Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Belgique - Page 2

  • C'est demain ! Invitation vernissage et exposition de peintures au profit de KTO Belgique

    IMPRIMER

    Chers amis de KTO Belgique,

    Le vernissage de cette belle exposition est dans 2 jours !

    Il sera suivi de 3 jours d'exposition pendant lesquels vous pourrez choisir des cadeaux de Noël ou vous offrir des tableaux, cartes de voeux, sets de table… et soutenir KTO Belgique par la même occasion !

    Retrouvez toutes les informations ci-dessous, nous nous réjouissons de vous y retrouver et de faire plus ample connaissance autour d'un verre !

    À jeudi !

    Philippe Le Hodey                                Lambertine de Béthune

    Président de KTO Belgique                    Directrice

    Invitation vernissage KTO Belgique du 28.11.24 au 01.12.24

    Venez y découvrir de jolies peintures,
    des sets de tables élégants, des cartes de voeux !

    Une belle occasion pour trouver vos cadeaux de Noël originaux tout en soutenant KTO Belgique.

    boulevard saint michel 24, Bruxelles
    Téléchargez les images - 0
    Téléchargez les images - 1
  • Bruxelles (Cambre), 6 décembre : "Fêtons Marie en lumière" (procession aux flambeaux)

    IMPRIMER

    2024_11_27_08_56_41_Greenshot.png

  • Cirque liturgique autour d'une "déléguée épiscopale"

    IMPRIMER

    Voici les directives du Vicariat général du Brabant Wallon (archevêché de Malines-Bruxelles) pour introduire des modifications liturgiques en lien avec la présence d'une déléguée épiscopale :

    2024_11_26_08_40_25_Greenshot.png

    2024_11_26_08_41_43_Greenshot.png

    2024_11_26_08_42_33_Greenshot.png

    2024_11_26_08_43_15_Greenshot.png

     

  • Henri Pirenne, Belge, Européen, universel

    IMPRIMER

    De Paul Vaute sur son blog "Le passé belge" :

    24 novembre 2024

    Henri Pirenne, Belge, Européen, universel

    L’auteur de la monumentale « Histoire de Belgique » en sept volumes est aussi reconnu internationalement comme un pionnier de l’histoire « totale » prônée par l’école des Annales. Hostile aux nationalismes, il leur opposa le rempart de la méthode comparative et plaida pour la création d’une revue d’histoire universelle (1886-1937)

       Considéré chez nous comme une figure de proue de l’histoire nationale, dénigré à ce titre par les tenants des nationalismes concurrents – flamand, wallon… –, Henri Pirenne (1862-1935) fut aussi un des grands rénovateurs de la science du passé au début du XXe siècle. Dans et hors de nos frontières, il demeure une référence et nul ne conteste son inscription parmi les pères de ce qui s’est appelé, selon les époques, l’école des Annales ou la « nouvelle histoire » , entendez celle qui explore et intègre pleinement les données économiques, sociales, culturelles…

    Lire la suite sur "le passé belge"

  • Bruxelles (Stockel), 23 novembre : un spectacle à ne pas manquer : Monsieur le Curé fait sa crise

    IMPRIMER

    23 novembre 2024

    Bruxelles (Stockel) - Notre Dame de Stockel

    Billets

    Heure: 20:00
    Événement: Spectacle Monsieur le Curé fait sa crise

    Synopsis : L’abbé Benjamin Bucquoy n’en peut plus : les bonnes dames de la paroisse se détestent, une pétition est lancée contre lui, son évêque ne l’écoute plus… Quand il apprend que le poste dont il rêvait est offert à un autre, il craque…et disparaît.

    C’est le début d’une aventure tendre et lumineuse où derrière le comique des situations perce un questionnement de fond : quel est le cœur de notre vocation, comment y rester fidèle malgré la lourdeur du quotidien ?

    Durée : 1h30. Tous publics.

