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conférences, spectacles, manifestations - Page 68

  • Vient de paraître : le magazine trimestriel « Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle », n° 107, été 2018

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    Le magazine trimestriel « Vérité & Espérance – Pâque Nouvelle » édité par l’association « Sursum Corda » (responsable de l'église du Saint-Sacrement à Liège) a publié sa livraison de l’été 2018. Tiré à 4.000 exemplaires, ce magazine abondamment illustré parcourt pour vous l’actualité religieuse et vous livre quelques sujets de méditation.Les articles mentionnés en bleu sont disponibles sur le blog de l'église du Saint-Sacrement (cliquez sur les titres ci-dessous pour y accéder).

    Au sommaire de ce numéro n° 107 (été 2018) : 

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    La Fête-Dieu 2018 à Liège

    Fête-Dieu : l’office primitif

    La réception de l’Eucharistie à travers le temps

    A contretemps : bioéthique, spiritualité, scientisme

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    Rome et le monde : 

    Pape François : quel bilan pour cinq années de pontificat ?

    Qui peut communier ?

    L’accès des conjoints luthériens allemands à la communion sacramentelle

    Célibat sacerdotal en péril : le cardinal Sarah monte au créneau

    Efflorescence du catholicisme en Afrique

    Belgique :

    Avortement : encore plus permissif ?

    Vers une reconnaissance symbolique des couples homosexuels par l’Eglise ?

    Un attentat « islamiste » au Boulevard d’Avroy à Liège

     

    Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. ,

    Rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.

     

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien à la revue sont reçus  avec gratitude au compte IBAN:

     BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, 

    B-4000 Liège

     JPSC

  • Quand le Festival d’Avignon inscrit au programme la théorie du genre et le mariage pour tous, Mgr Cattenoz met les points sur les i.

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    Lu sur le blog « Salon beige »:

    Cattenoz 20150121_32.jpg" Extrait de l'homélie de Mgr Cattenoz prononcée dimanche à l'occasion de la messe du Festival d'Avignon qu'il présidait, et retransmise par France Culture :

    "[...] Le Festival d’Avignon bat son plein, un lieu merveilleux où l’humanité s’interroge librement à travers le théâtre sur ce qu’elle vit et ce qu’elle est, véritable brouillon de culture. Le festival est un lieu merveilleux pour répondre à l’appel de Jésus à évangéliser. Cette année, devant le thème du festival, le genre, je lance un appel à la conversion et à la découverte du message de l’Évangile que la lettre de Paul nous a présenté de manière merveilleuse.

    Je n’ai jamais rencontré de L, de G, de B, de T, et paraît-il, maintenant de Q ; je ne connais et ne vois que des personnes humaines avec toute la richesse de leur féminité et de leur masculinité inscrite dans leur chair et jusque dans leur être le plus profond. Je continue de m’émerveiller devant la complémentarité de l’homme et de la femme. Au nom même de celle-ci, je m’émerveille encore, devant l’amour qui jaillit entre eux et débouche sur le don de la vie. Le mariage pour tous peut bien exister, ce ne sera jamais qu’une amitié, aussi belle soit-elle.

    Comme le prophète Amos, je voudrais dénoncer une société aux comportements incohérents et qui n’a pas compris quel merveilleux projet de vie Dieu lui proposait.

    Il n’y a rien de nouveau sous le soleil dans notre société ! Elle se vautre dans un pseudo bien-être matériel, usant des trois quarts des richesses de la planète, sans comprendre pourquoi les vagues migratoires des plus pauvres des pauvres se succèdent à nos portes. Que la Mer Méditerranée devienne un immense cimetière ne semble pas gêner grand monde !

    Cependant, devant ses incohérences, notre société n’est pas à court d’idées : l’avortement, le suicide assisté, la PMA, la GPA, l’eugénisme tout devient possible au nom d’un principe devenu premier depuis les années 68 : « il est interdit d’interdire, on a bien le droit, on a tous les droits, mon plaisir est mon droit. »

    Depuis des années, le processus est bien rodé : changer le vocabulaire, dépénaliser la réalité et en faire un droit. Dans quelques années, nous aboutirons à un sommet : « Homodeus ! » où l’algorithme sera roi. Heureusement, comme autrefois, le colosse a des pieds d’argile !

