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  • "Crise des migrants" : l'Europe face à son destin

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    Lu sur le site de l'Homme Nouveau sous la plume de Thibaud Collin

    La crise migratoire : l’Europe face à son destin

    De quoi la « crise des migrants » est-elle le symptôme ? Il convient avant tout de s’interroger sur la pertinence des termes choisis pour décrire un tel phénomène. Au sens strict une crise est un moment d’aggravation d’un processus appelant une décision. Or si l’on ne peut nier la gravité de ce qui est en train de se jouer sur les îles du sud de l’Europe, on reste pour l’instant dubitatif sur la capacité des différents acteurs à poser des choix permettant de résoudre la crise. Cette impuissance politique se révèle déjà dans la manière de voir et donc de nommer un tel phénomène. Ces millions d’êtres humains sont-ils des réfugiés politiques, des immigrés économiques, des envahisseurs ? Pour éviter de catégoriser et donc de « discriminer », la bien-pensance a décidé de les nommer des migrants, mot neutre et générique. Ce terme de migration a au moins le mérite de signifier qu’il s’agit d’un mouvement de populations et non d’une simple juxtaposition de drames individuels.

    Un même phénomène peut, en effet, être abordé selon différents points de vue déterminant chacun un type d’action. Ainsi, faut-il envisager la crise des migrants comme un drame humanitaire en valorisant la singularité des itinéraires de vie, ce qui exige une prise en charge déterminée par une attitude personnelle dont la parabole du bon Samaritain serait le modèle ? Ou bien comme un problème géopolitique en considérant les volumes et les caractéristiques culturelles et religieuses des populations déplacées, ce qui exige des choix politiques posés par les gouvernements soucieux du bien commun de leur pays ? La situation est telle que la réponse est évidente. Nous nous trouvons bien devant un phénomène de grande ampleur que l’on ne peut aborder selon les seuls critères de la sphère individuelle. Comme le disait à juste titre Jean Madiran « si un réfugié frappe à ma porte, mon devoir de chrétien est de l’accueillir comme un autre Christ (selon la parole de Matthieu 25) mais si 150 réfugiés frappent à ma porte, mon devoir est d’alerter les autorités politiques ». Il n’y a donc pas deux morales, celle du chrétien gouvernée par la générosité et celle du citoyen gouvernée par la Realpolitik car il n’y a qu’une seule exigence : celle du vrai bien humain à réaliser par des choix prudents et charitables dans des circonstances singulières.

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  • Le cardinal-archevêque de Lyon victime d'un lynchage médiatico-judiciaire en grand

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    De Régis de Castelnau sur causeur.fr :

    «Affaire Barbarin»: derrière le lynchage…

    Une prise d’otage?

    Et si le cardinal Philippe Barbarin était en fait pris en otage dans un combat contre l’Eglise sur les questions sociétales? Régis de Castelnau s'interroge...

    Alors comme ça Monseigneur Barbarin, cardinal et primat des gaules, serait pédophile ? Eh bien dites donc ! Ah non, il ne le serait pas lui-même mais couvrirait les agissements de ceux des ecclésiastiques qui le sont ? Mais c’est encore plus grave ! Et comment sait-on tout ça ? Tout le monde le dit, il suffit de lire les journaux et d’écouter la radio. Dans ce cas…

    Avant d’examiner le fond de cette affaire, c’est-à-dire les faits, tels qu’on peut les connaître, leur dimension juridique et judiciaire puisqu’à nouveau la justice est saisie pour servir un combat politique, jetons au préalable un regard sur l’opération qui a déclenché la grêle. Sous laquelle se trouve aujourd’hui l’église catholique en général, et l’évêque de Lyon en particulier.

    Un lynchage médiatico-judiciaire en grand

    Nous assistons depuis quelques jours à un lynchage médiatico-judiciaire en grand comme la presse et les réseaux en raffolent. Et cette fois-ci, tout le monde s’y met, car quand il s’agit de bouffer du curé rares sont ceux qui manquent à l’appel. Les cathos se défendant comme des manches, c’est d’autant plus facile. Acteurs importants du processus de sacralisation des victimes, revendiquant la pratique de la miséricorde, la présentation de la joue gauche quand on leur frappe la droite, et accordant à la prière des vertus auxquelles ils sont les seuls à croire, ils constituent une cible confortable.

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    lire aussi : "le Monde" entre en guerre contre l'Eglise

  • Une enseignante de Malmédy guérie miraculeusement par l'intercession d'Elisabeth de la Trinité

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    De Benjamin Hermann sur lavenir.net :

    Le Vatican qualifie la guérison de cette Malmédienne de miracle

    Ancienne enseignante de religion à l’Institut Notre-Dame de Malmedy, Marie-Paul Stevens a été touchée par le syndrome de Sjögren. Sa guérison survenue en 2002 est aujourd’hui qualifiée de miracle par le Vatican.

    Sans titre.pngMarie-Paul Stevens a vaincu la maladie lors d’un voyage dans un carmel de Dijon en 2002. Quatorze ans plus tard, le Vatican a officiellement reconnu le miracle. Élisabeth de la Trinité, religieuse française, sera canonisée en octobre grâce à cette reconnaissance.

