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Témoignages - Page 290

  • "Il était une foi", un film pour aller à la rencontre des chrétiens persécutés à travers le monde

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    20413305.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgSortie en France du film «Il était une foi» de Pierre Barnerias : Deux vélos (Osservatore Romano)

    «Le christianisme est devenu de très loin la religion la plus persécutée. Mais l’occident fait l’autruche. Il fait semblant de rien. Ce n’est rien. Rien que des chrétiens qu’on égorge. Des communautés religieuses que l’on persécute. Mais où cela? – Un peu partout. ». Ainsi écrit le très laïc « Nouvel Observateur » à propos des chrétiens persécutés dans le monde et d’une opinion publique qui sous évalue, redimensionne, voire ignore, le phénomène.

    En France, deux jeunes, d’un peu plus de vingt ans, Charles Guilhamon et Gabriel De Lepinau, ont voulu les connaître et les faire connaître. Parce qu’ils savent qu’une grande partie d’entre eux est victime de violences que dans de nombreux pays ils risquent l’extinction. Mais l’objectif du film n’est pas pour autant de dénoncer cela. Les jeunes ont pris deux vélos et ils sont allés les chercher pour parler avec eux, de leur vie, pour essayer de comprendre la force de leur foi. Comment  celle-ci s’enracine-t-elle et reste-t-elle ferme ? Comment réussit-elle à être forte et même joyeuse dans des situations si difficiles ?

    Un film en est né Il était une foi de Pierre Barnerias qui a été sélectionné pour le festival du cinéma des journées mondiales de la jeunesse à Madrid, et au festival du film spirituel de Barcelone et de Rome et, depuis quelques jours, il est projeté à Paris. Un documentaire sans voiles qui pendant une heure et demie permet au spectateur de voyager avec les deux cyclistes, de parcourir des routes désertes ou noires de monde, du Moyen-Orient jusqu’aux rivages du Pacifique. Puis de traverser, en avion, l’océan jusqu’au Brésil, en pirogue, le fleuve Amazone et, encore, d’arriver jusqu’au Sénégal et l’Algérie avant de revenir, après 365 jours, dans les rues de Paris.

    Lire la suite sur le site de l'Osservatore Romano

  • Avortement : le témoignage saisissant de l'archevêque de Denver

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    Sur le site de Campagne Québec-Vie (via le salon beige) :

    40 ans de culture de mort : une magnifique lettre pastorale à l’occasion de l’anniversaire de Roe vs Wade


    Un article de l’archevêque de Denver, Samuel J. Aquila (traduction CQV)
    Chers frères et sœurs dans le Christ
    Je suis allé à l'université en 1968 avec l'idée de devenir médecin, comme mon père. Les Campus à la fin des années 60 et tout au long des années 70 étaient des lieux de tourmente. Je n'ai pas bien pratiqué ma foi au cours des trois premières années de collège et je n'ai certainement jamais imaginé que le Seigneur, un jour, ferait de moi un évêque.
    J'ai passé mes trois premières années de collège à travailler comme infirmier hospitalier, aidant à la salle d'urgence, à un centre universitaire de santé des élèves et dans un hôpital de Californie, pendant les vacances d'été.
    Quand j'ai commencé ce travail, je n'avais pas beaucoup réfléchi à la souffrance humaine, ou à la dignité humaine.
    Mais au cours de mon emploi dans les hôpitaux, quelque chose a changé. À cette époque, certains États ont approuvé des lois sur l’avortement et je n'étais même pas au courant. En raison de ces lois, quand j'étais au collège, j'ai vu les résultats de deux avortements.
    Le premier était dans un service de chirurgie. Je suis entré dans une salle extérieure et dans l'évier, sans surveillance, était le corps du petit enfant à naître qui avait été abandonné. Je me souviens avoir été assommé. Je me souviens avoir pensé que je devais baptiser l'enfant.

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  • La destruction de lieux de culte en Syrie et la situation des chrétiens

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    Syrie: des lieux de culte délibérément détruits - Natalia Trouiller - publié le 24/01/2013

    Selon l'organisation non gouvernementale Human Rights Watch, des lieux de cultes chrétiens et chiites sont détruits par certains groupes armés de l'opposition à Bachar al-Assad.

    à lire ICI

    Pour tenter de se faire une idée de la situation des chrétiens en Syrie, on pourra lire deux points de vue assez contradictoires :

  • 25-26 février : Laurent Grzybowski à Ellezelles et à Braine-le-Comte

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    Deux concerts de Laurent Grzybowski  

    (source : Diocèse de Tournai)

    Le chanteur chrétien sera le vendredi 25 janvier à Ellezelles et le samedi 26 à Braine-le-Comte. 

