Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 1720

  • Faut-il éviter de se dire chrétien en politique ?

    IMPRIMER

     Lu sur le site de l’agence « cathobel » : 

    468007-d80055b81847266e4af5ab39eda1709d.jpgLe sénateur CD&V Rik Torfs, par ailleurs professeur de droit canon à la KUL, a lancé une pavé dans la mare ce week-end, en critiquant, entre autres, la mise en veilleuse de l’appartenance chrétienne de la doctrine de son parti (…)

    Faut-il avoir peur de se dire chrétien dans la vie active ? C’est un peu ce qu’on pourrait croire au vu de ce qui se passe en politique. Rappelons-nous le tollé qu’a fait la révélation de Jean-Michel Javeaux, co-président d’Ecolo lorsqu’il s’est dit croyant. Depuis quelques années, les politiques semblent, dans leur majorité, « frileux » de se revendiquer des valeurs de l’Evangile, qui sont pourtant des valeurs humanistes. Le Christ est le premier « humaniste ». Au fil des ans, le PSC est devenu cdH, l’Université Catholique de Louvain (UCL) a longtemps débattu sur l’opportunité de garder le « C » dans son appellation. Même les Scouts catholiques de Belgique sont devenus les scouts de Belgique. Exit le mot « catholique ».(…)

    Pour en revenir à Rik Torfs, il a reçu ce dimanche le soutien de certains milieux chrétiens dui nord du pays, ainsi que de la section des jeunes de son parti. Rassurant ! Le président des jeunes du CD&V, Pieter Marechal, a jugé que Rik Torfs a, à tout le moins, formulé plusieurs remarques à bon escient et que « le chemin du redressement est encore long » pour ce parti lourdement défait aux dernières législatives, et actuellement toujours sous les 15% dans les sondages.  Les Jeunes CD&V plaident en faveur d’un « axe fort » Beke-Torfs pour remettre l’idéologie du parti sur les rails. Un congrès de refondation du parti s’impose, selon eux. Les étudiants chrétiens-démocrates (CDS) de Gand et d’Anvers suivent Rik Torfs, déplorant que le CD&V, « par crainte de perdre davantage de voix, repousse depuis des années le débat idéologique« . Pour les conservateurs de la Christenunie (Union chrétienne), le CD&V est devenu un « caméléon politique« . « S’il ne se reprend pas, il ferait mieux de disparaître et laisser la place à une nouvelle génération de chrétiens volontaires et fiers » .(…) Alors ?  A quand un vrai débat sur valeurs de l’Evangile en politique et en dans la vie active ? Ici : Faut-il éviter de se dire chrétien en politique ?

    Selon « La Libre », les critiques du sénateur Rik Torfs sur son parti le CD&V ne donneront pas lieu à une sanction à son égard mais les démocrates-chrétiens flamands en discuteront en interne, a indiqué dimanche le secrétaire d'Etat CD&V Servais Verherstraeten. (…) Le président du CD&V Wouter Beke a "invité" le professeur de droit canon pour une discussion. Il n'est pas question d'une exclusion du parti. Si Rik Torfs "veut porter avec nous les valeurs de la démocratie chrétienne auprès de l'électeur, je pense que l'on peut encore en récolter du succès", a-t-il commenté.  

    « La Libre » titre par ailleurs : Rik Torfs torpille son propre parti . Le point de vue d'un journal post-chrétien ?

  • Cherchez où est l'erreur...

    IMPRIMER

    Nous lisons ceci sur Radio Vatican à propos de la journée qui a précédé le consistoire d'hier:

