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  • Vous avez dit "humain" ?

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    Ici : http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/academie-catholique-de-france.html

    Un rendez-vous avec l'Académie Catholique de France, chaque lundi à 21h35. En quelques minutes, un membre de cette Académie - fondée en 2009 "pour le rayonnement du savoir et de la foi" - vient parler de son sujet de prédilection, qu'il s'agisse de médecine et de sciences de la vie et de l'univers, de sciences humaines et sociales, de philosophie et de théologie, des arts et des lettres ou encore de droit et de sciences économiques.

    JPSC

  • Mgr Morerod et le Synode sur la famille : « Beaucoup de gens croient connaître l’enseignement de l’Église »

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    22503.jpgDepuis novembre dernier, les épiscopats du monde entier ont lancé des consultations sur la base d’un questionnaire communiqué par le Vatican, en vue de préparer le Synode sur la famille qui s’y tiendra du 5 au 19 octobre 2014. A propos de tous ces gens appelés à répondre à de savants questionnaires sur le thème mis à l’ordre du jour du prochain synode, Jean-Marie Dumont a interrogé, pour l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », Mgr Morerod (photo), évêque de Lausanne, Genève et Fribourg.

    Extraits :

    Les résultats de l’enquête menée par l’Institut suisse de sociologie pastorale expriment une opposition forte, y compris chez les catholiques, à la doctrine de l’Église sur les divorcés remariés, les unions homosexuelles…… Comment réagissez-vous ?

    Tout le monde se doutait que les résultats n’auraient pas une tonalité de nature à satisfaire les évêques. Ce qui apparaît clairement, c’est que l’enseignement moral de l’Église n’est pas bien reçu, du moins ce que croient en connaître les personnes. En fait, beaucoup de gens croient connaître l’enseignement de l’Église alors que ce n’est pas le cas.(…)

    L’opposition à la doctrine de l’Église est-elle liée à une génération ?

    La réaction vive, voire critique, à l’égard de l’enseignement de l’Église, on la sent en particulier chez les personnes âgées. Celles-ci sont marquées par une attitude de rejet à l’égard de l’Église, dont elles considèrent qu’elle « régentait » autrefois leur vie. Les jeunes sont plutôt indifférents…

    Les présidiums des conférences épiscopales française, suisse et allemande se sont récemment rencontrés pour échanger autour des résultats de cette enquête menée dans tous les pays du monde. Y a-t-il des différences entre ces trois pays ?

    Si les tendances sont assez comparables, il y a un sujet sur lequel la France se distingue clairement des autres pays : les unions homosexuelles. Cela m’a beaucoup étonné. En effet, en Suisse, la moitié des Églises protestantes bénit ces unions, ce qui fait que ces bénédictions sont courantes. Ce qui influe sur la position des catholiques : les résultats de la consultation montrent que 60 % souhaitent une bénédiction des unions homosexuelles. C’est un sujet sur lequel il y a une vraie différence avec la France.

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  • Liège, 12 mars : Ecologie de la Nature et Ecologie de l'Homme, avec Jean-Michel Javaux

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    243241230_2.jpgUnion_ royale_logo 2.gif

     

     

     avec la collaboration du forum de conférences « Calpurnia »

     Cycle de Débats  

    HUMANISME CHRÉTIEN, TRAVAIL ET SOCIÉTÉ

    PERSONNALISME ET DÉVELOPPEMENT INTÉGRAL

     

    Mercredi 12 mars 2014 à 18h00

    Ecologie de la nature et Ecologie de L’Homme

     Une réflexion à la lecture du discours du pape Benoît XVI au Bundestag (Berlin, septembre 2011) Voir en attaché 

    image003.jpg 

    Jean-Michel JAVAUX

    Bourgmestre d’Amay, 
    ancien co-président du parti Ecolo et ancien membre du parlement wallon

     

     Le débat sera modéré par Paul VAUTE, 

    chef d'édition de la Libre Belgique-Gazette de Liège 

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 € (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à L’AVANCE par TEL. 04.344.10.89 ou  e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org

