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BELGICATHO - Page 1846

  • Avortement et cancer du sein : chronique d'une pandémie annoncée

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    Jeanne Smits propose sa traduction d’un article du Dr Joël Brind, professeur de biologie et d’endocrinologie au Baruch College de la City University de New York. Il est également co-fondateur et membre du Bureau du Breast Cancer Prevention Institute. Il a participé à des études sur le lien entre avortement et cancer du sein depuis 1992. Texte original et notes ici

    Certaines maladies épidémiques sont causées par des bactéries, les plus petits des êtres vivants. D’autres sont causées par des virus : des morceaux d’ADN ou d’ARN « voyous » : ils ne sont pas vivants, mais constituent néanmoins des séquences d’informations destructrices et infectieuses. Nous connaissons tous, bien sûr, aujourd’hui, les virus informatiques qui agissent de la même façon.

    Le cancer du sein, à l’inverse, fait partie de ces maladies « épidémiques » qu’on estime ne pas être infectieuses. Mais les séquences infectieuses d’informations destructrices sont bien des virus, et elles n’ont pas besoin d’ordinateurs pour servir de porteurs. La mauvaise information peut circuler moyennant n’importe quel type de langage.

    Supposez que l’on introduise la cigarette au sein d’une population qui n’aurait jamais fumé, accompagnée de cette instruction : « Fumer des cigarettes ne nuit pas à votre santé. » Cette phrase, qui véhicule une information fausse et destructrice, finirait bien avec le temps – tout comme un virus moléculaire – par provoquer une épidémie de cancers du poumon, non ?

    Voici un autre exemple : « L’avortement n’augmente pas le risque de cancer du sein. » Cette lignée-là du virus de l’« avortement sûr et sans danger » peut-être remontée au moins jusqu’en 1982, à Oxford en Angleterre, et désormais elle s’est répandue dans le monde entier.

    La très mauvaise nouvelle, c’est qu’elle s’apprête à prendre la vie de millions de femmes dans les nations les plus peuplées. Je vais vous expliquer pourquoi.

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  • Faire la guerre à la guerre (20e dimanche du T.O.)

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    Pour une guerre contre la guerre

    Commentaire des lectures de la messe, dimanche 18 août 2013

    (Zenit.org) Mgr Francesco Follo

    Rite romain

    XXe dimanche du temps ordinaire – Année C – 18 août 2013

    1 L’épée transformée en charrue

    L’évangile de ce dimanche décrit Jésus, en chemin vers Jérusalem où l’attend la mort sur la croix, qui dit à ses disciples : « Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division (dans le texte de Matthieu 10,34, on parle d’ « épée »). Et il ajoute : « Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère » (Lc 12,51-53).

    En parlant ainsi, Jésus ne contredisait pas son enseignement, qui était et qui est le message de paix par excellence. C’est lui qui « est notre paix » (Ép 2,14), il est mort et ressuscité pour abattre le mur de l’inimitié et inaugurer le Royaume de Dieu qui est amour, joie et paix.

    En fait, Jésus-Christ voulait dire qu’il était venu apporter la guerre contre le mal, qui est offense, contre le malin qui tue l’âme et le corps, contre le monde qui suit le malin et devient un lieu de conflit permanent. Nous pouvons considérer ses paroles comme une déclaration de guerre à la guerre. Une guerre contre le mal, parce que la guerre humaine est un mal en surface, mais derrière, il y a le grand mal apporté par le diable[i], lui qui personnifie l’amour-du-néant.

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  • Comment va le monde ...

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  • Sauver le chant liturgique

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    Excellente réflexion de Nicolas Bonnal sur Liberté Politique :

    Halte au massacre : sauvons l'excellence du chant chrétien

    C’est le temps des concerts en plein air ou dans les abbayes. Le temps aussi de redécouvrir la plénitude du chant liturgique, et du simple cantique à la messe de nos campagnes. Pour le meilleur, mais aussi parfois pour le pire. Comment chantons-nous, et pourquoi ? Profitons de l’été pour méditer sur l’excellence de nos chœurs, et la beauté de nos messes chantées…

    BEAUCOUP chantonnent à la messe le dimanche sans y prendre garde, laissant à des oreilles béotiennes et philistines le soin d’apprécier une véritable cacophonie de "bons choeurs" mais de voix éraillées. Si le prêtre et la chorale n’ont pas astreint l’assistance à une certaine discipline, cela peut à mon sens provoquer un véritable désastre sur le plan spirituel ; je le dis comme je le pense parce que de grandes voix et de grandes plumes se sont appliquées à dénoncer le chanté éraillé de la messe fatiguée qui n’honore pas Notre Seigneur.

    Il faut d’abord voir que la messe n’est pas une corvée, pas plus que le dimanche.

