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Au rythme de l'année liturgique - Page 27

  • 27e dimanche ordinaire : "Une allégorie touchante de l'alliance de Dieu avec son peuple"

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    193__400x300_01-worker-vineyard_0.jpg27e dimanche ordinaire : homélie prononcée par Benoît XVI le 5 octobre 2008 lors de la messe d'ouverture de la XIIe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques :

    La première Lecture, tirée du livre du prophète Isaïe, tout comme la page de l'Evangile selon Matthieu, ont proposé à notre assemblée liturgique une image allégorique suggestive des Saintes Ecritures:  l'image de la vigne, dont nous avons déjà entendu parler les dimanches précédents. La péricope initiale du récit évangélique fait référence au "cantique de la vigne" que nous trouvons dans Isaïe. Il s'agit d'un chant situé dans le contexte automnal de la vendange:  un petit chef-d'œuvre de la poésie juive, qui devait être très familier aux auditeurs de Jésus et à partir duquel, ainsi qu'à partir d'autres références des prophètes (cf. Os 10, 1; Jr 2, 21; Ez 17, 3-10; 19, 10-14; Ps 79, 9-17), on comprenait bien que la vigne désignait Israël. A sa vigne, au peuple qu'il s'est choisi, Dieu réserve les mêmes soins qu'un époux fidèle prodigue à son épouse (cf. Ez 16, 1-14; Ep 5, 25-33).

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  • En l'honneur de la Vierge, pour le premier samedi du mois

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    Salve sancta parens                   Salut O Sainte Mère,

    Enixa puerpera Regem                 Toi qui a enfanté un Roi

    Qui caelum terramque regit       Qui gouverne le ciel et la terre

    In saecula saeculorum                Pour les siècles des siècles.

    cfr : http://www.introibo.fr/Messes-de-la-Ste-Vierge-au-Samedi,350

    et : https://www.hommenouveau.fr/2238/culture/chantez-la-vierge-a-la-messe-le-samedi-brintroit-salve-sancta-parens.htm

  • Vénérer le Coeur Immaculé de Marie le premier samedi du mois

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    coeur_immacule_Marie.jpgAujourd'hui, premier samedi du mois, on se tourne vers le Coeur Immaculé de Marie. Voici la notice proposée par Evangile au Quotidien (evangelizo.org) :

             La propagation de la dévotion au Cœur de Marie remonte au XVIIe siècle où saint Jean Eudes la propagea en l'unissant à celle du Sacré-Cœur de Jésus.

             Au cours du XIXe siècle, sa sainteté Pie VII d'abord, et Pie IX ensuite, accordèrent à plusieurs églises une fête du Cœur très pur de Marie fixée au dimanche dans l'octave de l'Assomption, puis au samedi suivant la fête du Sacré-Cœur. Le 13 juillet 1917, la Sainte Vierge apparaissait au Portugal pour déclarer aux petits voyants de Fatima que Dieu voulait établir la dévotion à son Cœur immaculé pour le salut du monde. Elle demanda aux chrétiens la pratique du premier samedi du mois par la communion réparatrice et la récitation du chapelet accompagnée de la méditation des mystères du Rosaire. (cliquer sur "lire la suite")

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  • Saint Bruno, fondateur des chartreux

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    SAINT BRUNO - Fondateur de l'Ordre des Chartreux - (1035-1101)

            « À la louange de la gloire de Dieu, Le Christ, Verbe du Père, depuis toujours a choisi par l'Esprit Saint des hommes pour les mener en solitude et se les unir dans un amour intime. Répondant à cet appel, maître Bruno, l'an du Seigneur 1084, entra avec six compagnons au désert de Chartreuse et s'y établit. » Statuts I.1 de l'ordre des Chartreux.

             Né à Cologne vers 1030 Bruno vient de bonne heure étudier à l'école cathédrale de Reims. Promu docteur, Chanoine du Chapitre cathédral, il est nommé en 1056 écolâtre, c'est-à-dire Recteur de l'Université. Il fut un des maîtres les plus remarquables de son temps : « ...un homme prudent, à la parole profonde. »

             Il se trouve de moins en moins à l'aise dans une cité où les motifs de scandale ne font pas défaut du côté du haut clergé et de l'Évêque lui-même. Après avoir lutté, non sans succès, contre ces désordres, Bruno ressent le désir d'une vie plus totalement donnée à Dieu seul.