     

    RSVP avant le 7 mars 2014

    E-mail: info@ethiquesociale.org   internet: http://www.ethiquesociale.org/ 

     

    Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42 4020 Liège / Tél. 04.344.10.89 ;  jpschyns@skynet.be

    Groupe de réflexion sur l’éthique sociale : Elio Finetti, Quai Orban, 34 4020 Liège / Tél. 0475 83 61 61 ; : finetti@ethiquesociale.org

    Calpurnia - Forum de conférences, débats : Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92 - 4000 Liège / Tel. 04.253. 25.15 ;  calpurnia.musée@gmail.com

  • A l’Université de Liège : Mgr Delville a ouvert un nouveau cycle de lunchs débats sur le rôle de l’humanisme chrétien dans la société.

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    DSCF0380 (1).JPGLe nouvel évêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre Delville, a inauguré un nouveau cycle de lunchs débats à l’Université de Liège. Le cycle est organisé par le groupe « éthique sociale » de l’Union des étudiants catholiques, sur le thème « Humanisme chrétien, Travail et Société ».

    La conférence de Mgr Delville était intitulée « l’humanisme dans l’engagement social de l’Eglise, hier et aujourd’hui ».  Docteur en Philosophe (UCL), théologien (Université grégorienne à Rome) et musicien (prix d’orgue du Conservatoire royal de Liège), Mgr Delville est aussi licencié en histoire de l’Université de Liège.  Au moment de sa nomination épiscopale (31 mai 2013), il était professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain, où il enseigna l’histoire du christianisme.

    DSCF0381.JPGDSCF0396.JPG

     

     « Deus caritas est » : C’est le lien de l’amour qui constitue l’unicité de Dieu  dans l’altérité des personnes trinitaires. À la suite de saint Jean, Benoît XVI, dans sa première encyclique, a développé les conséquences cette affirmation, avec beaucoup d'intelligence et de fraîcheur d’âme.

    De là résulte que l’autre, dans la foi, est toujours pour nous le visage de Dieu, même s’il est parfois bien défiguré.

    Jésus est formel. Au jour du jugement, lorsque toutes les nations seront rassemblées devant lui, il dira à ceux qui sont à sa droite : «  j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » Et aux autres : « Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges » (cfr  Matthieu, 25, 31-46)

    De cette Parole, qui émaille aussi sous d’autres formes tous les textes évangéliques, procède une double démarche : l’amour inconditionnel des pauvres, quels qu’ils soient, et la recherche de la pauvreté spirituelle qui purifie l’âme. Au fil de son histoire, même peuplée par tous les vices des cercles de l’enfer de Dante, la chrétienté l’a toujours su et exalté cet idéal. C’est ce que nous rappelle d’abord l’orateur. 

    Mais, au XVIIIe siècle, dans la société occidentale, a pris naissance un profond bouleversement de la condition humaine issu de ce que Paul Hazard a appelé « la crise de la conscience européenne » : la révolution des lumières philosophiques et celle de l’industrialisation qui s’en suivirent ont introduit  dans la vie sociale une rupture inédite, exaltant la liberté de l’homme pour mieux l’asservir. Aux idéologies contradictoires qui l’expriment et ambitionnent de tenir  lieu de religion à l’ère du progrès industriel et technique, l’Eglise a opposé une doctrine sociale tirée de l’Evangile. Monseigneur Delville nous montre en quoi il ne s’agit pas d’une idéologie de plus.

