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Belgique - Page 185

  • Fête de l’Epiphanie à Liège, le samedi 7 janvier 2017 à 17 heures en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Jusqu'à la fin du IVe siècle, l'Épiphanie fut la grande et unique fête chrétienne de la « manifestation du Christ dans le monde ». Elle fait partie des célébrations cardinales de l'année liturgique catholique. 

    La Solennité de l’Epiphanie organisée à Liège le samedi 7 janvier prochain à 17 heures en l’église du Saint-Sacrement, est une fête familiale, avec la procession à la crèche, le partage de la galette des rois et l’échange des vœux pour l’an nouveau au cours d’une réception ouverte à tous. La célébration sera animée par le chœur de chambre « Praeludium », l’Ensemble instrumental « Darius » et l’organiste Patrick Wilwerth.

    Praeludium (2).JPGAu programme : les chants grégoriens de la Fête, des motets polyphoniques pour le temps de la Nativité et des noëls  interprétés au violon et à l’orgue.

    Fondé en 1994 par Patrick Wilwerth, le chœur de chambre Praeludium est un ensemble vocal de haut niveau dont la plupart des membres sont issus des académies de musique de la région liégeoise. Son répertoire va de la musique ancienne à  la musique contemporaine.

    L’Ensemble instrumental Darius tourne depuis 2004 dans toute la Belgique et occasionnellement àLOGO_DARIUS_OK.jpg l’étranger. L’idée est née d’un petit groupe « à géométrie variable » de musiciens désireux de faire renaître la musique de chambre, trop souvent oubliée. Il offre un répertoire varié, allant des grands classiques de la musique du passé à la création d’œuvres nouvelles.

    Patrick Wilwerth est professeur d’orgue au conservatoire de Verviers et directeur musical du chœur universitaire de Liège.

    Une manifestation ouverte à tous. Plus de renseignements : tel. 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be

    JPSC

  • Veillée de Noël 2016 à l'abbaye des Bénédictines de Liège

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    (le reportage "Dans les coulisses de l'Abbaye" du JT du 25/12/2016 de la RTBF)

    JPSC

  • Dysfonctionnement à la commission de contrôle de l'euthanasie

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    BELGIQUE : DYSFONCTIONNEMENT À LA COMMISSION DE CONTRÔLE DE L’EUTHANASIE

     de genethique.org

    En Belgique, la commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) « vérifie si l’euthanasie pratiquée par le médecin a été effectuée selon les conditions et la procédure prévues par la loi ». Elle est constituée de huit docteurs en médecine, quatre professeurs de droit ou avocats, et quatre membres chargés de la problématique des malades atteints d’une maladie incurable. Les mandats de ces membres et de leurs suppléants sont valables quatre ans.

    Nommés en octobre 2011, les membres actuels sont arrivés au terme de leur mandat en octobre 2015. Mais près de quatorze mois plus tard, la commission n’est toujours pas renouvelée. Le parlement fédéral a reporté l’échéance à 2017. Après deux appels à candidature infructueux en 2015, « le nombre de candidatures est désormais atteint. Mais le pluralisme politique au sein de la commission doit être respecté. Des discussions sont en cours et cela prend du temps », explique Gilles Genicot, avocat et président francophone de la commission.

    Une des raisons évoquée pour expliquer cette difficulté est le manque de valorisation financière de cette fonction, comparant avec les Pays-Bas où «les candidats se bousculent au portillon, parce que la fonction est reconnue ».

    Sources: Belga (21/12/2016)

  • Le latin, langue de l'Eglise latine

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    Dans son numéro de décembre 2016 qui sort de presse ces jours-ci, le magazine  trimestriel Vérité et Espérance/Pâque nouvelle publié par l'association de fidèles "Sursum Corda" (responsable de l'église du Saint-Sacrement à Liège) fait paraître ces "Libres propos" que le professeur Paul-Augustin Deproost (U.C.L.) consacre à l'usage liturgique du  latin et du chant grégorien:

    "Une lapalissade qui n’en est plus une (*)