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  • Saint Bruno (6 octobre)

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    girolamo_marchesi_saint_bru.png

    De Benoît XVI (6 octobre 2006) :

    La mission de saint Bruno, le saint du jour, apparaît avec clarté, elle est - pouvons-nous dire - interprétée dans la prière de ce jour qui, même si elle est assez différente dans le texte italien, nous rappelle que sa mission fut faite de silence et de contemplation. Mais silence et contemplation ont un but:  ils servent à conserver, dans la dispersion de la vie quotidienne, une union permanente avec Dieu. Tel est le but:  que dans notre âme soit toujours présente l'union avec Dieu et qu'elle transforme tout notre être.

    Silence et contemplation - une caractéristique de saint Bruno - servent à pouvoir trouver dans la dispersion de chaque jour cette union profonde, continuelle, avec Dieu. Silence et contemplation:  la belle vocation du théologien est de parler. Telle est sa mission:  dans la logorée de notre époque, et d'autres époques, dans l'inflation des paroles, rendre présentes les paroles essentielles. Dans les paroles, rendre présente la Parole, la Parole qui vient de Dieu, la Parole qui est Dieu.

    Sur le site de la Famille monastique de Bethléem :

    Qui est Bruno ?

    Bruno est né à Cologne vers 1035.

    REIMS

    Dès ses jeunes années, il quitte la Germanie pour entreprendre des études à l’école cathédrale de Reims, la plus réputée à son époque en Europe.
    Vers l’âge de vingt ans, il devient membre du chapitre des chanoines séculiers qui suivent la règle de saint Augustin en étant rattachés à la cathédrale de Reims. De l’initiateur de la vie canoniale qu’est Augustin, le chanoine Bruno reçoit non seulement la pensée mais aussi sa sagesse de vie tout évangélique, ecclésiale, théologique, liturgique, fraternelle, qu’il a instaurée et léguée comme charisme à l’Église.
    A cette même période, Bruno est maître en théologie et lui, l’humble chanoine, dirige l’école cathédrale de Reims où il exerce une grande influence et dont il devient l’écolâtre renommé. Homme de Lumière il sait puiser dans les sources variées de la Tradition vivante de l’Église. Chercheur de la Vérité, qu’il transmet dans son enseignement pendant de longues années, Bruno ne s’arrête pas dans sa course vers la Lumière. Il est l’homme selon Dieu, parce qu’il est par-dessus les choses du monde, attaché à Celui qui a fait le monde. Ce n’était pas seulement son érudition, la profondeur de sa science, la sûreté de sa pensée, qui attiraient la jeunesse de l’école de Reims vers Bruno. C’était son rayonnement spirituel. Unifié en son intelligence et en son cœur, Bruno a cette science qui se tourne à aimer. Toute cette science, ce succès, cette gloire, s’allient en Bruno avec une grande bonté dont il rayonne, si bien que « Bonus » deviendra, après sa mort, son surnom. Sa riche personnalité pourrait se résumer dans ce témoignage du légat Hugues de Die :Maître Bruno est maître en tout ce qui honore l’homme dans l’homme.

    Voici qu’un jour il se trouve dans un jardin avec deux amis, Raoul le Verd et Foulcoie le Borgne. Bruno reçoit la grâce de brûler d’Amour divin d’une manière nouvelle. A la fin de sa vie, il rappelle à son ami Raoul cette rencontre : « Tu te souviens du jour où nous étions tous les deux dans le jardin d’Adam, avec un troisième ami, Foulcoie. Notre conversation avait évoqué les plaisirs de la vie qui trompent l’homme, les richesses de ce monde qui sont périssables, et enfin, la joie de la gloire de Dieu qui n’a pas de fin. Soudain, tu te souviens ? Brûlants d’Amour divin, nous avons promis, nous avons fait vœu, nous avons décidé de quitter prochainement les ombres fugitives du monde, afin de nous mettre en quête des biens éternels en recevant l’habit monastique. »

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  • Les révélations faites à sainte Faustine Kowalska (5 octobre)

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    De Seraphim, le blog de Marc-Elie :