    Mise en scène : Mehdi Djaadi

  • Baudouin et Fabiola, les roses et les épines christiques d'un couple royal (podcast)

    IMPRIMER

    De Famille Chrétienne :

    Tous saints, épisode 13 : Baudouin et Fabiola, les roses et les épines christiques d'un couple royal

    Tous saints, épisode 13 : Baudouin et Fabiola, les roses et les épines christiques d'un couple royal

    Dans cet épisode du podcast « Tous saints ! », Bénédicte Delelis vous parle du couple mythique que formaient le roi Baudoin et la reine Fabiola de Belgique. Une lumière particulière émanait d’eux, mais elle n’avait rien à voir avec les paillettes de leur royale fonction. Comment peut-on être roi et reine, et en même temps avoir un profond amour pour Jésus ? Découvrez-le dans cet épisode.

    Chers Baudouin et Fabiola, votre secret était votre cœur aimant. Demandez au Saint Esprit d’élargir les nôtres afin que nous aimions ceux qui nous sont donnés à aimer d’un plus grand amour ! Nous vous prions spécialement pour les couples qui souffrent d’une attente d’enfants douloureuse comme vous l’avez traversée. Accordez-leur de nombreuses grâces de sainteté et de joie.

    Ce podcast est réalisé par Famille Chrétienne en partenariat avec Conversio. Elaborée par une équipe de laïcs et de prêtres missionnaires de la Miséricorde divine, cette appli vous propose de vivre une conversion du coeur lors des grands temps liturgiques, grâce à des contenus spirituels édifiants, des propositions d'efforts d'ascèse et l'entraide de sa communauté de priants.

    Vous trouverez le podcast Tous saints ! sur le site Famille Chrétienne, la plateforme de retraite en ligne Hozana.org, et toutes les plateformes d’écoute (Deezer, Spotify, Apple podcast, Youtube, Google podcasts...).

  • "Enfants et jeunes, quels repères pour grandir aujourd'hui ?"; 2e colloque organisé par des auteurs de la Lettre Ouverte (EVRAS)

    IMPRIMER

    Chers Signataires de la Lettre Ouverte

    Vous qui êtes Professionnels de l'enfance et de la Santé mentale, Etudiants, Enseignants, Directions d'école, Parents, Grands-Parents,...

    Nous avons le plaisir de vous faire suivre l'invitation au 2ème colloque que certains auteurs de la Lettre Ouverte organisent:

    "Enfants et jeunes, quels repères pour grandir aujourd'hui ?"

    Que se joue-t-il dans notre société quant à la santé mentale des enfants et des adolescents ? Ce colloque aura pour but d’analyser ensemble pourquoi tant dans les causes que dans les solutions, la situation stagne voire s’alourdit, et envisager en quoi de nouveaux angles de vues sont à être explorés et exploités.

    Cet événement se tiendra le vendredi 13 décembre 2024, de 8h30 à 16h00 à l'Aula Magna et rassemblera des intervenants de divers horizons.

    Plus d'infos en cliquant ICI.

    Votre participation en tant que Signataire engagé est particulièrement précieuse pour enrichir nos échanges et contribuer à une dynamique collective. Nous serions honorés de vous accueillir parmi nous.

    Merci de bien vouloir confirmer votre présence le plus rapidement possible en vous inscrivant ICI.

    Dans l’attente de vous retrouver le 13 décembre 2024 pour une journée riche en partages et en perspectives, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.

    Les auteurs de la Lettre Ouverte

    Venez nombreux !

    ­

    Inscription

  • Saint Albert le Grand, évêque et docteur de l'Église (1193-1280)

    IMPRIMER

    Saint Albert Le Grand.jpgSur Evangelizo.org :     

           Saint Albert le Grand naquit aux environs d'Augsbourg de parents riches. Dès son enfance, il montra dans ses études une rare perspicacité ; le goût des sciences lui fit abandonner les traditions chevaleresques de sa famille et le conduisit à l'université de Padoue où il sut tempérer son ardeur pour l'étude par une vive piété. À l'âge de trente ans, encore incertain de son avenir, mais inspiré par la grâce, il alla se jeter aux pieds de la très Sainte Vierge, et crut entendre la céleste Mère lui dire : « Quitte le monde et entre dans l'Ordre de Saint-Dominique. » Dès lors, Albert n'hésita plus, et malgré les résistances de sa famille, il entra au noviciat des Dominicains. Tels furent bientôt ses progrès dans la science et la sainteté, qu'il dépassa ses maîtres eux-mêmes.

