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  • Quand un écrivain noir pourfend les mythes africains

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    sanglot_homme_noir_maj.jpgAlain Mabanckou vient de publier "Le sanglot de l'homme noir". Il se démarque des idées reçues concernant le continent africain et cela mérite un détour.

    Le sanglot de l'homme noir

    Éditions Fayard, 2012

    Présentation de l'éditeur

    Je suis noir, et forcément ça se voit.
    Du coup les Noirs que je croise à Paris m’appellent « mon frère ». Le sommes nous vraiment? Qu’ont en commun un Antillais, un Sénégalais, et un Noir né dans le Xème arrondissement, sinon la couleur à laquelle ils se plaignent d’être constamment réduits?
    J’oublie évidemment la généalogie qu’ils se sont forgée, celle du malheur et de l’humiliation – traite négrière, colonisation, conditions de vie des immigrés...
    Car par- delà la peau, ce qui les réunit, ce sont leurs sanglots. Je ne conteste pas les souffrances qu’ont subies et que subissent encore les Noirs. Je conteste la tendance à ériger ces souffrances en signes d’identité.
    Je suis né au Congo Brazzaville, j’ai étudié en France, j’enseigne désormais en Californie. Je suis noir, muni d’un passe- port français et d’une carte verte. Qui suis-je? J’aurais bien du mal à le dire. Mais je refuse de me définir par les larmes et le ressentiment.
    A.M.

    Un long entretien avec cet auteur peut être écouté sur le site de RCF: Visages Alain Mabanckou, écrivain

    RCF
  • Usa : Du rififi dans les primaires républicaines ?

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    Selon « La Libre » de ce jour, « dans le Nevada, et Rick Santorum sont en tête des intentions de vote dans le Colorado et le Minnesota, les deux Etats qui se prononcent ce mardi et pourraient rebattre en partie les cartes des primaires républicaines.

    Dans le Colorado, Romney est donné en tête avec 40 % et une marge confortable de 14 points sur Santorum; Newt Gingrich arrive en troisième position avec 18 % et Ron Paul ferme la marche avec 12 %, selon un sondage de Public Policy Polling.

    Dans le Minnesota, c’est Rick Santorum qui pointe en tête, mais avec deux points d’avance seulement sur Romney (29 % contre 27 %). La course semble plus serrée, puisque Gingrich suit à 22 % et Paul à 19 %.

    Les Républicains du Missouri sont également appelés mardi à départager les prétendants à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle du 6 novembre aux Etats-Unis. Mais l’enjeu est moindre puisque la primaire qui y aura lieu est "non contraignante". "La journée de mardi pourrait être potentiellement une grande journée pour Rick Santorum", souligne l’institut Public Policy Polling. "Dans 72 heures, il pourrait avoir supplanté Gingrich comme étant la meilleure alternative à Romney." L’ex-sénateur de Pennsylvanie, qui incarne l’aile religieuse et conservatrice du Parti républicain, avait créé la sensation, début janvier, en remportant, après un nouveau décompte, les caucus de l’Iowa, coup d’envoi traditionnel des primaires (…) »  Voir ici : Du rififi dans les primaires

    A propos de Rick Santorum l’encyclopédie libre « Wikipedia » précise qu’il est membre du groupe chrétien traditionaliste The Family et du Centre sur l'éthique et la politique publique (en), et doit sa notoriété à des positions extrêmement conservatrices, notamment dans son combat contre l'avortement.

    Partisan de la vie et de sa préservation, Santorum fait voter, lors du 107e congrès, le Born-Alive Infants Protection Act (en) et, lors du 108e congrès, parvient à imposer l'interdiction d'une certaine forme d'avortement, contesté par des gens de gauche, comme la procédure d'avortement partiel (en) (partial-birth abortion) signée par George W. Bush.

    Son autre combat vise la pandémie du Sida. Lors de la controverse sur le mariage gay[, il assimile les homosexuels aux bigames, aux zoophiles et aux incestueux, parlant même de bestialité et condamne la sodomie.

    Catholique pratiquant, autrefois partisan irréductible de la peine de mort, il souhaite aujourd'hui limiter l'application de cette dernière à quelques catégories de criminels.