    En fonction de ses convictions, chacun qualifiera l’histoire de Marie-Paul Stevens d’extraordinaire, de miraculeuse ou de réjouissante. Le Vatican a en tout cas reconnu très officiellement sa guérison comme un miracle, le 3 mars dernier.

    Cette dame aujourd’hui âgée de 58 ans a vécu de nombreuses années à la frontière des villages d’Ondenval et Thirimont, dans la commune de Waimes. Elle habite aujourd’hui dans l’entité voisine de Malmedy.

    Catholique depuis son enfance, elle était jusqu’à ce que sa maladie se déclare professeure de religion à l’Institut Notre-Dame de Malmedy. Mais c’est en 1997 que sa santé s’est dégradée et que le corps médical lui a diagnostiqué le syndrome de Sjögren, une maladie d’origine auto-immune qui va provoquer chez elle des souffrances toujours plus importantes, jusqu’en 2002, année durant laquelle les médecins ne se faisaient plus d’illusion quant à ses espoirs de survie. «J’avais même préparé ma veillée d’adieu et la célébration de ma Pâque», témoigne-t-elle.

    Guérie lors d’un voyage au carmel de Dijon

    Très admiratrice et proche spirituellement d’Élisabeth de la Trinité, une religieuse française ayant vécu de 1880 à 1906, Marie-Paul Stevens a entrepris, au bout de ses forces, un voyage en avril au carmel de Flavignerot, près de Dijon, là où se trouvent les reliques d’Elisabeth. Selon son témoignage, mais aussi celui de proches et du médecin de famille, elle en est ressortie guérie.

    Elisabeth1.jpgUn premier miracle d’Élisabeth de la Trinité avait été reconnu en 1984 et avait conduit à sa béatification par Jean-Paul II. Mais la reconnaissance par le Vatican de ce second miracle conduira à sa canonisation, au grand bonheur du carmel de Dijon, mais aussi de Marie-Paul Stevens et de l’unité paroissiale de Waimes.

    Un long procès

    Le procès de canonisation a duré de nombreux mois et le cas de Marie-Paul Stevens a été examiné par une commission médicale, une commission théologique, soit une quarantaine de témoins et neuf médecins, durant 19 mois.

    Les faits ont donc été examinés et la validité du miracle, établie par la Congrégation pour la cause des saints, chargée des dossiers de béatification et canonisation. Le 3 mars dernier, le pape François a donné son aval pour la canonisation d’Élisabeth de la Trinité, qui devrait se dérouler en octobre.

  • François : trois ans de pontificat

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    De Famille Chrétienne (Agence I-Media) :

    3 ans de pontificat en 50 dates clés

    Il y a trois ans, au soir du 13 mars 2013, les cardinaux réunis en conclave élisaient le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, 76 ans, pour succéder à Benoît XVI ayant renoncé au pontificat. Le pape François a passé les trois premières années de son pontificat à tenter de réformer l’Eglise, dans ses structures, son mode de gouvernement, mais aussi dans son attitude à l’égard du monde. Retour sur 50 dates marquantes de ces trois premières années de pontificat.

    13 mars 2013 : Au terme de 24 heures de conclave, le cardinal Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires (Argentine), âgé de 76 ans, est élu pape pour succéder à Benoît XVI. Il prend le nom de François. Son pontificat est inauguré le 19 mars.

    21 mars : Le nouveau pape célèbre pour la première fois une messe à la Maison Sainte-Marthe à laquelle il invite initialement chaque matin des employés du Vatican. Il décide aussi de s’installer définitivement dans cette résidence, délaissant les appartements pontificaux, de peur d’être trop isolé.

    23 mars : Rencontre historique et inédite entre deux pontifes : François rend visite à son prédécesseur, le pape émérite Benoît XVI, retiré provisoirement à Castel Gandolfo.

    28 mars : Pour le premier Jeudi Saint de son pontificat, le pape François célèbre la messe dans une prison pour mineurs, dans la banlieue de Rome. Il lave les pieds de 12 jeunes, garçons et filles, dont une musulmane.

    13 avril : Le pape institue un groupe de 8 cardinaux du monde entier chargés de le “conseiller dans le gouvernement de l’Eglise“ et d’étudier avec lui un projet de réforme de la curie romaine, répondant ainsi aux souhaits exprimés par les cardinaux lors des congrégations générales précédant le conclave. Secrétaire d’Etat du Saint-Siège à compter du 15 octobre, Mgr Pietro Parolin intègre alors ce groupe.

    5 juillet : Publication de l’Encyclique Lumen Fidei, essentiellement rédigée par Benoît XVI mais portant la signature du pape François.

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  • Samedi 19 mars 2016 à 20 heures à la Cathédrale de Liège : Passions de Choeur

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    19 mars 2016 à 20h à la Cathédrale de Liège

    Passions de Chœur
    les plus belles pages d’oratorios de
    Bach, Brahms, Haendel, Mozart, Vivaldi, Verdi…

    Le Chœur Universitaire de Liège

    avec Julie Mossay et Pierre-Luc tremblay
    avec l’Ensemble Darius
    Patrick Wilwerth à la direction

    avec la participation exceptionnelle de
    Armel Job, écrivain, Yaël Nazé, astrophysicienne et Jean-Marc Onkelinx, musicologue

    cliquez ci-dessous pour réserver:

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    JPSC 

  • Prédication du pape François sur l'évangile de la femme adultère (5e dimanche de carême)

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  • Vous avez dit : "projet parental" ?