    Je me rappelle Sister Act, cette petite comédie osée racontant l’histoire d’une chanteuse réfugiée dans un couvent, et qui disait tout honnêtement que les gens préfèrent payer cent dollars au spectacle qu’aller écouter un chœur grelottant mais gratuit à la messe. C’est que le chœur – ou le cœur – n’y est pas. Le « catho » des médias, un peu oublieux de Bach et de Monteverdi, est alors le premier alors à collaborer à la mauvaise image qu’on a de lui, puisqu’il casse les oreilles de « son Dieu » comme de l’assistance.

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  • One of us : en route vers le million de signatures... et la vôtre ?

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    one_of_us_logo.jpgLe 16 août : plus de 850.000 signatures sont comptabilisées pour l'Europe; lire ICI

    mais la Belgique est lanterne rouge dans cette campagne...

    Il s'agit de refuser l'utilisation et la destruction de l'embryon humain.

    • POURQUOI ARRÊTER DE FINANCER LA RECHERCHE SUR L’EMBRYON ?

    Il ne s’agit pas de freiner la recherche, mais de demander qu’elle soit conduite avec des procédés respectant la dignité humaine de l’embryon.

    • UNE RECHERCHE INTERDITE DANS CERTAINS PAYS

    Une partie des Etats membres de l’Union européenne refuse de financer les recherches qui conduisent à détruire des embryons humains. Pourtant, ceux-ci les subventionnent malgré eux indirectement, puisqu’une partie de leur contribution financière est affectée à d’autres pays où ces recherches sont légales. Cette incohérence rend encore plus illégitime l’utilisation du budget européen pour ces actions controversées.

    • L’ANIMAL MIEUX PROTEGE QUE L’ETRE HUMAIN

    L’Union Européenne a adopté des règles très contraignantes pour encadrer les recherches sur l’animal et les embryons animaux (Directive 2010/63/UE du 22 septembre 2010). Ces règles ont été transposées en France le 1er février 2013. Il est aujourd’hui beaucoup plus difficile et coûteux de travailler avec des animaux, y compris sous forme fœtale, qu’avec des embryons humains.

    • PAS DE BREVET POSSIBLE

    La Cour de Justice de l’Union européenne a récemment interdit d’établir des brevets à partir de recherches impliquant la destruction d’embryons humains (arrêt Brüstle/Greenpeace du 18 octobre 2011). Pourquoi donc continuer à encourager de telles recherches, puisque leurs débouchés industriels sont impossibles ?

    • D’AUTRES METHODES PLUS ETHIQUES EXISTENT

    Des recherches alternatives sont possibles, grâce aux cellules souches issues de sang de cordon ou du placenta, et grâce aux cellules adultes reprogrammées (cellules iPS découvertes en 2007 par le Professeur japonais Yamanaka). Elles donnent des résultats plus prometteurs et rendent inutiles les recherches sur l’embryon humain.

    COMMENT SIGNER L’INITIATIVE CITOYENNE EUROPÉENNE

    La procédure de signature a été élaborée par l’Union Européenne. Elle est commune à tous les Etats-membres.Vos données individuelles sont traitées de façon confidentielle et sécurisée. Vous pouvez consulter le détail de ces normes en suivant ce lien : déclaration de confidentialité.

    Pour signer, il vous sera demandé un numéro d’identification personnel : celui de votre carte d’identité, ou de votre permis de conduire, ou de votre passeport, ou d’autres documents (voir choix en ligne).

    Vous pouvez signer en ligne OU via un formulaire papier :

    signature-en-lignesignature-papier

     

  • Egypte : vous avez dit "heurts interconfessionnels" ? Dites "pogroms" !

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    Sur le blog "Nystagmus" : "Heurts interconfessionnels", mode d'emploi, un billet d'humeur des plus opportuns dont voici un extrait significatif :

    (...) j'avoue que les termes de "représailles" et de "heurts interconfessionnels" décrivant dans la presse ce qui se passe aujourd'hui pour les coptes au pays des Pharaons commence à me chauffer un peu la cochlée. "Représailles", ça veut dire quoi? Ça veut dire : tu m'as pris un oeil, je t'en prends un. Tu as fait quelque chose de répréhensible, je te rends la pareille.

    "Heurts interconfessionnels", ou son avatar "violences interreligieuses", ça évoque quoi? Ça évoque deux milices de religion différente, pareillement armées, jouant dramatiquement à qui pisse le plus loin sans qu'on puisse vraiment dire qui a commencé ni qui a raison. Ça sous-entend que chacune des deux communautés a fait du mal à l'autre. Le pékin lambda, quand il entend parler de "heurts interconfessionnels", éteint sa télé en se disant que, décidément, les religions elles font rien qu'à se battre tout le temps, et que tout le monde l'a un peu cherché. Fermez le ban.

