème "dès le mois de janvier" prochain. 
    Dans le même temps, Philippe Pozzo di Borgo, parrain du collectif "Soulager mais pas tuer", témoigne dans le quotidien Le Parisien. Face aux menaces d'euthanasie en France, P. Pozzo di Borgo souligne en premier lieu qu' "il faut nous réconcilier chacun avec notre part de fragilité". Sa plus grande crainte ? Qu' "une légalisation de l'euthanasie ne donne lieu à des dérives où les plus faibles, les plus dépressifs et souffrants se voient 'expédiés', alors que leur dignité voudrait qu'il soit considérés". 
    Pour le parrain de "Soulager mais pas tuer", la société "aurait beaucoup à gagner à se pencher sur les plus vulnérables, et apprendre à être en relation avec sa part de fragilité". Ce à quoi nous sommes appelés aujourd'hui est d' "aider à vivre, pas à mourir". 
    Il poursuit en précisant que la loi Leonetti "a fonctionné dans le respect des personnes souffrantes, du corps médical et de l'entourage". "Le respect de la dignité de chacun passe par le respect de son intégrité, de son droit à l'imperfection". L'urgence aujourd'hui est donc de "favoriser les soins palliatifs, de maintenir l'interdit de tuer et d'empêcher le médecin de pratiquer une obstination déraisonnable".  Aujourd'hui, Philippe Pozzo di Borgo déclare qu’"étant très entouré, je suis capable d'endurer un niveau de douleur très supérieur à ce que j'aurais pu imaginer dans ma période valide"Après une année d'hospitalisation, il précise : "Je suis reconnaissant aux équipes médicales et au personnel de soins, aux proches, de m'avoir accordé cette considération et permis la reconnaissance, si jubilatoire, malgré un état toujours fragile".  
    Source:  Le Parisien (Marc Payet) 12/12/2014
  • Solidarité avec les chrétiens d’Irak: où sont les Belges ?

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    Nous en avons déjà parlé ici, Irak : « les chrétiens processionnent avec Marie », et là : Irak-Syrie : un appel lancé aux Belgesdans l’indifférence apparente de l’opinion. Repetita placent : lu aujourd’hui sur le site « aleteia », après la mission conduite à Erbil par le cardinal Barbarin  :

    L'abbé Grosjean était de la délégation lyonnaise partie réconforter les chrétiens irakiens réfugiés à Erbil. Il revient sur ces 48 heures de déplacement.

    ErbiLight ! C’était le nom de l’opération montée par le cardinal Barbarin et le diocèse de Lyon, du 5 au 7 décembre. Une visite de nos frères chrétiens persécutés, réfugiés à Erbil, au nord de l’Irak, avec un triple objectif : prier avec eux et pour eux, les aider, alerter l’opinion publique sur le drame que vivent ces frères. Pour ne pas être trop long, je vous invite à lire ce qu’il en disait lui-même ici.

    Ayant eu la joie d’être convié à vivre ce voyage au sein de la délégation, je voudrais vous partager quelques rencontres qui marqueront pour longtemps ma prière. Qu’elles puissent aussi éclairer la vôtre ! 

    « Ils ont détruit nos églises »

    Un immeuble en construction. L’armature en béton est montée, mais ni murs, ni fenêtres. À l’intérieur, des préfabriqués pour loger des familles entières. Le cardinal Barbarin est accueilli dans la joie. Les vieillards, les larmes aux yeux, embrassent sa croix pectorale. Comme tous ceux que nous verrons, ces chrétiens ont fui Mossoul et Quaraqosh. Ils ont dû tout quitter, tout perdre, en quelques heures. Ils ont préféré cela plutôt que de renier leur foi.

