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Actualité - Page 1438

  • En Belgique, on débat de l'extension de l'euthanasie aux mineurs

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  • Trois revirements significatifs du pape François

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    Le pape fait lui aussi son autocritique. En l’espace de quelques jours, François a corrigé ou fait corriger quelques éléments significatifs de son image publique. Au moins trois..

    • Il abaisse le "rating" de l’interview qu’il a accordée à Scalfari.
    • Il rectifie ses jugements sur le concile Vatican II.
    • Il prend ses distances par rapport aux courants progressistes qui l’ont le plus applaudi jusqu’à présent.

    Mais les médias ne parlent pas de son changement.

    A découvrir sur le site "chiesa.espresso" de S. Magister

  • Espagne : l'avortement légalisé en sursis ?

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    1238310982_1.jpgDe Nouvelles de France :

    L’avortement bientôt interdit en Espagne ?

    C’est une promesse de campagne du gouvernement actuel qui n’a toujours pas été tenue. Dimanche dernier, des dizaines de milliers d’Espagnols répondaient malgré le froid et la pluie à l’appel des nombreuses organisations pro-vie en défilant dans 47 villes du pays pour demander la loi anti-avortement maintes fois promise par le ministre de la Justice Alberto Ruiz-Gallardón. L’association Derecho a Vivir (Droit de vivre) rappelle que ce sont plus de 300 enfants qui sont tués en moyenne chaque jour (environ 120 000 par an) dans le cadre de la loi actuelle qui autorise les avortements sans raison médicale jusqu’à la 14e semaine de grossesse. Cette quatrième Marche annuelle pour la Vie se déroulait sous le slogan « L’Espagne pour l’avortement zéro. Pour une vie qui n’est pas raccourcie ».

    Cela fait deux ans que le Parti Populaire gouverne en Espagne avec la majorité absolue au parlement. Le ministre de la Justice a promis six fois des délais qu’il n’a pas tenus. La dernière fois, c’était pour le mois d’octobre dernier. Aujourd’hui, à défaut de donner une septième date, il affirme simplement que la loi est « imminente » en expliquant que l’avortement est un sujet complexe mais que la loi est très avancée. Comme l’année dernière, les marcheurs de dimanche ont prévenu le gouvernement : ils ne veulent ni de l’avortement du PSOE (le parti socialiste espagnol), ni de l’avortement du PP (le parti populaire du premier ministre Mariano Rajoy). Car avant la légalisation de l’avortement à la demande par les socialistes en 2010, l’exception à l’interdiction d’avorter en cas de danger pour la santé mentale de la femme enceinte permettait tous les abus. C’est cette loi de 1985 qui avait permis au docteur Morín, un gynécologue, de réaliser près d’une centaine d’avortements illégaux et à un tribunal de Barcelone de l’innocenter le 30 janvier dernier avant que la Cour suprême espagnole n’annule récemment ce jugement (le gynécologue encourt une peine de 270 années de prisons). C’est aussi cette loi qui avait fait de l’Espagne la destination européenne des femmes candidates à un avortement tardif.

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  • Afrique : folies meurtrières

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    Il n’y a pas que les guerres du coltan dans le nord-est de la « république démocratique » du Congo. Non loin de là, une fois franchie la frontière du côté de Bangassou, c’est la folie du diamant qui mine l’ancien Oubangui-Chari, abandonné à lui-même par la France en 1960 (13 août),  la même année que le Congo par la Belgique (30 juin).

    Sur le site web de « La Vie », une excellente explication audiovisuelle d’Anne Guion (3 minutes pour comprendre : la malédiction du diamant en Centrafrique) JPSC.

  • L'Union Européenne n'a pas à financer les recherches sur les cellules embryonnaires humaines

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    De COMECE Press

    Horizon 2020 : l’UE ne devrait pas financer des recherches sur les cellules souches embryonnaires humaines

    Le succès de la récente initiative citoyenne “Un de nous” devrait finir par convaincre le Parlement européen de mettre un terme au financement d’activités de recherche qui impliquent la destruction d’embryons humains. L’Union européenne ne peut ignorer la voix de près de 1,9 million de citoyens européens ayant signé cette initiative.

    Le Parlement européen est sur le point de voter sur « Horizon 2020 », le nouveau programme de recherche et d’innovation pour la période 2014-2020. Cependant, le texte soumis au vote en plénière par la Commission parlementaire « Industrie, Recherche et Energie » comporte toujours la possibilité de financer la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines (CSEh).