    JPSC

     On lira ci-dessous la transcription in extenso de l’enregistrement de sa conférence (les intertitres sont de notre fait) :

     

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  • Cardinal Maradiaga : on peut critiquer le pape avec amour

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    50031_pape-francois-cardinaux-curie-rome-vatican_440x260.jpgL'agenda du pape est surchargé, varié et compliqué, cette semaine plus que les autres. Notre compatriote Bruno d’Otreppe y revient, lui aussi, sur le site web de l’hebdomadaire « La Vie ». Extraits :

    «  (…) C'est ce lundi en effet que le pape reprend un troisième tour de discussions avec son « G8 » (ou « C8 », pour « Cardinals 8 », comme on l'appelle à l'international), ses huit cardinaux qu'il avait choisis pour l'aider à réformer la gouvernance de l'Église.(…)  Peu de chance cependant que mercredi nous en sachions beaucoup plus sur les nouveaux horizons qui attentent la curie. Le Vatican reste extrêmement discret (…).Un dossier institutionnel très sensible est la réforme de l'IOR (l'Institut des œuvres de religion), la banque du Vatican. (…) Ce dimanche, le président de l'IOR lui-même, Ernst von Freyberg, avouait au quotidien argentin La Nacion, que si le moment était « crucial », personne ne pouvait encore présager de la décision du Saint-Père (…). Outre ces questions institutionnelles, le pape reçoit à Rome jeudi et vendredi l'ensemble des cardinaux. Presque un an après qu'ils lui aient confié les clés de l'Église, il s'entretiendra avec eux de la pastorale de la famille, un autre sujet polémique (statut des divorcés-remariés...) qui touche au cœur même des sacrements. Enfin, ce samedi, le pape créera ses premiers cardinaux. La semaine sera donc très observée. (…).

    Le Vatican est un lieu de débats au sein duquel le pape, avec énormément de poigne, agit et réfléchit avec un petit cercle de proches (ce qui ne contente pas tout le monde). Ses gestes sont soumis aux regards de catholiques de tout bord, et il ne sera pas facile de contenter l'ensemble. Pour autant, le pape sait qu'il peut compter sur la prière, son discernement, le dialogue et... le cardinal Maradiaga, coordinateur du « G8 », qui a tenu à rappeler ce week-end que si l'on pouvait critiquer le pape, il fallait toujours le faire avec « amour », « comme un fils peut critiquer sa propre mère ».

    Réf. Semaine décisive pour le pape François

    Toutes les questions abordées ne sont pas à mettre sur le même pied. Les unes sont techniques (la réforme des organes de la curie papale et en particulier de l’institut pour les œuvres de religion), les autres mettent en jeu, outre des choix "pastoraux", la doctrine de la foi et la fidélité à la parole évangélique (indissolubilité du mariage, primauté du pontife romain). Prions, en effet, pour que le Saint-Esprit ait son mot à dire dans ce « remue-méninges » au sommet de l’Eglise. JPSC

  • Quand une future mère refuse d'écouter les médecins

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    Ce qui interpelle, c'est que le fait rapporté par sudinfo.be (ci-dessous) n'est pas exceptionnel comme on pourra s'en rendre compte en consultant les commentaires sous l'article.

    Les médecins lui conseillent d'avorter, Rachel préfère garder le bébé et accouche malgré leur avis négatif

    Rachel, 30 ans, n’a pas vécu une grossesse facile. Elle souhaitait accoucher dans quelques mois de son premier enfant quand les médecins ont découvert qu’elle souffrait d’oligoamnios. Le fœtus n’était donc pas entièrement baigné dans le liquide amniotique et risquait donc de mourir…

    Les médecins ont ainsi conseillé à Rachel Collins, âgée de 30 ans, d’avorter de son enfant après seulement deux mois de grossesse suite à ce diagnostic. Face à ce manque de liquide amniotique, son bébé risquait bien d’être mal formé ou de mourir à peine quelques jours après sa naissance.

    Mais cette jeune mère britannique a refusé d’écouter les médecins qui lui ont proposé cette solution. Rachel a préféré se battre pour terminer sa grossesse et accoucher de son premier enfant. Pourtant, lors de l’échographie réalisée après 20 semaines de grossesse, le bébé de Rachel n’avait que… 10 % de chance de survie ! Finalement, le miracle est arrivé : Rachel a donné naissance à Alfie, son premier enfant, et celui-ci se porte toujours bien, un mois après cette grossesse qui aurait pu mal tourner selon les médecins qui la suivaient depuis le premier jour.

