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Actualité - Page 1750

  • Grand concert du Choeur universitaire de Liège

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    logoweb.jpgEglise Saint-Jacques, Liège

    samedi 28 avril 2012 à 20 h

    Grand Concert du Choeur Universitaire de Liège 

     "COURONNEMENTS" 

    La Messe du Couronnement de WA Mozart,

    3 Coronation Anthems de G.F. Handel 

    «Un concert original et jubilatoire, où chœur, musiciens, solistes et Grandes Orgues rencontrent dans un dialogue surprenant un saxophone aux couleurs sonores chaleureuses et, fait exceptionnel, Handel et Mozart en personne. “Quand Handel rencontre Mozart » ou quand le jeu des voix et de la musique suscite les propos insolites de deux Grands Maîtres.  

    avec Céline Vieslet, soprano - Laura Balidemaj, alto - Steve Laird, ténor - Pierre Luc Tremblay, basse - l’Ensemble Tempus Musicale 

    Joelle Sauvenière aux Grandes-Orgues 

    Rhonny Ventat, saxophone 

    Richard Faymonville, Jean-Philippe Renaud, récitants 

    sous la direction de Patrick Wilwerth 

    réservations : 17 et 22€

    choeur@ulg.ac.be

    0498/42.34.17

     

    Vendredi 20 avril 2012 - 20h 

    Salle Académique de l’Université de Liège, place du 20 Aout. 

    CONFERENCE

    par Jean-Marc ONKELINX, musicologue

    La Messe du Couronnement” de Mozart

    “Hymnes du Couronnement” de Handel. 

    PAF : 5 € - pas de réservation

  • Jamel Debbouze: entre deux religions et deux cultures

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    Lu sur le site de “La Vie” ( extraits):

    Le comédien, à l’affiche du film Sur la piste du Marsupilami d’Alain Chabat, se livre sans tabous après les événements de Toulouse et revient sur son parcours.

    Il arrive vêtu avec une élégance toute classique, veste bleu marine, chemise bleu ciel. S’excuse de son – léger – retard et de ses lunettes de soleil. Mais il est "en quatre épi­sodes". Comprenez, lui qui ne boit jamais d’alcool, peine à émerger après le verre de gin tonic pris la veille pour célébrer l’avant-première du film Sur la piste du Marsupilami, comédie signée de son ami Alain Chabat, où il tient la vedette. Mais c’est – quelques jours après le drame de Toulouse – un Jamel grave qui se confie à La Vie. 

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  • 312-313 : une bataille et un édit décisifs pour la Chrétienté

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    Le Comité Pontifical des Sciences historiques

    organise actuellement en collaboration avec la Bibliothèque Apostolique Vaticane, le Conseil national des recherches italien (CNR), l’Institut Patristique Augustinianum de Rome, la Commission Pontificale d’Archéologie Sacrée, la Bibliothèque Ambrosienne de Milan, l’Université Catholique du Sacré-Coeur de Milan et l’Université publique de Milan – des activités et manifestations culturelles à l’occasion des 1700 ans de la Bataille du Pont Milvius (312-2012) et de l’Edit de Milan (313-2013) :

    • 1. à Rome, du 18 au 21 avril 2012, un Congrès historique international.
    • 2. à Milan, en 2013, un Congrès historique international et manifestations oecuméniques.
    • 3. des conférences magistrales et séminaires d’approfondissement à Rome et à Milan.

    Le Comité Scientifique : Rme P. Prof. Bernard Ardura. O. Praem, Prof. Don Cosimo Semeraro, Mgr Cesare Pasini, Mgr Franco Buzzi, R.P. Prof. Norman Tanner SJ, S. E. Mgr. Enrico dal Covolo SDB, R.P. Prof. Angelo Di Berardino OSA, M. le Chanoine Don Federico Gallo, Mgr Prof. Francesco Braschi, Prof. Roberto de Mattei, Prof. Giorgio Bonamente, Prof. Luigi Pizzolato, Prof. Giuseppe Visonà, Prof. Isabella Gualandri, Prof. Pierangelo Catalano, Prof. Fabrizio Bisconti.

    Les conférences : ici

  • France : une lettre ouverte aux candidats aux prochaines élections

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    Lettre ouverte aux candidats aux élections

     A l'attention des candidats aux élections présidentielles et législatives

    Mesdames, Messieurs,

    Observateurs attentifs de l'actuelle campagne, nous sommes contraints de noter que cette dernière n'est pas à la hauteur des enjeux.

    Les querelles de personnes et les luttes de coulisses empoisonnent l'esprit public.

    Malgré cela, nous ne pouvons pas nous désintéresser de ces importantes échéances électorales et nous tenons à vous faire connaître, loin des appartenances partisanes et des affinités légitimes, ce qui motivera notre vote, espérant que cette intervention de simples citoyens élèvera un peu le niveau d'une campagne trop médiocre.