    "Les cardinaux ont rempli leur rôle de conseil auprès du Pape. Pendant toute cette journée, 27 d’entre eux ont pris la parole et se sont exprimés sur différents sujets, allant parfois bien au-delà de la nouvelle évangélisation, objet central de leur attention. Certains ont abordé les problèmes de cette nouvelle annonce de l’Evangile dans des régions et des cultures différentes les unes des autres. Parlant de l’urgence éducative, du renouvellement de la catéchèse pour faire face à l’analphabétisme religieux, de la transmission de la foi aux jeunes, de la formation des évangélisateurs, ils ont souligné la nécessité d’une foi mûre, capable de témoigner et de juger la réalité du monde. Leur boussole doit être le concile Vatican II comme l’a rappelé Benoît XVI à la fin des débats. Le concile et ses précieux contenus de vérité. « Sans cette vérité, nous ne savons pas où aller, avec elle, au contraire a affirmé le pape, la vie est riche et belle ». C’est cette conviction qui permettra de re-évangéliser l’humanité d’aujourd’hui selon Benoît XVI. Malgré les ombres et les difficultés évidentes, les cardinaux, tous autour du pape, ont au moins salué les nouvelles réalités ecclésiales, les journées mondiales de la jeunesse, ou les congrès eucharistiques internationaux : autant de signes positifs et encourageants."

  • Sept points pour résumer la nouvelle évangélisation

    IMPRIMER

    C'est ce que propose l’archevêque de New-York, comme le rapporte "Americatho"

    "Hier, à la veille du jour où il recevra la barrette rouge des nouveaux princes de l’Église, Mgr Timothy Dolan, archevêque de New York et cardinal désigné, a livré, lors de la journée de réflexion et de prière qui réunissait autour de Benoît XVI les cardinaux et les cardinaux désignés, ses sept points pour la nouvelle évangélisation.

    1. Se souvenir que même ceux qui se vantent de leur sécularisme, ont un désir inné du divin ; la première étape de l’évangélisation doit être de maintenir vivante la quête de Dieu.

    2. « N’ayez pas peur », soyez confiants, sans triomphalisme, puisque c’est par son pouvoir que Dieu envoie son peuple évangéliser.

    3. Savoir que la nouvelle évangélisation ne consiste pas à proposer une doctrine ou un système de croyance, mais une Personne dont le nom est Jésus.

    4. Cependant, ce Jésus est la Vérité et donc, par conséquent, l’évangélisation est liée à la catéchèse.

    5. La personne qui évangélise doit être emplie de joie : elle est quelqu’un qui sourit.

    6. La nouvelle évangélisation c’est une affaire d’amour, l’amour de Dieu rendu concret dans le service.

    7. Et pour finir, le martyre. Un rappel que désormais l’Église est peuplée de ceux qui endurent la persécution pour leur foi et que ces martyrs donnent un élan à la nouvelle évangélisation.

    La joie est le grand secret des chrétiens, disait Chesterton. Timothy Dolan est-il le plus chestertonien des cardinaux ?"

  • Le malaise au Vatican: un diagnostic sévère mais juste?

    IMPRIMER

    Vittorio Messori se livre à une analyse sévère mais sans doute assez juste des maux dont souffre l'Eglise à son sommet. Notre amie de "Benoît et moi" en fait paraître la traduction sur son site. On la lira avec profit ici: http://benoit-et-moi.fr

    Extrait :

    "...nous l'avons dit, il semble qu'il y ait aussi un effondrement moral, qui n'est pas seulement sexuel (problèmes pédophiles, mais pas seulement), mais aussi le retour, presque comme à l'époque de la Renaissance, de palais du Vatican réduits à des nœuds d'intrigues et de luttes pour les carrières , le pouvoir, l'argent, les intérêts politiques et idéologiques. Eh bien là, il n'y a pas de réforme qui tienne, il n'y a pas de remède uniquement humain. Là, toutes les techniques de "réorganisation de l'entreprise" sont ridiculement impuissantes et doivent s'ouvrir au «scandale» de la prière."

  • Les paroles fortes du pape lors du consistoire de ce 18 février

    IMPRIMER

    Cité du Vatican, 18 février 2012 (source : VIS). A 10 h 30', le Saint-Père a présidé en la Basilique vaticane le sixième consistoire ordinaire public pour la création de vingt deux Cardinaux, auxquels il a remis la barrette, l'anneau et le titre ou diaconie. Après la prière introductive et la lecture de l'Evangile, Benoît XVI a prononcé l'allocution dont voici de larges extraits :