    « Les médecins n’ont pas mâché leurs mots : ce bébé va mourir, le mieux que vous puissiez faire est d’y mettre fin », explique Rachel dans le Daily Mail. « Nous avions déjà un nom pour notre bébé, j’étais dévastée. Mais j’ai continué à y croire en tenant un journal, chaque jour, sur comment j’allais, j’écrivais le bon comme le mauvais. »

    « Mais Alfie s’est battu, est sorti en criant. Cela a été un cauchemar durant la grossesse mais désormais, je vois Alfie comme un cadeau. Il se porte bien et n’a aucun problème de santé », assure Rachel. Pourvu que ça dure !

  • Une civilisation mortifère

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    Lu sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Jean-François Mattei "Nous sommes dans une civilisation mortifère"

    Jean-François Mattei, philosophe, spécialisé sur les questions d’éthique et membre de l’Institut Universitaire de France donne son analyse suite aux évènements français et belges concernant l’euthanasie.

    "Nous sommes dans une civilisation mortifère, qui sous couvert d’humanisme, voire d’humanitarisme, veut éliminer les personnes dérangeantes, faibles ou malades, qui ne correspondent pas aux critères de l’individu libéral". Le courant qu’il identifie derrière est la pensée utilitariste et eugéniste qui, par exemple, a conduit Peter Singer à parler de "non-personnes" pour parler des nouveau-nés. En 1965, le Prix Nobel de Biologie Jacques Monod avait déclaré "le monde moderne n’échappera pas à l’eugénisme".

    Revenant sur le cas de Vincent Lambert, Jean-François Mattei estime que les décisions entourant la fin de vie ne relèvent "que des médecins ou de la famille" et sûrement pas de l’Etat, ce "monstre froid". Et il soulève les hypocrisies des discours. A commencer par le mot "fin de vie", pudiquement utilisé pour dissimuler la mort. Il fustige l’expression "droit à mourir dans la dignité" car "mourir dans la dignité n’a aucun sens". Ceux qui emploient cette expression sont souvent des personnes en bonne santé, en pleine possession de leurs capacités et qui "projettent leur conception d’une vie digne sur des situations dont ils n’ont aucune idée".

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/02/14/31003-20140214ARTFIG00165-euthanasie-nous-vivons-dans-une-civilisation-mortifere.php

  • Le 17 février 1934, la mort du roi-chevalier

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    Sur Herodote.net :

    Albert 1er (1875 - 1934)

    Le roi-chevalier

     

    Le roi des Belges Albert 1er en 1910 (8 avril 1875, Bruxelles -17 février 1934)

    Quand Albert 1er devient le troisième roi des Belges, le 23 décembre 1909, à la mort de son oncle Léopold II, la monarchie est au plus mal, frappée par l'impopularité de l'ancien souverain. Il a scandalisé ses concitoyens par ses frasques mais il a aussi donné à la Belgique, État improbable, un statut de «puissance planétaire» grâce à ses entreprises coloniales.

    Albert 1er va quant à lui restaurer l'honorabilité de la famille royale.

    Il va surtout, dans les épreuves de la Grande Guerre, offrir à la monarchie ses lettres de noblesse et installer la Belgique à l'avant-scène de la diplomatie européenne.

    Son courage et son engagement au service de la paix lui ont justement valu le surnom de «roi-chevalier».

