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BELGICATHO - Page 2142

  • Quand on joue à se faire peur

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    "2012… La fin d’un monde, oui. On ne sait pas si les Mayas avaient pressenti l’éruption du super volcan qui sommeille sous le lac Laacher See en Allemagne, mais les articles sur ce super volcan se multiplient en prédisant son éruption et une destruction de l’Europe à court terme, et de préférence en 2012…

    C'est sur www.radinrue.com :

    Les hommes s’ennuient. Ils cherchent l’extraordinaire, le renouveau… A défaut de pouvoir le provoquer de manière intellectuelle, ils ont besoin d’espérer dans la catastrophe, aussi terrible puisse telle être, une solution pour « repartir à zéro », une quête de catharsis, de purification en quelque sorte…

    Alors bien sur les prévisions se multiplient, et 2012 semble avoir hérité de ses « années de peurs et d’espoir »…

    On lira la suite ici : http://www.radinrue.com/article7114.html

  • Orient : les chrétiens en grave danger

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    L'Hebdo de Genève, relayé par Rue89, a publié un entretien avec Mgr Béchara Raï.

    "Elu en mars 2011, 77e patriarche de l'Eglise maronite, Mgr Béchara Raï dirige une communauté de 3,5 millions de chrétiens d'Orient à travers le monde. Dans une interview à notre partenaire L'Hebdo de Genève, il fait part de sa vive inquiétude : la montée en puissance des islamistes met en danger sa communauté. Il redoute que la percée de mouvements islamistes ne pousse les chrétiens à l'exil. Entretien dans son siège épiscopal à Bkerke, à une vingtaine de kilomètres de Beyrouth..."

    C'est à lire ici : http://www.rue89.com/

  • Une année de la foi pour quoi faire ?

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    (V.I.S.) Aujourd'hui a été publié un communiqué à propos de la Note de la Congrégation pour la doctrine de la foi, relative aux indications pastorales de l'Année de la foi. Le document, qui sera signé demain par le Pape en la solennité de l'Epiphanie, et publié le 7 janvier, a été rédigé en collaboration avec certains dicastères et le Comité préparatoire de l'évènement. L'Année de la foi a été annoncée par la lettre apostolique Porta Fidei du 11 octobre 2011. Elle débutera le 11 octobre prochain, cinquantième anniversaire de l'ouverture du Concile oecuménique Vatican II, et se conclura le 24 octobre 2013, en la solennité du Christ Roi. L'Année de la foi entend "contribuer à raviver chez tous les fidèles l'adhésion au Seigneur et à approfondir la foi. Ainsi pourront-ils être des témoins crédibles du Ressuscité, capables d'indiquer aux autres la porte de la foi". Le début de l'Année de la foi coïncide avec deux grands évènements de l'histoire de l'Eglise, l'ouverture de Vatican II (11 octobre 1962), concile voulu par le bienheureux Jean XXIII, et le Catéchisme de l'Eglise catholique (11 octobre 1992), voulu par le bienheureux Jean-Paul II.

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  • Hongrie : relire le Professeur Rezsohazy

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    Il y a un an, le Professeur R. Rezsohazy (UCL) réagissait aux outrances des commentateurs à propos du premier ministre hongrois, Victor Orban. Ses observations restent de saison, d'autant qu'elles ne sont pas le fait d'un excité mais bien de quelqu'un dont on se plaît à reconnaître l'équilibre, l'intelligence et la modération :

    "Plaidoyer pour Victor Orban

    “Populiste” ? “Conservateur de droite” ? “Nationaliste” ? Non, le Premier ministre hongrois est populaire. Mal compris par les Européens, il est victime de clichés.

    Il est très difficile d’obtenir des informations correctes au sujet de l’évolution politique du pays des Magyars. Les causes en sont multiples, parmi lesquelles l’accès à la langue hongroise n’est pas la moindre...

