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  • Qui croit encore au "printemps arabe" ?

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    Philippe Oswald, sur Liberté politique, fait le point sur ce "printemps arabe" dont on nous rebattait les oreilles l'an dernier. Aujourd'hui, malheureusement, force est de dresser un bilan nettement plus mitigé, avec de sombres perspectives pour les minorités, notamment chrétiennes.

    "Bains de sang en Syrie, impuissance des islamistes « modérés » au pouvoir en Tunisie -harcelés par les salafistes- à contenir l’explosion du chômage et de la corruption, affrontements sanglants en Egypte ballotée entre les frères musulmans, les ultras et l’armée en embuscade, affrontements claniques et anarchie en Libye, combats sans merci entre chiites et sunnites en Irak, guerre civile au Yémen, tensions entre l’Iran et les Pays du Golfe (sunnites), guerre froide entre l’Iran, Israël, l’Amérique et ses alliés occidentaux, déroute de ces derniers en Afghanistan, collusion du Pakistan avec les talibans afghans… L’enthousiasme naïf de l’opinion occidentale pour la révolution démocratique du « printemps arabe » et l’espoir de sa propagation en « terre d’Islam » se sont beaucoup refroidis.  ... "

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  • Sainte Jeanne de France

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    source : "Marie de Nazareth"

    Sainte Jeanne de France, fondatrice de l'Annonciade (1464-1505)

    Le règne de Louis XI ne se comprend tout à fait qu'aux lumières du bûcher de Jeanne d'Arc. C'est l'oeuvre spirituelle de Jeanne d'Arc qui a permis l'oeuvre temporelle de Louis XI. Si ce roi calculateur, rusé, quelque peu superstitieux, ne fut point un saint, sa fille Jeanne le sanctifia. Douloureuse, humiliée, offerte, canonisée par Pie XII, elle est la sainte de la Maison de Valois, la quatrième des dynasties de France.

    Une fille de roi dont l'enfance fut particulièrement humiliée

    Trente-trois ans après Jeanne d'Arc, une autre Jeanne, de France et de Valois, vient de naître. Qui la connaît ? Elle n'est pas au catalogue des grandes dames de l'histoire dont les médias nous offrent le programme des vies et des exploits, formant ainsi et à l'année longue, des modèles d'égéries passionnées plus que de femmes fortes. Elle n'est pas même non plus au catalogue habituel des saintes françaises. Bien qu'elle soit fille, soeur et femme de roi, aucune enfant ne sera plus asservie, aucune épouse plus méprisée que Jeanne, pas une féminité plus dédaignée, pas une reine ne sera plus humiliée. Elle est pourtant de celles dont le coeur souverain a porté non seulement les siens mais la vocation de son pays.

    Ce qui lui est refusé en premier, c'est sa naissance. Louis XI, son père, qui a déjà une fille Anne, pour aînée, attend un héritier mâle. Il le veut. Et promet à cet effet à Notre-Dame de Cléry, une statue en argent du poids du nouveau né. Aussi, lorsque la reine, Charlotte de Savoie, met au monde une fille, Jeanne, le roi révolté n'accorde pas une attention à l'enfant. Dépité par cette cadette, il lui préfèrera toujours la compagnie de ses grands oiseaux et de ses lévriers. Privée de la tendresse naturelle de son père, Jeanne a cependant une mère aimante et attentionnée. L'éducation chrétienne qu'elle reçoit de la pieuse reine Charlotte est d'autant plus décisive pour l'enfant que, dès ses première années, Jeanne révèle une véritable profondeur spirituelle.

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  • Monseigneur Léonard à la Foire du Livre

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    Malgré la dérobade de la Vice-Première, le primat de Belgique sera à la Foire du Livre pour y débattre avec quelques politiciens. Catho.be publie cette information :
     
    Récemment, Madame , Vice-Première ministre, a déclaré que « les catholiques méritaient mieux que Monseigneur Léonard ». Les Médias Catholiques ont donc convié les principaux intéressés au dialogue. Si l’Archevêque de Malines-Bruxelles a trouvé l’idée de cette rencontre « très intéressante », l’invitation a dû être déclinée par l’actuelle ministre des Affaires sociales et de la santé qui sera à ce moment en période de contrôle budgétaire. Mais le primat de Belgique sera donc bien présent à la Foire du Livre de Bruxelles où il rencontrera Denis Ducarme (MR), Karine Lalieux (PS), Georges Dallemagne (CDH), et Philippe Lamberts (Ecolo). Les politiciens interpelleront le primat de Belgique sur des sujets d’actualité. La rencontre se déroulera le dimanche 4 mars à 18h00 et sera animée par Jean-Jacques Durré, directeur de la rédaction des Médias Catholiques, auxquels se joindront Christian Laporte, journaliste à La Libre Belgique, et Ricardo Gutiérrez, journaliste au Soir.