    Lire la suite sur Herodote.net

  • Le secret de Padre Pio

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    le-secret-de-padre-pio_article_large.jpgLe secret de Padre Pio

    Auteur : Antonio Socci
    Editeur : TEQUI
    Paru en : juin 2013
       
       

    Prix :

    22 €

     
     
    Présentation de l'éditeur :
    Résumé :
    Le 13 mai 1981, Ali Agca tire sur Jean-Paul II. C’est un excellent tireur et pourtant cet assassinat échoue. Le tueur turc révèle alors : « (...) à côté de moi, il y avait une sœur qui, à un certain moment, m’a pris le bras droit, c’est pourquoi je n’ai pu continuer à tirer. Autrement, j’aurais tué le Pape. »
    Antonio Socci, en lisant ces mots, est saisi : qui est cette sœur ? Il mène alors l’enquête et remonte à sœur Rita, fille spirituelle de Padre Pio. Comment obtint-elle le « salut » d’un grand pape ? Quel sens donner aux nombreux charismes de Padre Pio (1887-1968) - miracles, guérisons, conversions d’ennemis de l’Église, stigmates - et à ceux de ses fils spirituels, qui rayonnent maintenant dans le monde entier ? 
    Ce livre nous ouvre à la réalité spirituelle où toute contribution invisible, telle que la prière, la confiance en Dieu, le sacrifice, etc., a une répercussion dans le monde visible, pouvant avoir un impact historique et une valeur rédemptrice. 
    Cet ouvrage est un reportage vivant et bouleversant sur celui qui a ému l’Église universelle durant trois générations, arrachant au Ciel des grâces innombrables pour les souffrants et pour l’Église. Nourri de témoignages, de révélations des disciples de Padre Pio, il est une référence incontournable pour s’approcher du mystère de la souffrance, qui peut devenir signe authentique de l’amour vrai, comme nous l’a rappelé récemment le Pape François. 
    Aujourd’hui encore, Padre Pio agit, intercède. Il poursuit sa mission, rendant visibles l’amour et la gloire du Christ toujours victorieux du mal.  
    L’auteur 
    Antonio Socci est un journaliste catholique italien, originaire de Sienne. Il travaille aujourd’hui pour la Rai (radiotélévision italienne) et dirige l’École supérieure de journalisme de Pérouse. Il a publié de nombreux ouvrages, dont I segreti di Karol Wojtyla (Les secrets de Karol Wojtyla, Rizzoli). Son ouvrage Il segreto di Padre Pio s’est vendu à 50 000 exemplaires en Italie.  
  • BXL, 20 février : rencontre avec Jean-Frédéric Poisson

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    Le Jeudi 20 février, à Bruxelles

     

    Dans le contexte difficile des menaces qui pèsent sur la Famille et d’une Europe mal-aimée de nos concitoyens, à quelques semaines d’échéances électorales importantes en Europe, en Belgique et en France, vous êtes invités à venir écouter et rencontrer :

     

    Images intégrées 3

    Jean-Frédéric Poisson

     

    Président du Parti Chrétien-Démocrate (France)

    Député des Yvelines

    Vice-président de la Commission des Lois

    Docteur en philosophie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il répondra à des questions cruciales pour notre temps :

    ·         La politique est-elle devenue vaine?

    ·         Une voix chrétienne-sociale peut-elle s’élever aujourd’hui en Europe ?

    ·         Existe-t-il un  travail parlementaire qui sert la Dignité Humaine ?

    ·          Quels sont les enjeux des élections de 2014 ? Comment les Français installés en Belgique peuvent-ils peser sur le paysage politique français ?

     Merci de vous inscrire sur benelux@lepcd.fr

    Des précisions (lieux et horaires) seront communiquées ultérieurement

     

    En savoir plus?

     

    Le blog de Jean-Frédéric Poisson : http://www.jfpoisson.fr/

    Le site du Parti Chrétien-Démocrate : http://lepcd.fr/

    Sur Twitter:

       @PCD Bénélux

  • François, Stromae, même combat ?

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    Le père Manuel Grandin se risque au rapprochement des deux super-vedettes (sur jeunes-catho.fr) :

    Le chanteur Stromae, 29 ans, a triomphé aux 29èmes Victoires de la musique vendredi 14 février en emportant la Victoire de l’artiste masculin de l’année et celle de l’album de chansons pour Racine carré ainsi que celle du clip pour Formidable. Retour sur ce chanteur hors-pair avec le père Manuel Grandin s.j., directeur du Réseau jeunesse ignatien (RJI).

    stromae- 29ème victoires de la musique 2014 -

    Pourquoi Stromae fascine-t-il autant ?

