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  • Retraite de carême en ligne avec Thérèse de Lisieux

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  • Un blog voué à la défense de la vie

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    Le blog de Jeanne Smits :

  • BXL, 11 février : "Alexandre Soljenitsyne, le courage d'écrire"

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    Ce samedi 11 février à 12 h à la Librairie Quartiers Latins
    En collaboration avec les Éditions des Syrtes,

    Georges Nivat, professeur et traducteur, spécialiste du monde russe

    Alexandre Soljenitsyne
    Le courage d’écrire
    Entretien mené par Pierre Mertens, écrivain

    Vivre et écrire, un même courage

    « Né en 1918, mort en 2008, Alexandre Soljenitsyne, qui est mathématicien, a toujours eu tendance à schématiser sa vie, à l’interpréter selon des lignes de force mathématiques. 1972 est une année charnière où il semble qu’il ait compris qu’il lui était donné, en tant qu’écrivain, de multiplier sa vie par deux. Il a alors cinquante-quatre ans, il est dans la force de l’âge, et il est au carrefour de deux œuvres, dont chacune aurait suffi à sa gloire. La première, le « premier massif », c’est la dénonciation de l’empire de la violence camouflé sous l’appellation de socialisme, le Goulag ; et cela va du récit parfaitement classique dans sa forme, et extrêmement moderne par la langue, Une journée d’Ivan Denissovitch jusqu’à la cathédrale d’écriture qu’est L’Archipel du Goulag. En 1972, cette première œuvre est achevée, il relit L’Archipel, et il le prépare pour une publication à l’étranger qui probablement signifiera pour lui un arrêt de mort. Il y est prêt, et c’est ce qui lui donne un courage joyeux, athlétique : il sait qu’il ne cédera pas au monstre étatique qu’il combat. C’est un exploit de vie autant qu’un exploit d’écriture, proche de l’acceptation du martyre. Et cet exploit est déjà derrière lui, il ne peut plus revenir en arrière. » (Georges Nivat)

    « (…) Et puis relisez – ou lisez enfin – l’auteur d’Une Journée d’Ivan Denissovitch, jusqu’aux louanges rendues à Biely et Chmeliov. Tout nous vante, ça et là, la beauté des choses à l’heure où l’humanité perd de son âme.
    Et surtout ceci : la joie de vivre, de survivre aux pires catastrophes. » (Pierre Mertens)

    Georges Nivat, né à Clermont-Ferrand en 1935, est un universitaire français, historien des idées et slavisant, traducteur spécialiste du monde russe. Professeur honoraire, il a dirigé l’Institut européen de l’Université de Genève. Il a été l’un des traducteurs d’Alexandre Soljenitsyne et a également collaboré avec la maison d’édition L’Âge d’Homme, dont il a dirigé la collection Slavica consacrée à la littérature russe et d’Europe orientale. 

    Librairie Quartiers Latins
    14, Place des Martyrs
    1000 Bruxelles
    www.cfc-editions.be
    Entrée libre.

  • Consacré à la naissance et à l’enfance du Christ

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    Rome, 7 février 2012 (Apic) Le troisième tome du livre sur Jésus de Joseph Ratzinger / Benoît XVI devrait sortir en librairie en septembre, indiquent des sources romaines.

    Jusqu’à présent, la sortie de ce tome consacré à la naissance et à l’enfance du Christ était attendue pour la fin de l’année. Comme au cours des années précédentes, Benoît XVI devrait utiliser la période des vacances d’été et des semaines un peu plus calmes pour travailler à son livre qui devrait sortir directement en plusieurs langues, dit-on à Rome.

    Oui, n’en déplaise aux modernistes, Jésus n’est pas sorti, de nulle part, un beau jour sur les rives du Jourdain parmi les disciples de Jean-Baptiste et les récits canoniques de l’enfance ne sont pas un tissu de légendes dorées…

  • Quand l'Eglise, en Chine, s'éveillera

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    Le sixième numéro hors-série de L'Homme Nouveau est consacré à l'Église catholique en Chine, un des grands chantiers du pontificat de Benoît XVI.

    Au sommaire : 

    Portraits
    – Matteo Ricci, dom Pierre-Célestin Lou, cardinal Joseph Zen.

     

    Histoire

    – Petite histoire de l’Église en Chine.

    – Pékin vaut bien un rite.

    – Tibet : mission impossible.

     

    Enjeux

    – Vers une Église d’État ?