    Il conteste la politique étrangère de Barack Obama, l'accusant d'avoir abandonné la « responsabilité qu'ont les États-Unis de combattre le socialisme militant ».  Lire ici: Rick Santorum

  • Les prêtres suisses restent couverts par le secret professionnel

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    « Berne, 6 février 2012 (Apic) La Commission des affaires juridiques du Conseil national a refusé de toucher au secret de la confession. Selon les médias, lors de ses séances du 3 et 5 février 2012, la commission a refusé par 13 voix contre 5 de donner suite à l’initiative parlementaire de Carlo Sommaruga.

    Le Conseiller national socialiste genevois voulait obliger les prêtres à dénoncer à la justice, sous peine de poursuite, les abus sexuels dont ils auraient eu connaissance en confession. Selon la commission, il serait problématique d’établir une telle règle ne touchant qu’une seule profession et de déterminer une catégorie de faits punissables pénalement. En outre, le but de l’initiative ne serait pas atteint par la seule levée du secret de la confession sans pouvoir l’associer à la connaissance d’informations supplémentaires concernant le délit.(…)

     L’article 321 du code pénal [helvétique] qui traite les ecclésiastiques au même titre que les avocats, les médecins et les pharmaciens et leur accorde le secret professionnel, ne devrait pas être modifié, à moins que le parlement ne suive pas l’avis de sa commission. La loi prévoit néanmoins que lors de délits contre les mineurs, le secret professionnel est réduit. L’ecclésiastique qui a ainsi connaissance de comportements pédophiles peut être autorisé à l’annoncer auprès d’un procureur. » L’article ici : Suisse: La commission du National refuse de toucher au secret de la confession

     En somme l’approche suisse à cet égard demeure foncièrement la même que dans la législation pénale belge. Nous avions déjà parlé de cette question voici quelques jours sous ce titre : Le secret de la confession attaqué en Suisse

  • Que reste-t-il du printemps arabe ?

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    Une question posée par Carline Gourdin dans la Libre d’aujourd’hui, en prélude à une émission thématique diffusée ce soir su la chaîne télévisée «  Arte ». Extraits :

     « Un documentaire fouillé revient sur les révolutions en Tunisie, en Egypte, au Yémen, en Libye et en Syrie. Moment fort d’une Thema passionnante. Arte, 20 h 35.

    Un an après le printemps arabe, quatre documentaristes allemands reviennent en Egypte, en Tunisie, en Libye, au Yémen et en Syrie. Dans un récit éclaté mais qui ne manque pas de lisibilité, Susanne Sterzenbach, Alexander Stenzel, Stephan Buchen et Lourdes Picareta passent sans cesse d’un pays à l’autre, d’une révolution à l’autre. Avec pour objectif affiché de dresser un bilan nuancé des causes et des répercussions de ces insurrections populaires.(…)

    Pour compléter le témoignage des uns et des autres, et apporter une analyse pertinente, les auteurs ont également convoqué des politologues, des journalistes, des spécialistes du Moyen-Orient. Une analyse qui sera prolongée à 22h05 dans un débat (…)

    Plus d’un an après l’immolation par le feu d’un jeune Tunisien en décembre 2010, qui marque le début des soulèvements en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la démocratie est loin d’avoir triomphé dans ces pays. Sans parler de la Syrie, où la répression sanglante ordonnée par le président Bachar al-Assad se poursuit, malgré la présence des observateurs de la Ligue arabe et la protestation des pays occidentaux.

    En Tunisie, la victoire du parti Ennahdha aux élections législatives soulève des inquiétudes (…). En Egypte, ceux qui aspirent à la liberté accueillent avec scepticisme le résultat des premières phases des élections, qui laissent entrevoir la victoire des islamistes radicaux. (…). Les auteurs font également remarquer que les tensions confessionnelles, entre musulmans et coptes, se sont intensifiées dans l’Egypte postrévolutionnaire.

    En Libye, en attendant les élections de l’été 2012, la menace d’une guerre civile revient. Et au Yémen, les manifestations et les affrontements entre les clans tribaux se poursuivent.