    Cela fait vingt-cinq ans que Laurent Grzybowski sillonne les routes de France et d’Europe pour chanter sa joie d’être chrétien. On peut l’écouter dans les églises, mais aussi dans les mouvements de jeunesse et lors de grands rassemblements comme les JMJ, le MEJ (Mouvement eucharistique des jeunes), les scouts de France, les pèlerinages à Lourdes… 

    Les nombreux voyages et missions de ce journaliste de métier l’ont incité à écrire des chansons empreintes de joie, d’espérance, de paix, de fraternité, tout en confrontant ses « auditeurs » aux situations délicates qu’il a côtoyées, comme le tremblement de terre en Haïti. 

    Parmi ses compositions : Marie, témoin d’une espérance / Fais briller ta vie / Mille raisons d’espérer / Tu marches auprès de moi / Vivre debout… sans oublier la Messe d’Emmaüs.

    Laurent se rend partout sur « simple » invitation de paroisses désirant réunir leurs communautés, mais aussi tous ceux qui désirent vivre un moment agréable dans une église, qu’ils soient pratiquants ou non. Il aime souligner qu’il ne vient pas pour « se produire », mais pour vivre un moment de convivialité, d’échanges en mettant son répertoire musical au service de tous, mêlant foi, dynamisme, partages, témoignages.

    Laurent se rend en Belgique depuis une dizaine d’années, à raison d’une fois par an. Venu une première fois pour le CathoCréaZic à Tournai, il a été accueilli également à Frasnes, Mouscron, Tongre-Notre-Dame et Soignies. 

    Il sera de nouveau en Hainaut le week-end prochain.

    A Ellezelles (unité pastorale de Frasnes), il animera un concert-veillée le vendredi 25 janvier 2013 à 20h en l’église Saint-Pierre-aux-Liens. 

    A Braine-le-Comte, le rendez-vous est fixé le samedi 26 janvier, toujours à 20h, en l’église Saint-Géry. Durant l’après-midi, différents temps de témoignages seront proposés aux enfants de la catéchèse et aux confirmands. Le week-end se clôturera par l’animation de la messe de 11h le dimanche 27 janvier, également en l’église Saint-Géry.

    Tout le monde est le bienvenu : enfants, jeunes, adultes, familles, chorales… L’entrée est gratuite.

  • Témoignages de chrétiens syriens

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    De l'Oeuvre d'Orient :

    La crise syrienne, qui perdure, pousse certaines personnes à enlever des individus, supposés plus aisés, en vue de demander de l'argent en échange de la liberté. Cette pratique qui augmente tous les jours inquiète les familles, les amis , la paroisse et la population civile, restée loin des violences. Une peur de sortir seul de chez soi pour aller au travail, à l'école, à l'église, s'installe. …. Ces personnes, une fois qu’elles sont libérées, se réfugient dans le silence. Nous avons pu recueillir quelques discrets témoignages : 

    à lire ici

  • Aide à l'Eglise en Détresse : centième anniversaire de la naissance du Père Werenfried van Straaten

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    A cette occasion, l'AED nous adresse le premier bulletin de l'année 2013 consacré à cette figure charismatique de l'Eglise qui s'est dépensé sans compter au service des chrétiens persécutés. C'est à découvrir en cliquant sur ce lien : Bulletin_1_2013.pdf

  • L'Index Mondial de Persécution 2013 met en évidence un acharnement antichrétien

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    index-mondial-de-persecution%3fview%3dStandard.jpg"Portes Ouvertes" publie un "Index Mondial de Persécution 2013" :

    L’Index Mondial de Persécution 2013 met en évidence l’augmentation des discriminations et violences contre les chrétiens dans plusieurs pays d’Afrique sub-saharienne et du Moyen-Orient. Il montre aussi que leur situation s’est fortement améliorée en Chine.

    Chaque année, depuis 1997, Portes Ouvertes publie l’Index Mondial de Persécution, un  classement des 50 pays où les chrétiens sont le plus persécutés en raison de leur foi. Cet outil permet à nos équipes de connaître les besoins du terrain et d’agir en conséquence.

    Le classement est basé sur différents aspects de la liberté religieuse qui comprennent la vie privée, familiale, sociale, civile et ecclésiale, ainsi que la violence physique.

    Découvrir cet Index et voir le classement

  • La mort d'un vieux lutteur

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    dps-ch_yibin_john_chen_shizhong.jpgCité du Vatican, 8 janvier 2013 (VIS).-Le 16 décembre 2012 est décédé, à 95 ans, Mgr.John Chen Shizhong, Evêque de Yibin, dans la province de Sichuan (Chine continentale). Le prélat, ordonné prêtre en 1947, fut incarcéré dans les années cinquante au cours de la Révolution culturelle et condamné aux travaux forcés dans les champs.

