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  • Rencontre islamo-chrétienne chez les bénédictines de Liège

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    A ce propos, voici ce que nous lisons dans la Gazette de Liège de ce matin :

    "Croix et croissant

    P.V. (Mis en ligne le 09/09/2011)

    Ce vendredi à Liège, les bénédictines de l’abbaye de la Paix Notre-Dame accueillent des chrétiens et des musulmans en vue d’une série d’échanges, à l’occasion de la fin du Ramadan. La démarche s’inscrit "dans l’esprit d’Assise" où Jean-Paul II invita, il y a 25 ans, les représentants des religions. Mais comment ne pas relever la proximité d’un autre anniversaire, celui d’un certain 11 septembre ? Au lendemain des attentats, le président Bush posa un geste fort en se rendant dans une mosquée, signifiant qu’on ne répond pas à la haine par la haine. Mais une rencontre comme celle d’aujourd’hui pourrait-elle être aussi l’occasion d’interpeller les autorités musulmanes de chez nous sur leur silence face aux persécutions que subissent les chrétiens en maintes terres d’islam ? Pas de dialogue sans vérité."

  • Timor Oriental : quand de jeunes catholiques se souviennent

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    "Le 7 septembre dernier, plusieurs dizaines de jeunes catholiques ont fait mémoire des très nombreuses victimes tombées lors des luttes pour l’indépendance de leur nation. Ils se sont notamment réunis au cimetière de Santa Cruz à Dili, où, le 12 novembre 1991, l’armée indonésienne avait ouvert le feu sur une foule en deuil après la mort d’un étudiant, abattant plus de 200 personnes.

     L’épisode avait marqué d’une pierre sanglante la difficile accession à l’indépendance de cette ancienne colonie portugaise, envahie puis annexée par l’Indonésie en 1975. L’indépendance complète n’a été effective qu’en 2002, trois ans après le départ de l’Indonésie de la moitié orientale de l’île de Timor.

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  • Transmettre

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    Comment évangéliser l'enfance ?
    Comment faire grandir nos enfants dans l'amour de Jésus Christ ?
    Transmettre a pour but de vous aider à répondre à ces questions
      Chaque mois, la revue Transmettre propose :
    • Un dossier lié au temps liturgique ou sur un grand thème.
    • Un carnet de prières et un dessin à colorier.
    • Un commentaire d'un évangile du dimanche complété par un bricolage.
    • Des articles pour l'éveil à la foi, l'éducation et la catéchèse.
    • Une petite histoire de l'Eglise.
     
    • Guides de préparation aux sacrements (communion, confession, confirmation...). 
    • Albums pour l'éveil à la foi des tout-petits. 
    • Commentaires de la Bible et cahiers d'activité.
    • Cahiers de vacances, poster du cycle liturgique, carnet de prière...

  • Des écoles diocésaines authentiquement catholiques...

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    Message du pape aux évêques (indiens) (8/9/2011) :

    « Je vous encourage, a insisté le pape, à continuer « de prêter la plus grande attention à la qualité de l’instruction » dans les écoles des diocèses, « de façon à garantir qu’elles soient authentiquement catholiques, et donc en mesure de transmettre les vérités et les valeurs nécessaires au salut des âmes et au développement de la société ».

    http://www.zenit.org/article-28877?l=french

     

  • Un laïc, promoteur de la charité active : le bienheureux Frédéric Ozanam (9 septembre)

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    B20-Ozanam425.jpg

    Ozanam, par Dom Antoine Marie

    Au cours des Journées Mondiales de la Jeunesse, en août 1998 le Pape Jean-Paul II disait: «Mes bien-aimés, aimons-nous les uns les autres puisque l'amour vient de Dieu. Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu et ils connaissent Dieu. Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est Amour (1 Jn 4, 7-8). Cette parole de l'Apôtre est vraiment le coeur de la Révélation». Et, pour donner un exemple tangible d'amour de Dieu et du prochain, le Saint-Père procédait à la béatification de Frédéric Ozanam dans la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    Dans le regard d'une mère

    Bien que Français, Jean-Antoine Ozanam et son épouse Marie vivent à Milan lorsque naît leur fils Frédéric, en 1813. Ils reviendront à Lyon en 1816. L'éducation que Frédéric reçoit de ses parents, inlassablement dévoués à Dieu et aux pauvres, le marque profondément: «C'est sur les genoux de ma mère que j'ai appris votre crainte, Seigneur, et dans ses regards votre amour». Mais l'enfant est né chétif. À six ans une fièvre typhoïde le terrasse, et c'est grâce à l'intervention miraculeuse de saint Jean-François Régis, ardemment prié par les siens, qu'il guérit de cette grave maladie.

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  • « Habemus papam » : à côté de la logique du Christ

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    A propos de la sortie du film de Nanni Moretti, nous avons déjà eu l’occasion de renvoyer à une excellente mise au point, faite par le Cardinal Barbarin (cf. http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f53108fa0d.html).

    Au-delà de certains fantasmes nourris par ceux qui connaissent le moins la papauté, il n’est pas inutile de réfléchir sur des notions telles qu’autorité, hiérarchie et la manière dont le pape actuel, Benoît XVI, conçoit sa charge suprême en rapport avec ces concepts l’autorité.

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  • Le frère Mutien-Marie fêté à Malonne ce 10 septembre

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    MutienMarie.gifSur le site du diocèse de Namur :

    Une date à laquelle, il va falloir s'habituer. Dorénavant, Malonne a décidé que Frère Mutien ne serait plus fêté en janvier mais bien en septembre. Cette année, ce sera le samedi 10 septembre, à 10h30. La messe sera présidée par le cardinal Godfried Danneels. Cette modification dans le calendrier devrait permettre, aux pèlerins, de rallier Malonne plus nombreux encore.