    « Tu es Petrus, et super hanc petram aedificabo Ecclesiam meam... C’est sur ces paroles du chant d'entrée que s'est ouvert le beau rite consistorial... Ce sont les paroles par lesquelles Jésus a constitué Pierre comme fondement solide de l’Eglise. De ce fondement, la foi représente le facteur qualificatif. De fait, Simon devient Pierre, le roc, car il a professé sa foi en Jésus Messie et Fils de Dieu... Les paroles que Jésus adresse à Pierre mettent bien en évidence le caractère ecclésial de l’événement d’aujourd’hui. Les nouveaux Cardinaux, en effet, par l’attribution du titre d’une église de cette ville, sont insérés à tous les effets dans l’Eglise de Rome, guidée par le Successeur de Pierre, pour coopérer étroitement avec lui au gouvernement de l’Eglise universelle... Dans cette tâche délicate, le témoignage de foi donné à travers sa vie et sa mort par le Prince des Apôtres, qui, par amour du Christ, s’est donné totalement lui-même jusqu’au sacrifice ultime, sera pour eux un exemple et une aide... C’est en ce sens qu’il faut comprendre aussi l’imposition de la barrette rouge. Aux nouveaux Cardinaux est confiée le service de l’amour, l'amour pour Dieu, l'amour pour son Eglise, l'amour pour le prochain avec un dévouement absolu et sans condition, jusqu’à l’effusion du sang, si nécessaire, comme le dit la formule de l’imposition de la barrette et comme l’indique la couleur rouge de leurs habits. En outre, il leur est demandé de servir l’Eglise avec vigueur, avec la clarté et la sagesse des maîtres, avec l’énergie et la force morale des pasteurs, avec la fidélité et le courage des martyrs. Il s’agit d’être d’éminents serviteurs de l’Eglise qui trouve en Pierre le fondement visible de l’unité.

    Lire la suite

  • Un "buzz" révélateur dans l'Hexagone

    IMPRIMER

    Les propos politiquement et culturellement "incorrects" d'un député du Nord lui ont valu un lynchage médiatique orchestré par les lobbies LGBT; à découvrir ici : libertepolitique.com

  • Unanimité des évêques des USA contre un mandat fédéral d'Obama

    IMPRIMER

    Nous lisons sur "Americatho" :

    C’est un fait, un fait massif, un fait que l’on n’aurait, à coup sûr, pas pu constater voici quelques années encore : selon le compte très précis de Thomas Peters, tous les évêques diocésains américains, sans aucune exception, se sont prononcés contre le mandat fédéral (décret du ministère de la Santé des États-Unis) promulgué en application de l’ObamaCare et obligeant les institutions catholiques à souscrire des polices d’assurance santé pour leurs employés, couvrant et remboursant la contraception (y compris les substances abortives, RU 487, pilules dites du “lendemain” ou du “surlendemain”) et la stérilisation. C’est l’honneur de l’épiscopat américain que d’avoir, dans cette folie idéologique d’Obama et de sa bande, défendu unanimement le droit à la liberté religieuse et à la liberté de conscience aux États-Unis, telles qu’elles sont constitutionnellement établies dans le Premier Amendement. L’épiscopat américain vient d’écrire une page particulièrement significative de l’histoire des États-Unis !

  • Les enjeux éthiques de combats qui se livrent au niveau international...

    IMPRIMER

    headerLogo.jpgAustin Ruse, président du C-Fam communique :

    Tim Herrmann était présent lors des séances du Comité des ONG du Conseil économique et social de l’ONU. Ce rassemblement de représentants est compétent pour approuver ou rejeter les demandes de statut officiel auprès de l’ONU soumises par les organisations non gouvernementales. Lors des réunions qui viennent de se terminer, un groupe anti catholique ainsi qu’un groupe radical d’homosexuels et transsexuels se sont tous deux vus refuser le statut d’ONG officiel, au moins temporairement. Voir ici : Un comité de l’ONU ferme temporairement ses portes aux groupes de pression anti catholiques

    Wendy Wright quant à elle vous rapporte la résistance montante des gouvernements à l’encontre de l’agenda politique homosexuel et transsexuel. Alors que le gouvernement des Etats-Unis pousse un agenda de politique étrangère qui leur est favorable, les résistances s’intensifient même en Russie, qui a banni la propagande pro homosexuelle et transsexuelle. Voir ici : Les leaders politiques protègent le mariage et les enfants contre les doléances provenant des lobbys homosexuels et transsexuels

  • La confiance des Belges envers l'Eglise

    IMPRIMER

    Un ami de notre blog, JLC, nous adresse ces observations :

    "Un récent sondage indique que le niveau de confiance des Belges envers les institutions du pays n'a jamais été aussi bas. Parmi celles-ci, l'Eglise a vu son niveau de confiance chuter de façon particulièrement importante, au point de rejoindre le niveau de confiance des partis politiques, ce n'est pas peu dire!
     
