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  • Les équivoques de l’amour : de quel altruisme parle-t-on ?

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    44842_ricard-courau.jpgMoine bouddhiste et frère dominicain, Matthieu Ricard (le fils du célèbre journaliste et essayiste Jean-François Revel) et Thierry-Marie Courau (doyen de la faculté de théologie de l'institut catholique de Paris) lancent un « même » appel à la compassion et à l’amour de l’autre.

    C’est le « livre de sa vie », il y travaille depuis cinq ans. Un pavé de 900 pages, pour lequel Matthieu Ricard, qui fut chercheur en génétique cellulaire avant de devenir moine bouddhiste, a compulsé plus de 1 500 sources scientifiques, des neurosciences à l’anthropologie ou à l’économie. Nourri des dernières recherches mais aussi de belles histoires, ce Plaidoyer pour l’altruisme se parcourt aisément et interroge simplement notre humanité. Qui sommes-nous, comment fonctionnons-nous et sommes-nous capables de bâtir la société coopérative de demain ?

    Amour de l’autre, bonté, empathie ou compassion : autant de notions clés qui sont aussi au cœur de la pratique et de l’éthique chrétiennes. La Vie a voulu susciter le débat. Entre deux hommes aux appartenances religieuses différentes, mais réunis par une même estime et une même exigence spirituelle. C’est au couvent de l’Annonciation, dans ce cœur parisien des dominicains, que frère Thierry-Marie Courau, doyen de la faculté de théologie de l’Institut catholique de Paris, a reçu Matthieu Ricard. Une rencontre fructueuse, sous le signe de la quête de l’autre.

    Ils sont interrogés sur le site web (et dans la version « papier ») de l’hebdomadaire « La Vie » (ex-catholique) :

    « Pourquoi aviez-vous envie de vous rencontrer ?

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  • Des nouvelles de Marc Dutroux

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    Une INFO RTL - Marc Dutroux, condamné à la prison à perpétuité, nourrit l'espoir d'une mise en liberté prochaine. En attendant, le pédophile se livre à quelques caprices.

    Actuellement écroué à Nivelles, au sud de Bruxelles, Marc Dutroux purge sa peine de réclusion à perpétuité à la suite de sa condamnation en juin 2004 pour l'enlèvement, la séquestration et le viol, entre juin 1995 et août 1996, de six fillettes et adolescentes belges, ainsi que de la mort de quatre d'entre elles.

    En avril dernier, il avait introduit une demande de libération conditionnelle, comme il y était autorisé, après avoir purgé le tiers de sa peine (assimilée à 45 ans de prison). Aujourd'hui, le pédophile espère que la prochaine demande de mise en liberté qu'il formulera sera la bonne.

    En attendant, il semble vouloir prendre soin de lui. Ses derniers caprices : pouvoir cuisiner dans sa cellule et recevoir la visite d'un coiffeur. Il se fait livrer de la viande crue. Marc Dutroux ne supporte plus les steaks de la prison de Nivelle. Même exigence pour les pommes de terre : celles de la cantine de l'établissement pénitencier n'étant pas à son goût, l'ancien électricien de profession veut maintenant des frites fraîches et parfaitement cuites.

    Tous les mois, un coiffeur qu'il a lui même choisi lui rend visite. Après 17 ans de détention, Marc Dutroux a confié à ses visiteurs habituels du jeudi qu'il voulait se remettre en forme. Il soigne donc son apparence physique, s'est fait livrer une nouvelle garde-robe, et a abandonné sa barbe négligée ainsi que ses cheveux en bataille, qui apparaissent sur les dernières photos de lui.

    Marc Dutroux se lave désormais régulièrement et a demandé à fréquenter plus assidûment la salle de sport, où il s'entraîne, tout seul. Une poignée d'admirateurs morbides continuent à lui envoyer 2 ou 3 lettres par jour.

    Aujourd'hui, le bourreau de Julie, Mélissa, Anne, Eefje, Sabine et Laetitia est persuadé qu'il pourra sortir bientôt.