  • Un prêtre pour la messe ?

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    La Libre de ce jour donne la parole aux anciens combattants du concile. En l’occurrence le P. Gérard Fourez, s.j., professeur émérite aux Facultes Notre-Dame de la Paix (Namur) . Extraits :

    (…) Qu’est-ce qui, en priorité, caractérise une Eucharistie chrétienne ? Est-ce la présence ou les paroles du prêtre ? 0u bien est-ce l’existence d’une communauté qui, à la suite de Jésus, dit : "Voici ma vie que je donne". Dans cette perspective, ce ne sont pas les paroles de la consécration qui font qu’il y a Eucharistie et que Dieu est présent. C’est, fondamentalement, l’engagement de la communauté qui, suscitée par l’Esprit et par l’Evangile, se met à la suite de Jésus. C’est ainsi que, quand une communauté se réunit pour faire mémoire - en paroles et en action - de la bonne nouvelle en Jésus-Christ, elle célèbre l’Eucharistie. Qu’un prêtre ordonné soit présent ou pas, c’est secondaire, car c’est l’Eglise qui célèbre l’Eucharistie et pas le prêtre officiant.

    Une telle perspective n’implique pas que les prêtres n’aient aucun rôle. En effet, il faut des ministres (des serviteurs) de la communauté dûment mandatés pour parler au nom du Christ et de l’Eglise, pour la réunir, pour la présider, pour proclamer le pardon de Dieu, pour dénoncer officiellement en son nom les injustices, pour accueillir en son nom de nouveaux membres, pour animer des réunions et des célébrations, etc.(…) Mais l’absence de prêtres ordonnés selon les règles du droit canon ne peut empêcher la communauté de vivre et de prendre des mesures pour être vivante. Ainsi, en cas de besoin, il pourra être acceptable de transgresser les règles établies, en pleine liberté, pour que tous vivent. C’est d’ailleurs ce que Jésus nous a appris, par exemple en refusant de condamner la femme adultère ou en guérissant le jour du Shabat. L’Evangile nous montre qu’il y a des transgressions légitimes.

    Un certain nombre de personnes, des hommes et des femmes, ont le don de bien animer une communauté. Elles y exercent un leadership. C’est à elles que l’Eglise doit confier un mandat, c’est-à-dire qu’elle doit les ordonner. Pour que cela se passe bien, il importe que l’Eglise se donne des structures institutionnelles et juridiques adéquates.(…). Mais s’il n’y a pas de ministre ordonné selon les règles de droit, cela ne veut pas dire que la communauté doit cesser de vivre, et de célébrer cette vie dans l’eucharistie. Une règle d’or est de mise : les ministères et les sacrements sont pour l’église et non pas le contraire. L’Evangile et l’histoire de l’Eglise montrent d’ailleurs de nombreux cas où des communautés ont été amenées à transgresser des règles pour rester fidèles à la bonne nouvelle.

     Dans nos communautés du monde industrialisé, la conception magique de la prêtrise n’est plus guère de mise.. Il est important que les communautés évoluent, instituent de nouveaux types de ministères et reprennent conscience que là où deux ou trois sont réunis à cause du Christ, celui-ci est au milieu d’eux.(…) Quant à l’ordination, elle n’est à prendre ni comme un rite de transmission d’un pouvoir magique, ni comme un acte purement juridique, mais plutôt comme la célébration de ce don de Dieu qu’est un leadership qui anime une communauté et qui la respecte.(…). "

    Tout l’article ici :  Un prêtre pour la messe ?