    Révélations à Sainte Faustine (Kowalska)

    Fin octobre 1936, Sœur Faustine dut descendre en enfer, lieu d’horreur, afin d’en rendre compte. Elle écrit dans son journal :

    << Aujourd’hui, un ange m’a conduite dans les abîmes de l’enfer. C’est un lieu de grande souffrance, d’une étendue affreusement grande. Les différents tourments que j’y ai vus sont les suivants :

    le premier tourment, qui constitue l’enfer, c’est la perte de Dieu ;
    le deuxième, les reproches permanents de la conscience ;
    le troisième, le fait que cet état soit immuable ;
    le quatrième est le feu qui dévore l’âme sans la détruire ; c’est un tourment épouvantable, un feu allumé par la colère de Dieu ;
    le cinquième tourment, c’est l’obscurité permanente et une puanteur abominable ; bien qu’il fasse nuit, les démons et les âmes damnées se voient les uns les autres ; ils voient la méchanceté des autres et aussi leur propre méchanceté ;
    le sixième tourment est la compagnie incessante de Satan ;
    le septième, le désespoir épouvantable, la haine envers Dieu, les médisances, malédictions et outrages.

    Ce sont les tourments que tous les damnés endurent en commun, mais ce n’est pas tout. Il y a aussi les tourments particuliers des sens. Ce avec quoi une âme a péché, c’est par là qu’elle est torturée de manière épouvantable et indescriptible. Il existe des cavités affreuses et des abîmes de la torture où chaque tourment diffère des autres.

    Au vu de cette souffrance abominable, je serais morte si la toute-puissance du Seigneur ne m’avait soutenue. Que le pécheur sache que c’est avec l’organe des sens, par lequel il a péché, qu’il sera torturé pendant toute l’éternité. J’écris cela sur ordre du Seigneur, afin qu’aucune âme ne puisse s’excuser en prétendant qu’il n’y a pas d’enfer, ou bien que personne n’y est allé et que l’on ne sait pas ce qui s’y trouve.

    Moi, Sœur Faustine, je me suis trouvée dans l’abîme de l’enfer sur ordre du Seigneur afin de témoigner que l’enfer existe. Je ne peux pas en parler maintenant, car l’ordre du Seigneur est que je fasse une déposition écrite. Les démons étaient remplis de haine à mon égard mais, à cause de l’ordre du Seigneur, ils durent m’obéir. Ce que j’ai écrit n’est qu’un faible reflet de ce que j’ai vu. J’ai pu remarqué que la plupart des âmes qui s’y trouvent sont celles qui n’ont pas cru à l’enfer.

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  • Sainte Faustine Kowalska, "apôtre de la miséricorde divine" (5 octobre)

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    Sainte Faustine Kowalska
    « Apôtre de la Miséricorde Divine »

    source : Evangile au Quotidien

    Faustine Kowalska, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église. Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain.

    Faustine naît le 25 août 1905, troisième des dix enfants de Marianna et Stanisław Kowalski, agriculteurs dans le village de Głogowiec. Au baptême, dans l'église paroissiale de Świnice Warckie, elle reçoit le prénom d'Hélène. Depuis son enfance, elle se distingua par l'amour de la prière, l'assiduité, l'obéissance et par une grande sensibilité à la misère des hommes.

    À neuf ans, elle fait sa Première Communion qu'elle a profondément vécue, consciente de la présence de l'Hôte Divin dans son âme. Elle fréquente l'école pendant moins de trois ans. Adolescente, elle quitte la maison familiale pour gagner sa vie et pour aider ses parents comme servante dans des familles aisées à Aleksandrów, Łódź et Ostrówek.

    Elle a senti la vocation dans son âme dès l'âge de sept ans, mais ses parents n'étant pas d'accord pour qu'elle entre dans les ordres, elle a essayé d'étouffer cette voix intérieure. Cependant, exhortée par la vision du Christ souffrant, elle est partie pour Varsovie où, le 1er août 1925, elle a rejoint la Congrégation des Sœurs de Notre Dame de la Miséricorde.

    Devenue sœur Marie-Faustine, elle a passé au couvent treize ans, en remplissant les fonctions de cuisinière, de jardinière et de sœur portière dans plusieurs maisons de la Congrégation, le plus souvent à Płock, Wilno et Cracovie.