    Il a été consacré Evêque en 1985 et en 1988 est devenu recteur du Séminaire régional de Sichuan, charge qu’il dut laisser l’année suivante pour des raisons de santé, revenant au diocèse de Yubin où il fut évêque pendant plus de vingt ans. On se souvient notamment de Mgr. Chen Shizhong, dernier évêque de la région de Sichuan, pour son œuvre de formation des prêtres et des religieux.

    Grâce à lui, dans les années 80 et 90, les vocations à la prêtrise et la vie consacrée refirent leur apparition dans toute la province. Il a ordonné plus de trente prêtres, assurant ainsi la survie et le développement de l’Eglise dans une région caractérisée par un maoïsme fort et dans laquelle la dureté et les persécutions de la Révolution culturelle marquèrent fortement la société et la vie de l’Eglise.

    Les obsèques du prélat ont eu lieu le 18 décembre en la cathédrale de Yibin en présence de nombreux fidèles, prêtres et religieuses du diocèse. L’évêque a été enterré au cimetière catholique près du séminaire diocésain.

  • Des livres...

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    Notamment :

    ·        Le père Roger-Thomas Calmel, Père Jean-Dominique Fabre, 24 €

    ·        Alessandro Valignano, un jésuite au Japon,  Vittorio Volpi, 24.50 €

    ·        Jean Anouilh, une biographieAnca Visdei, 22 €

    ·        Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale, Laurent Glauzy, 18 €

    ·        Ripostes au politiquement correct – Tome 2Christophe Lacroix, 19 €

    ·        Petit catéchisme des Cons, François de Kehl Karjan, 7 €

    ·        Bourrasques, Hubert Le roux, POUR SOUTENIR LES VOCATIONS SACERDOTALES , 10 €

    ·        Vatican II en débat, Questions disputées autour du XXI° concile œcuménique, Abbé Gleize, 15 €

    ·        Aymar de Foucauld, de Saint-Cyr au Mexique… itinéraires d’un officier de cavalerie… E. Dufour, 27 €

    ·        Rues Barbares, Survivre en ville, Piero San Giorgio & Vol West, 21 €

    etc.

    http://www.livresenfamille.fr/

  • Quand Nevaeh agrippe le doigt du médecin

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    Source : LeParisien.fr

    Arizona (Etats-Unis). Alors qu'Alicia Atkins est en train de subir une césarienne, sa petite Nevaeh sort une main de son ventre ouvert et agrippe le doigt du médecin. 
    Au moment de l'arrivée de son bébé le 9 octobre, ce père ne s'est pas évanoui. Bien au contraire, alerté par l'obstétricien, Randy Atkins a eu la présence d'esprit d'immortaliser un moment unique : alors que sa femme Alicia est en train de subir une césarienne à Phoenix, sa petite Nevaeh sort une main de son ventre ouvert et agrippe le doigt du médecin.  Un fait «vraiment très rare», commente le professionnel.
    «Vraiment incroyable», partage la jeune maman originaire de l'Arizona (Etats-Unis) sur son compte Facebook. «Je suis en admiration devant cette photo», confie-t-elle, elle-même photographe. Le père, lui, n'en revient toujours pas d'être l'auteur de l'émouvant cliché qui fait aujourd'hui le tour du monde.
    «Quelque chose à retenir à jamais», se réjouit Alicia qui remercie plusieurs fois le docteur Allan Sawyer lorsqu'elle publie la fameuse photo sur le réseau social. La petite Nevaeh, elle, a de grande chance d'être une enfant impatiente.

    LeParisien.fr

  • Quand un évêque s'applique à réformer son diocèse selon les directives du Concile

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    (Zenit.org Anita Bourdin) - Le bienheureux Alain de Solminihac, évêque français (1593-1659), est inscrit ce 3 janvier au martyrologe romain, bien qu’il se soit éteint le 31 décembre 1659.

    Cahors s'honore de l'avoir eu pour évêque, et les Chanoines de Saint-Augustin comme réformateur.

    Jeune, il songea d'abord à réaliser sa vocation chez les Chevaliers de Malte. Mais il décida finalement d'entrer, à l'âge de 20 ans, chez les chanoines réguliers de Saint-Augustin à l'abbaye de Chancelade, près de Périgueux. En ruine, l’abbaye ne comptait plus que trois religieux. Il allait être à l’origine d’un authentique renouveau spirituel.