    Un thé très sucré nous est offert ; ces gens savent recevoir, gardant toute leur dignité. Une grand-mère me prend dans ses bras, en pleurant à chaudes larmes. Elle me présente son petit fils. « Son papa a été enlevé par Daesh – m’explique un prêtre irakien qui traduit au fur et à mesure les paroles de la vieille femme – ils n’ont plus de nouvelles ». L’enfant me regarde avec un grand regard triste. « Ils ont détruit nos églises, abbouna ! Quand pourrons-nous rentrer ? Il faut qu’on les reconstruise ! » Comme on se sent petit devant un tel cri de douleur… et le silence de l’enfant, qui ne me quitte pas des yeux.

    Bouleversé, je demande au prêtre de traduire : « Nous venons ici pour que vous ne soyez pas oubliés… et pour prier pour vous. Nous prierons pour que vous puissiez reconstruire nos églises. Priez s’il vous plaît pour que les nôtres, en France, se remplissent… » .Que dire d’autre ? C’est la première fois que je fais face à des frères qui ont connu la persécution réelle. 

    J’ai devant moi des martyrs. Pas un n’a renié. S’ils pouvaient nous sauver de notre tiédeur ! On se quitte en chantant ensemble la Vierge Marie. Elle sait et comprend tout.

    sources: PADREBLOG Elle seule peut consoler tant de douleurs. Lire la suite sur Padreblog

    Ref. Padreblog de retour d'Irak

    JPSC

  • Irak : les chrétiens processionnent avec Marie

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    Ce samedi 6 décembre 2014, après l'illumination d'un camp de réfugiés, de nombreux chrétiens d'Erbil, au Kurdistan irakien, ont prié la Vierge Marie lors d'une procession aux flambeaux dans la ville. La prière est conduite par le Patriarche chaldéen Louis Raphaël Ier Sako et le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon venu avec une délégation de son diocèse à l'approche de la fête de l'Immaculée Conception chère au coeur des Lyonnais.

  • Les mises en garde du Pape François sont sans effet sur une politicienne lesbienne

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    Lu sur le site C-Fam  (Center for Family & Human Rights) :

    « NEW YORK, 5 décembre (C-Fam) Le Pape François a clairement mis en garde les députés européens la semaine dernière, leur expliquant qu’ils avaient perdu la confiance des citoyens en passant des législations « insensibles » ou « néfastes », qui serait à l’origine de l’image d’une « grand-mère, plus guère fertile », qui engendre des « styles de vies plutôt égoïstes ». Pour lui, ils devraient se garder de faire des usages impropres du concept des droits de l’homme.

    Un député a qualifié ses propos d’ « avertissement à point nommé ». Un autre déclarait que sa « sagesse s’adressait à tout le monde ». Pour sa part Ulrike Lunacek, auteur d’une résolution sur les droits homosexuels qui a suscité une forte opposition citoyenne, a offert au Pape une écharpe aux couleurs arc-en-ciel en lui disant : « cela aurait été bien si vous aviez défendu le mariage homosexuel et l’usage des contraceptifs ».

    Et d’ajouter : « Mais je n’ai pas entendu cela, et c’était un peu décevant ».

    Dans son discours au Parlement européen, le Pape a abordé un grand nombre de problèmes, dont par exemple les brutalités que subissent les Chrétiens, l’indifférence envers les vies considérées comme inutiles, et l’isolement des personnes « seules ». Il a également proposé une recette de guérison.

    Protégez la dignité humaine, a-t-il conseillé. La famille, où père et mère élèvent les enfants, est l’ « élément le plus précieux de toute société, et donne une « direction aux nouvelles générations ».

    Ulrike Lunacek est co-présidente de l’Intergroupe du Parlement européen pour les droits LGBT.