    A noter qu’à la suite de ce sujet fouillé et du débat animé par Thomas Kausch, Arte rediffuse un "Dessous des cartes" sur les mondes arabes (à 22h35), dans lequel Jean-Christophe Victor expose la géométrie variable de la péninsule arabique et des pays méditerranéens traversés par cette vague de soulèvements.  Voir ici : Que reste-t-il du printemps arabe ?

    La démocratie, comme concept idéologique de l’Occident sécularisé, est loin d’être universellement admise et, s’agissant du monde arabe, il vaudrait mieux parler d’aspirations économiques et sociales de peuples jeunes à une affirmation de soi. Celle-ci cherche sa cohérence dans les valeurs séculaires de l’Islam, sans grand rapport avec le nationalisme tiers-mondiste, un sous-produit des idéologies du "premier" monde,  qui a marqué la décolonisation au siècle dernier.  

  • Pour s'y retrouver dans la pensée de Benoît XVI

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    Source : Didoc.be

    Le théologien Joseph Ratzinger, devenu le pape Benoît XVI, a écrit et continue de publier beaucoup.

    On ne peut pas tout lire. Emmanuel Cabello, docteur en théologie, nous a fait une sélection de quelques textes d’une importance particulière. Ils illustrent trois grandes lignes de pensée du pape.

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  • L'espace sacré dans le christianisme

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    Philippe_Maxence_Guide_des_ecoles_catholiques_pas_comme_les_autres.jpgPrésentation de ce livre sur le site de l'Homme Nouveau :

    La fin du vingtième siècle a été marquée par une contestation du sacré et une transformation de l’aménagement des églises. Si on assiste ces dernières années à un retour du sacré, une question subsiste : en quoi le sacré peut-il être chrétien ? Et comment envisager un espace sacré ?

    En puisant dans les ressources de la géographie confrontée aux religions et aux rites, Marc Levatois montre que le sacré chrétien est un sacré relatif, subordonné à la sainteté. Chemin vers Dieu, il ne renferme pas Dieu sur lui, à la manière des sanctuaires païens. Il est au service des personnes, seules appelées à la sainteté, dans l’Église, elle-même Corps du Christ. Cette conception fonde l'espace sacré dans le christianisme occidental, traditionnellement orienté et délimité. Enrichi par le symbolisme d'inspiration biblique et les rites de l’Église, il a une histoire complexe. Présent dès les premiers siècles de l’Église, il s'affirme au Moyen Age avant d'être remis en cause à partir de la Renaissance et surtout de la Réforme. Sa redécouverte ouvre de nouveaux champs de réflexion.

    Né en 1959, ancien élève de l’École normale supérieure, Marc Levatois est agrégé et docteur en géographie et enseigne en classes préparatoires littéraires. Il est l'auteur d'un premier livre remarqué, La messe à l'envers

    Pour le commander : hommenouveau.fr

  • Le pape prône un profond renouvellement de l'Eglise à tous les niveaux

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    Source : Radio Vatican

    "Signe de la préoccupation vive de Benoît XVI au sujet du dossier des abus sexuels sur mineurs commis par des membres du clergé, le Pape a envoyé un message aux participants d’un colloque organisé à Rome par l’université pontificale grégorienne qui a débuté ce lundi soir et qui doit se conclure jeudi soir.

    Dans cette adresse au recteur de l’université, le père Dumortier, « le Pape assure les participants de ses prières pour cette importante initiative ». « Il demande au Seigneur qu’à travers [leurs] décisions, tous les évêques et supérieurs religieux du monde entier puissent être aidés à répondre à la tragédie des abus sexuels sur mineurs comme répondrait le Christ ».

    Le Pape souligne combien la « guérison des victimes doit être une préoccupation fondamentale de la communauté chrétienne et doit aller de pair avec un profond renouvellement de l’Eglise à tous les niveaux ».