    Rien ne trahissait à l'extérieur sa vie mystique d'une extrême richesse. C'est avec zèle qu'elle remplissait toutes ses tâches, elle observait fidèlement les règles, recueillie et silencieuse, mais en même temps naturelle, pleine d'un amour bienveillant et désintéressé. Sa vie, très ordinaire, monotone et grise en apparence, cachait la profondeur extraordinaire de l'union à Dieu.

    Sa spiritualité reposait sur la Miséricorde Divine à laquelle elle réfléchissait et qu'elle contemplait dans la parole de Dieu et dans l'aspect quotidien de sa vie. La connaissance et la contemplation du mystère de la Miséricorde Divine développaient chez elle une attitude de confiance d'enfant face à Dieu et de miséricorde envers les autres.

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  • François d'Assise (4 octobre)

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    Du pape BENOÎT XVI, lors de l'AUDIENCE GÉNÉRALE du mercredi 27 janvier 2010, cette catéchèse consacrée à saint François d’Assise :

    Chers frères et sœurs,

    Dans une récente catéchèse, j'ai déjà illustré le rôle providentiel que l'Ordre des frères mineurs et l'Ordre des frères prêcheurs, fondés respectivement par saint François d'Assise et par saint Dominique Guzman, eurent dans le renouveau de l'Eglise de leur temps. Je voudrais aujourd'hui vous présenter la figure de François, un authentique « géant » de sainteté, qui continue à fasciner de très nombreuses personnes de tous âges et de toutes religions.

    « Surgit au monde un soleil ». A travers ces paroles, dans la Divine Comédie (Paradis, chant XI), le plus grand poète italien Dante Alighieri évoque la naissance de François, survenue à la fin de 1181 ou au début de 1182, à Assise. Appartenant à une riche famille – son père était marchand drapier –, François passa son adolescence et sa jeunesse dans l'insouciance, cultivant les idéaux chevaleresques de l'époque. A l'âge de vingt ans, il participa à une campagne militaire, et fut fait prisonnier. Il tomba malade et fut libéré. De retour à Assise, commença en lui un lent processus de conversion spirituelle, qui le conduisit à abandonner progressivement le style de vie mondain qu'il avait mené jusqu'alors. C'est à cette époque que remontent les célèbres épisodes de la rencontre avec le lépreux, auquel François, descendu de cheval, donna le baiser de la paix, et du message du Crucifié dans la petite église de saint Damien. Par trois fois, le Christ en croix s'anima, et lui dit: « Va, François, et répare mon église en ruine ». Ce simple événement de la parole du Seigneur entendue dans l'église de Saint-Damien renferme un symbolisme profond. Immédiatement, saint François est appelé à réparer cette petite église, mais l'état de délabrement de cet édifice est le symbole de la situation dramatique et préoccupante de l'Eglise elle-même à cette époque, avec une foi superficielle qui ne forme ni ne transforme la vie, avec un clergé peu zélé, avec un refroidissement de l'amour; une destruction intérieure de l'Eglise qui comporte également une décomposition de l'unité, avec la naissance de mouvements hérétiques. Toutefois, au centre de cette église en ruines se trouve le crucifié, et il parle: il appelle au renouveau, appelle François à un travail manuel pour réparer de façon concrète la petite église de Saint-Damien, symbole de l'appel plus profond à renouveler l'Eglise même du Christ, avec la radicalité de sa foi et l'enthousiasme de son amour pour le Christ. Cet événement qui a probablement eu lieu en 1205, fait penser à un autre événement semblable qui a eu lieu en 1207: le rêve du Pape Innocent III. Celui-ci voit en rêve que la Basilique Saint-Jean-de-Latran, l'église mère de toutes les églises, s'écroule et un religieux petit et insignifiant la soutient de ses épaules afin qu'elle ne tombe pas. Il est intéressant de noter, d'une part, que ce n'est pas le Pape qui apporte son aide afin que l'église ne s'écroule pas, mais un religieux petit et insignifiant, dans lequel le Pape reconnaît François qui lui rend visite. Innocent III était un Pape puissant, d'une grande culture théologique, et d'un grand pouvoir politique, toutefois, ce n'est pas lui qui renouvelle l'église, mais le religieux petit et insignifiant: c'est saint François, appelé par Dieu. Mais d'autre part, il est intéressant de noter que saint François ne renouvelle pas l'Eglise sans ou contre le Pape, mais seulement en communion avec lui. Les deux réalités vont de pair: le Successeur de Pierre, les évêques, l'Eglise fondée sur la succession des apôtres et le charisme nouveau que l'Esprit Saint crée en ce moment pour renouveler l'Eglise. C'est ensemble que se développe le véritable renouveau.