     En bon protestant (qui s’ignore ?) le jésuite namurois Gérard Fourez renie  son sacerdoce ministériel, celui qui, de main en main, depuis Jésus a été conféré aux apôtres et à leurs successeurs les évêques, dont procèdent les pouvoirs des πρεσβύτεροί .  En aucune manière de la communauté. C’est ce que contestent Luther et ses disciples depuis le XVIe siècle. L’esprit stérile, et aujourd’hui chenu, de Vatican II n’a rien inventé. Mais il a beaucoup détruit et cette destruction est à l’origine du tarissement des vocations sacerdotales, dont on feint aujourd’hui de se plaindre (pour « trouver » des solutions « alternatives »).  

  • Le secret de la confession attaqué en Suisse

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    Selon Natalia Trouiller sur les matinales du site “La Vie” le secret de la confession serait aujourd'hui sur le point d'être réglementé par la justice civile en Suisse: 

    “Il s'appelle Carlo Sommaruga, il est conseiller national (député) socialiste du canton de Genève, et il veut que le secret de la confession ne soit plus absolu. Il a introduit au Conseil national une initiative parlementaire visant à obliger la levée du secret de la confession lorsque cela concerne des abus sur mineurs.
    De fait, le secret de la confession est d'ores et déjà encadré par l'Eglise, comme l'a rappelé le porte-parole de la Conférence des évêques suisses, Walter Müller, pour qui M. Sommaruga "enfonce des portes ouvertes": "Dans ses 'Directives sur les abus sexuels dans le cadre de la pastorale', la Conférence des évêques invite expressément à dénoncer auprès de la justice les cas d’abus sexuels connus. Lors de la présentation de ces directives en 2010, Mgr Norbert Brunner, président de la Conférence des évêques suisses, avait indiqué 'qu’un prêtre, qui confesse ses péchés, n’est pas non plus protégé par le secret de la confession. Parce qu’une part essentielle de la confession est la réparation.' Le confesseur doit signaler au pénitent cette obligation, et ce dernier doit s’astreindre à la réparation. 'Si la réparation implique de se dénoncer soi-même, le pénitent devra également le faire'. En ce sens, le secret de la confession peut également être une aide pour l’enquête (…)”.Voir tout l’article ici: Le secret de la confession attaqué en Suisse

     Mais que veut exactement dire cette déclaration de l’épiscopat suisse ?….

    Selon l’article 983 § 1 du code de droit canon “. le secret sacramentel est inviolable; c'est pourquoi il est absolument interdit au confesseur de trahir en quoi que ce soit un pénitent, par des paroles ou d'une autre manière, et pour quelque cause que ce soit. ».

    Certes, le secret ecclésiastique ne fonctionne plus de nos jours comme un « privilège du for » et, par ailleurs, le prêtre n’est pas tenu de pardonner le péché, quel qu’il soit. Il peut lier cela à une reconnaissance de la faute devant la justice, et amener la personne à se dénoncer. Mais si un confesseur refuse le pardon ou impose comme satisfaction au pénitent l’obligation de se dénoncer et que celui-ci la refuse, le confesseur en serait-il pour autant libéré du secret de la confession, au motif que manquerait l’une des étapes du sacrement ? Voilà une casuistique qui aurait fort déplu à Pascal !

    Qu’en est -il du statut du secret ecclésiastique dans la législation pénale belge, qui ne passe pas pour être particulièrement cléricale ? Au regard de celle-ci le secret ecclésiastique (dont le secret de la confession fait partie) est un secret professionnel soumis aux mêmes règles que les autres : ni plus, ni moins. Mais, il est à remarquer ici que, pas plus que l’obligation de porter assistance à une personne en danger, les exceptions à l’obligation de garder un secret professionnel ne créent un devoir automatique de dénoncer les faits à la justice : dans les deux cas, toute la question posée est celle du choix, en conscience, de la solution la plus appropriée considérant la gravité des faits, surtout lorsqu’il s’agit de la protection des mineurs.

    Le rapport final de la Commission parlementaire belge sur le « traitement des actes de pédophilie commis dans une relation d’autorité » (7 avril 2011) recommande au législateur d’étendre les « possibilités » de dénonciation par les détenteurs de secrets professionnels (prêtres, médecins, intervenants sociaux) et, d’autre part, de renforcer les possibilités de sanction, si leur absence de dénonciation des faits s’avère « coupable ».