  • La Société en action. Une méthode pour la démocratie

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    8420-societe-en-action_couv51c99bfd4646d.jpgLa Société en action. Une méthode pour la démocratie

    Danièle Bourcier, Gilles Heriard Dubreuil et Sylvain Lavelle 

    ISBN : 9782705684204 - 24.00 €

    recommandé par Ecologie Humaine

    PRÉSENTATION de l'éditeur :

    La participation s’oppose traditionnellement au modèle dominant de la représentation, et constitue aujourd’hui la réponse la plus souvent proposée à l’aspiration des citoyens à une démocratie nouvelle. Les auteurs de cet ouvrage portent quant à eux un autre regard sur les transformations concrètes de la démocratie en se fondant sur la notion de bien commun. Ils tirent les leçons d’un travail de recherche coopérative mené sur des expérimentations en Europe auxquels ils ont participé dans les domaines de la santé, de l’environnement et du développement technique et industriel. Ils ont observé l’émergence de formes de coordination et de coopération sociale originales autour de la création et de la gouvernance de biens communs. Ils questionnent ainsi les catégories traditionnelles de l’action publique et reconsidèrent certaines oppositions convenues – intérêt particulier et intérêt général, propriété privée et propriété publique, ou encore, état et société civile. Ils suggèrent une méthode qui les conduit à repérer dans les modalités du « faire ensemble » les manifestations d’une démocratie vivante où le lien social se construit dans l’action. Ce livre s’adresse aux citoyens, aux étudiants et aux chercheurs, aux décideurs, aux associations, et à tous ceux qui sont à la recherche de nouvelles formes de vie démocratique.

    AUTEURS :

    Danièle Bourcier, chercheur en droit au CERSA (CNRS), s’intéresse aux transformations démocratiques du droit et aux modalités de l’action publique et de l’e-gouvernment. Elle est responsable scientifique de Creative Commons France, ce qui l’a conduite à analyser de façon concrète la pratique des communs, et elle est membre du Comité d’éthique du CNRS (COMETS).

    Gilles Heriard Dubreuil, chercheur indépendant, fondateur du groupe de recherche Mutadis, travaille sur la gouvernance et la démocratie. Il est intervenu sur la situation post-accidentelle de Tchernobyl depuis 1991 et a créé récemment la Fondation pour la Culture Démocratique.

    Sylvain Lavelle, enseignant et chercheur en philosophie, est affilié au Centre éthique, Technique et Société de Lille, à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, et est fondateur de l’Institut Hylès.

    320 pages – 15 x 23 cm – 2013

  • Une infirmière plaide pour le droit de mourir dignement sans euthanasie

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    Pour le droit de mourir dignement sans euthanasie

    par une infirmière en soins palliatifs (via Euthanasie Stop)

    Cela fait plus de vingt ans que j'ai le privilège d'accompagner des personnes en fin de vie et leurs proches, dans des services d'oncologie, de soins intensifs ou, aujourd'hui, dans une unité de soins palliatifs.

    C'est sur base de cette expérience que je prends ici la parole pour témoigner de ce que je vois et vis au quotidien, consciente que mes pauvres mots ne pourront jamais donner qu'un pâle reflet de la réalité.

    Comment, en effet, approcher au mieux l'intensité des derniers moments d'une vie si ce n'est en étant à son chevet jusqu'au bout?

    A vous qui avez la lourde responsabilité de légiférer en matière de soins de santé, je lancerais donc d'emblée l'invitation suivante: «venez et voyez»!

    Oui, chacun a le «droit de mourir dans la dignité» et contrairement à ce que laisse supposer le nom ainsi choisi par l'association qui prône le recours à l'euthanasie, nombreuses sont les personnes qui décèdent en gardant toute leur noblesse sans demander que soit intentionnellement mis fin à leur existence. J'en suis, quant à moi, témoin au fil des jours et je leur rends un vibrant hommage.

    La réelle revendication cachée derrière ces mots n'est-elle pas davantage celle du «droit de choisir sa mort»?

    Et la notion de «dignité humaine» n'est-elle pas avant tout une question de regard posé sur la beauté intrinsèque de l'homme quel qu'il soit (dément, handicapé, défiguré par la maladie, dépendant des autres...)? Celle-ci est une évidence pour moi qui ai si souvent goûté la joie de partager des moments de tendresse réciproque avec ces personnes fragiles et tant de fois expérimenté à quel point elles m'aident à grandir en humanité.

    Une telle beauté ne pourrait-elle pas être perçue par notre société qui tend à valoriser l'apparence et la « liberté » à tout prix?

    Consulter l'article en entier en pdf

  • Et pendant ce temps-là, les Coptes...