    Lire la suite ici : plaidoyer pour Victor Orban

  • Quand l’Agence interdiocésaine « Cathobel » dénonce les dérives autoritaires de la constitution hongroise

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    Elle cite pêle-mêle, à côté d’un certain nombre de mesures d’ordre  politique, économique et social, les dispositions éthiques considérant  les embryons comme des êtres humains dès le début de la grossesse et qu’un mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme, la réduction des communautés religieuses reconnues  de 300 à 14 (pour mémoire la loi belge n’en reconnaît que six ou, disons, sept avec la laïcité) « renforçant l’Église chrétienne (sic) au détriment des minorités religieuses » et, horresco referens, la mention explicite de Dieu en ces termes « Dieu bénisse les Hongrois ».  C’est ici : Dérive autoritaire en Hongrie

    delville.jpgCurieux amalgame pour une agence de presse catholique. Elle s’est d’ailleurs attirée cette remarque pertinente, émanant de l’abbé Jean-Pierre Delville (photo), professeur à la Faculté de Théologie de l’Université catholique de Louvain et desservant de l’église Saint-Barthélemy à Liège :

    « Dans cet article de Cathobel il est écrit: « Sur le plan éthique, la nouvelle Constitution considère les embryons comme des êtres humains dès le début de la grossesse et estime qu’un mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme (…). Dans le même sens, elle fait désormais explicitement référence à Dieu. » Ces éléments vont dans le sens même de la foi chrétienne et devraient être appréciés par Cathobel. Alors pourquoi ajouter de suite après une critique sur toute la Constitution en écrivant : « Cette dérive autoritaire est évidemment dénoncée par l’opposition de gauche et écologique, ainsi que par de nombreux mouvements de la société civile » ? Dans un article aussi politique, Cathobel devrait faire un minimum d’analyse et de distinctions. »

  • Robert Hugh Benson réédité aux Editions de l'Homme Nouveau

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    Les éditions de l'Homme Nouveau rééditent un livre de Robert-Hugh Benson qu'elles présentent ainsi :

    "Ce n'est quand même pas commun que le fils d'un archevêque anglican devienne prêtre catholique ! C'est pourtant ce qui est arrivé à Robert-Hugh Benson, le plus jeune fils d'Edward White Benson, archevêque de Canterbury et, à ce titre, primat de la communion anglicane.

    Né en 1871, retourné auprès de Dieu en 1914, Robert-Hugh Benson rejoignit l’Église catholique le 11 septembre 1903 avant de devenir prêtre l’année suivante. Profond et spirituel, sensible et cultivé, le jeune homme se fit surtout connaître pour son éloquence en chaire et ses très nombreux écrits. Parmi ces derniers, son roman d’anticipation, Le Maitre de la Terre (traduction française chez Téqui), est certainement le plus connu. Traduit en plusieurs langues, constamment réédité, ce roman envisage la fin des temps et a été considéré, à plusieurs aspects, comme prophétique. Il annonce, et pour certains dépasse très largement, le livre de Michael D. O’Brien, Père Elijah. Une apocalypse (Salvator), qui s’inscrit dans la même veine."

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  • Au menu de l'Eglise en 2012...

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    Jean-Marie Guénois a mis en ligne sur "religioblog" une note dans laquelle il pointe ce qui sera mis en avant durant l'année entamée. Bien sûr, il y a l'âge de Benoît XVI qui prêtera à des commentaires et à des spéculations d'autant que le prochain consistoire précisera la tendance du collège électoral chargé d'élire un jour son successeur, il y aura le voyage du pape en Amérique Latine et son possible voyage au Liban, mais il y aura surtout l'ouverture de l'"année de la foi" à l'occasion du cinquantième année de la réunion du concile Vatican II. A ce propos, le chroniqueur religieux du Figaro relève que "le Pape veut poser à l'Eglise la question de sa foi" :

    "L'année, écrit-il, sera aussi largement occupée dans l'Eglise catholique par la célébration du cinquantenaire de l'ouverture du Concile Vatican II (11 octobre 1962). Mais ces fastes seront curieusement contrariés, dans un sens comme dans l'autre, par le résultat de la négociation toujours en cours - et à l'issue incertaine en raison même du Concile Vatican II - entre les disciples de Mgr Lefebvre et le Saint-Siège.