    Le titre de cet article ressemble à une lapalissade. Pourtant, on peut lui opposer une autre évidence : le latin a déserté l’immense majorité des assemblées liturgiques de l’Église latine, qui, en l’occurrence, porte bien mal son nom ; et il n’est pratiquement plus enseigné dans les séminaires, là où sont formés ceux dont la vocation première est précisément l’œuvre de la liturgie. Par ailleurs, sans qu’il soit utile d’entrer ici dans le débat qui distingue les formes ordinaire et extraordinaire du rite romain, on se rappellera cette disposition forte et bien connue de la constitution Sacrosanctum Concilium sur la liturgie : « L’Église reconnaît dans le chant grégorien le chant propre de la liturgie romaine. » C’était la première fois dans l’histoire de la liturgie que l’Église identifiait ainsi, au plus haut niveau, le « chant propre » qui doit accompagner la célébration de ses mystères et, accessoirement, la langue dans laquelle ils doivent être célébrés s’ils sont chantés. On sait ce qu’il en est advenu. Dans la plupart des cas, la recommandation conciliaire a tout simplement été ignorée au profit d’innovations musicales et liturgiques risquées sinon erratiques et parfois carrément hérétiques ; mais tout aussi préoccupante est l’attitude qui a consisté à vampiriser le « chant propre » de l’Église pour donner quelque lustre à une célébration par ailleurs fadement vernaculaire où le célébrant et le chœur ne parlent pas la même langue pour s’adresser à Dieu. Car il s’agit bien de cela. Le chant grégorien a été composé sur des textes latins pour être chanté dans des liturgies latines. Toute autre utilisation du « chant propre » de l’Église, aussi louable soit-elle, induit une mutilation de ce chant, car il est étroitement et ontologiquement lié à la proclamation de la parole de Dieu et à la célébration du mystère eucharistique, l’une et l’autre exprimées en latin au moins depuis le IVe siècle. Le chant grégorien est né en même temps que l’usage du latin dans la liturgie de l’Église d’occident ; on ne rompt pas impunément ce lien.

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  • Dimanche 25 décembre 2016, 10h00 et 11h15 : messes de noël en l’église du Saint-Sacrement à Liège

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    Eglise du Saint-Sacrement

    Bd d’Avroy, 132 à Liège 

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    MESSES DU JOUR DE NOËL

    DIMANCHE 25 DECEMBRE 2016

     

    10h00, messe en latin (missel de 1962)

    Chants grégoriens

    Kyriale de la Missa « Cum Jubilo »

    Propre de la messe du jour de Noël

    Motets polyphoniques anciens:

    In dulci jubilo (Noël d’origine allemande, XIV s. attribué au mystique dominicain Henri Suso, dans la ligne de la devotio moderna et popularisé dans tout l’Occident chrétien)

    Adeste fideles (hymne du XVIIe s.)

    A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers

     

     

    11h15, messe en français (missel de 1970)

    Chants grégoriens (Messe des anges)

    Noëls populaires : « les anges dans nos campagnes », « il est né le divin enfant », Hymne « adeste fideles »

    A l’orgue, Mutien-Omer Houziaux, (titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège) et au violoncelle, Octavian Morea (orchestre philharmonique de Liège) 

     

    JPSC

  • Quand des psychiatres américains veulent agir contre la loi belge sur l'euthanasie

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    De Simon Demeulemeester sur le site du Vif.be :

    Des psychiatres américains veulent agir contre la loi belge sur l'euthanasie 

    L'Association américaine de psychiatrie (AAP), l'une des associations professionnelles de psychiatres les plus influentes du monde, souhaite agir contre les lois sur l'euthanasie en Belgique, aux Pays-Bas, et "partout ailleurs où l'on aide des patients psychiatriques qui ne sont pas en stade terminal à se suicider, ou qui sont littéralement tués à coup d'injections mortelles, souvent par leurs propres psychiatres traitants."