    Benoît XVI encourage ainsi « chaque effort visant à répondre avec charité évangélique au défi d’offrir aux enfants et aux adultes vulnérables un environnement ecclésial propice à leur croissance humaine et spirituelle. »

    Voir le dossier sur Radio Vatican

  • L’esprit de la musique selon Benoît XVI

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    n70535505768_1444349_6473699.jpgIl s’agit d’un volume de 220 pages, paru chez Artège (22 €) une maison d'édition créée au début de l'année 2010 et consacrée à la spiritualité, l’histoire, la géopolitique ou encore aux débats de société ainsi qu’aux témoignages marquants. (Adresse :  11, rue du Bastion Saint-François - F-66000 Perpignan).

    Sur le site de la paroisse Saint-Jean-de-Malte à Aix-en-Provence, l'un des responsables de la paroisse, le Fr. Daniel Bourgeois, consacre un long commentaire à ce livre. Extraits: 

     « (…) C’est un certain abbé Eric Iborra, [ndlr : vicaire parisien bien connu des fidèles de l’église Saint-Eugène-Sainte Cécile et même des Liégeois du Saint-Sacrement où il est venu récemment donner une conférence sur la pensée de Benoît XVI] qui a réuni un très intéressant corpus de textes de Joseph Ratzinger (…) publiés sur la musique. Je suis littéralement tombé en arrêt parce que je crois que Joseph Ratzinger cache bien son jeu : il parle très franchement, mais ce qui surprend dans la lecture de ce livre, c’est la somme incroyable de connaissances musicologiques dont témoigne cet homme. Il cite tout le monde, depuis Haydn en passant par Bach, Hindemith, les grands critiques modernes, les spécialistes de musique pop et de musique rock, sans oublier les professeurs allemands de liturgie. Il a tout lu ! (…)

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  • Pourquoi les civilisations ne se valent pas...

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    C'est l'émoi dans l'Hexagone depuis que Claude Guéant a eu l'outrecuidance d'affirmer que toutes les civilisations ne se valent pas. Il a blasphémé en osant mettre en cause le sacro-saint relativisme que le "culturellement et politiquement correct" nous impose. Nous vous renvoyons à un texte (en ligne ici) de Claude Rousseau, ancien maître de conférences en philosophie politique à la Sorbonne :

    (…) Une civilisation qui ne s’accorde qu’une valeur relative et ne s’apprécie qu’à moitié se condamne à mort. Montesquieu, pourtant représentant de cette famille de pensée, disait : “Les régimes sont comme toutes les choses du monde, s’ils veulent durer, il faut qu’on les aime.” Quand l’Occident se détache de lui-même pour se critiquer de façon impitoyable et y trouver sa gloire, il se condamne littéralement à s’autodétruire. À force d’encenser les valeurs des autres, il se suicide démographiquement parce qu’il ne s’aime plus, il se défait biologiquement. Une telle civilisation hypercritique est-elle encore une civilisation ? Lorsqu’on est incapable de préserver son être est-on encore une civilisation ? L’Occident libéral me semble disqualifié par le résultat pratique des théories qui le fondent. La thèse relativiste qu’il professe au terme d’une dialectique autodestructrice nous ramène à la question initiale : y a-t-il des raisons objectives de préférer une civilisation à une autre ?

     

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  • Jésus-Christ, notre contemporain

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    Sandro Magister nous informe de cet évènement qui va se dérouler à Rome :

    Jésus notre contemporain

    C'est le titre de l'événement international qui va avoir lieu à Rome dans quelques jours. Un événement conçu par le cardinal Ruini en pleine harmonie avec la "priorité suprême" que Benoît XVI a fixée à son pontificat

    La veille du prochain consistoire, Benoît XVI réunira autour de lui tout le collège des cardinaux, y compris les nouveaux élus, pour une journée "de réflexion et prière".

    Cette rencontre qui aura lieu le 17 février aura pour thème : "L'annonce de l’Évangile aujourd’hui, entre 'missio ad gentes' et nouvelle évangélisation".

    Chacun sait que c’est également l'objectif primordial de l’actuel pontificat. Le pape Joseph Ratzinger l’a dit et répété à maintes reprises : "La priorité suprême et fondamentale de l’Église et du successeur de Pierre en ce temps est de conduire les hommes à Dieu".

