Sandro Magister continue à se faire l'écho des débats relatifs à Vatican II, et pas seulement à propos de la liberté religieuse.
Cela nous intéresse parce que nous ne pouvons pas ne pas nous poser de questions sur ce Concile souvent perçu comme évènement de rupture ou, en tout cas, de changement de cap. Il faut remarquer que toutes les innovations qui ont occasionné de nombreux ravages dans l'Eglise, dans sa doctrine et dans sa liturgie, se réclament généralement de Vatican II. Il faut bien constater aussi que le sens de la mission évangélisatrice s'est affaibli depuis lors, tout comme le sens de la gravité du péché et le besoin de la Rédemption, ou encore certaines dévotions visant à combattre le mal et son Instigateur. Bref, nous aimerions que les choses soient un jour clarifiées et que ceux qui restent fidèles à la Tradition de l'Eglise cessent d'être trop souvent ostracisés.
Sur le site de www.chiesa (Sandro Magister),


Lors de la conférence de presse organisée aujourd'hui, la secrétaire de l'Académie, Ann Glendon, a insisté sur le fait que 70% de la population mondiale ne bénéficient pas d'une authentique liberté religieuse, y compris dans des pays qui sont censés la garantir officiellement.
Au Congo, notre ancienne colonie, on est loin des jeux « intellectuels », laïcs ou conciliaires, sur la liberté de conscience et la séparation de l’Eglise et de l’Etat : éduquer la société civile est la tâche prioritaire qui incombe aux autorités religieuses, essentiellement catholiques. C’était déjà vrai autrefois mais combien plus encore aujourd’hui, alors que toutes les autres structures sont effondrées ou discréditées.
En l’honneur de l’anniversaire, cette année,