    Catholiques pratiquants ou Français de bonne volonté, nous voterons, conformément à la loi naturelle et aux indications du Pape Benoît XVI, en fonction des principes non négociables : la promotion de la vie de la conception à la mort naturelle, le soutien de la famille traditionnelle, et la liberté éducative des parents, nous semblent un minimum au-dessous duquel nous quittons l'Etat de droit pour entrer dans la barbarie.

    Nous sommes, certes, bien conscients que d'autres sujets, qu'il s'agisse de la fiscalité, de l'immigration, de la protection sociale, ou de l'Europe sont cruciaux pour notre avenir.

    Pourtant, aucun de ces sujets ne peut avoir le moindre sens si l'Etat, au service d'un clan politique, choisit délibérément de rayer la dignité de l'être humain de ses préoccupations.

    Souhaitant que vous puissiez entendre les centaines de milliers de Français qui pensent, comme nous, que ces fameux principes non négociables sont le strict minimum que l'on puisse exiger d'un programme politique, nous vous prions instamment de nous rassurer sur ce thème dans les quelques semaines qui restent avant les échéances. Nous attendons votre positionnement définitif, qui orientera sans aucun doute notre vote et ceux de nos amis sur ces questions fondamentales pour le bien commun de la société.

    Vous priant de bien vouloir agréer, Mesdames, Messieurs, l'expression de nos sentiments respectueux, nous vous assurons de nos prières et notre attention vigilante.

    Signataires :

    • Mgr Marc Aillet (évêque de Bayonne-Lescar-Oloron)
    • Philippe Carhon
    • Rémi Fontaine (journaliste)
    • Daniel Hamiche (journaliste)
    • Michel Janva
    • Jean Lahire
    • L'abbé Hubert Lelièvre (prêtre du diocèse de Rome et fondateur de la famille missionnaire l'Evangile de la vie)
    • Jean-Pierre Maugendre (Président de Renaissance catholique)
    • Jean-Marie Le Méné (président de la Fondation Lejeune)
    • Hervé Rolland (président de Notre-Dame de Chrétienté)
    • Jeanne Smits (journaliste)
    • Guillaume de Thieulloy (journaliste)
    • Yves Weiss (président de Catholiques en campagne)

    Nos amis français peuvent signer cette lettre : ici

  • Un poisson d'avril

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    Lu sur Nephtar et Nephtali : "La municipalité de Saint-Thibaud-en-Valois va organiser un référendum pour changer le nom de la commune pour s'adapter à sa nouvelle population sous couvert de laïcité" ... mais cette information, reprise sur divers sites et blogs, est parue dans "L'Echo Valésien", le premier avril !

    Lu ici : La municipalité de Saint-Thibaud-en-Valois va organiser un référendum pour changer le nom de la commune. Une procédure extrêmement rare qui provoque quelques remous parmi une partie de la population. En cas de victoire du oui, un deuxième référendum ouvert à tous les habitants sans condition de nationalité sera organisé pour choisir le nouveau nom de la commune. Le maire (sans étiquette), Pierre Berger, s’en explique. En quelques décennies, la population de la commune (5300 habitants) a considérablement évolué «sociologiquement et culturellement» précise-t-il. A l’exode rural s’est ajoutée la venue de nouveaux résidents qui ont modifié «les caractéristiques de la population» nous a déclaré le maire.

    Pragmatique, il estime qu’il ne faut pas rester figé dans le passé : «Il est évident qu’un nom de commune à connotation religieuse catholique n’est plus anodin à notre époque de grandes migrations. Il faut tenir compte de la sensibilité des nouveaux habitants». [...] «Beaucoup de mes administrés ne se sentent plus concernés par le patrimoine historique et culturel de la commune. On peut le regretter mais je dois en tenir compte» ajoute-il. Une des deux églises qui n’est plus entretenue sera probablement détruite faute de moyens pour la restaurer. Quant à l’autre, «elle ne se remplit qu’aux grandes fêtes religieuses» affirme-t-il.

    Certains habitants ne comprennent pas l’organisation de ce référendum. «Je ne peux imaginer ma commune avec un autre nom !» s’insurge Bernard, un agriculteur à la retraite installé à une table du bar-tabac de la place. Ses voisins acquiescent. «J’ai beau ne pas être croyant, je suis très étonné par cette proposition» affirme pour sa part Jacques, lui aussi natif du lieu.

    Le maire, lui, n’en démord pas et persiste. «Ce référendum aura lieu. Je ne suis pas un homme du passé. Le devoir d’un maire est d’anticiper, de prévoir et de préparer l’avenir. Pas de s’arc-bouter sur des survivances archaïques qui n’intéressent plus personne».

  • Encore un disfonctionnement dans la curie romaine ?

