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Témoignages - Page 292

  • Liège. Reconstitution de la Cathédrale Saint Lambert sur vidéo

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    A l'occasion de son 10e anniversaire, l'archéoforum de la place Saint-Lambert à Liège se modernise. Vous pourrez dorénavant découvrir le site accompagné d'un Ipad qui vous délivrera des textes, commentaires, photos, films, et reconstitutions 3D. Vous pourrez notamment découvrir la reconstitution de la cathédrale St Lambert. Découvrez les premières images ci-dessus.

    Les vestiges de quatre églises dédiées à saint Lambert ont été découverts lors des fouilles archéologiques. La 1ère  église a été construite au début du 8e siècle, après la mort de saint Lambert. La 2e a été bâtie à la fin du 8e siècle. Lorsque Liège devient l’évêché. La 3e église a vu le jour aux environs de l’an mil, à l’initiative du prince-évêque Notger. En 1185, la 4e a été reconstruite suite à un incendie.

    Deux tours jumelles, appelées aussi tours de sable, sont construites de part et d’autre de l’extrémité occidentale au milieu du 14e siècle. Une 3e tour sera ajoutée au sud-est. Elle abrite les cloches, dont la fameuse " Copareye ".

    La cathédrale, appartenant au gothique français, avait des dimensions relativement modestes. L’édifice mesurait 96m sur 40m. Les tours jumelles atteignaient 60m, et la flèche de la grande tour orientale culminait à 130m.

    Suite à l’embrasement révolutionnaire français arrivé à Liège, l’édifice de la cathédrale est démoli en 1794. Une destruction qui durera jusqu’en 1827 et le nivellement complet du site. Ce n’est qu’en 1907 que les fondations de la cathédrale ont été mises au jour. Ce sera le commencement de la redécouverte du passé millénaire de la cité…

    Réf. Liège.  Reconstitution de la Cathédrale St Lambert sur vidéo. Merci au correspondant et ami qui a attiré notre attention sur ce document.

    JPSC

  • Nicolas Buttet : la puissance de l’Eucharistie

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    Le Père Nicolas Buttet est une forte personnalité. Ce Suisse, promis à une brillante carrière d'homme politique et d'avocat, élu député à l'âge de 23 ans, gagnait des fortunes. Aujourd'hui il n'a plus rien. Il a renoncé à tout, il y a plus de 25 ans, il  a connu une conversion radicale pour consacrer sa vie à Dieu.

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    Il est devenu ermite puis a fondé une communauté religieuse qui accueille des personnes en grande difficulté : la Fraternité Eucharistein (http://www.eucharistein.org/ ). Reconnue canoniquement en 2003, comme association publique de fidèles, la fraternité Eucharistein a reçu de Mgr Dominique Rey, Evêque de Fréjus-Toulon, le 3 mai 2008, l'approbation officielle de ses nouvelles constitutions en tant que Famille ecclésiale diocésaine de Vie consacrée.

    Le Père Nicolas Buttet est par ailleurs à l’origine de l’Institut Philanthropos (http://philanthropos.org/), dont le nouveau directeur est Fabrice Hadjadj (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fabrice_Hadjadj), un brillant écrivain et philosophe  français d'origine juive, converti de l'athéisme.

    Il vient aussi de publier un bel essai sur la spiritualité (Nicolas Buttet, Le disciple que Jésus aime. Cinq attitudes fondamentales de la vie chrétienne. Editions de l’Emmanuel 2013, 460 pp., 23 €).

    Lire ici :La kénose, sagesse de Dieu l’entretien de Nicolas Buttet avec Christophe Geffroy dans le mensuel « La Nef » (n° 252, octobre 2013).

    JPSC

  • Espagne : 522 martyrs de la Guerre Civile béatifiés

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    L'Église béatifie 522 nouveaux martyrs de la guerre d'Espagne

    De Radio Vatican :

    Ce dimanche, 522 martyrs de la guerre d’Espagne ont été béatifiés à Tarragone en Catalogne, lors d’une cérémonie présidée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la congrégation pour les causes des Saints. Une cérémonie exceptionnelle à laquelle ont participé de très nombreux prêtres, religieux et religieuses et de familles des martyrs.

    Parmi les 522 nouveaux bienheureux figurent trois évêques, 82 prêtres diocésains, 3 séminaristes, 412 consacrés et 7 laïcs provenant de différents diocèses espagnols. Ils ont été tués pour la plupart entre 1936 et 1939 par les forces républicaines. Sept d'entre eux étaient étrangers: trois Français, un Cubain, un Colombien, un Philippin et un Portugais.