    Lire la suite

  • Belgique : à quel(s) saint(s) se voue-t-on en ce 15 novembre, jour de la fête du roi ?

    IMPRIMER

    De Fabrice de Chanceuil sur aleteia.org :

    Les saints de la fête du Roi en Belgique

    16/11/20 (mise à jour le 10/11/2

    La fête du Roi, en Belgique, a beaucoup de sens, par le nombre des saints auxquels elle se rattache. Elle a lieu tous les 15 novembre.

    Le 15 novembre est la journée où, chaque année, est célébrée la fête du Roi en Belgique. Cette fête a été instituée en 1866, un an après la montée sur le trône du roi Léopold II parce que le 15 novembre est, dans le calendrier liturgique germanique, le jour de la saint Léopold, margrave d’Autriche mort en 1136 et vénéré comme un monarque juste et généreux. Trois rois des Belges ont porté ce prénom.

    Des rois et des saints

    Sous le règne du roi Albert Ier, la date de la fête du Roi a été reportée au 26 novembre, jour de la saint Albert, en l’occurrence Albert de Haigerloch, bienheureux de la famille des Hohenzollern, moine et curé en Bavière mort en 1113. Il aurait pu, somme toute, paraître plus logique de fixer alors la fête du Roi au 24 novembre puisqu’elle correspond à la fête d’Albert de Louvain, évêque de Liège mort en 1192. Ce serait oublier que la mère du roi Albert était née Marie de Hohenzollern-Sigmaringen.

    Par un curieux hasard du destin, elle mourut un 26 novembre, en 1912.Le roi, ne voulant pas associer la fête qui lui était rendue au souvenir de sa mère décédée, rétablit la date du 15 novembre pour au moins jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale. Finalement, la date du 15 novembre s’est imposée et le roi Baudouin l’a définitivement retenue en 1952.

    De fait, cette date a beaucoup de sens pour la dynastie belge qui, outre trois Léopold, a compté deux Albert, puisque, avant d’être la fête de saint Léopold dans le calendrier germanique, le 15 novembre est d’abord celle, dans le calendrier liturgique universel, de saint Albert de Bollstadt. Plus connu sous le nom du docteur de l’ÉgliseAlbert le Grand, il fut un éminent frère dominicain réunissant les qualités de théologien, philosophe, naturaliste et chimiste. Cet évêque de Ratisbonne, mort à Cologne en 1280, fut notamment le maître de saint Thomas d’Aquin. D’ailleurs, sous la régence du prince Charles, après la Seconde Guerre mondiale, la fête s’est appelée Fête de la Dynastie. Ce nom est encore parfois utilisé dans le langage courant, même s’il ne correspond plus à la dénomination officielle.

    lire la suite sur aleteia.org

  • Quand Notre-Dame de Beauraing fait des merveilles en Alaska

    IMPRIMER

    De sur le NCR :

    Le cœur d'or de Notre-Dame guérit le cœur d'un bébé

    La Mère de Dieu apporte la guérison à un enfant — et touche le cœur d’une famille.

    De gauche à droite : Eric et Andrea Paul et leur fils Bruce, qui ont été bénis par la dévotion mariale ; statue de Notre-Dame de Beauraing sur le terrain de l'église catholique Saint-Bernard à Talkeetna, en Alaska
    De gauche à droite : Eric et Andrea Paul et leur fils Bruce, qui ont été bénis par la dévotion mariale ; la statue de Notre-Dame de Beauraing sur le terrain de l'église catholique Saint-Bernard à Talkeetna, en Alaska (photo : avec l'aimable autorisation de l'église catholique Saint-Bernard à Talkeetna ; et la famille Paul)

    Lorsqu'Eric et Andrea Paul ont emmené leur nouveau-né Bruce, né en septembre 2022, pour ses premiers examens, le pédiatre a constaté un souffle cardiaque persistant. Une échocardiographie a révélé que le bébé avait un gros trou dans son cœur qui nécessitait une intervention chirurgicale.