    Pareille recommandation ne semble pas, a priori, contrevenir aux principes énoncés plus haut conférant une marge d'appréciation au détenteur d'un secret susceptible d'être dénoncé aux termes de la loi. L’exigence canonique relative au secret absolu de la confession demeurerait donc (à ses risques) actuellement compatible avec les dispositions du droit belge. Celui-ci est aussi tenu de respecter ses propres dispositions constitutionnelles relatives à la liberté de la religion et les conventions internationales auxquelles l'Etat a souscrit en cette matière. 

  • "Marie, mon secret", un livre du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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    Source : "De l'amour en éclats"

    Le 13 février paraîtra en librairie un livre du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine :

    Marie, mon secret. Conversation avec la Vierge

    Préface : P. Bernard Ardura, o.praem., Président de la Commission Pontificale de Sciences Historiques

    Qui n'a pas rêvé une fois dans sa vie de rencontrer des êtres célestes et de communiquer avec eux ? Quel chercheur de vérité n'a pas un jour voulu déchirer le voile qui sépare la terre de l'éternité, pénétrer dans le monde surnaturel, et peut-être – pourquoi pas? –- comme de nombreux enfants, rencontrer la Vierge et parler avec Elle ?

    À défaut de visions, c'est au prêtre mais aussi au poète écrivain qu'il faut oser demander cette entrée dans l'Infini, capable de fortifier la foi ou tout simplement de la donner.

    Dans ce livre féérique où la qualité de l'écriture fait déjà toucher le divin, le rêve est assuré, la Vierge est là, toute proche, et le dialogue s'instaure, et son être se dévoile, et les idées subjuguent, et la lumière descend !

    En cours de route, sur le chemin de l'extase, quelques visages de Marie, trésors des Musées du Vatican, agrémentent le voyage et achèvent de plonger l'âme dans la pure beauté. Aux passionnés de Dieu et aux amoureux de Marie, ce livre !

  • Messes traditionnelles à Malmedy à partir du 26 février 2012

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    3348_19856_0_fr.jpgSuite à la décision prise par l’évêque de Liège, une messe dominicale traditionnelle (missel de 1962) aura désormais lieu tous les mois à l’église des Capucins, Ruelle des Capucins à Malmedy.

    La première messe sera célébrée le dimanche 26 février prochain à 18 heures par M. l’abbé Claude Germeau. L’abbé Germeau dirige le Foyer d’Herstal, une maison qui a accueilli depuis de nombreuses années des centaines de jeunes de la rue, dans l’esprit des petits frères de Charles de Foucauld centré sur l’adoration eucharistique.

    Le plain-chant de la messe du 26 février sera celui du propre de la messe du premier dimanche de carême et c’est la « missa brevis »  à trois voix égales de  Claudio Casciolini (Rome, 1697-1760) qui sera interprétée pour les pièces de l’ordinaire (Kyrie, Sanctus, Agnus Dei).

    Voici le calendrier complet des célébrations pour 2012, établi en concertation avec le Curé-Doyen de Malmedy :26 février, 1er dimanche du carême ; 18 mars, 4e dimanche de carême (« Laetare ») ; 22 avril, 2e dimanche après Pâques (« bon Pasteur ») ; 20 mai, dimanche après l’Ascension ; 17 juin, 3e dimanche après la Pentecôte ; 22 juillet, 8e dimanche après la Pentecôte ; 19 août, 12e dimanche après la Pentecôte ; 23 septembre, solennité de saint Lambert, patron du diocèse ; 21 octobre, 21e dimanche après la Pentecôte ; 18 novembre, 25e dimanche après la Pentecôte ; 9 décembre, 2e dimanche de l’avent.

     Toutes ces messes seront célébrées à 18 heures, à la Chapelle des Capucins. Pour plus de renseignements, tél. 080.33.74.85 (L. Aussems) ou 080/39.81.28 (P. Lambert).

  • La question du célibat des prêtres...

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    ...est abordée sur le site d'aleteia.org. Présentation :

    "L'Occident assiste désormais à une crise croissante et généralisée des vocations sacerdotales, ainsi qu’à l’abandon de leur ministère par des prêtres qui se marient, sans parler des scandales provoqués par les abus sexuels perpétrés sur des mineurs par quelques membres du clergé. L’Eglise ne devrait-elle pas renoncer à l‘obligation de célibat pour ses ministres ?"