    Mais à quel Dieu ? La réponse du pape à cette question est également connue :

    "Pas à un dieu quelconque, mais à ce Dieu qui a parlé sur le Sinaï ; à ce Dieu dont nous reconnaissons le visage dans l'amour poussé jusqu’au bout, en Jésus-Christ crucifié et ressuscité".

    Les phrases de Benoît XVI que l’on vient de citer sont tirées de la lettre qu’il avait adressée aux évêques du monde entier le 10 mars 2009.

    C’est justement en cette année 2009, du 10 au 12 décembre, que le comité pour le projet culturel de l’Église d’Italie, présidé par le cardinal Camillo Ruini, avait organisé à Rome un événement international ayant pour thème : "Dieu aujourd’hui. Avec lui ou sans lui, cela change tout" :

    > Toutes les raisons de Dieu. Une enquête

    Mais alors, quel Dieu, sinon celui qui s’est révélé en Jésus ? Ce premier événement devait nécessairement être suivi d’une deuxième partie.

    Ce sera chose faite dans quelques jours, du 9 au 11 février, c’est-à-dire une semaine avant le consistoire. Cette fois, le titre sera : "Jésus notre contemporain".

    Tout l'article est ici : chiesa.espresso.repubblica.it

  • L’Eglise organise un symposium mondial sur le drame de la pédophilie.

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    Dans « La Libre »  d’aujourd’hui, Christian Laporte a noté qu’ "à partir de ce lundi 6 février et jusqu’au jeudi 9 inclus, plus de 110 représentants des conférences épiscopales du monde entier et 35 supérieurs d’ordres religieux participent à Rome à un symposium sur les abus sexuels dans l’Eglise. Cela se passera à la Grégorienne, l’université romaine pilotée par les Jésuites. Ce sera l’occasion pour les différents évêques référendaires - dont Mgr Guy Harpigny et Mgr Johan Bonny pour la Belgique - de débattre des lignes fondamentales adoptées par l’Eglise à son sommet afin de lutter contre les crimes pédophiles.

    Mais en même temps, ce sera un temps d’échange important sur ce qui a déjà été entrepris et la Belgique a ici plusieurs longueurs d’avance avec la mise en place d’un tribunal arbitral et le coup d’envoi d’une politique globale de mesures à tous les étages de l’institution. La confrontation-comparaison risque d’être intéressante lorsqu’on passera au peigne fin la ligne des différentes conférences épiscopales.

    Mais à côté du colloque et pour bien montrer la bonne volonté ecclésiale, sept responsables de l’Eglise provenant d’institutions dont sont issues des personnes coupables ou ayant commis des sévices "demanderont pardon" pour ces actes inqualifiables commis par des personnes investies de responsabilités morales au cours d’une veillée pénitentielle(…)." L’article est ici : Nouveau pardon et surtout des mesures concrètes

    Selon la déclaration de Mgr Charles  Scicluna à l’agence Zenit on donnera une place importante à la prévention, donc à la formation : « avant tout, la formation des agents pastoraux : nous parlons des clercs, mais aussi des laïcs engagés comme catéchistes. Une prévention qui doit partir de la base : pas seulement d’en haut, mais de la base. Et ceci est le plus important. Parce que la formation doit se faire aussi dans les familles, dans les écoles, dans les paroisses. Comment reconnaître les comportements à risque ? Comment aider les garçons et les filles, les jeunes, à se défendre contre toute atteinte malveillante venant d’autrui ? ».

    Pas de nouvelle évangélisation possible s’il n’y a pas d’abord, sur le terrain, un profond redressement doctrinal et moral dans l’Eglise postconciliaire.  

  • Radio Vatican à la rencontre d'écrivains catholiques

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    Une nouvelle rubrique vient de s'ouvrir sur Radio Vatican; elle s'intitule :
    "À la rencontre d'écrivains catholiques"
    ›  Claude Paulot « mettre ses compétences scientifiques au service de sa foi »
    ›  Jean Sévilla « vocation chrétienne et vocation de plume sont indissociables »
    ›  Claire Daudin « exprimer un point de vue de croyante»
    › 

    Jean-Christian Petitfils, allier connaissances scientifiques et foi chrétienne

    (cliquer sur les liens pour y accéder).