    Oui mais non. Ce qui se passe aujourd'hui en Egypte, ce ne sont pas des "représailles", ce ne sont pas des "heurts interconfessionnels", ce sont des pogroms - et je salue, une fois n'est pas coutume, Rue 89 de l'avoir dit tel quel... bien qu'entre guillemets. Entre 25 (estimation basse par l'ONG Initiative égyptienne pour les droits de la personne) et plus probablement une soixantaine (liste visible sur le Blog Copte) d'églises attaquées, brûlées dans tout le pays. Le pape des coptes, Tawadros II, menacé de mort, bien qu'il ait supplié ses ouailles de ne pas répondre à la violence - ce qu'elles ont fait.

    Des dizaines de commerces appartenant à des coptes saccagés, leurs propriétaires battus. Des écoles chrétiennes détruites. Des enfants tués.

    L'Egypte n'a pas le monopole de la pudeur journalistique. Partout où des gens se font tuer pour nulle autre raison que d'être chrétiens, le refrain du virus des "violences interreligieuses" revient. Au Pakistan. Au Nigeria. Si les chrétiens ne sont pas les seules victimes de cette étrange épidémie (les Rohingyas musulmans de Birmanie peuvent en témoigner, eux qui se font atomiser par des bouddhistes), ils sont très largement représentés.

    La vérité est qu'aujourd'hui, en Egypte, les chrétiens se font éliminer de façon ouvertement planifiée par les islamistes, même si certains musulmans ont le courage de leur porter secours.

    Ce n'est pas le dire qui est criminel, c'est de le taire.

  • La révolution chrétienne

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    couvrevolutionchretienne.jpg

    De Denis Sureau (L'Homme Nouveau) :

    Après le succès de son livre De Luther à Benoît XVI, le Père Michel Viot publie un nouveau livre à l'occasion du Synode sur la nouvelle évangélisation. Dans ces entretiens avec l'abbé Guillaume de Tanoüarn,, il s'interroge sur l'avenir de l'Eglise, particulièrement en Europe. Pourra-t-elle continuer à être présente dans l'espace public ? Ou retournera t-elle aux catacombes, voire à une certaine forme de "captivité babylonienne" avec exil à la clé ? Confrontés à la montée de l'islam et au défi du sécularisme, comment les chrétiens vivront leur foi chrétienne au grand jour dans une société hostile ?

    En s'appuyant notamment sur la lettre Porta fidei pour l'Année de la Foi, le Père Michel Viot répond à toutes les questions posées par l'abbé Guillaume de Tanoüarn sans craindre de secouer les pieux conformismes. Avec une conviction forte : c'est une véritable révolution chrétienne que la nouvelle évangélisation doit provoquer. 

    Né en 1944, le Père Michel Viot est vicaire épiscopal et aumônier de la maison d'arrêt dans le diocèse de Blois, conférencier et président de l'association « Ecouter avec l'Eglise ». Il a expliqué son itinéraire d'ancien pasteur luthérien et dirigeant maçonnique dans son précédent livre, De Luther à Benoît XVI, qui a remporté un vif succès.

     L'abbé Guillaume de Tanoüarn est docteur en philosophie (thèse sur Cajétan parue au Cerf en 2009) et directeur du centre culturel Saint-Paul à Paris.

    Disponible à la boutique de l'Homme Nouveau : La Révolution chrétienne

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (16/8/2013) : reconnaissance des bébés nés sans vie/ mères porteuses

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    header_fr.jpgSommaire

  • Le 13 octobre, le pape François consacrera le monde au Coeur immaculé de Marie

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    n-s-fatima-3-grande.jpg(Zenit.org - A. Bourdin) - Le pape François consacrera le monde au Cœur immaculé de Marie, à Rome le 13 octobre, aux pieds de la Vierge de Fatima, en l'anniversaire de l'apparition de 1917.

    La statue originale de la Vierge sera transportée à Rome, suivant le désir du pape François, à l’occasion de la Journée mariale promue par le dicastère de la nouvelle évangélisation le 13 octobre prochain, dans le cadre de l'Année de la foi.

    (...) Le site du sanctuaire de Fatima précise qu'en réponse au désir du pape François, la statue de Notre Dame du Rosaire de Fatima, qui est vénérée dans la petite chapelle des Apparitions, sera à Rome les 12 et 13 octobre à l’occasion de la Journée mariale.

    Des centaines de mouvements et d’institutions de dévotion mariale se rassembleront dans la capitale italienne pour cette occasion. Dans une lettre adressée à l’évêque de Leiria-Fatima, Mgr António Marto, le président du dicastère pour la nouvelle évangélisation, Mgr Rino Fisichella, a annoncé que « toutes les réalités ecclésiales de spiritualité mariale » étaient invitées à participer à cette journée.