    Pour l'organisation, il est "immoral" pour un psychiatre d'assister au "suicide". "Un psychiatre ne pourrait pas prescrire ou effectuer d'intervention, qui a la mort comme conséquence, sur des malades qui ne sont pas en phase terminale", lit-on dans leur déclaration officielle. Pour l'association professionnelle américaine, tant "la mise à disposition de moyens (prescriptions, cuves à hélium...) que l'administration de l'injection mortelle" sont inadmissibles.

    Geert Dom, président de l'Union professionnelle belge des médecins spécialistes en psychiatrie et membre du comité de l'Association européenne de Psychiatrie (EPA), n'est guère étonné. Pour lui, nous sous-estimons très fort le regard qu'on porte à l'étranger sur nos lois très progressistes à l'échelle internationale sur l'euthanasie. "Ce qui est possible n'est absolument pas évident."

    Il appelle à prendre leur déclaration au sérieux, surtout au vu de l'influence de l'AAP. "Par exemple, l'association professionnelle américaine publie le DSM (Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux, NDLR), notre bible diagnostique. Cette position peut donc certainement susciter le débat et j'espère qu'on pourra le faire sans paniquer."

    La ministre de la Santé, Maggie De Block(Open VLD), n'est guère émue par la prise de position américaine. "Chacun a le droit d'avoir une opinion. Le parlement a mené un débat de fond sur la loi sur l'euthanasie. Et notre loi en est le résultat final. Je ne vois pas ce que les Américains viennent faire dans ce débat."

  • Les étranges priorités du Centre interfédéral pour l'égalité des chances réagissant au refus d'un échevin de célébrer des mariages

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    Affaire Courtois : Les étranges priorités d’Unia (OPINION)

    De Joseph Junker, en opinion, sur le site de LaLibre.be :

    Une opinion de Joseph Junker, ingénieur, qui a choisi de répondre à la réaction d'Unia (LES DETAILS). Le centre interfédéral de l’égalité des chances avait réagi à une information selon laquelle Alain Courtois avait refusé 8 mariages car la future épouse refusait de lui serrer la main (A LIRE ICI).

    Vous en avez certainement entendu parler, l’affaire fait grand bruit : l’élu bruxellois Alain Courtois déclarait il y a quelques jours avoir refusé de célébrer plusieurs mariages en raison du refus de la future épouse de lui serrer la main.

    Acte second, le centre interfédéral de l’égalité des chances UNIA, très en pointe sur ce genre de sujets, se fend d’une réaction au vitriol envers l’édile, l’accusant ni plus ni moins de « mettre à mal les fondements de l’état ».

    Le problème ? Et bien le problème c’est qu’outre plusieurs approximations dans sa réaction, le centre met en exergue un agenda et des priorités plus qu’étonnantes, et qui me laissent pantois.

    Le respect, cette bonne vieille « coutume »

    La première chose qui m’interpelle, c’est qu’Unia compare le fait de refuser la main de quelqu'un à une simple coutume, quelque usage variant d’une personne à l’autre. Argument très relativiste et contestable, car refuser la main de quelqu'un n'est en rien comparable à se faire la bise plutôt que de lever son chapeau. Il s'agit d'un geste que quiconque a subi pourra qualifier de violent, un geste de refus par rapport à l'autre. On ne peut assimiler cela à un choix trivial que vous affirmeriez simplement en disant "Salut" plutôt que "Bonjour", la force et la portée de ces gestes ne sont en rien comparables.

    Deuxièmement, et c’est plus grave, Unia considère que d'exiger des fiancés un « shake-hand » serait « ethno-centriste », et que l'employé d'état civil n'est donc pas légitime à exiger une salutation conforme à la culture du pays dans laquelle il se trouve. C’est donc à lui de s'adapter à tout geste qui lui serait étranger, y compris donc un geste qui a été jusqu’à présent assez universellement considéré à travers le monde et les époques comme très insultant. En poussant le raisonnement à l'absurde, on se demanderait presque si l'officier d'état civil serait forcé d'accepter un mariage d'une culture qui a coutume de cracher au visage pour se dire bonjour !