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  • Les saints anges gardiens (2 octobre)

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    Les Saints Anges Gardiens (2 octobre) - BELGICATHO

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    2 oct. 2014 - De Missel.free.fr : Encore que les Anges Gardiens sont absents de l'index thématique de l'édition française du Catéchisme de l'Eglise...

    Les saints Anges Gardiens (2 octobre) - BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../les-saints-anges-gardiens-2-octobre-5186183....
    2 oct. 2013 - Mémoire des Saints anges gardiens (2 octobre) Commentaire du jour ( EAQ ) Bienheureux John Henry Newman (1801-1890), théologien,...

    Prier son ange gardien (2 octobre) - BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../10/.../prier-son-ange-gardien-2-octobre.htm...
     
    2 oct. 2012 - On fait aujourd'hui mémoire des Anges gardiens (voir ICI ) Ange tutélaire, aux soins de qui Dieu m'a spécialement confié, quelles...

    Eglise - BELGICATHO

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    En ce 2 octobre, fête des Saints Anges Gardiens, le Pape François est revenu sur ce « compagnon que Dieu a mis à nos côtés sur notre chemin de vie ».

  • Octobre, mois du Rosaire

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    Octobre, le mois du Rosaire!

    Octobre, le mois du Rosaire - BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../10/.../octobre-le-mois-du-rosaire-5458911.ht...
    1 oct. 2014 - Octobremois du rosaire ! ( source ) Le rosaire est le nom d'une prière composée de quatre chapelets d'oraisons....

    Octobre: mois du Rosaire. - BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/.../09/.../octobre-mois-du-rosaire-5184436.ht...
     
    30 sept. 2013 - Sur le blog du « Petit Placide », ce texte (extraits) du Père Garrigou-Lagrange (1877-1964) ) : « Parmi les formes...

    Mois d'octobre, mois du Rosaire - BELGICATHO

    belgicatho.hautetfort.com/archive/.../mois-d-octobre-mois-du-rosaire.ht...
     
    1 oct. 2012 - Sur prierenfamille.com : OCTOBRE, LE MOIS DU ROSAIRE Dans la tradition de l'Eglise, le mois d'octobre est plus...

    Octobre, mois du rosaire : "Récite ton chapelet, dit Dieu ...

    belgicatho.hautetfort.com/.../octobre-recite-ton-chapelet-dit-dieu.html
     
    2 oct. 2011 - Récite ton chapelet, dit Dieu, et ne te soucie pas de ce que raconte tel écervelé : que c'est une dévotion passée et qu'on va...
  • Ce que Dieu cherche c’est notre cœur

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    L'homélie de l'abbé Christophe Cossement pour le 26e dimanche A (1er octobre 2023) :

    C’est donc à des responsables religieux très énervés par son rayonnement et par la façon dont la foule le considère que Jésus s’adresse maintenant. Il prend en exemple ceux qui avaient un mauvais comportement et qui ont changé de vie à la parole de Jean le Baptiste. Pour les grands prêtres et les anciens, c’est l’inverse : ils se croient de dignes enfants de Dieu, mais en réalité ils ne font pas ce qu’il demande et en plus, la vue de ceux qui se convertissent ne les interpelle même pas. Si on veut faire une transposition rapide, on peut penser aux prêtres d’aujourd’hui, à qui le pape François lance souvent l’appel à se convertir, car il ne s’agit pas d’annoncer l’évangile de l’extérieur de nous-mêmes, mais du fond de notre cœur, d’un cœur qui se laisse transformer par l’appel de Dieu. Vous, les fidèles du Christ, n’hésitez pas à secouer les prêtres, lorsque vous voyez qu’ils ne vivent pas selon l’Évangile. Faites-le pour leur bien et pour le bien de l’Église : qu’ils n’encourent pas la colère de Jésus pour avoir mal conduit ses brebis, pour avoir été mous, tièdes, exploiteurs, pactisant avec l’esprit du monde ou avec leur égoïsme et leur orgueil !