    La Guerre civile espagnole est encore un sujet de division dans le pays. L’Eglise ayant souvent été accusée de soutenir le franquisme. La Conférence épisocpale espagnole a d'ailleurs présenté ces Bienheureux comme des "martyrs du XXème siècle". Le 28 octobre 2007, Benoît XVI avait béatifié 498 martyrs sur la place Saint-Pierre, trois jours avant l'examen au Parlement espagnol de la loi de réhabilitation des victimes du franquisme, voulue par le premier ministre de l’époque José Luis Zapatero.

    L’hommage du Pape à leur témoignage

    A l’issue de l’Angélus ce dimanche place Saint-Pierre, le Pape a salué l’exemple de ces nouveaux bienheureux : « Aujourd’hui à Tarrogone en Espagne, ont été proclamés bienheureux près de cinq-cents martyrs, tués en raison de leur foi durant la guerre civile espagnole, pendant les années trente. Louons le Seigneur pour leurs courageux témoignages, et par leur intercession, supplions-le de libérer le monde de toute violence ».a dit le Pape.

    François a également enregistré un message vidéo qui a été retransmis au cours de la cérémonie espagnole. Un message dans lequel il demande aux nouveaux martyrs d’intercéder pour que nous ne soyons pas des chrétiens « sans substance », eux qui étaient des chrétiens « jusqu’au bout ». 

  • Edith Piaf : je crois tout simplement

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    (Source) À la la suite de la semaine Thérésienne, Le Jour du Seigneur nous propose de découvrir un film de Marie-Christine Gambart, réalisé à l'occasion des cinquante ans de la disparition de "môme Piaf" et diffusé le dimanche 6 octobre à 11h30 sur France 2.

    Par suite d’une guérison reçue enfant à Lisieux, Edith Piaf fut toute sa vie reconnaissante à la « petite Thérèse » qu'elle a mis au cœur de sa vie. 

    Vous pouvez voir ce film (qui dure environ 26 minutes) encore jusqu'au 20 octobre :

    cliquer sur le lien : http://pndgs27.canalblog.com/archives/2013/10/08/28175634.html

  • Le volontariat en soins palliatifs a changé ma vie

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    Le volontariat en soins palliatifs a changé ma vie, avec Attilio Stajano

    Interview exclusive dans le cadre de l’émission « Ethique et moi »; elle sera diffusée :

    Sur RCF Bruxelles 107.6 à quatre reprises la semaine prochaine : ce lundi 14 octobre à 16h00, le mardi  à 12h30,  le jeudi  à 16h30 et le samedi à 9h30. Cette émission est en ligne  à ces mêmes heures sur le site : http://www.rcfbruxelles.be

    Elle sera rediffusée également sur RCF Liège et RCF Namur à une date ultérieure mais assez proche.

    ð      Sur RCF Namur : « Question d'éthique » : Mardi 13h30 -  Jeudi 9h -  Dimanche 16h.

    ð      Sur RCF Liège : « Morale sans histoires » : Semaines impaires : Mardi 11h – Mercredi 2h30 (nuit) – Vendredi 1h  – Lundi 3h (nuit).


    Radiophoniquement vôtre,

    P.S. Il est possible de réécouter les émissions de la semaine qui précède, en podcast,  sur le site de RCF. C’est ici :http://www.rcfbruxelles.be/-Emissions-podcastees-.html ou cette émission à partir de la semaine prochaine.

  • Vient de paraître: Vérité et Espérance/Pâque Nouvelle 3eme trimestre 2013

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    SOMMAIRE 

    Editorial : qu’est-ce qui est essentiel pour la foi ? 

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    L’encyclique « Lumen Fidei » : écrite à quatre mains

    Rio : les remèdes du docteur François

    Rome et la liturgie : sur quel pied danser ?

    Belgique : un nouveau Roi  Philippe, fils spirituel de Baudouin

    Liège accueille Mgr Delville

    Fontgombault : essaimage frontalier

    La K.U.L. va former des imams

    Benoît Poelvoorde : profession de foi

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    La vraie prière

    La troisième demande du Pater: « fiat voluntas tua »

    Quand l'Université s'intéresse au chant grégorien:

    Révisons notre catéchisme : Benoît XVI expose le dogme du péché originel…

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. , Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE. 