    Le fait d’avoir son style à lui, très personnel, touche les gens. Il est inclassable et cultive sa différence tout en restant totalement lui-même, loin du formalisme imposé par le star system. Et sa musique bien sûr, aux multiples influences (électro, slam, rap) a beaucoup attiré par ses refrains faciles à retenir. On l’écoute à la fois pour ses paroles aux sujets graves, (le cancer, les violences conjugales, etc.) et à la fois pour danser. Rassembler ces deux critères est plutôt rare.

    Il est aimé pour son style et sa personnalité ou pour sa musique ?

    Les deux ! Une musique est toujours incarnée, c’est certain que le charisme de l’interprète joue énormément. Stromae a compris l’importance de la communication et y travaille. Si je peux oser la comparaison, comme le pape François, il a compris que le message ne suffit pas, encore faut-il l’incarner pour le transmettre. Stromae et le pape François, même combat (rires) ! D’ailleurs, les disciples à l’époque, ils n’ont pas suivi des idées, ils ont suivi Jésus, un être incarné.

    Lire la suite sur jeunes-catho.fr

  • Synode sur la famille : l’Eglise d’Allemagne tire la première

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    Sur le site web de « France Catholique, le P. Murray explique :

    La Troisième Assemblée Générale Extraordinaire du Synode des Évêques se tiendra à Rome du 5 au 18 octobre avec à l’ordre du jour : les défis de la pastorale pour la famille dans le contexte de l’évangélisation. Le Bureau du Synode au Vatican a établi un document préparatoire avec une série de questions relatives aux efforts de l’Église pour la promotion des doctrines et pratiques — et aux différents défis à relever.

    Le 3 février la Conférence Épiscopale Allemande a publié une synthèse des réponses proposées à ces questions par les vingt-sept diocèses d’Allemagne et vingt associations ou institutions catholiques notoires. (Dommage, nous n’en avons pas la liste, ce qui aurait pu alimenter le débat.) Conclusions guère agréables, ou, en fait, plutôt inquiétantes.

    Voici un échantillon des remarques émises dans cette synthèse. [J’ai ajouté mes commentaires entre crochets].

    Les déclarations de l’Église [N.B. déclarations, pas enseignements] sur les relations sexuelles avant le mariage, l’homosexualité, les divorcés remariés, le contrôle des naissances ne sont, paradoxalement, pratiquement pas acceptées, si ce n’est purement et simplement rejetées dans une grande majorité des cas. La plupart des baptisés ne sont pas au courant de l’expression "Loi naturelle". Ainsi, la Loi naturelle est à peine établie ou détaillée au sein de l’Église, et donc délibérément ignorée car historiquement dépassée et incompatible avec l’éthique moderne. En particulier, il y a une vive critique d’un étroit déterminisme biologique — s’appuyant sur un aspect de la "Loi Naturelle" ["guillemets" agressifs] car elle ne rend pas justice à la compréhension chrétienne de l’homme. Presque tous les couples souhaitant se marier à l’Église ont déjà vécu ensemble, souvent plusieurs années (estimation : entre 90 et 100%)... En vue de la nature définitive du lien du mariage [d’autres réponses laissent entendre que cette notion est largement repoussée en Allemagne], et, conscients qu’un mariage raté entraîne une profonde crise dans l’existence, nombreux sont ceux qui, en fait, trouvent que se marier avant d’avoir vécu ensemble est une preuve d’inconscience [vivre dans le péché serait un antidote à l’échec du mariage].

    Lire la suite sur le site de France Catholique : Mauvaises nouvelles d’Allemagne

    Le Père Murray est curé de la paroisse de la Sainte Famille à New-York. Il est docteur en droit canon.

    A quoi servent les questionnaires diffusés dans une opinion publique dont on connait par avance les réponses sur des matières qui ne relèvent nullement de sa compétence ? Il ne faut pas être grand clerc pour le deviner.

    JPSC