    « J'avais la foi que Dieu voulait que cela arrive pour une raison », a déclaré Andrea au Register. « Sans l'opération, il n'aurait pas survécu. Il aurait fini par mourir d'une insuffisance cardiaque congestive. »

    Depuis leur domicile dans le sud-ouest de l'Alaska, Andrea s'est envolée pour l'hôpital pour enfants CS Mott dans le Michigan pour l'opération à cœur ouvert du bébé en février 2023. Eric, qui était dans l'armée de l'air, a dû rester en poste en Alaska.

    Bruce n'avait pas encore 6 mois. Au cours de l'opération, les médecins ont découvert un deuxième trou. Ils ont également découvert que la valve mitrale du bébé « n'était pas correctement positionnée, car son cœur était trop étiré pour que la valve puisse se réparer elle-même », a expliqué Eric. Bruce aurait besoin d'une autre opération à cœur ouvert lorsqu'il aurait 6 ou 7 ans, sinon il mourrait d'une insuffisance cardiaque congestive.

    Un an plus tard, son état ne s’est pas amélioré.

    « À cette époque, je commençais ma marche avec l’Église catholique », a déclaré Eric. Il avait été élevé dans la religion protestante et avait appris à se méfier des catholiques. « Dans cette marche, j’ai reconnu le pouvoir que le Christ a donné aux reliques des saints. » Dans le cadre de ses études personnelles, Eric est tombé sur le podcast The Exorcist Files , avec le père Carlos Martins, responsable des Trésors de l’Église, et l’a entendu parler de « pourquoi les reliques sont une théologie bibliquement solide et pourquoi elles fonctionnent, essentiellement pour amener les gens au Christ. Il a parlé du bras de saint Jude voyageant à travers les États-Unis. »

    Eric voulait qu'Andrea prenne l'avion pour l'Oklahoma, qu'elle reste avec ses parents et qu'elle attende le bras de St. Jude à Oklahoma City. Cette solution s'est avérée impossible pour un nourrisson qui avait subi une opération à cœur ouvert. « De toute évidence, Dieu n'avait pas prévu que nous allions à Jude », a déclaré Eric. Mais il avait un « sentiment persistant », a-t-il dit, « comme si j'étais appelé à faire quelque chose ; pas de mots, pas de visions, rien de spectaculaire, juste une insistance persistante. »

    C'est alors que Natalie Neff, la sœur d'Andrea, qui vit avec son mari Dalton et leurs enfants près des Paul, est tombée sur un article du journal diocésain, North Star Catholic , au sujet d'une statue de Notre-Dame de Beauraing à seulement une heure de route au nord. Natalie, qui était également la marraine de Bruce, a raconté à Eric « les apparitions mariales à Beauraing, en Belgique, comment Notre-Dame a touché un arbre d'aubépine à cet endroit, comment un soldat de la Seconde Guerre mondiale a ramené à la maison un morceau de cet arbre et comment son fils gravement malade a été miraculeusement guéri ».

    Lire la suite

  • Simon Leys mort il y a dix ans : un maître de lucidité face aux idéologies

    IMPRIMER
    Entretien 

    En 2014, s’éteignait Simon Leys, ce sinologue belge qui fut le premier à déboulonner la statue du grand Timonier, et à révéler les sombres ressorts de la Révolution culturelle. Pour Jérôme Michel, auteur d’un essai sur Simone Leys (1), le penseur demeure essentiel pour penser les idéologies de tous bords.

     

    Simon Leys a été le premier à dénoncer les méfaits du maoïsme. Qu’est-ce qui lui a permis de voir, là où l’Occident se laissait aveugler ?

    Jérôme Michel : Simon Leys n’a jamais été le partisan d’une quelconque idéologie, que ce soit de droite ou de gauche. Il se présentait avant tout comme un catholique. En réalité, il refusait de mettre de l’absolu dans la politique. Et quand il est confronté en 1966-1967 à la réalité de la Révolution culturelle, il ne l’aborde absolument pas d’un point de vue politique. Ce qui l’intéresse, ce sont les faits. Il parle et lit le chinois. Et c’est en dépouillant la presse communiste chinoise, à la demande du consulat de Belgique à Hong Kong où il occupa un poste de chercheur en littérature chinoise et d’enseignant en histoire de l’art au sein du New Asia College, qu’il va tout simplement rendre compte de ce qu’il lit et voit.