    Ethiquement et juridiquement contestable

    Le texte proposé fait l’impasse sur la récente décision dans l’affaire Greenpeace v. Brüstle, par laquelle la Cour européenne de Justice a réaffirmé la protection légale de l’embryon humain, défini comme "tout ovule humain dès le stade de la fécondation"

    Par ailleurs, la Commission parlementaire « Affaires juridiques » - compétente en matière d’interprétation du droit européen et d’examen des questions éthiques relatives aux nouvelles technologies – avait adopté un avis défavorable au financement européen pour la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines. Cet avis devrait être pris en compte.

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  • Euthanasie des mineurs : souffrance physique et mort à brève échéance

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    Euthanasie des mineurs : souffrance physique et mort à brève échéance

    L’euthanasie pour les mineurs pourrait être votée en Commissions réunies Justice et Affaires sociales mercredi prochain.  Les quatre auteurs (MR, PS, Open VLD et SP.A) des propositions visant à étendre aux mineurs le bénéfice de la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie ont déposé plusieurs amendements à leur texte originel qui renforcent les conditions et permettraient à des enfants de demander à être euthanasiés. Dans leur texte réécrit, l’enfant devrait invoquer des souffrances physiques inapaisables dans le cadre d’une pathologie grave et incurable – ceux dont la souffrance serait psychique, n’entreraient plus en ligne de compte. Ils excluent désormais aussi la possibilité pour les mineurs de demander l’euthanasie quand le décès n’est pas prévu à brève échéance. La possibilité de demander l’euthanasie quand on n’est pas en fin de vie serait donc réservée aux adultes. L'accord des représentants légaux serait requis.Pour le sénateur CDH, Francis Delpérée, ces modifications rendent la proposition incohérente et dénaturent la philosophie initiale de la loi : « Nous ne sommes plus dans une optique d’élargissement, mais dans deux régimes totalement différents pour les adultes et les mineurs ».  Au-delà du principe même d’accorder l’euthanasie aux enfants, le sénateur s’oppose ici à la méthode utilisée, notamment en ce qui concerne la majorité alternative : «Moi, je suis loyal : je fais partie d’une majorité gouvernementale et parlementaire et je travaille dans ce cadre ». Le CD&V, en position délicate, a demandé qu’un texte de synthèse comprenant les amendements et sous-amendements soit déposé. La sénatrice Else Van Hoof demande aussi de nouveaux conseils de psychologues en termes de discernement. … Pour Jacques Brotchi, sénateur MR et chirurgien, il est très probable que l’extension de la loi soit votée mercredi : « Si les sénateurs libéraux, socialistes et ceux de la N-VA votent, nous avons déjà la majorité au point de vue de la commission sénatoriale. Mais cela ne signifie pas qu’on aurait ensuite la majorité en plénière ». La loi devrait en effet ensuite passer en séance plénière au Sénat avant d’être examinée puis votée à la Chambre. 

    Source : Le Soir 20/11/2013 et La Libre

  • Le calvaire des chrétiens du Moyen-Orient

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    Sur JOL Press : Moyen-Orient: le calvaire des chrétiens face à l'islamisme

    Le pape François rencontre, jeudi 21 novembre au Vatican, les patriarches et archevêques majeurs des Églises orientales, afin de réfléchir à l’aide qui pourrait être apportée aux communautés chrétiennes vivant dans des zones de tension telles que la Syrie, l’Irak ou l’Égypte, et qui craignent la montée de l’islamisme radical. Entretien avec Mgr Pascal Gollnisch, prêtre catholique français, directeur général de l’Œuvre d’Orient, association consacrée à l’aide aux chrétiens d’Orient.

    JOL Press : Le pape rencontre aujourd'hui, au Vatican, les patriarches et archevêques des Églises orientales. Que doit-on attendre de cette rencontre ?

    Mgr Pascal Gollnisch : Cette rencontre prend place dans ce que l’on appelle la plenaria de la Congrégation pour les Églises orientales, c’est-à-dire une réunion de tous les conseils de cette Congrégation, qui est composée de cardinaux et d’évêques du monde entier. 

    C’est une réunion habituelle – la dernière a eu lieu en 2009 avec Benoît XVI – qui permet de discuter des orientations à prendre pour les trois années à venir. À cette occasion, le pape rencontre les patriarches des Églises historiques – Antioche, Alexandrie, Jérusalem, Damas, Bagdad – et les archevêques majeurs – sortes de patriarches dans des pays comme l’Ethiopie, l’Ukraine, la Roumanie, et l’Inde.

    Ils vont pouvoir s’exprimer devant le pape et dire quelles sont leur préoccupations. Plusieurs points devraient être évoqués : la vie de ces Églises dans les pays qui sont actuellement en conflit – la Syrie, l’Égypte et l’Irak en particulier –, les négociations diplomatiques entre le Saint-Siège et l’État d’Israël pour fixer le statut administratif des communautés chrétiennes en Terre sainte, la manière dont fonctionnent ces Églises, la question du dialogue interreligieux et des relations avec l’Islam.