    Le droit des citoyens n'est pourtant en rien bafoué : L'officier d'état civil est légitime à exiger que la cérémonie se passe dans l'ordre et le respect de sa personne. Les citoyens sont quant à eux libres de repasser le lendemain et de se comporter civilement d'après la norme du lieu qui les accueille. Ou encore, pour le dire d'une manière volontairement provocatrice, ils sont libres demander un mariage civil dans un pays où la "coutume" considère normal qu'une jeune femme apprenne dès son plus jeune âge à ne toucher un autre homme qu'avec l'accord de son père ou de son mari

    Unia combat un droit reconnu par la CEDH

    On relèvera ensuite un point hallucinant quoique non essentiel à l’argumentation : Unia fait dans son argumentaire une comparaison avec un employé qui commettrait le geste honni entre tous de refuser de célébrer un mariage homosexuel. On répliquera aisément que cela n'a pas grand-chose avec la question de base, qui est une question de respect de principes fondamentaux et des personnes, et non de la conviction personnelle de l’employé de l’état civil. Mais là où cette comparaison est particulièrement aberrante, c’est que l'objection de conscience en la matière est précisément un droit reconnu par la Cour européenne des droits de l’homme ! La cour a en effet estimé en diverses occasions que de forcer un employé d’état civil à célébrer un mariage entre deux personnes du même sexe n’était pas conforme à la liberté de conscience, et que l’état était tenu d’organiser dans ce cas une solution raisonnable qui respecte les fiancés comme l’objecteur*. Je puis naturellement concevoir que cela ne fasse pas plaisir aux associations LGBT. Néanmoins, il s’agit ici précisément du genre de droits de l’homme peu populaires qu’Unia a pour vocation de défendre, plutôt que de les exhiber comme des épouvantails à abattre ! En l’occurrence, la suggestion d’UNIA pourrait sans doute même être dénoncée à ses propres services ! Avouez-le, ça la fout mal quand-même.

    Des chances plus égales que d’autres

    Cela étant dit, ce qui m’attriste le plus dans cette affaire, c’est d'entendre Unia reléguer au rang de simple "coutume" le fait qu'une femme ait été conditionnée à ne pas toucher d'autre homme que son mari ou son père n'ait approuvé. Ce geste est une affirmation grave d'une conception du monde qui va à l'encontre de principes fondamentaux comme le respect et l'égalité homme-femmes. Ce simple fait pourrait d’ailleurs même constituer à lui seul une ligne de défense juridiquement valable pour refuser de célébrer un mariage. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est expliqué par le professeur de droit Franck Fleerackers (KUL) dans le Standaard. Ne parlons même pas ici de l’affirmation communautariste forte envers un représentant de l’état !

    Le centre pour l'égalité des chances a décidément des priorités bien étonnantes : plutôt que de chercher par tous les moyens à appuyer les valeurs qu’il devrait chérir, le voilà à jouer le jeu des communautaristes… avec l’argent public et contre sa propre vocation ! J’avoue que cela me chagrine, mais en matière d’égalité des chances, il semblerait que certaines chances soient désormais plus égales que d'autres…

    *à noter d’ailleurs que l’état français a de très bonnes chances de se faire condamner prochainement par la CEDH pour cette raison.

     
  • CitizenGO a mis en ligne une pétition pour soutenir Mgr Léonard et Arnaud Dumouch

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    Soutien à Mgr Léonard et au Professeur Arnaud Dumouch

     
    7.771 personnes ont signé. Aidez-nous à augmenter ce nombre et atteindre 10.000 signatures.

    Alors que la liberté d’expression vient d’être supprimée en France concernant l’avortement ; alors que la Belgique croule sous les lois mortifères du type « euthanasie pour tous », monseigneur Léonard revient courageusement sur ces sujets dits « sociétaux » dans un livre récent publié aux Editions du CEP : « Un évêque dans le siècle » [avec Drieu Godefridi] et qu’il est bon de lire en cette période de l’Avent.

    Dans ce livre sous forme d’entretien, l’ancien archevêque de Bruxelles plaide pour une relance du débat sur l’avortement, sur l’euthanasie et sur le « mariage » gay, ce qui risque d’énerver  quelque peu certains clercs et laïcs catholiques sociétalistes [englués dans l’esprit du monde] du Royaume de Belgique.