    Le programme de la rencontre prévoit un pèlerinage au tombeau de l’apôtre Saint Pierre, le 12 octobre, ainsi que d’autres moments de prière et de méditation. La célébration de l’Eucharistie sera présidée par le pape François le 13 octobre, Place Saint-Pierre.

    « C’est le vif désir du Saint-Père que la Journée mariale puisse avoir comme signe particulier une des statues mariales les plus importantes pour les chrétiens du monde entier et c’est pour cette raison que nous avons pensé à la statue originale et bien-aimée de Notre Dame de Fatima », écrit Mgr Fisichella.Ainsi, la statue de la Vierge de l’un des sanctuaires les plus connus au monde quittera le Portugal le matin du 12 octobre pour y retourner dans l’après-midi du 13. En son absence, on installera dans la Chapelle des apparitions la première statue de la Vierge pèlerine de Fatima, intronisée dans la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, le 8 décembre 2003.
  • Un "traditionalisme pragmatique"

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    C'est le nôtre, et il est ainsi défini sur Metablog :

    Ce ... traditionalisme est pragmatique. Il constate que la chrétienté n’existe plus en Europe de l’Ouest, que le tissu religieux s’y est aminci au point de ne plus laisser que des îlots, plus ou moins présents selon les milieux et les régions mais cependant tous fragiles; que certains de ces îlots vivent de la forme liturgique extraordinaire ; et qu’au regard de la rareté et de la fragilité de ce qui reste de chrétienté il convient au minimum de ne mettre de bâtons dans les roues de personne.

  • Intolérance et discrimination à l'égard des chrétiens en Europe

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    De l'Observatoire sur l'intolérance et la discrimination des chrétiens en Europe :

    1000 Cases of Intolerance and Discrimination Against Christians in Europe
    Switzerland: Plans to Remove God From National Anthem
    Ireland: Government Says No Opt Out Of Performing Abortions for Faith-Based Hospitals
    France: Consultation Center for Handicapped People Vandalized by Left Wing Radicals
    United Kingdom: British Gay Couple to Legally Challenge Church for Not Offering Gay Marriage
    Austria: Art Work Depicting Crucified Chicken Hurts Feelings of Believers
    Germany: Lutheran Church Burnt Down in Hannover
    Spain: Church Set on Fire Leads to Arrests of Four Young Adults
    Italy: Facebook Page Claims “Mary Should´ve Aborted”
  • 28.000 pèlerins à Banneux pour le 15 août

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    Lu ICI :

    Environ 28.000 pèlerins lors du 15 août à Banneux

    Quelque 28.000 pèlerins ont rejoint le site marial de Banneux à l'occasion du 15 août, a annoncé vendredi Jean-Marie Denis, le porte-parole de Banneux Notre Dame. Il s'agit de la fréquentation la plus importante pour un 15 août depuis la célébration, en 2008, du 75e anniversaire des Apparitions. Le pèlerinage s'est déroulé sans incident.

    Plus de 20.000 pèlerins étaient déjà présents sur le site marial de Banneux sur le coup de midi. Une matinée qui avait été marquée par une importante participation, estimée à 5.000 personnes, à la messe internationale présidée par Mg Jean-Pierre Delville, le nouvel évêque de Liège.

    Mg Delville a prononcé une homélie sur le thème de la "mise en pèlerinage". Un thème accessible à tous les pèlerins qui ont apprécié et applaudi chaleureusement le nouvel évêque de Liège qui s'est dit "positivement étonné de l'importante assemblée et heureux de l'accueil".

    La célébration internationale a laissé place à d'autres offices très fréquentés comme la bénédiction des malades pour laquelle près de 3.000 personnes étaient rassemblées.

    Le site marial, qui se veut aussi un lieu d'ouverture, a réuni des musulmans issus des Balkans mais aussi 4.000 catholiques irakiens pour qui une messe a été tout spécialement célébrée.

    La fréquentation du site n'a cessé de croître au cours de la journée avec 23.000 à 25.000 personnes en milieu d'après-midi pour atteindre les 28.000 en fin de journée. Une journée qui s'est d'ailleurs déroulée sans le moindre incident selon la zone Secova.

    Depuis le 75e anniversaire des Apparitions qui avait vu la présence de 35.000 pèlerins, le 15 août sur le site marial n'avait plus connu pareille affluence.

    Annuellement, le site marial de Banneux Notre-Dame accueille un demi-million de pèlerins.

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1687792/2013/08/16/Environ-28-000-pelerins-lors-du-15-aout-a-Banneux.dhtml