    Et après son ordination sacerdotale, il partit pour Paris pour y achever ses études de théologie et de spiritualité. Il y rencontra à plusieurs reprises François de Sales, en 1619.

    Et fit la grande retraite selon les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola sous la direction du P. Antoine Le Gaudiery, un jésuite célèbre pour son tact de conseiller spirituel. Jusqu’à la mort, il sera fidèle aux résolutions prises alors.

    En octobre 1622, il était de retour à Chancelade. En 1623, il devint abbé et il entreprit la restauration matérielle et spirituelle de l'Ordre, selon les orientations du concile de Trente.

    Sa réputation de sainteté poussa le pape urbain VIII à le choisir comme évêque de Cahors. A l'instar de Charles Borromée à Milan, qu’il admirait, il décida de donner à son diocèse le visage et la vitalité souhaités par le Concile.

    Son épiscopat, de vingt-deux ans, fut marqué une activité intense: convocation d'un synode diocésain, conseil épiscopal hebdomadaire, visite systématique des 800 paroisses du diocèse - il reverra chacune à neuf reprises -, création d'un séminaire qu'il confia aux lazaristes, multiplication des missions paroissiales, développement du culte eucharistique, promotion et fondation d'œuvres caritatives pour les personnes âgées, les orphelins, et les malades, en particulier les victimes de la peste. Et il prêcha lui-même le Jubilé de 1656.

    Lors de sa béatification, le 4 octobre 1981, le bienheureux Jean-Paul II l’a donné comme modèle aux évêques du monde entier en disant: « La figure admirable d’Alain de Solminihac mérite pleinement d’être mise en lumière par l’Eglise qu’il a servie si ardemment. Puissent les évêques de France et de tous les autres pays trouver dans la vie du bienheureux Alain de Solminihac le courage d’accomplir sans peur leur fonction d’évangélisateurs dans le monde contemporain ! »

  • Un nouveau bienheureux épris du peuple juif

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    (Zenit.org) – Un décret de la Congrégation pur les causes des saints reconnaît par un décret, approuvé par Benoît XVI, les vertus héroïques d’un prêtre français : Louis-Marie Baudouin (1765-1835), fondateur des Congrégations des Fils de Marie Immaculée et des Ursulines de Jésus de Chavagnes.

    Le diocèse de La Rochelle, en France, publie cette note biographique sur le futur bienheureux : 

    Prêtre du diocèse de Luçon, insermenté et émigré en Espagne pendant la Révolution, Louis-Marie Baudouin rentre clandestinement aux Sables d’Olonne en 1797.

    Curé de Chavagnes-en-Paillers en 1801, il y fonde un séminaire et, avec la Mère Saint-Benoît, la congrégation des Filles du Verbe Incarné. Le séminaire fut transféré à La Rochelle en 1812, et l’abbé Baudouin en resta le supérieur en devenant le vicaire général de Mgr Paillou, et ce jusqu’à ce que la restauration de l’évêché de Luçon ne l’éloigne définitivement de La Rochelle en 1821.

    Pendant ses années rochelaises, l’abbé Baudouin fut encore l’instigateur et le conseiller des missionnaires de Saintonge, à une époque où toute la vie chrétienne était à reconstruire dans les campagnes charentaises.

    Celui qui disait au soir de sa vie : « Je n’ai rien de plus que le Bon Larron, et il est en Paradis comme un innocent par la grâce de Jésus. Dieu soit béni ! », est aussi le fondateur des Filles de Marie Immaculée. 
Sa cause de béatification a été introduite en 1871.

    Louis-Marie Baudouin, l'Eglise, la Bible et les juifs
    La vision étonnante d'un futur bienheureux par Michel Remaud, F.M.I. (auteur)

    (Zenit.org) - La vision du peuple juif du P. Louis-Marie Baudouin est  « étonnante à plus d’un titre », fait observer le P. Michel Remaud, F.M.I., qui souligne la conception de l’Eglise et l’amour de la Bible de son fondateur, en route vers la béatification. Il nous le fait mieux connaître dans cette biographie. (...)

    Directeur de l'Institut chrétien d'Études juives et de Littérature hébraïque (Institut Albert Decourtray, à Jérusalem), le P. Remaud, est le lauréat 2010 du Prix de l'Amitié Judéo-Chrétienne de France.

    Et l’an dernier, il a présenté le fondateur de sa congrégation dans les colonnes de la revue « Sens », de cette même Amitié Judéo-Chrétienne de France (n° 360, juin 2011, pp. 457-477). Nous reproduisons cette présentation avec l’aimable autorisation de l’auteur et du directeur de la publication, Yves Chevalier, à l’occasion de l’approbation du décret romain.

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