Le journal « Le Soir » reproduit cette information, tirée d’un communiqué de l’agence Belga :
« La chambre des mises en accusation de Bruxelles a estimé que les perquisitions au palais archiépiscopal de Malines et au domicile du cardinal Danneels étaient illégales. Le matériel saisi devra être rendu à ses propriétaires.
Les perquisitions ordonnées par le juge d’instruction Wim De Troy le 24 juin 2010 au palais archiépiscopal de Malines et au domicile du cardinal Danneels sont illégales, selon une décisions rendue mardi par la chambre des mises en accusation de Bruxelles.
Le matériel saisi à cette occasion doit être rendu à ses propriétaires.
Ces perquisitions s’étaient déroulées dans le cadre de l’opération Calice relative aux abus sexuels de mineurs au sein de l’Eglise. Les enquêteurs de la police fédérale avaient également mené des perquisitions à la cathédrale Saint-Rombaut à Malines, aux Archives du Royaume et à la Commission Adriaenssens à Louvain.
Saint André, apôtre
Les communautés anglicanes (anglicanorum coeti) qui font retour pour l’instant à l’Eglise catholique ne le feront pas au rabais, comme le montre cette information publiée aujourd’hui 
Si la formulation latine du Pater et de l’Ave Maria n’a pas changé, la traduction des deux prières les plus familières aux catholiques s’est « babélisée » depuis le concile Vatican II. Dans les assemblées de prières les tutoiements et vouvoiements s’entremêlent, que le Règne du Père adveniat se traduit « vienne » pour les uns, « arrive » pour les autres, le pain quotidianus est quotidien ici ou de ce jour là-bas, sans parler du fameux contresens « et ne nos inducas in tentationem » (ne nous soumets pas à la tentation, ou pire, ne nous y induis pas) traduction latine issue d’une transposition grecque malhabile d’un hébraïsme originel, que l’on corrigeait autrefois en disant : « ne nous laissez pas succomber », formule à laquelle d’aucuns se tiennent toujours.