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    Sur le Blog Copte :

  • La révolution Bergoglio

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    Les interviews accordées par le pape, ses déclarations étonnantes, ses décisions surprenantes, font l'objet de nombreux commentaires, en sens divers. On pourra s'en rendre compte en consultant, à titre indicatif, les commentaires suivants :

    - Le virage de François (S. Magister)

    - Incroyable ce pape (G. de Tanoüarn)

    - En conscience, je dois briser le chorus (P. De Marco)

    - Il faut aider le soldat François (R. Poujol)

    - Où va le pape François (A. Mastino)

    - L'intransigeance de François (G. Leclerc)

    - Le pape à Scalfari : "La grâce peut aussi vous toucher" (M. Introvigne)

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  • De l'islam et de l'islamisme

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    En Occident, la distinction a fini par s'imposer entre un islam, acceptable et fréquentable, et un islamisme qui serait sa déformation extrémiste et caricaturale. Que penser de cette distinction, est-ce aussi simple? Annie Laurent, spécialiste de l'islam, y répond sur le site Aleteia et nous ne saurions assez vous conseiller de lire attentivement cet éclaircissement : http://www.aleteia.org/fr/religion/q&r/quel-est-lislam-authentique-1354001

  • Les tueries des chrétiens en terre d'islam : l'Occident ferme délibérément les yeux

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    De Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste, sur le site du Point (3 octobre) :

    ... C'est bien un choc des civilisations qui se déroule sous nos yeux en Syrie, où s'affrontent, au nom de l'islam, les chiites soutenus par les Iraniens et les sunnites armés par l'Arabie saoudite et le Qatar. Même chose au Pakistan, où, comme en Égypte ou au Nigeria, les chrétiens sont devenus la chair à pâté des intégristes islamistes.

    C'est une des grandes nouvelles de l'année : si l'Occident défend encore, ici ou là, quelques minorités ethniques persécutées de par le monde, il semble avoir décidé de faire passer par profits et pertes les tueries de chrétiens en terre d'islam. Par fatigue ou honte de soi, ou les deux, nous fermons les yeux.

    Deux poids, deux mesures. La semaine dernière, alors que le monde entier se focalisait sur l'attaque d'un centre commercial de Nairobi, au Kenya, qui a fait 69 morts, un attentat-suicide faisait plus de 80 morts devant une église de Peshawar, au Pakistan. C'est peu de dire que le massacre pakistanais est passé inaperçu : il a été zappé. Il y a là quelque chose d'hallucinant qui relève de la psychanalyse.

    La vie des chrétiens d'Orient, d'Afrique ou d'Asie compte-t-elle pour quantité négligeable ? C'est une question que l'on est en droit de se poser quand on voit la place que nos chers médias accordent aux tueries et aux discriminations dont les catholiques ou les protestants sont l'objet sur la planète : rien ou presque, à quelques heureuses exceptions près.

    Entre chrétiens et musulmans, l'incompréhension est séculaire. Sans doute parce qu'ils ont pas mal de points communs. Bien sûr, d'un point de vue historique, chaque camp a sa part de responsabilité : avant le djihad, il y a eu des croisades qui n'étaient pas des promenades de santé. Mais est-ce une raison pour que les puissances occidentales abandonnent à leur triste sort les 2 % de chrétiens du Pakistan, les 11 % de l'Égypte ou les 49 % du Nigeria, considérés par les intégristes islamistes comme du gibier d'attentats ?

    Cachez ces crimes qu'on ne saurait voir : c'est notre tartuferie qui nourrit le choc des civilisations. Puisque leurs forfaits ne sont ni punis ni même dénoncés, les djihadistes et les salafistes se croient autorisés à continuer. Ce n'est pas faire de l'islamophobie que de dire cela. Il y a aujourd'hui, notamment en France, une tendance à accepter ce qu'on refuse, depuis belle lurette, Dieu merci, aux catholiques. Pis encore, il y a aussi une forme de résignation devant les crimes et les folies des intégristes musulmans au Pakistan et ailleurs. A croire que l'islam n'est pas une religion comme les autres et qu'il porterait le mal en lui, alors que les islamistes le défigurent.

    C'est là le syndrome d'un impensé raciste.