    Cela vient sans doute de l'idée, maintenant largement répandue, que les autorités écclésiastiques étaient informées de faits de pédophilie mais auraient préféré, pour diverses raisons, ne pas prendre les mesures d'écartement des fautifs, même si cette idée est sans doute en partie erronée dans les faits.
     
    On peut évoquer les motifs suivants :
    - Peur de nuire à la réputation de l'institution;
    - Peur de ne pas trouver de remplaçant en raison du manque de vocations;
    - Sympathie à l'égard des fautifs et faux espoir d'un changement de leur attitude;
    - Sous-estimation de l'ampleur du problème et des dégats psychologiques aux victimes;
     
    Ce faisant, les reponsables ont en réalité allumé sans le savoir une sorte de bombe à retardement qui a fini par exploser et causer d'immenses dégats, culminant avec l'affaire "Vangheluwe".
     
    Mais il y a peut-être une autre cause, moins connue, de cette chute du niveau de confiance : certains chrétiens s'interrogent maintenant sur la capacité de l'Eglise, largement réduite au silence, de porter et diffuser le message de l'Evangile dans notre société. Car ce qui se produit maintenant est une sorte de "pénitence de Canossa" à l'envers. L'attitude et surtout le ton de Mme Onkelinckx envers Mgr Léonard est explicite à cet égard.

    Je prie pour que notre Eglise sorte grandie de cette épreuve, pour que nos évêques ne se laissent pas réduire au silence par le pouvoir politique et retrouvent pleinement leur rôle de dignes successeurs de Saint Pierre, Saint Paul et de tous les Apôtres (1 Cor 9, 16)."

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 17 février 2012

    IMPRIMER

     

    images (4).jpgSommaire

     

  • Egypte : expulsion de familles coptes

    IMPRIMER

    Source : AED

    Egypte : des familles coptes expulsées d’un village près d’Alexandrie

    Le 14 février 2012

    Des milliers de musulmans fanatisés, guidés par des leaders salafistes, ont attaqué à plusieurs reprises les chrétiens coptes du village de Kobry-el-Sharbat (el-Ameriya), près d’Alexandrie. Des maisons et des magasins coptes ont été pillés avant d’être incendiés, ainsi que le rapporte l’agence de presse AsiaNews à Rome dans son édition du 9 février.

    L’agression, qui a débuté le 27 janvier 2012 et s’est poursuivie les jours suivants dans le silence des médias et avec la complicité de la police et des autorités politiques, a provoqué la fuite de 62 familles coptes. Le 30 janvier, les émeutiers ont à nouveau attaqué le village de Kobry-el-Sharbat, incendiant trois maisons appartenant à des chrétiens, sous les yeux des forces de sécurité.

    AsiaNews écrit que la violence a été provoquée par les accusations d’un coiffeur musulman du nom de Toemah, affirmant que Mourad Samy Guirgis, un tailleur copte de 34 ans, possédait sur son téléphone portable une photo « illicite » d’une femme musulmane. Rejetant ces accusations, mais craignant pour sa vie, Mourad s’est réfugié au poste de police.

    Pendant ce temps, la foule excitée a mis le feu à sa maison et à son commerce. Toute sa famille a dû s’enfuir du village. D’autres maisons et des magasins coptes ont été pillés avant d’être incendiés par des hommes barbus en blouses blanches. Appelées à l’aide, les forces de sécurité sont arrivées très tard sur les lieux, a témoigné le Père Boktor Nashed, de l’église St-George à el-Nahdah. « Ceux qui ont perdu leur maison ont quitté le village », a précisé le Père Nashed.

    Lire la suite