Les catholiques sont appelés à « assumer une attitude critique » et responsable face aux informations, explique le P. Lombardi.
Le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, est intervenu lundi 7 mars à Turin, à l'Institut social des jésuites, sur le thème « Eglise, communication et information », rapporte aujourd'hui l'agence catholique italienne SIR.
Le P. Lombardi souligne la responsabilité des consommateurs des nouvelles : ils doivent « assumer une attitude critique qui permette d'équilibrer la mauvaise information ».
Le P. Lombardi a aussi évoqué les réseaux sociaux qui, dit-il, « répondent à un besoin fondamental de relations », mais « il faut s'interroger sur la qualité qui caractérise ces nouvelles relations ».
« Il faut accueillir les potentialités offertes par la technologie, sans oublier que son usage est lié à la formation de la personne, qui doit être éduquée à chercher la vérité et à devenir un sujet critique et responsable », ajoute le P. Lombardi.
« Etre annonceurs de la Bonne nouvelle », c'est, pour le P. Lombardi, « offrir des messages valides dans un monde où les personnes sont mises en contact avec un fleuve irrépressible d'informations, de paroles et d'images, et où sélectionner les nouvelles est toujours plus difficile ».
Le P. Lombardi rappelle que celui qui publie une nouvelle est appelé à la « responsabilité » et « doit se fonder sur un fait vrai et faire attention à la façon dont on dit les choses ».
Il confie : « Ces dernières années j'ai appris qu'il n'existe pas de sujet dont on ne puisse parler, mais qu'il faut trouver la manière juste » de le faire. (ZENIT)
Une foule de musulmans dans un village au sud du Caire ont ce week-end dernier attaqué et brûlé l’église du village, et étaient à deux doigts de tuer le curé après que l’imam ait lancé un appel à “Tuer tous les chrétiens”, selon les sources locales.
13 mars 2011 : Appel décisif à la cathédrale des Saints Michel et Gudule de Bruxelles
C’est aux éditions du Cerf : l'émouvant rapprochement entre les chrétiens et leurs frères juifs, au-delà des péripéties tragiques et baroques de notre époque, peut inciter les lecteurs des évangiles à retrouver le bon usage de l'humour, si profond, si constant, dans les mœurs et l'âme juives - afin de mieux retrouver et goûter la saveur, piquante, poignante, des récits et des dialogues retracés avec verdeur par les familiers du Christ. On peut escompter, d'une lecture des textes saints selon la clef de l'humour, outre une compréhension renouvelée, une préparation à son application concrète dans nos vies quotidiennes, affrontées à la complexité croissante d'un monde de plus en plus brusque et imprévisible.