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  • Tu es Petrus…(Matt., 16,18) - le Père Delhez et le pape

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    A271110_8.jpgDans le « Dimanche Express » à paraître le 11 septembre, le Père Charles Delhez s.j. consacre son éditorial au rôle de la papauté. Notre confrère et néanmoins ami « Cathobel » publie cette réflexion qui prend pour point de départ la sortie sur les écrans du film de Nanni Moretti « Habemus papam ». Le directeur de l’hebdomadaire paroissial interdiocésain écrit en guise de commentaire :

    « Le nouveau pape ne se présente pas au balcon ! Il veut renoncer à sa charge, parce que trop lourde. Et il disparaît. Telle est l'intrigue de "Habemus Papam !"(…) En fait, jamais pareille situation ne s'est présentée. Or les responsabilités qui pèsent sur les épaules d'un seul homme sont de plus en plus grandes. Plus d'un milliard de catholiques et des liens diplomatiques avec un nombre croissant d'États. Ce film-ci - bien sympathique, à notre estime - est donc de la pure fiction et nous ne pouvons que remercier ceux qui, jusqu'à présent, ont accepté cette tâche. Sans doute, comme tous les cardinaux du film, se disaient-ils, juste avant leur élection : "Non, pas moi, Seigneur !" La papauté est une chance - une grâce. Dans un monde éclaté, l'Église, malgré toutes ses divisions, parvient à maintenir une réelle communion entre croyants de tous les continents et de toutes conditions sociales. Certes, les tensions ne manquent pas, mais n'est-ce pas un gage de vitalité ?

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  • Piccoli , un "immense acteur" qui peut dire d'immenses bêtises

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    Michel Piccoli est interviewé dans le Soir à l'occasion de la sortie d'Habemus Papam. Etonnant!

    Extrait :

    Que pensez-vous du pape Benoît XVI ?

    C'est un érudit de la religion catholique, mais il arrive après Jean-Paul II qui fut un pape d'exception, un homme d'exception, un voyageur d'exception, un croyant d'exception. Il avait une beauté physique d'exception. Ça compte, non ?! Même si on est pape, on a le droit d'être beau ou laid. Benoît XVI ne voyage pas, reste enfermé dans son bureau et on ne sait pas ce qu'il pense. Mais il a quand même dit des choses importantes sur la vie privée des religieux, la pédophilie et d'autres sujets douloureux pour les croyants. Je me méfie beaucoup du vedettariat ou non-vedettariat des papes.

    Ah! Il ne voyage pas : Madrid, Saint-Jacques de Compostelle, Barcelone, Royaume-Uni, Chypre, Portugal, Malte, République Tchèque, Terre Sainte, Cameroun, Angola, France, Australie, Etats-Unis, Mariazell, Brésil, Turquie, Bavière, Valence, Pologne, Cologne. Non, il ne voyage vraiment pas!

    Quant à ce qu'il pense, on ne le sait vraiment pas! On s'en rendra tout de suite compte en cliquant sur le lien suivant : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/index_fr.htm

  • Tournai : saint Eleuthère à l'honneur ce 15 septembre

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    tournai-5.jpgC'est sur le site du diocèse de Tournai :

    Eucharistie de la Solennité de saint Eleuthère en la Cathédrale de Tournai, le jeudi 15 septembre à 11h00.

    Sa vie

    On connaît assez mal la vie du premier évêque de Tournai. Nous savons qu'il est né aux environs de 456 et mort en 531. Ses parents étaient de grands propriétaires fonciers qui résidaient à Blandain où ils avaient de nombreuses terres. Eleuthère reçut l'éducation soignée des aristocrates de son temps. Parvenu à l'âge adulte, il semble s'être engagé dans une carrière administrative. Cependant, ce chrétien fervent fut désigné par la population de Tournai comme titulaire d'un évêché qui venait d'être créé.

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  • Consécration vaticane pour les frères Dardenne

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    Dépêche Cathobel (info.catho.be) :

    "Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, a remis, lundi 5 septembre, le prix Robert-Bresson aux cinéastes belges Jean-Pierre et Luc Dardenne pour l'ensemble de leur oeuvre.  

    Le prix est attribué, depuis l'an 2000, à l'occasion de la Mostra de Venise, par la Fondation italienne des entreprises du spectacle, en lien avec les Conseils pontificaux pour la culture et pour les communications sociales. Manoel de Oliveira, Giuseppe Tornatore, Krzystof Zanussi, Wim Wenders avaient déjà reçu cette distinction, en raison de leur réalisation « tournée vers la recherche du sens spirituel de la vie ».

    Cette année, ce sont les frères Dardenne qui sont en grâce auprès du Vatican. Leur travail est, pour Mgr Celli, « une véritable parabole de rédemption ». « À notre époque où le cinéma fait prévaloir les effets spéciaux spectaculaires, l'oeuvre des frères Dardenne, continue-t-il, me semble contenir en son sens le plus profond l'idée d'un cinéma qui met le spectateur face aux interrogations de la vie et de la foi, tout en l'aidant dans son parcours personnel de recherche et de croissance ». « Dans chacun de leurs films, histoires douloureuses d'injustice, de solitude, d'abandon, histoires d'hommes désespérés et prêts à tout, conclue le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, on sent le souci d'une recherche inquiète de l'homme, du pardon, d'une véritable rencontre »."