    Il assiste à l’assassinat d’un journaliste qui meurt quasiment sur le pas de sa porte. Il voit également de nombreux cadavres dériver des rivières de Chine jusqu’aux plages de la colonie. Il interviewe des réfugiés qui ont fui le régime. Il prend la mesure de la catastrophe en cours. Et c’est ce qui le conduit, à l’instigation pressante du sinologue René Viénet, à en faire un livre, Les habits neufs du président Mao. Le livre qui l’a révélé et a dévoilé la réalité du maoïsme à une époque où celle-ci était occultée par le dithyrambe de la gauche mais aussi de la droite gaulliste incarnée notamment par Alain Peyreffite. Un livre qui est à la fois une chronique factuelle et une interprétation des événements : « Cette révolution n’a de révolutionnaire que le nom et de culturel que le prétexte », elle cache en réalité, et c’est sa thèse centrale, une lutte féroce pour le pouvoir au sein du parti communiste. Une lutte menée par un despote qui veut revenir sur le devant de la scène après l’échec du Grand bond en avant.

    Il y avait pourtant d’autres sinologues… Qu’est-ce qui fait que lui, a vu ? Quelles sont les clés, au fond, pour voir quand tout le monde pense autrement ?

    J. M. : D’abord, Leys est sur place. Il enseigne à Hong Kong, et est initié par des jésuites aux arcanes de la politique chinoise et de l’histoire contemporaine de la Chine… Son premier voyage en Chine, avec des étudiants belges, en 1955, a été comme une sorte de choc amoureux, et son premier souci, dès son retour, a été d’apprendre la langue, de s’immerger dans la réalité chinoise, ce qui l’a conduit à partir à Singapour, puis à Taïwan où il a rencontré sa femme, une journaliste chinoise, et à Hong Kong.

    Autre point important : s’il éprouve à l’époque une vague sympathie pour le régime communiste, parce que celui-ci a sorti la Chine d’une ère de malheur et redistribué les terres, il n’est en rien un orphelin de Staline, comme tant d’intellectuels par ailleurs. Il n’arrive pas à Hong Kong avec une conviction politique. En revanche, il est convaincu de la beauté de la poésie, de la culture classique chinoises. Il est d’ailleurs l’un des grands spécialistes de la peinture chinoise. Et c’est précisément parce que son regard n’est pas politisé qu’il va être aussi perméable à la réalité des faits. Rien ne le dérange en tant que tel. Il se donne le devoir de tout consigner. Mais de ces faits va se dégager une vérité qui n’est pas bonne à dire, à une époque où les spécialistes de la Chine la considèrent comme le nouvel Eldorado d’espérance révolutionnaire après la faillite de Staline et du système soviétique.

    Lire la suite

  • 7 novembre : saint Willibrord, l'apôtre du BENELUX

    IMPRIMER

    220px-Willibrord_(Paris,_BN_Lat._10510).jpg

    Un site est consacré à ce grand évangélisateur de nos régions et ami de saint Lambert. On y trouve la biographie reproduite ci-dessous : http://www.willibrord.lu/

    "Saint Willibrord naquit en Northumbrie en 658 de parents récemment convertis au christianisme. Son père Wilgils remit le jeune enfant comme oblat au monastère de Ripon et se retira comme ermite sur le promontoire du fleuve Humber. Willibrord grandit sous l’influence de St Wilfrid, évêque d’York, qui avait réussi à imposer le respect des traditions romaines vis-à-vis du particularisme insulaire. A l’âge de 20 ans, Willibrord passa à Rathmelsigi en Irlande, «l’île des saints», pour s’astreindre, sous l’autorité de son maître Egbert, à une dure ascèse avant de recevoir l’ordination sacerdotale en 688. Imprégné du goût de la «peregrinatio», cette mystique qui préconisait le renoncement à la patrie terrestre pour aller prêcher l’Évangile aux populations païennes, Willibrord partit en 690 sur le continent avec 11 compagnons pour évangéliser les Frisons, peuple assez rebelle jusque là à toute conversion.

    Lire la suite