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    Lu sur "Le coin des experts" du site de Gènéthique (Benoît Bayle) :

    LE PROJET PARENTAL LÉGITIME-T-IL LA VENUE DE L’ENFANT ?

    Introduit à l’occasion des lois de bioéthique successives, le « projet parental » devait au départ préciser les conditions d’accès d’un couple homme-femme à la procréation médicalement assistée (PMA). Au fil des années, ce concept s’est de plus en plus assimilé au désir d’enfant, qui légitimerait seul la dignité de l’embryon. Gènéthique fait le point avec le docteur Benoît Bayle. 

    Le projet parental est devenu une notion clé qui étaie l’édifice procréatique : « De l’avortement aux techniques de procréations [artificielles], c’est la toute-puissance du ‘projet parental’ qui fait le lien. Confrontée à une absence de projet parental ou, aussi bien, à un projet qui se révèle décevant, défaillant, une femme avorte. Animées par un projet parental que la nature refuse de servir, des personnes vont demander à la technique la réalisation de l’enfant rêvé »[1]. C’est également au nom d’un projet parental que le couple choisit d’avoir recours à la contraception, ou décide de l’arrêter. Le projet parental constitue un incontestable fil conducteur dans la gestion de l’engendrement. Très en vogue, prolongement du paradigme de l’enfant dit « désiré », il gouverne nos mentalités, car il procède d’une sorte d’arrangement sociétal, qui permet de justifier, non seulement la pratique de l’avortement comme le suggère le sociologue Luc Boltanski[2], mais aussi, plus largement, l’instrumentalisation de l’être humain conçu depuis sa première forme embryonnaire jusqu’à des stades prénataux plus tardifs.

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  • Le calvaire de l'Eglise orthodoxe sous le régime communiste et athée de l'URSS

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    Sur le site "Orthodoxie" (http://orthodoxie.com/persecutions-contre-leglise-orthodoxe-en-urss/) :

    Les persécutions contre l’Eglise orthodoxe en URSS 

    Jamais, dans l’histoire de l’Eglise universelle, une persécution ne fut aussi importante, étendue dans l’espace et le temps et ininterrompue que celle qui sévit en URSS au XXe siècle. Les persécutions des trois premiers siècles de la chrétienté avaient un caractère local et ne duraient que quelques années. Même la persécution la plus terrible, sous Dioclétien et ses successeurs, qui commença en 303, n’aura duré que 8 ans.

    En 1917-18, pendant une période difficile pour la Russie (Première Guerre mondiale, révolution russe), se réunit à Moscou le concile de l’Eglise orthodoxe russe, durant lequel le Patriarcat fut restauré après une période de trois cents ans. Le métropolite Tikhon fut élu patriarche de Moscou et de toutes les Russies. A cette époque, on comptait en Russie environ 60 mille églises et 117 millions d’orthodoxes répartis en 73 diocèses.

    LA PREMIERE VAGUE DE PERSECUTIONS (1917–1920). 
    Prise du pouvoir, pillage massif des églises, exécution des clercs.

    Les persécutions contre l’Eglise orthodoxe russe ont commencé au moment de la révolution de février 1917, avant l’arrivée des bolcheviques au pouvoir. L’une des actions anticléricales les plus significatives du gouvernement temporaire fut la suppression du pouvoir canonique des évêques dans leurs diocèses, puisque tout le pouvoir de l’église se transmettait de facto par les conseils diocésains, et la confiscation de toutes les écoles de paroisse de l’Eglise russe orthodoxe. Cependant, les persécutions contre l’Eglise orthodoxe russe n’atteignent de véritable envergure qu’après les bouleversements de 1917.

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  • Unité pastorale de Stockel-aux-Champs : garder les paroisses ouvertes et vivantes

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    Une pétition circule sur le net :

    Gardons nos paroisses ouvertes !

    Mon clocher, mon curé, le coeur de mon quartier !

    Souhaitez-vous que deux de ces quatre paroisses disparaissent : Sainte Alix / Saint Paul / N-D de Stockel /        N-D de l’Assomption ?

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    Nous demandons à Monseigneur Kockerols de garder nos paroisses, ouvertes et vivantes !

    Merci pour votre soutien,

    (Collectif de l’Unité pastorale de Stockel-aux-champs - Mon église au milieu de mon village)

    http://www.petitions24.net/gardons_nos_paroisses_ouvertes

     

  • 304 enfants à naître sauvés de l’avortement

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    40Days_podcast_750x450.pngDe "Riposte Catholique" :

    C’est la magnifique nouvelle que nous transmet aujourd’hui la coordination de la campagne des 40 Days for Life. Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement ! Grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…

  • ONE OF US lance son forum européen

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    ONE OF US lance son forum européen par KTOTV