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    jpg_1350218.jpgROME, le 11 avril 2012 – Par une lettre autographe adressée au cardinal William J. Levada, Benoît XVI a ordonné à la congrégation pour la doctrine de la foi d’examiner si les messes néocatéchuménales sont conformes ou non à la doctrine et à la pratique liturgique de l’Église catholique.

    Il s’agit là d’un "problème" que le pape considère comme "d’une grande urgence" pour toute l’Église.

    Benoît XVI s’inquiète depuis longtemps des modalités particulières selon lesquelles les communautés du Chemin néocatéchuménal célèbrent leurs messes, le samedi soir, dans des locaux séparés.

    Ce qui a encore augmenté son inquiétude, c’est ce qui s’est tramé dans son dos à la curie, l’hiver dernier,

    Ce qui s’est passé, c’est que le conseil pontifical pour les laïcs, présidé par le cardinal Stanislaw Rylko, avait préparé le texte d’un décret d’approbation globale de toutes les célébrations liturgiques et extra-liturgiques du Chemin néocatéchuménal, à rendre public le 20 janvier à l’occasion d’une rencontre prévue entre le pape et le Chemin.

    Le décret avait été rédigé sur les indications de la congrégation pour le culte divin, présidée par le cardinal Antonio Cañizares Llovera. Les fondateurs et leaders du Chemin, Francisco "Kiko" Argüello et Carmen Hernández, en avaient été informés et, tout joyeux, avaient annoncé de manière anticipée l’approbation imminente à leurs disciples.

    Le tout à l’insu du pape. Benoît XVI a eu connaissance du texte du décret quelques jours seulement avant la rencontre du 20 janvier.
    Il l’a trouvé incohérent et erroné. Il a ordonné qu’il soit annulé et réécrit selon ses indications.

    En effet, le 20 janvier, le décret qui a été rendu public se limitait à une approbation des cérémonies extra-liturgiques qui marquent les étapes catéchistiques du Chemin.

    Et le pape, dans son discours, a souligné que seules celles-ci étaient validées. En revanche, en ce qui concerne la messe, il a donné aux néocatéchumènes une véritable leçon – presque un ultimatum – à propos de la manière de la célébrer en pleine fidélité aux normes liturgiques et en communion réelle avec l’Église. Voir ici : Cette messe étrange dont le pape ne veut pas

    Que la Curie romaine soit traversée par une tension entre courants contradictoires, les médias nous en apportent régulièrement  l’écho de plus en plus manifeste,  mesurable aux efforts que Benoît XVI déploie pour instiller une réforme de la réforme conciliaire. C’est que  le temps presse : le pape a aujourd’hui 85 ans, même si l’avenir appartient à Dieu…

  • Le Ressuscité entre dans nos maisons et dans nos coeurs

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    (Source : Vatican Information Service) Le Saint-Père a consacré la catéchèse de l'audience générale de ce mercredi à la transformation que la Résurrection de Jésus produit sur ses disciples, pour réfléchir sur le sens de la fête de Pâques aujourd'hui pour les chrétiens. La foi au Ressuscité, a-t-il dit, "transforme notre vie: elle la libère de la peur, lui donne une ferme espérance, l'anime de ce qui donne tout son sens à l'existence, l'amour de Dieu". Puis il a rappelé qu'au soir de la Résurrection, les disciples étaient enfermés, remplis de peur et du souvenir de la passion du Maître. "Cette situation d'angoisse des disciples change radicalement avec l'arrivée de Jésus. Il entre, portes fermées, se tient au milieu d'eux et leur donne la paix qui devient pour la communauté une source de joie, la certitude de la victoire, la sécurité de pouvoir s'appuyer sur Dieu".

    Après son salut, Jésus montre aux disciples ses plaies, "signes de ce qui a été et que l'on n'oubliera plus jamais: son humanité glorieuse reste 'blessée'. Ce geste a pour but de confirmer la nouvelle réalité de la Résurrection: le Christ qui est désormais parmi les siens est une personne réelle, ce même Jésus qui, trois jours avant, fut cloué sur la croix. Et c'est ainsi que, dans la lumière fulgurante de la Pâque, dans la rencontre avec le Ressuscité, les disciples comprennent le sens salvifique de sa passion et de sa mort. Alors, ils passent de la tristesse et de la peur, à la pleine joie". Jésus les salue de nouveau: La paix soit avec vous. Il ne s'agit pas seulement d'un salut, a ajouté le Pape, mais "du don que le Ressuscité fait à ses amis; et c'est, en même temps, une mission: cette paix acquise par le Christ avec son sang, est pour eux, mais aussi pour tous, et les disciples devront la porter dans le monde entier... Jésus a terminé son œuvre dans le monde, maintenant c'est à eux de semer la foi dans les cœurs". Mais le Seigneur sait qu'ils sont encore emplis de peur. "C'est pourquoi, il accomplit le geste de souffler sur eux et les régénère dans son Esprit; ce geste est le signe de la nouvelle création. Avec le don de l'Esprit Saint qui provient du Christ ressuscité un monde nouveau a, en effet, commencé".