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  • Une Reine rentre à la maison

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    Mieux que les communiqués convenus des autorités civiles et religieuses, ce petit mot du chanoine Eric de Beukelaer, Curé-Doyen de Liège (rive gauche), dit les choses avec a-propos et sobriété sur son « minisite » :

    koningin-fabiola-en-pieter-de-crem-met-de-dood-bedreigd-id1873999-1000x800-n (1).jpg« Même si elle gardait un sourire chaleureux et ce sens de l’humour à toute épreuve – rappelons-nous la pomme qu’elle sortit de son sac en plein défilé de la fête nationale, pour défier la menace d’un attentat à l’arbalète  – la reine Fabiola vivait un exil intime depuis la mort de son cher Baudouin. Elle était le double solaire de ce timide, qui fut bien plus qu’un Roi pour son peuple . C’est à travers son cœur et ses yeux qu’elle avait épousé la Belgique. Depuis, si Fabiola poursuivait son œuvre – c’était dans l’ombre omniprésente du royal disparu.

    Ce soir, une Reine rentre à la maison. La maison du Père pour cette chrétienne fervente. Mais aussi la maison du cœur pour cette veuve qui n’avait jamais cessé d’aimer sa moitié invisible. Je me rappelle une visite à la crypte royale. Sur la tombe du roi Baudouin, une petite couronne de roses. Avec cette simple mention : « A l’homme de mon cœur ».

    Ref. Une Reine rentre à la maison

    JPSC

    Lire également, sur le blog de Benoît Lobet qui accompagna spirituellement la reine à la fin de sa vie : rempli-de-tristesse-et-de-gratitude

  • Bientôt Noël : affichons-le à nos fenêtres

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    1124708970230.jpgDe l'Aide à l'Eglise en Détresse (Belgique) :

    Alors ce n’est que cela, Noël ? Une maison et un jardin pleins de lumières clignotantes, des sapins décorés dans les étalages des magasins, des boules de Noël à profusion et des cadeaux hors de prix qui allègent inutilement le portefeuille, ou des Pères Noël qui grimpent le long des façades et n’ont rien d’autre à dire que « Ho, ho, ho » ?

    Non, c’est tellement plus que cela, Noël ! Noël est le jour où nous sommes reconnaissants parce que Jésus, notre Sauveur et Rédempteur, est venu au monde, dans une modeste étable, parmi des gens qui n’avaient pas voix au chapitre dans la société.

    Il nous apporte la Bonne Nouvelle, nous dit que Dieu aime tout le monde et veut être présent parmi nous.

    C’est pourquoi Église en Détresse s’associe à l’asbl Herbronnen pour diffuser, à travers ces affiches de Noël, le vrai message de Noël. Accrochez-les à vos fenêtres et mettez ainsi l’accent sur la « véritable » essence de la fête de Noël. Commandez vos affiches gratuites ici : http://www.kircheinnot.be/FR/Produit/affiche_de_noel/default.aspx

  • Le pape François à Strasbourg : à la droite du Seigneur on a apprécié ses deux discours

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    Lu sur « riposte catholique »

    Dans un discours où presque tous les sujets à résonance politique ont été abordés, le Pape François s’est adressé au Parlement Européen de Strasbourg. Si le souverain pontife a longuement insisté sur la dignité des migrants, un sujet qui lui est cher et qui a souvent été identifié comme la marque d’une expérience pastorale radicalement différente de la situation actuelle des pays européens, il a tenu des propos sur l’identité de l’Europe, que l’on n’avait plus entendus depuis Jean-Paul II et Benoît XVI, rappelant que l’Europe ne peut être qu’une alliance de nations, et non pas un territoire unifié. Par ailleurs, devant une assemblée composée à l’immense majorité de partisans actifs de l’avortement, il n’a pas hésité à énoncer clairement et simplement la doctrine chrétienne à ce sujet, ainsi que sur l’euthanasie. Enfin, on a pu se réjouir d’entendre dans sa bouche un vocabulaire qui s’en prend frontalement au discours laïcard qui accuse la religion de tous les maux terrestres, notamment lorsqu’il a affirmé que « c’est l’oubli de Dieu qui engendre la violence et non sa glorification ». Un discours particulièrement clair et sans concession, comme il était nécessaire face à une pareille audience, et qui a même valu au Souverain Pontife une ovation particulièrement longue.

    Ref. Le Pape François à Strasbourg : une vision politique claire

    JPSC