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien sont reçus au compte IBAN:  BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège

  • Egypte : d'après Amnesty, des chrétiens sont traités en boucs émissaires

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    Égypte : des chrétiens boucs émissaires (Amnesty international)

    Un nouveau rapport d’Amnesty International se penche sur les événements survenus pendant les attaques sectaires sans précédent qui ont fait suite à la dispersion de deux rassemblements pro-Morsi au Caire, le 14 août.

    Le rapport, publié mercredi 9 octobre 2013, raconte en détail que les forces de sécurité ne sont pas intervenues pour empêcher des foules en colère de s'en prendre et de mettre le feu à des églises, à des écoles et à des bâtiments associatifs coptes, dont certains ont été entièrement détruits. Au moins quatre personnes ont été tuées.

    Il est extrêmement troublant qu'à travers toute l'Égypte la communauté chrétienne ait été prise à partie par des sympathisants du président destitué Mohamed Morsi qui voulaient se venger pour les événements du Caire ».

    Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.

    Exigez la protection des Coptes en Egypte.

    Pétition au ministre égyptien de la défense

    SIGNEZ

    À la lumière des attaques qui avaient déjà eu lieu auparavant, surtout depuis la destitution de Mohamed Morsi le 3 juillet, il aurait fallu anticiper les représailles contre les coptes. Pourtant, les forces de sécurité n'ont pas empêché les attaques et ne sont pas intervenues pour faire cesser les violences.

    Amnesty International enjoint les autorités égyptiennes d'ouvrir une enquête indépendante et impartiale sur ces attaques sectaires et de prendre immédiatement des mesures pour empêcher qu'elles ne se reproduisent. Il faut mettre en place et appliquer une stratégie exhaustive visant à combattre les discriminations envers les minorités religieuses. Les lois et politiques discriminatoires doivent être abrogées et annulées.

    Ne pas poursuivre en justice les responsables présumés de ces attaques équivaut clairement à dire que les coptes et les autres minorités religieuses sont des cibles légitimes. Les autorités doivent veiller à ce qu'il soit parfaitement clair que des attaques sectaires ne seront en aucun cas tolérées ».

    Hassiba Hadj Sahraoui

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  • Ce soir sur Arte : l'horreur du génocide perpétré par les Khmers Rouges

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    "L'Image manquante": retour sur le drame cambodgien; de François Forestier sur TéléObs

    Film de  Rithy Panh, ce mercredi à 20h50 sur Arte.

    L'image manquante

    Le cinéaste du massacre : Rithy Panh, enfant du drame cambodgien, a consacré son oeuvre à son pays. Depuis "Cambodia, entre guerre et paix" (1991) jusqu'à "l'Image manquante" (2013), en passant par "Un soir après la guerre" (1997) et "S21, la machine de mort khmère rouge" (2002), tous ses films se réfèrent à la période de la dictature communiste (1975-1979), qui a fait plus de deux millions de morts (soit un quart de la population), période qui n'a rien à envier à la bestialité nazie. Le mystère demeure sur l'aveuglement des grandes puissances, sur la complicité des partis maoïstes, sur la raison profonde de ce sang versé.

    Ce qui demeure, en revanche, c'est l'extraordinaire traumatisme dont Rithy Panh se fait le témoin : fils d'une famille de paysans (mais son père fut aussi instituteur), le cinéaste a, dans sa jeunesse, été interné dans un camp de concentration : ses parents, ses proches, ses amis, eux, ne s'en sont pas sortis. Rithy Panh, par miracle, a survécu. Destiné à être menuisier, il a choisi de suivre des cours de cinéma à son arrivée en France, dans les années 1980. Et dès ses débuts de cinéaste, il a consacré ses films au Cambodge. "Les Gens de la rizière" (1994) est l'histoire d'une famille de cultivateurs dont le destin est celui du malheur : c'est la préfiguration des autres oeuvres de Panh. Où est passé ce pays qu'il a connu dans son enfance ? Disparu, balayé par l'ouragan de la dictature. Seul le cinéma pourra (peut-être) faire retrouver l'identité de la tradition khmère : désormais, Rithy Panh se consacre à la collation des images datant de l'ère communiste, images rassemblées au Centre des Ressources audiovisuelles du Cambodge.