    Voir les réponses sur aleteia

  • LLN, 9 février : témoignage d'Anne-Dauphine Julliand "Donner de la Vie aux jours"

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    "Donner de la Vie aux jours..."

    Un témoignage d'Anne Dauphine Julliand le Jeudi 9 février 2012 à Louvain la Neuve

    Mère de deux enfants atteints de maladie orpheline...

    “Ma Thaïs, tu as entendu tout ce qu’a dit le docteur. Tu ne pourra plus marcher, plus parler, plus voir, plus bouger. C’est très triste, c’est vrai. Et nous avons beaucoup de chagrin. Mais ma chérie, ça ne nous empêchera jamais de t’aimer. Et de tout faire pour que tu aies une vie heureuse. Je te le promets mon bébé : tu vas avoir une belle vie. Pas une vie comme les autres petites filles ou comme Gaspard, mais une vie dont tu pourras être fière. Et où tu ne manqueras jamais d’amour.”

    Témoignage le 9 février 2012 à Louvain la Neuve Auditoire Mont 11 à 20h00

    Réservation souhaitée

    C'est une initiative des étudiants du kot à projet "L'Auberge des Bruyères"

  • Un livre sur le changement démographique

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    Source : zenit.org

    Les raisons de la baisse des naissances, par le card. Caffarra

    « Le changement démographique » : ce livre met en relief « la divergence (…) entre la fécondité voulue – les plus de deux enfants que les mères voudraient avoir en moyenne – et celle qui est, en fait, réalisée, c’est-à-dire 1,3 - 1,4 enfants par femme. Il existe donc une “fécondité voulue” qui contraste avec le changement démographique ».

    C’est ce qu’affirme le cardinal Carlo Caffarra intervenu à Bologne, mercredi 1er février, à l’occasion de la présentation de l’ouvrage : “Le changement démographique : Rapport-proposition sur l’avenir de l’Italie” (Laterza, 2011), sous la direction du comité pour le projet culturel de la conférence épiscopale italienne.

    L’étude en question analyse le changement démographique en Italie et le qualifie « d’historique » en raison de l’importance de « l’effondrement » des naissances et de l’inversion de la proportion entre les jeunes et les personnes âgées.

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  • L'avenir du patrimoine religieux wallon

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    Un débat autour de l’avenir du patrimoine religieux wallon

    avec le ministre Paul Furlan,

    le chanoine Raphaël Collinet,

    Thomas Coomans (Prof. KUL),

    Frédéric Moens (UCL-Mons)

    et Pierre-Yves Kairis (IRPA)

    le mercredi 8 février 2012

    à Louvain-La-Neuve à 20 H (Montesquieu 02) 

    en partenariat avec le KAP Amandier.

  • Un hommage au Père Werenfried van Straaten

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    Zenit.org nous rapporte que "Le cardinal Sandri a rendu hommage au P. Werenfried van Straaten, fondateur de l’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) comme à un « pionnier de la charité oecuménique ».

    Le cardinal Leonardo Sandri, préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, a en effet présidé une messe en mémoire du fondateur, mardi 31 janvier, à Rome, en l’église Santa Maria in Trastevere.

    Dans son homélie, il a rendu hommage au P. Van Straaten comme à «pionnier de la charité oecuménique » et il a invité les membres de l’association à vivre leur vocation « en la mettant au service de la nouvelle évangélisation ». « Soyez, a-t-il insisté, des témoins de la faim et de la soif du Christ qui demande à boire et à manger dans ses frères en détresse ».

    « Votre fondateur n’a jamais reculé devant l’effort ni même épargné, en temps, ressources et énergies, ceux qu’il a « contaminé » par son charisme d’amour solidaire », a-t-il fait remarquer.

    Et le mérite qu’on lui reconnaît, a-t-il ajouté, est sans aucun doute la raison de « la nouvelle et récente marque de sollicitude et de reconnaissance du pape qui a souhaité élever son œuvre au rang de fondation pontificale ». (la suite ici : http://www.zenit.org/article-30051?l=french)

     

    Le site de l'Aide à l'Eglise en détresse retrace la biographie du Père Werenfried :

     

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