    – Les jeunes cathos face au PIB.

    – Marx et Mao au séminaire.

     

    Perspectives 

    – L’Église est missionnaire par nature.

    – Quelle liberté pour l’Église ?

    – La Chine, une priorité pour l’Église.

  • Méditons l'Évangile d'aujourd'hui

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    Jour liturgique : Temps ordinaire - 5e Semaine: Mercredi

    Texte de l'Évangile (Mc 7,14-23): Il appela de nouveau la foule et lui dit: «Écoutez-moi tous, et comprenez bien. Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l'homme, voilà ce qui rend l'homme impur».

    Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l'interrogeaient sur cette parole énigmatique. Alors il leur dit: «Ainsi, vous aussi, vous êtes incapables de comprendre? Ne voyez-vous pas que tout ce qui entre dans l'homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, pour être éliminé?». C'est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore: «Ce qui sort de l'homme, c'est cela qui le rend impur. Car c'est du dedans, du coeur de l'homme, que sortent les pensées perverses: inconduite, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l'homme impur».

     Commentaire: Abbé Norbert ESTARRIOL i Seseras (Lleida, Espagne)

    «Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur» :

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  • Le cardinal Caffarra face à la déconstruction du mariage

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    Sous le titre : "La réflexion anthropologique, pour faire comprendre le mariage", Zenit.org nous partage la réflexion du cardinal Caffarra au sujet de l'actuelle remise en cause du mariage en Occident

    (ZENIT.org) – Trente ans après la publication de Familiaris consortio, le cardinal Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, dresse, dans cette analyse, l’état des lieux de l’institution du mariage et de la famille en Occident et qualifie la situation actuelle de « tournant historique ». Analysant les défis que doit affronter la pensée chrétienne, l’archevêque italien préconise un approfondissement de la réflexion anthropologique introduite par l’exhortation apostolique. Il faut, dit-il, reconstruire « une vision de l’homme » pour « vraiment répondre aux questions de l’homme sur lui-même et sur son destin ».

    Réflexions du card. Caffarra

    Je pense qu’au cours des trente années qui nous séparent de la publication de Familiaris consortio, un changement radical s’est produit dans la manière dont l’Occident considère le mariage, et donc la famille ; il s’est opéré un tournant historique dans la culture occidentale. Je vais tenter de le décrire brièvement.

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  • Présentation du message de Benoît XVI pour le carême 2012

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    Cité du Vatican, (VIS). Le 7 février, près la Salle-de-Presse du Saint-Siège le Cardinal Robert Sarah, Président du Conseil Cor Unum, a présenté le message papal pour le carême (à découvrir ici), accompagné de Mgr.Giampietro Dal Toso, Secrétaire, et de Mgr.Segundo Tejeda Muñoz, Sous Secrétaire. Ce document, a dit le Cardinal, est destiné à attirer l'attention des fidèles sur le bien du prochain, sur la communion, l'attention, la compassion et le partage avec nos frères qui souffrent ou sont dans l'indigence. Puis il a souligné un aspect de la vie chrétienne mis en évidence dans le message: la correction fraternelle. « La charité nous enseigne que nous n'avons pas qu'une responsabilité matérielle envers l'autre, mais aussi morale et spirituelle... Il est évident qu'une certaine idéologie, en exaltant les droits individuels, risque de provoquer un isolement de la personne, voire sa solitude... quand l'appel à la communion est niée au nom de l'individualisme, c'est notre humanité qui en pâtit, trompée par le mirage d'un impossible bonheur autonome. Nous devons nous aider les uns les autres en sachant que nous sommes responsables les uns les autres... L'action de l'Eglise dans le monde doit également être conduite à la lumière de la correction sous le signe de la vérité et de la charité... On pense parfois  que c'est l'appétit de pouvoir ou la nostalgie qui justifieraient les préoccupations de l'Eglise, et son opposition franche à certaines manifestations de la culture ambiante, alors qu'elle ne veut que le bien de l'homme et du monde. Son action ne s'inspire ni de la condamnation ni de la récrimination, mais de la justice et de la miséricorde qui implique d'appeler les choses par leur nom. C'est pourtant ainsi qu'on découvre les racines du mal, qui attirent souvent l'homme contemporain. Il s'agit de la mission prophétique de l'Eglise ».