    Mgr Léonard, par exemple, déclare qu’il faut débattre à nouveau sur l’avortement « car sinon il va être uniquement un fait enregistré, faisant partie des mœurs et qu’on ne remettra plus jamais en question ». Il rappelle également que sa présence à de nombreuses marches pour la vie avait pour objectif de « participer à un réveil ou à un maintien en éveil des consciences ». Mais il va plus loin encore et avoue, à propos de la contraception, la crainte de sa banalisation : « La mentalité contraceptive généralisée encourage une mentalité abortive ».

    Concernant l’euthanasie dont la Belgique se trouve être, si l’on peut dire, un pionnier en la matière, monseigneur Léonard affirme qu’elle « touche toute une profession qui doit relativiser son serment d’Hippocrate ». Et il poursuit en déclarant ceci : « Ce qu’on présente comme une décision purement personnelle au nom de la liberté de l’individu est en fait une décision qui a une influence profonde et déterminante sur l’ensemble de la société ». Il  déplore qu’en Belgique, on ne se mobilise pas assez « pour dire non à des prétendues avancées qui sont des retours en arrière et une rétrogradation par rapport à la solidarité qui doit lier les membres d’une société ».

    Ce livre, au fond, est celui d’un témoin de la vérité. Peut-être souhaite-t-il rappeler à ses successeurs la mission qui est la leur : annoncer le Christ à temps et à contretemps. Défendre la vie, la famille et la vérité.

    Il faut dire que depuis son départ, d’aucun, au sein même de l’Eglise institutionnelle, se sont employés à détricoter ce que monseigneur Léonard avait construit, année après année. Ainsi Arnaud Dumouch, professeur de religion à l’Institut Saint Joseph de Châtelet et recteur de l’Institut Docteur Angélique a-t-il été la première victime de quelques clercs « progressistes ».

    Monsieur Dumouch, 52 ans et père de famille, s’est vu retirer, le 14 décembre 2015,  son visa ecclésiastique pour cause de respect du dogme catholique romain. Cela peut paraitre invraisemblable mais cela est ainsi. Au Royaume de Belgique, certains prêtres n’aiment pas les catholiques. Dans cette affaire, le droit canonique n’a pas été respecté et la vérité encore moins (mais qu’est-ce que la vérité, répondront sans doute ces clercs à l’origine du scandale ?).

    Il est vrai que tant que monseigneur Léonard était primat de Belgique, Monsieur Dumouch ne risquait rien. Et ces ecclésiastiques revanchards, ont perpétré leur méfait dès le lendemain du départ en retraite de l’archevêque. C’est juste diabolique !

    Cela s’est déroulé en moins d’une semaine, en Belgique, au sein même de l’Eglise catholique (institutionnelle).

    Et depuis un an, Monsieur Dumouch est sans emploi.

    Et depuis, monseigneur Léonard a trouvé refuge en France, près de Gap, comme chapelain du Sanctuaire de Notre-Dame du Laus.

    Et en Belgique, dans certains bureaux ecclésiastiques, on attend que le temps fasse son œuvre afin que tous oublient le scandaleux licenciement d'Arnaud Dumouch.

    Et en fait, c’est raté…

     

    Cette pétition de soutien sera remise à monseigneur Léonard et à Arnaud Dumouch.

    Elle sera également adressée à monseigneur Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai, diocèse dont dépend Arnaud Dumouch. 

    PS : vous pouvez soutenir le professeur Arnaud Dumouch et son Institut en cliquant sur le lien ci-dessous :

    http://docteurangelique.free.fr/institut_docteur_angelique.html

    A propos de monseigneur Léonard

    http://www.levif.be/actualite/belgique/monseigneur-leonard-un-eveque-dans-le-siecle/article-normal-565743.html

    https://www.contrepoints.org/2016/10/18/269197-ce-que-leglise-peut-nous-enseigner

    A propos d’Arnaud Dumouch

    http://www.mauvaisenouvelle.fr/?article=monde-lynchage-post-leonardien-pas-tres-catholique-au-royaume-de-belgique--752

    http://www.belgicatho.be/archive/2016/01/13/affaire-belge-un-professeur-de-religion-catholique-perd-son-5744399.html

  • Opus Dei : Messe à Bruxelles pour Mgr Echevarría

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    Ce samedi 17 décembre, à 11h00, une messe solennelle sera célébrée en l’église Saint-Jacques sur Coudenberg, Place Royale, pour le repos de l’âme du prélat de l’Opus Dei, décédé ce lundi.