    Si maintenant nous étendons à tous l’appel du Christ, nous constatons que vraiment, ce que Dieu cherche c’est notre cœur. Il n’a que faire des apparences. Il n’a que faire de la quantité de bonnes actions ou de réussites que nous pourrions étaler devant lui pour cacher la négligence de notre cœur. Ce qu’il cherche, c’est un cœur brûlant d’amour, un cœur qui est toujours prêt à l’aimer davantage.

    Quand je dis un cœur brûlant, peut-être certains s’inquiètent en se disant : mais je ne sens rien de brûlant en moi, je me sens tiède plutôt ! Ne nous laissons pas emporter par nos impressions et nos sentiments. Ce qui compte n’est pas comment nous nous sentons, mais ce que nous donnons de nous-mêmes au Seigneur. Veux-tu rendre ton cœur plus brûlant ? Regarde toutes les fois où tu dis : il ne faut pas exagérer, le Seigneur ne demande pas tout ça. Voilà la tiédeur : non dans le sentiment, mais dans le désintérêt de la volonté. Seigneur, pardonne-moi toutes les fois où j’ai dit secrètement dans mon cœur : bien que je pourrais prier davantage, bien que je pourrais davantage rendre service, je ne vais pas le faire parce que je préfère mon confort et mes petites occupations ! Seigneur, fais-moi revenir ! Fais-moi vivre comme ton Église me le demande, car elle connaît tes chemins !

    Finalement, quoi de plus grand que d’imiter le Christ ? « Ayez en vous les dispositions qui sont dans le Christ Jésus », vient de nous dire saint Paul. Ne soyons pas fille et fils de Dieu en paroles seulement, mais en imitant le Fils Unique ! Son chemin a été de devenir serviteur, obéissant à son Père. C’est ainsi qu’il a trouvé la joie et la gloire. Ne cherchons plus notre bonheur par nous-mêmes, mais dans notre fidélité toujours plus grande au Père dans l’Église de son Fils. À l’heure du nouveau synode, ne rêvons pas que l’Église transforme son enseignement, mais laissons-nous transformer par son enseignement. Ainsi nous serons heureux.

  • Les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu (26e dimanche du T.O.)

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    PAROLES DE CHOC

    « Les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. » (Mt 21, 31). Rarement dans l'Evangile on ne trouve parole aussi dure à l'encontre des « bons croyants » de l'époque de Jésus. Les publicains, ces collaborateurs au service de l'occupant romain, les prostituées, ces femmes qui ont toute une vie organisée à l'encontre du sixième commandement, vous précèdent, vous les chefs des prêtres, qui chaque jour vous tenez dans le Temple du Seigneur, vous les pharisiens, qui essayez de conformer votre vie en toute chose à la loi de Dieu. En quoi vous précèdent-ils ? En ce qu'« ils ont cru », tandis que vous, « vous ne vous êtes pas repentis pour croire à sa parole » (v. 32). Ce n'est pas leur qualité de pécheurs publics qui fait la grandeur des publicains et des prostituées, mais le fait qu'« ils ont cru », qu'ils ont reçu la foi dans leur pauvre vie, et que cette foi les a transformés. Jésus ne fait pas l'éloge du péché, mais de la foi qui convertit au plus profond de l'être. Avertissement à ceux qui se disent croyants. On peut être croyant, on peut même être prêtre, et avoir perdu la foi. Cela arrive quand la foi devient une habitude, une tradition, une obligation, et qu'elle n'est plus appel radical à la conversion, une transfiguration de tout l'être. « Vous ne vous êtes pas repentis ». La désertion du sacrement de la Réconciliation de la part même de bons croyants ne montre-t-elle pas que les paroles de Jésus concernent les pharisiens de tous les temps ?

    Chanoine Roland Jaquenoud

    Abbaye Saint-Maurice (CH)

    Lire aussi : Miséricorde et conversion, les armes de Dieu