    Dans son dernier film, "l'Image manquante", prix de la section "Un certain regard" du Festival de Cannes 2013, le cinéaste constate, cependant, que les images, justement, manquent. De cette absence il tire des passionnantes questions sur l'Histoire et l'oubli. Que sommes- nous sans images ? Qui sommes-nous sans le cinéma ? Rithy Panh est un artiste de la mémoire.

    François Forestier

  • Jacques Brel aux Marquises : le témoignage de Soeur Rose

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    Découvert ici :

    Sœur ROSE nous dit : « Avec Jacques BREL, gémir n’est pas de mise aux Marquise »

    Arrivée au collège d’Atuona (île d’Hiva Oa) en 1947, après 42 jours de mer, plus 5 jours pour venir de Tahiti, elle a bien connu Jacques BREL venu passer sur l’île les dernières années de sa vie à la fin des années 70. Elle nous rapporte quelques souvenirs « Ici, il ne montrait pas du tout l’aspect “anti-religieux ”de certaines de ses chansons. 

    La première fois qu’il est venu, un professeur de français nous l’avait amené en disant que ça serait bien si on présentait une vedette aux enfants. Il n’y avait pas de télé ici. Il n’aime pas beaucoup les curés et les bonnes sœurs, m’avait dit le professeur, alors, j’ai hésité à assister au cours. Quand je l’ai rencontré, tout simple, il m’a dit : “Vous savez ici, les femmes fument trop ”et je lui ai répondu : "Ca serait bien de sensibiliser les jeunes là-dessus."

    Avec son avion (Jojo), il allait chercher des légumes pour lui et il nous avait demandé si on voulait quelque chose. Je lui ai dit “Je voudrais bien un beau fromage ”. Lorsqu’il fut de retour après avoir piloté son avion avec beaucoup de fatigue, il l’a déchargé… Au lieu d’aller porter ses provisions chez lui, il est venu apporter le fromage tout de suite, ça m’a beaucoup touché. C’était sa sensibilité. 

    Quand il a appris qu’on fai- sait une kermesse, sa compagne étant une ancienne danseuse des Claudettes, il a proposé qu’elle apprenne la danse moderne à nos gamines. Il avait commandé une chaîne « hi-fi » à Tahiti ; il l'a installée chez nous avant de l'installer chez lui. 

    À cette époque, il n’y avait pas de pendule pour sonner minuit dans la pièce « Cendrillon ». Il a enregistré le chant de son coq sur bande et il s’est occupé de la régie du spectacle, tout heureux comme un enfant. Il aimait être traité comme cela ; il était très simple.

    À cette époque, il n’y avait pas de liaison régulière, il n’y avait que son avion. Or, 2 ou 3 de nos filles n’avaient pas pu partir en vacances à Ua Pou. Comme il s’occupait du courrier avec cette île voisine, il partait tous les vendredis matin à 6 h. Ainsi, il a pris nos 3 filles à son bord. Quand je lui ai demandé à son retour comment cela s’était passé, il m’a répondu “J’ai perdu vos filles, lorsque je me suis retourné, elles n’étaient plus là ”. Elles étaient parties rapidement rejoindre leurs familles, car elles étaient impressionnées et intimidées par ce grand homme. Il ne s’en est même pas offusqué, il cherchait juste à rendre service ; c’était sa gentillesse.

    Ici, depuis qu’il est mort, je n’ai jamais entendu quelqu’un du pays le critiquer. Vous savez, il faisait des évacuations sanitaires sur Tahiti même de nuit, en refaisant le plein de carburant à Rangiroa (Tuamotu). Jamais il ne s'est vanté de dire : "On est allé avec des voitures pour éclairer l'extrémité de la piste." Il ne faisait pas cela pour la gloriole.

    Propos recueillis par Daniel et Pierre-Emmanuel Garot

  • Espagne, 13 octobre : béatification de 522 martyrs de la Guerre Civile

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    Lu sur Aleteia

    522 martyrs de la guerre civile espagnole béatifiés le 13 octobre

    Ce sera la plus vaste béatification collective dans l’histoire du pays.

    Tarragone se prépare à accueillir dimanche prochain, 13 octobre, la cérémonie de béatification de 522 martyrs de l’Espagne du XXe siècle, baptisée la Béatification de l’Année de la foi.