    Une autre question qui sera sûrement abordée concerne la diaspora des chrétiens orientaux qui ont quitté leur pays d’origine. Cette diaspora est importante, notamment en Europe – par exemple en Suède – mais aussi au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine et en Australie. Cette diaspora appauvrit d’un côté les territoires historiques, mais peut en même temps être une force car les chrétiens de la diaspora apportent un soutien à leur Église d’origine.

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  • Euthanasie : s'adresser à nos représentants

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    A qui envoyer nos mails de contestations par rapport à la loi euthanasie pour les mineurs ?

    Commissions réunies de la Justice et des Affaires sociales 


    Justice

    Président

    Premier Vice-Président

    Deuxième Vice-Président

    Membres

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  • Sainte-Sophie d’Istanbul peut-elle redevenir une mosquée ?

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    mosquée Sainte Sophie.jpgLu sur le site du journal « La Croix » :

    « La mosquée Sainte-Sophie sourira bientôt de nouveau », a affirmé samedi dernier, à Istanbul, le vice-premier ministre turc Bülent Arinç, affirmant qu’« un lieu de culte ne peut pas servir à une autre fonction que celle initiale ».

     Pour le spécialiste du christianisme oriental Sébastien de Courtois, historien français installé à Istanbul, cette nouvelle déclaration traduit la volonté du parti au pouvoir d’imposer sa vision de l’islam à l’ensemble de la société turque.

    « La branche la plus conservatrice de l’AKP (parti islamo-conservateur au pouvoir) et les nationalistes du MHP (parti nationaliste) n’ont jamais véritablement abandonné cette idée de pouvoir récupérer Sainte-Sophie pour la réaffecter au culte musulman. Cette déclaration reflète la lame de fond qui tend à grignoter progressivement tous les actes symboliques posés par Mustafa Kemal Atatürk (1881-1938).

    Sa décision, en 1934, de faire de Sainte-Sophie un musée, c’est-à-dire un lieu de non-conflit, ni chrétien ni musulman, protégé par le ministère de la culture et affranchi de l’administration religieuse, est l’une des plus marquantes. Il avait également souhaité que soient décrochés les grands panneaux circulaires islamiques installés au XVIe  siècle, à l’époque de Soliman le Magnifique.

    « SONDER L’OPINION INTERNATIONALE »

    Or, dès 1951, le Parti démocrate, ancêtre de l’AKP, les a fait remettre en place : l’idée de rétablir Sainte-Sophie en mosquée remonte à cette période. Les mêmes craintes pèsent sur l’église de Trébizonde, dans le nord-est du pays, également musée, que la municipalité AKP aimerait voir rendue au culte musulman (1). À terme, Sainte-Sophie d’Istanbul risque de subir les mêmes pressions, j’en suis convaincu. Les déclarations politiques n’ont d’autre objectif que de sonder l’opinion internationale et la capacité de résistance de ceux qui s’opposent. À commencer par les chrétiens, dont la voix est minoritaire en Turquie.

    Non content d’être une aberration historique, ce projet constitue une remise en cause des principes républicains d’une Turquie laïque qui avait su se réconcilier avec son passé, en pacifiant des lieux hautement symboliques comme Sainte-Sophie. À mon sens, elle ne peut redevenir ni une mosquée ni même une église. Elle doit rester un symbole pour tous les citoyens de Turquie, et au-delà, pour l’humanité. »

    Recueilli par François-Xavier Maigre

    (1) Le tribunal administratif local vient de freiner ce projet. En 2011, jusque-là musée, l’église Sainte-Sophie de Nicée (qui avait accueilli le concile de 787) est quant à elle devenue une mosquée. »

    Réf. Sainte-Sophie d’Istanbul peut-elle redevenir une mosquée ?

    La Grèce, par la voix de son ministre des affaires étrangères, Elefthérios Venizelos, a réagi très vivement à ces propos mais la Turquie a aussitôt rétorqué qu’elle n’avait « rien à apprendre » de la Grèce en matière de liberté de culte et de préservation du patrimoine. D’après lui, « le mauvais traitement infligé par la Grèce aux objets culturels datant de la période ottomane et des lieux de culte est connu de tous ». Ambiance. JPSC. 

  • De Benoît XVI à François : la perception d'un journaliste

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    Sur son blog "Carnets du Vatican", Bosco d'Otreppe donne la parole à Jean-Louis de La Vaissière, journaliste à l'AFP et auteur d'un livre sur la transition de Benoît XVI à François :

    extraits :

    Comment comprendre les pontificats et les personnalités si complexes des deux derniers papes ? Jean-Louis de La Vaissière réajuste nos perceptions dans un livre très complet.