  • Le pape François se sent libre de communiquer

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    Lu sur le site de Radio Notre-Dame, ce 2 octobre :

    Pour le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège, le Pape François "se sent libre de communiquer".

    Le père Federico Lombardi a dû répondre aux questions des journalistes réunis en conférence de presse au Vatican. Les questions portaient principalement sur deux récents évènements qui ont suscité beaucoup de nombreux commentaires dans les médias : les réunions du Conseil des Cardinaux et la longue interview du Pape François publiée dans le quotidien italien La Repubblica.

    La réforme de la Curie romaine, "un travail de long terme"

    Le groupe de huit cardinaux (ci-contre) chargés de conseiller le Pape François dans ses futures réformes se réunit au Vatican du 1er au 3 octobre. Les premières rencontres ont donc déjà eu lieu, alors quel en est le résultat concret ? D'après le père Lombardi, inutile de s'attendre à "des documents ou des décisions du Conseil : sa modalité est de conseiller le Pape pour qu'il gouverne bien l’Église. Nous pouvons nous attendre à ce que le Pape prenne des bonnes décisions.", assure-t-il.

    Le Conseil des Cardinaux devra réfléchir à la réforme de la Curie, même si le projet sera "poursuivi par le Pape, et non par le Conseil des Cardinaux". Le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège est clair : c'est "un travail de long terme, nous ne devons pas nous attendre à des conclusions à courte échéance".

    Vu le nombre de points à aborder, les cardinaux auront en effet besoin de temps. Le père Lombardi a expliqué que "la réforme de la Curie dans ses différents aspects, comme le rapport entre les dicastères et le Saint-Père, la coordination des dicastères et la fonction du Secrétaire d’État sont des thèmes larges et structurés, il y a une infinité de suggestions et d'opportunités".

    Le Pape en a-t-il trop dit ?

    Dans l'entretien publié le 1er octobre dans le journal italien La Repubblica, le Pape aborde de nombreux sujets avec un franc-parler qui, même s'il fait partie du "style Bergoglio", n'en continue pas moins de surprendre. C'est Eugenio Scalfari, fondateur de La Reppublica (ci-contre), qui s'est entretenu avec le Pape François.

    Pour le père Lombardi, il s'agit d' "un dialogue sans préjudice et sans diaphragmes [...]. Il suffit de penser aux personnes qu'il rencontre pendant les audiences ou les différentes rencontres". Le porte-parole du Saint-Siège explique que "le Pape se sent libre de communiquer avec différents genres d'expressions, c'est à nous d'en comprendre la valeur [...]".

    Concernant la dernière interview, mieux vaut rester prudent : le Père Lombardi précise que ce "n'est pas un document écrit du Pape, ni revu par lui". Toutefois, "le sens de ce qui a été exprimé est fiable", car "celui qui a publié le contenu de l'entretien, autorisé par le Pape, est une personne faisant autorité et responsable".

    Source : Agenzia Sir

    Voir ici : Conseil des Cardinaux, interview du Pape : les explications du Père Lombardi

    mais aussi : http://2.andreatornielli.it/?p=6766

  • Ce que le pape François a vraiment dit à Scalfari : texte intégral

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    Repubblica.it: il quotidiano online con tutte le notizie in tempo reale.

    Enfin la traduction complète de l’interview telle que l’a  rapportée Eugenio Scalfari lui-même ! L’accès aux sources est tout de même plus éclairant que les « compendiums » et autres « raccourcis » qui circulent, fussent-ils d’origine vaticane. JPSC

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  • Wavre, octobre : concert des "Sept Couleurs du Chant" au profit de Simba Mosala

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    7couleursChant-LOGO.jpgProchain concert le 19 octobre à Wavre

    Le concert des Sept Couleurs du Chant créé à la cathédrale de Bruxelles en mars de cette année et qui a conquis plus de 2300 personnes sera chanté en l'église Saint-Jean-Baptiste, Place Cardinal Mercier à 1300  Wavre, le samedi 19 octobre 2013 à 20h00.

    Le chœur sera plus réduit mais gageons que l'enthousiasme sera identique !

    Le concert sera donné au profit de Simba Mosala, centre d’accueil des jeunes des rues à Kikwit (RDC).

    Informations pratiques, réservations et présentation de Simba Mosala

  • Bulletin de l'IEB - 2 octobre 2013 - Euthanasie - sondages/Nathan/BBC

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