    Si elles échouent, c'est la politique de réconciliation et de continuité avec "la tradition", voulue par Benoît XVI pour justement "interpréter" le Concile Vatican II qui sera décriée comme un échec. Si elles réussissent, ce sera l'héritage de "l'esprit du Concile" qui sera considéré comme miné par un danger mortel.

    La célébration de l'avénement du Concile Vatican II est paradoxalement complétée par un synode mondial des évêques prévu en octobre prochain et consacré à la « nouvelle évangélisation ». La tâche est considérée comme « urgente » comme si les résultats du dit Concile Vatican II laissaient à désirer. 

    L'anniversaire du Concile est aussi complété par une "année de la foi" du 11 octobre 2012 au 24 novembre 2013. Lancée à l'échelle mondiale par Benoît XVI cette année entend "revitaliser" cette foi qui est à la base de l'édifice catholique et que le pape juge en crise... au sein de l'Eglise."

  • Sanctuaire d'Aparecida : plus de 10 millions de pèlerins en 2011

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    Aparecida (Agence Fides) - Le Sanctuaire national d'Aparecida qui se trouve dans la ville d'Aparecida du Nord (Etat de San Paolo) a accueilli en 2011 un total de 10.885.878 visiteurs. C'est ce qu'indique à l'Agence Fides la Conférence épiscopale du Brésil, remarquant que l'année 2011 a enregistré un mouvement de 505.705 fidèles supplémentaires par rapport à l'année 2010. Le mois qui a enregistré le plus fort afflux de visiteurs a été celui d'octobre, avec 1.235.242 pèlerins.

    Le 13 novembre, qui a marqué le pic de fréquentation du Sanctuaire en 2011, ce dernier a accueilli près de 200.000 fidèles au cours de la journée. A cette occasion, un long pont, le Sanctuaire a accueilli des jeunes provenant de tout le Brésil dans le cadre du 3ème Pèlerinage national des Jeunes dans le cadre duquel a eu lieu la remise des symboles de la Journée mondiale de la Jeunesse (JMJ).

    Au cours de la période des vacances également, les pèlerins ont particulièrement apprécié le plus grand Sanctuaire marial du monde. Dans un climat de fraternité, plus d'un million de personnes ont visité le sanctuaire au cours du mois de juillet. Pour le Recteur du Sanctuaire national, le Père Darci Nicioli, C.Ss.R. (rédemptoriste), le sanctuaire a clôturé l'année au milieu de grandes bénédictions. « 2011 a constitué une année bénie. Nous avons constaté une forte affluence de pèlerins même au cours de la semaine, ce qui nous oblige à repenser l'accueil. Le Sanctuaire est toujours prêt à recevoir les fils et les filles de la Mère de Dieu » a déclaré le Père Darci.

    Au cours du premier semestre, le Sanctuaire a reçu plus de 4 millions de visiteurs alors qu'au second semestre, ont été enregistrées 6.616.756 pèlerins. (CE) (Agence Fides 05/01/2012)

  • Culture et Christianophobie

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    FIC68187HAB30.jpgLa revue mensuelle « La Nef », n° 233, janvier 2012, consacre un dossier fort bien fait à ce sujet d’actualité. Epinglons dans celui-ci quelques unes des réflexions de Mgr Rey, évêque de Toulon-Fréjus, toujours lucide et sans ambages inutiles :

    « Corpus Christi en 2001. Piss Christ, cet été en Avignon. Le spectacle de Romeo Castellucci sur le concept du visage de Dieu, récemment. Aujourd’hui Golgotha Picnic : le Christ se roule dans la matière fécale, tandis que de la plaie de son côté sortent des billets de banque. Le Crucifié est traité de « chien de pyromane », de « messie du sida »… Ces polémiques, mettant aux prises la création contemporaine subventionnée, et la figure du Christ bafoué, se multiplient et font la pâture des journaux.(…)

    Au sujet de l’attitude à adopter face à ces agressions, le point de vue est on ne peu plus clair :

    « Ces créations artistiques -pour lesquelles on accorde souvent une attention médiatique surdimensionnée, si l’on prend en compte la médiocrité du spectacle (et qui misent sur le goût du scandale) - interrogent la conscience morale des artistes. La dérision religieuse systématique met en péril le vivre ensemble. Toute liberté ne se définit-elle pas comme emportant en elle-même la liberté de l’autre, et donc du respect de sa conscience ?