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  • Une rencontre inattendue... Excellent !

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    La bataille de l'euthanasie par A-D-V

  • Une contribution civilisationnelle des musulmans d'Europe ?

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    Communiqué de presse : parution d'un livre intitulé "La citoyenneté, clef d'une contribution civilisationnelle des musulmans d'Europe"

    "L’actualité médiatique au sujet de l’islam est chargée en événements majoritairement tragiques. Ceux-ci impactent les consciences et les musulmans sont également touchés par ces actes inacceptables qui sont une honte vis-à-vis des valeurs musulmanes de respect et de tolérance.

    Les musulmans vivent à présent en Europe, cette société qui est la leur, et ils doivent penser leur présence de façon durable dans la société. Au-delà des discours de rupture d’une minorité qui fait malheureusement beaucoup parler d’elle, il y a une majorité silencieuse qui aspire à vivre en paix et à se construire un avenir. Il faut pouvoir concilier les fondements des convictions musulmanes avec la citoyenneté de nos sociétés plurielles pour lui donner les outils d’une telle démarche d’inclusion citoyenne et d’apaisement identitaire.

    C’est pourquoi un livre qui aborde, à partir des références musulmanes, un point de vue construit sur la citoyenneté est une oeuvre salutaire pour montrer que les musulmans veulent aussi faire l’effort d’expliquer leur vision d’une citoyenneté contributive et positive, source de changement et de réforme des communautés musulmanes.

    Il est essentiel de pouvoir développer un discours profond, ancré dans les valeurs de l’islam, pour prendre à contre-pied les discours les plus excluant.

    Mohamed Ramousi est un jeune Verviétois, théologien et acteur associatif. Il étude actuellement pour obtenir sa Maitrise à la faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL). Il mène des recherches sur la question des musulmans d’Occident en tenant d’allier des positions théologiques référencées avec la pensée musulmane contemporaine."

    Une belle approche, très "consensuelle". Il reste à souhaiter que ce type de discours soit entendu et reçu par les diverses communautés musulmanes, et que le Coran soit lu et inteprété dans cette direction. Voeux pieux?

  • Défense de la Vie : la victoire d'une infirmière britannique

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    C'est une information que rapporte le Catholic Herald (merci Marie G.!)et dont nous vous donnons la traduction :

    Une infirmière catholique menacée de licenciement pour avoir refusé de travailler dans un service d'avortement a gagné son procès, sans aller devant les tribunaux. L'infirmière, qui  ne souhaite pas donner son nom, a convaincu le trust NHS qui l'emploie que son droit à l'objection de conscience est protégé par l'article 4 de la loi de 1967 sur l'avortement, et qu'elle ne devrait pas être forcée de travailler dans une clinique d'interruption de grossesse attachée à l'hôpital.

    Neil Addison du Centre juridique Thomas More, l'avocat qui a représenté l'infirmière, a également informé le trust dans une lettre que sa conviction que la vie humaine commence dès la conception était une croyance «philosophique» et religieuse protégée par la Loi de 2010 sur l'égalité, ainsi que par l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme. Il a averti le trust que toute tentative de faire pression sur l'infirmière pour la faire changer d'avis ou pour lui suggérer que ses perspectives de carrière pourrait en souffrir enfreindraient les lois contre le harcèlement et la discrimination.

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  • Exposition Sabine Corman à Chèvetogne et conférence de clôture

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    Pour clôturer l'exposition "CANTIQUE DES CANTIQUES" de Sabine Corman

    les moines du Monastère de Chevetogne ont le plaisir de vous inviter à la conférence :

    "POURSUITES..."

    qui sera donnée par le Père Irénée

                ce dimanche 15 avril à 17 heures en l'église latine du monastère .

  • Un signe de résurrection au Pakistan

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    C'est l'agence Fides qui nous en informe : Réouverture d’une école de religieuses détruite par les talibans : « un signe de résurrection »

    Islamabad (Agence Fides) – Evénement spécial pour les Sœurs de la Présentation, congrégation d’origine irlandaise comptant trois communautés au Pakistan : les religieuses ont en effet fêté ces jours-ci la réouverture d’une école de filles située dans la vallée de Swat, dans la province de Khyber (ancienne Province de la frontière du Nord-ouest), à la frontière avec l’Afghanistan. L’événement en question « est un motif de grande joie et d’espérance pour toute l’Eglise au Pakistan » remarque dans un entretien accordé à l’Agence Fides Sœur Riffat Sadiq, Principal d’un collège géré par les religieuses au Punjab, « et c’est un signe de résurrection ».

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