    Ref. Messe à Bruxelles pour Mgr Echevarría

     JPSC

  • Le collectif interparoissial débat de la fermeture d’églises sur RTL avec Tommy Scholtes

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    Le collectif interparoissial débat de la fermeture d’églises sur RTL avec Tommy Scholtes

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    Dans l’émission Pour ou Contre de RTL télévision ce lundi 12 décembre 2016, Marguerite Rey – le Hodey – pour le collectif interparoissial –

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    était face à Tommy Scholtes, responsable Presse et Communication des Evêques de Belgique.

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    Enfin grâce à RTL un échange s’ouvre entre les évêques et les fidèles à propos de ce projet non concerté de fermeture de plus en plus d’églises.

    Marguerite Rey a parlé entre autres des statistiques effectives de personnes fréquentant les églises. Elles ne sont pas prises en considération par l’évêché.

    Deux symposiums organisés par des laïcs  ont abordé le sujet de l’avenir des églises. Ces symposiums ont leur blogs ici : http://www.avenirdeseglisesdebruxelles.be 

    « Toutes les églises qui devaient être désacralisées sont des églises rayonnantes aujourd’hui ».  L’exemple de Sainte Catherine est éloquent à ce sujet, poursuit Marguerite Rey.

    La question du coût de l’entretien des églises est un faux débat.  La vraie question est de savoir quel est le patrimoine des communes de Bruxelles ?  Les églises sont des monuments clefs de l’héritage culturel, il est donc important pour la ville de maintenir ses édifices. Par ailleurs ce budget représente moins de 0,3% du budget de la ville.  Les églises sont des bâtiments extrêmement important pour le tourisme de notre pays.

    L’abbé Olivier Frölich, vicaire général de Tournai, est intervenu par téléphone.  Il a abordé le cas d’une chapelle qui a d’abord été transformée en musée.  Mais elle a ensuite été revendue à un tiers qui lui a donné un usage pour un projet qui ne plaît pas à l’Eglise.  Pour Marguerite Rey ceci est une belle illustration du problème des réaffectations, mêmes respectueuses d’une église.  Il est impossible d’assurer la destination ultérieure qui sera faite du bâtiment.  Elle s’oppose donc à toute désacralisation.

    Pour visionner le débat : http://www.rtl.be/info/video/608016.aspx

    Il y a beaucoup de commentaires à faire sur cet échange très court.  Nous y reviendrons.

    Si vous voulez être maintenus au courant sur ce sujet, écrivez à soseglise@gmail.com

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    Vous pouvez suivre la page Facebook ici : https://www.facebook.com/soseglisebelgique/

  • Mgr Léonard veut relancer le débat sur l'avortement mais pas seulement

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    De Christian Laporte sur le site de laLibre.be :

    Mgr Léonard veut relancer le débat sur l'avortement

    Dans un livre, l’ancien primat de Belgique voudrait que le débat sur l’avortement soit relancé.

    Selon les rares échos qui remontent du côté de Gap, l’ancien archevêque André-Joseph Léonard s’intègre bien dans sa nouvelle fonction de chapelain au sanctuaire de Notre-Dame du Laus. Comme ses collègues simples prêtres, il y assure ses permanences et participe à la vie spirituelle. Avant de gagner le sud de la France, il s’était livré au philosophe libéral Drieu Godefridi pour un tour de table sur les grandes questions de l’heure. Joli signe d’ouverture : l’ouvrage est paru aux éditions du CEP pilotées par le député MR Richard Miller, laïque et libre-exaministe de son propre aveu.