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  • Liens du jour (5/1/2012)

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    Inde : "plaque tournante" pour les essais sur l'homme (généthique)
     
     
     

  • "Vivre, c'est le Christ"

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    « Vivere Christus est » : j'ai trouvé une certaine inspiration et même une inspiration certaine dans le début de la première encyclique du pape Benoît XVI, que je cite : « À l’origine du fait d’être chrétien, il n’y a pas une décision éthique ou une grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une Personne, qui donne à la vie un nouvel horizon et par là son orientation décisive. »

    On peut commenter un peu en pensant à Noël qui approche : Dieu vient à nous, c'est ça Noël. Dieu qui se fait homme. Pourquoi ? Pour que nous puissions être avec lui. Et c'est le Dieu unique qui le fait et cela s'est produit une seule fois, c'est pourquoi notre calendrier le montre d'ailleurs : c'est vraiment le centre de l'Histoire.

    Or quelle a été l'expérience des apôtres que l'on peut voir dans l'Evangile ?

    Ils ont rencontré le Christ qui les a appelés non pas parce qu'ils étaient saints, non pas parce qu'ils étaient parfaits - et dans certains cas ils étaient même franchement imparfaits - pensons à Matthieu qui détourne l'argent du contribuable pour lui-même, pour ne rien dire de Saint Paul qui persécute les chrétiens... Le Christ les a appelés, non pas parce qu'ils étaient parfaits, mais pour qu'ils le deviennent. Qu'ils puissent le devenir, s'ils acceptaient d'être avec lui. Et c'est effectivement cela la vie chrétienne.

    Et c'est pourquoi mon point de départ n'est certainement pas (la morale), et je le dis parce qu'on me pose toujours des questions sur des points de morale. Je comprends bien, ce n'est pas sans intérêt, mais ce n'est pas le point de départ pour moi. D'abord être avec le Christ, et ensuite la vie change. Pas d'abord changer sa vie pour éventuellement devenir chrétien. »

    Ces propos sont de Monseigneur Morerod, le nouvel évêque de Fribourg, Lausanne et Genève et commentés ici : http://www.lavie.fr/sso/blogs/blog.php?id=71

  • Quand la Hongrie est mise au ban

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    Nous évoquions hier la désapprobation européenne à l'égard de la Hongrie. Jeanne Smits analyse les raisons de la mise au ban de ce pays:

    "Est-ce parce qu’on ne pardonne pas à Viktor Orban d’avoir courageusement, à 26 ans, tenu tête au pouvoir communiste qui écrasait son pays que « sa » Hongrie est aujourd’hui sous le coup d’une mobilisation politico-médiatique d’une ampleur ahurissante ? Parce que le Premier ministre hongrois est pro-vie ? Parce que sa Constitution musclée et centrée sur l’identité chrétienne rompt avec le relativisme ambiant ? Un peu de tout cela, sans doute… Mais à l’heure d’écrire il est difficile de trouver ne serait-ce qu’un seul papier dans les gros médias, francophones ou non, qui ne le présente comme un dictateur, un tyran, meneur d’un parti – le Fidesz – qui impose sa loi sur un peuple privé de toute liberté, un irresponsable qui mérite de voir son pays mis en coupe réglée par l’Union européenne. « L’Europe pourrait laisser la Hongrie faire faillite » titrait mardi Le Figaro – un peu vite au regard du contenu de l’interview qui suivait, mais enfin c’est l’idée qui reste. On ne tient pas tête impunément à Bruxelles...

    lire la suite : La Hongrie sous le feu de Bruxelles et des médias