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  • Girolamo Miani de Emiliani : un saint qui n'a pas attendu le concile de Trente

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    caimotto0360.jpgSource : missel.free

    Ce saint italien que nous nommons Jérôme Emilien est appelé par ses compatriotes Girolamo Miani de Emiliani. Il fut, avant le concile de Trente, le vaillant organisateur d'une congrégation de clercs réguliers dont la première maison fut ouverte à Somasque, près de Bergame.

    Saint Jérôme Emilien, né d’une noble famille vénitienne, en 1481, embrassa d’abord la carrière des armes qui lui procura une jeunesse aventureuse, batailleuse et jouisseuse, jusqu’à ce que, défendant Castelnuovo (près de Trévise) contre les Impériaux, il fut pris et enchaîné. Rentré en lui-même, il se convertit et attribua sa délivrance à la Vierge qu’il vint remercier au sanctuaire de Trévise où il promit de se vouer à son service. Après avoir été podestat de Castelnuovo, il rentra à Venise pour éduquer ses neveux et se préparer au sacerdoce. Il fut ordonné prêtre (1518) et se donna tout entier aux œuvres charitables.

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  • BXL : une formation à la bioéthique à l'IET

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    Une info de catho.be

    un-corps-pour-la-vie.gifL’Institut d’études théologiques IET, la faculté de théologie des jésuites à Bruxelles, organise un cours du soir sous la direction du Père Alain Mattheeusws.  Ce cours aborde les enjeux et les défis posés par les nouvelles techniques bio-médicales: procréations médicalement assistées, diagnostic prénatal et préimplantatoire, congélation d’embryons, clonage et cellules souches. Des situations concrètes dont la complexité appelle d’être lues à la lumière de l’enseignement de l’Eglise. Les cours se donnent le jeudi soir de 20h30 à 21h30 du 16 février au 7 juin 2012. Calendrier ci-dessous.

    La maîtrise du vivant engage la responsabilité de tout homme vis-à-vis de l’univers, des autres et de Dieu. La est une éthique du vivant. Elle est au cœur des débats contemporains. Pour l’origine de l’homme comme à la fin de sa vie, elle est toujours un appel concret à agir bien dans les situations les plus complexes. La vie est un mystère plutôt qu’un problème. Elle appartient au Dieu créateur et sauveur. Il est possible de réfléchir théologiquement les questions de .

    Les énigmes de la vie ne renvoient-elles pas à un mystère qui dépasse l’homme ? Les questions complexes posées par la bioéthique ne nous poussent-elles pas à interroger la Parole de Dieu : parole de Vie pour toute vie ? Ces débats bioéthiques n’appartiennent pas seulement aux experts : ils concernent l’origine de la vie et sa transmission, le soin à apporter au corps et à la création, l’avenir de l’espèce humaine, la fin apparente de la vie sur terre, l’accompagnement des mourants, les gestes et les symboles qui accompagnent notre conception et notre mort. Dieu est présent à toutes ces questions et à tous les enjeux moraux de notre vie.

    Calendrier
    16 février : Le corps humain est « habité »

    23 février : Un langage de sagesse pour désigner l’ébauche embryonnaire
    1 mars : Les évolutions du statut juridique du corps humain (X. Dijon)
    8 mars : Quel berceau anthropologique pour l’être humain ? 
    Une fécondation hors du corps ?
    15 mars : Les évolutions du statut juridique de l’embryon humain (X. Dijon)
    22 mars : Diagnostic prénatal ? Et préimplantatoire ?
    29 mars : Le clone : qui est-il ? (J. de Longeaux)
    26 avril : Quel regard sur les embryons congelés. Congélation ? Réimplantation ? Adoption ?
    3 mai : Le corps embryonnaire : originalité de Dignitas personae
    10 mai : « J’ai un corps » ? « Je suis un corps ? ». Structure sponsal du corps
    24 mai : L’euthanasie ou le « corps oublié »
    31 mai : Dimensions spirituelles de l’approche de la mort
    7 juin : Une Bonne Nouvelle (Evangelium vitae) qui est « vie » et « mission »

    Plus d’infos

  • Saynète hivernale

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    "Dans la vie surnaturelle, nous sommes toujours petits enfants, et lorsque nous manquons à cette loi essentielle, il y a un détriment apporté à notre âme et à Dieu. La vraie loi de notre vie surnaturelle c'est l'enfance ."

     

    Dom Delatte (troisième père abbé de Solesmes)

    Sur le blog du Petit Placide,  ici : vie surnaturelle.