    Cette cérémonie exceptionnelle, qui se déroulera à 12h, en plein air, dans le Complexe éducatif de la ville tarragonaise, sera présidée par le préfet de la Congrégation pour la cause des saints, le cardinal Angelo Amato, qui représentera le pape François. Il sera accompagné par 93 évêques, dont le président de la Conférence épiscopale espagnole, cardinal Antonio María Rouco Varela, et l’archevêque de Tarragone, Jaume Pujols, ainsi que par «tous» les prélats catalans. Seront également présents plus de 1.200 prêtres, 2.200 religieux et de nombreuses autorités et familles des martyrs. Près de 20.000 personnes sont attendues pour la Messe.

    Parmi les 522 martyrs, figurent trois évêques, 82 prêtres diocésains, 3 séminaristes, 412 consacrés et sept laïcs provenant de différents diocèses espagnols. L’évêché d’Orihuela-Alicante, par exemple, qui compte 4 martyrs, a organisé un grand pèlerinage à Tarragone pour tous les prêtres, religieux et laïcs désireux de vivre ce moment historique.

  • Le dimanche 29 septembre 2013, c'était le pèlerinage de Foy-Notre-Dame

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    Sans titre.pngDimanche 29 septembre 2013: Pèlerinage de Foy-Notre-Dame

    Cette édition 2013 du pèlerinage à Notre-Dame de Foy est à marquer d’une pierre blanche puisqu’il a débuté le samedi, et non le dimanche.

    Nous donnons d’abord la parole à Alix, une des jeunes participantes:

    « A l’occasion du 20e anniversaire de notre pèlerinage familial de Tradition, notre aumônier de la Fraternité Saint Pierre, l’abbé Hygonnet, nous avait lancé un défi : organiser une journée de pèlerinage spéciale jeunes qui nous mènerait de Namur à Leffe.

    Chacun a donc activé son carnet d’adresses pour y convier un maximum de bonnes volontés.

    C’est ainsi que samedi 28 septembre 2013, une quinzaine de jeunes se sont retrouvés à la chapelle Sainte-Thérèse à Namur pour entendre la Sainte Messe, recevoir la bénédiction des pèlerins et s’imprégner du bon topo d’envoi de l’abbé Bonechi.

    Nous avons longé les méandres de la Meuse sous un soleil radieux, récitant notre chapelet et entonnant des cantiques dans un répertoire aussi varié que « le chant des Belges à Notre-Dame », « les cosaques », ou encore, dans un autre registre « le doudou »! Nous étions accompagnés par l’abbé Bonechi, relayé ensuite par l’abbé Komorowski, assistant du Supérieur Général de la Fraternité à Fribourg et que les fidèles namurois connaissent bien.

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  • Quand les couvents de Rome offraient un refuge aux juifs lors de l'Occupation

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    Les couvents de Rome, refuges des juifs sous l'Occupation

    Un texte inédit de Saul Israel publié par L'Osservatore Romano (Zenit.org)

    Pour le professeur Giorgio Israel, mathématicien italien, « l’ouverture [aux juifs] des portes de couvents et de maisons religieuses » sur ordre de Pie XII est « une évidence ».

    Son père, Saul Israel, médecin et écrivain juif de Salonique (1897-1981), citoyen italien, a subi la persécution nazi-fasciste et a trouvé refuge au couvent de Saint-François, rue Merulana, à Rome (cf. Ci-joint, le document inédit, Zenit du 8 octobre 2013, dans notre traduction intégrale de l'italien).

    Le témoignage complet de Paul Israel a été publié il y a quatre ans, dans « Pour la défense de Pie XII. Les raisons de l’histoire » (« In difesa di Pio XII, Le ragioni della storia », Venise, Marsilio, 2009). 

    Or, un texte inédit vient d'être retrouvé par son fils Giorgio: « En mettant de l’ordre dans les papiers de mon père je suis tombé sur un autre document dont j’ignorais l’existence, qui constitue un témoignage encore plus direct et tissé d’éléments factuels », explique Giorgio Israel dans L'Osservatore Romano. 

    Il s'agit d'un brouillon d’une « déclaration envoyée à l’Association Guglielmo Pallavicini à l’occasion de la cérémonie commémorative en l’honneur de Pie XII qui a eu lieu à Zagarolo le 29 juin 1965 ».

    « Lire (ou relire) ce document n’est pas inutile aujourd’hui, étant donné que ce qui passait alors pour une évidence — « l’ouverture [aux juifs] des portes de couvents et de maisons religieuses » sur ordre de Pie XII, comme chacun savait » — ne semble plus l’être », fait-il observer.

    Giorgio Israel rend également hommage aux « prêtres cités pour leur engagement généreux ».