    (...) Au fil de plus de 300 pages, le journaliste dresse le portrait de ces derniers papes, et parvient à leur rendre justice en nous offrant de leurs pontificats une perception très précise. (...)

    B. d'O. : Répondre au problème de perception qui mine le regard que le monde porte sur l'Église, c'est votre constat en tant que journaliste, et ce à quoi vous avez voulu répondre en écrivant ce livre ?

    J.L. de la Vaissière : Quand en 2011 je suis arrivé à Rome, j'ai eu cette impression très triste d'une perception négative de l'Église dans les grands médias. Ils soulignaient sans arrêt les scandales de pédophilie, de corruptions... en ne voyant rien d'autre de bon, et en faisant le portrait d'un pape enfermé dans sa tour d'ivoire avec beaucoup de réactionnaires vieux jeu autour de lui. Très vite j'ai entendu ce que disait Benoît XVI, j'ai découvert sa pensée, et j'ai eu envie de lui rendre un peu justice, de redresser la barre en écrivant son portrait. J'aimais la dignité de ce vieil homme que ses proches qualifiaient de doux et humain, mais chez lequel on sentait aussi une souffrance. J'ai voulu donc décrire un drame humain qui se jouait au Vatican avec des affaires comme Vatileaks, lors de laquelle il a été trahi par son majordome, celui qui le servait au quotidien.

    Une perception négative de Benoît qui tranche avec celle que l'on a de François.

    Dès le premier soir, il y a eu une perception du pape François très positive. C'était à juste titre, mais cela a éveillé en vue de son pontificat des attentes absolument disproportionnées. On a beaucoup dit en Occident qu'il allait révolutionner l'Église, l'adapter à la société, l'accorder aux grandes évolutions en matière de mœurs... Je crois que c'est aussi une illusion.

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  • Le chant du silence

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     L’ACADÉMIE DE CHANT GRÉGORIEN À LIÈGE ROUVRE SES PORTES

    LE 30 NOVEMBRE 2013

    Le grégorien (ci-dessus: le chant des moniales à Kergonan) vous intéresse? Voici deux offres de cours organisés par l’Académie de Chant grégorien à Liège, pour la saison 2013-2014 :

    stéphan Junker.jpg→ Avec Stéphan JUNKER, professeur au conservatoire de Verviers et Gérald MESSIAEN, membre du chœur grégorien de Leuven, un cycle d’initiation, axé cette année sur les plains chants tardifs : douze leçons, un concert et une messe de clôture (cours de fin novembre 2013 à fin mai 2014, dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement, Boulevard d’Avroy, 132 : inscriptions le 30 novembre 2013 au plus tard)

     

    marcel-peres.jpg→ Avec Marcel PÉRÈS, directeur de l’Ensemble vocal « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes), trois séminaires thématiques (le chant vieux romain, du 20 au 22 décembre 2013 ; la notation neumatique carrée, du 10 au 12 janvier 2014 ; le plain chant médiéval entre Meuse et Rhin, du 7 au 9 mars 2014 (à l’abbaye bénédictine de la Paix Notre-Dame, Boulevard d’Avroy, 54 : inscription le 10 décembre 2013 au plus tard).

    On peut naturellement répondre à l’une et l’autre des deux offres.

    Renseignements et inscriptions : secrétariat de l’académie à Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, B-4020 Liège. Tél. 04.344.10.89(en cas d’absence : tél. portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). Courriel :jpschyns@skynet.be

    Voyez aussi le site web : http://www.gregorien.be sur lequel on peut s’inscrire en ligne.

    Pour plus de détails sur l’organisation des cours, ici:  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • La Belgique, plaque tournante du trafic d'oeuvres d'art religieuses

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    Un ami nous écrit :

    La Belgique n'est pas seulement renommée en France pour ses lois sur le mariage gay et sur l'euthanasie. Elle l'est aussi pour le trafic à grande échelle d'oeuvres d'art catholiques. Comme le dit un revendeur : «Les autorités ecclésiales belges abandonnent le patrimoine religieux en vendant les églises et tous leurs biens à des chaînes hôtelières ou des promoteurs immobiliers qui les détruisent, alors autant les sauver du massacre et contenter les collectionneurs qui, eux, les respectent». Les marchands du Temple se sont recyclés en plus lucratif. Ils revendent carrément les biens du Temple.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/21/01016-20131121ARTFIG00551-un-reseau-de-pilleurs-d-eglises-demantele-dans-le-nord.php