    Débat philosophique de haut vol

    Cela donne des pages philosophiques de très haut vol qui raviront les "accros" du genre mais l’auteur ne pouvait pas esquiver les questions qui fâchent sur le plan moral et éthique et qui divisent les catholiques comme les libéraux. Sur ce terrain, André-Joseph Léonard reste intransigeant.

    Prises de position sans concessions

    Sur l’euthanasie : elle "touche donc toute une profession qui doit relativiser son serment d’Hippocrate". Evoquant celle demandée par Christian de Duve, il constate que "ce qu’on présente comme une décision purement personnelle au nom de la liberté de l’individu est en fait une décision qui a une influence profonde et determinante sur l’ensemble de la société". Et de déplorer qu’en Belgique, on ne se mobilise pas assez "pour dire non à des prétendues avancées qui sont des retours en arrière et une rétrogradation par rapport à la solidarité qui doit lier les membres d’une société".

    Mgr Léonard plaide aussi pour une relance du débat sur l’avortement "car sinon il va être uniquement un fait que l’on a enregistré, qui fait partie des mœurs et qu’on ne remet plus jamais en question". Et de rappeler que si on le voyait dans certaines marches pour la vie "c’était pour participer à un réveil ou à un maintien en éveil des consciences". L’archevêque dit aussi sa crainte face à la banalisation de la contraception : "La mentalité contraceptive généralisée encourage une mentalité abortive".

    Quant au mariage homo, il rejette absolument l’idée qu’il puisse être équivalent au mariage traditionnel. Par contre, il admet que l’Etat puisse envisager un statut de partenariat "pour des raisons fiscales, patrimoniales ou économiques". Et là, il le verrait même pour "un monsieur et sa dame de compagnie, voire un curé et sa gouvernante si on veut donner un statut qui protège économiquement un partenariat quelconque"…

    Enfin, sur sa non-désignation comme cardinal, Mgr Léonard ne se dit pas vraiment blessé mais laisse pointer un brin d’amertume. Avant de se reprendre en disant que peu d’archevêques ont présenté un bilan comme le sien ! Mais il a été "surpris et déçu"avant de "rebondir"…Christian Laporte

    "Mgr Léonard interrogé par Drieu Godefridi. Un évêque dans le siècle", Editions du CEP, 195 pp, environ 14 €

    Si l'on veut se faire une idée de ce que ressent le lecteur lambda de la Libre, on peut lire les commentaires figurant sous cette présentation du livre, sur le site de la Libre. C'est ICI et c'est édifiant ! 

     
  • Le 14 décembre, on saura si Dieu est multiculturel

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    Conferentie kardinaal De Kesel: Is God multicultureel?

    14-12-2016 om 18.30 uur
    Brusselse Campus van de KU Leuven
    In zijn conferentie gaat kardinaal Jozef De nader in op de vraag naar de plaats van God in een multiculturele samenleving.
     
    De affiche van de conferentie met kardinaal Jozef De Kesel

    De affiche van de conferentie met kardinaal Jozef De Kesel

    Conferentie in het Nederlands met simultaanvertaling in het Frans en het Engels.

    Op woensdag 14 december om 18.30 uur op de Brusselse Campus van de KU Leuven, Stormstraat 2 in 1000 Brussel (vlakbij het Centraal Station).

    Bescheiden receptie na afloop.

    Toegang: gratis.

    Bereikbaarheid met het openbare vervoer: de campus ligt vlakbij het Centraal Station, Metrolijn 1 & 5 (halte: Centraal Station/Gare Central), Lijnbussen nr. 29, 38, 63, 66 en 71, halte 'Storm/Assaut'.

    Parkeerterreinen (betalend) in de buurt

    • Parking 'City' open tot 23 uur
    • Parking 'Grote Markt' open 24 op 24 uur, ingang tegenover Centraal Station
    • Parking 'Muntplein' open 24 op 24 uur
    • Parking 'Schildknaap' open 24 op 24 uur
    • Parking 'Brouckereplein' open tot 01 uur

    Voor meer informatie