    Au risque de choquer, je voudrais simplement rappeler les paroles de Jean-Paul II : « L’avortement est le crime le plus abominable qui soit, car la victime n’a même pas la possibilité de crier sa souffrance » (EV 50). Je voudrais citer Mère Teresa : « l’avortement est une réalité abominable, car une mère tue son propre enfant ». Je vous avoue que j’ai pleuré en voyant conduire au Panthéon de la République le corps de celle qui a permis la légalisation de l’avortement. Je voudrais enfin citer le Pape François qui récemment a eu le courage de dire haut et fort ceci : « J’ai entendu dire que c’est la mode – ou du moins, c’est une habitude – de faire certains examens pendant les premiers mois de la grossesse, afin de voir si le bébé va mal, ou s’il y a un problème. Dans ce cas, la première proposition est :“On l’élimine ?” L’homicide des enfants. Et pour avoir une vie tranquille, on élimine un innocent. [...] Au siècle dernier, tout le monde était scandalisé par ce que faisaient les nazis pour entretenir la pureté de la race. Aujourd’hui, nous faisons la même chose, mais avec des gants blancs » (2018 08 18).

    Face à cette anthropologie enfermée dans une impasse, Paul nous présente le projet de Dieu le Père sur nous : devenir dans le Christ ses enfants bien-aimés, partager sa propre vie divine au souffle de l’Amour de l’Esprit Saint, et cela dès maintenant et pour toujours. Jésus nous invite à témoigner de ce merveilleux projet divin au cœur de notre société d’aujourd’hui, aussi nous voulons au cœur du festival porter témoignage de Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie. Jean Vilar l’avait compris, lui qui a toujours demandé que le programme de la présence chrétienne au festival soit noté dans le programme lui-même.

    Il y a quelques jours, je demandais à des personnes atteintes de handicaps : « Quelle est la dernière merveille de Dieu dont vous avez été témoins ? » Claire, une jeune femme polyhandicapée m’a dit : “moi je m’émerveille de savoir que je vis et que je vivrai pour toujours en Jésus !” Et Madona, une femme atteinte de trisomie 21, a ajouté avec ses mots à elle : “Moi, quand je vois le prêtre qui lève l’hostie à la messe, je vois papa, maman, et tous les saints du ciel !” Quelle leçon d’humanité ! Oui, toi mon frère, même si tu n’acceptes pas ce témoignage de Claire et de Madona, même si tu ne partages pas ce merveilleux projet divin, tu restes mon frère et nous pourrons vivre ensemble une véritable fraternité, car c’est l’Amour seul qui compte. AMEN 

    Michel Janva "

    Ref. Mgr Cattenoz : Le mariage pour tous peut bien exister, ce ne sera jamais qu’une amitié

    Lorrain d’origine (il est né à Maxéville en 1945), Mgr Jean-Pierre Cattenoz a obtenu son doctorat en théologie à l’Institut catholique de Toulouse et fut ordonné prêtre en 1983 pour l’archidiocèse d’Avignon où il débuta son ministère avant de partit comme prêtre « Fidei Donum » à N'Djaména au Tchad. Il y fut  directeur des études du séminaire de Bakara pendant six ans. De retour en France, il enseigna au grand séminaire d'Avignon et au Studium de théologie de l'Institut Notre-Dame de Vie. De 2000 à 2002, il est responsable de la branche sacerdotale de cet institut de spiritualité carmélitaine, avant d’être nommé archevêque d’Avignon par Jean-Paul II (juin 2002).

    Rapidement après sa prise de fonction, il fut pris à partie par les milieux libéraux de son diocèse contestant sa politique d’implantation de communautés religieuses « étrangères » (qui ne tardèrent pas à susciter des vocations) et la fermeture du séminaire interdiocésain d’Avignon (très ouvert aux « valeurs » de la postmodernité). La promulgation d'une « charte diocésaine de l'enseignement catholique », qui demande aux élèves non catholiques des établissements catholiques de participer aux cours de première évangélisation ou de catéchèse, acheva de heurter la frange moderniste de son « gouvernement » diocésain qui réclama publiquement sa démission. Mais il fut confirmé dans son poste par le pape Benoît XVI (janvier 2010). Sous le règne du pape François, une nouvelle tentative libérale pour l’écarter, fit également long feu.

    JPSC

  • Dimanche 1er Juillet 2018 (10h00) à l’église du Saint-Sacrement à Liège : Solennité de la fête des saints Pierre et Paul

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    Saint-Sacrement 1er dimanche du mois_juillet2018.jpg

    MESSE GRÉGORIENNE, ORGUE ET VIOLONS

    DIMANCHE 1er JUILLET 2018 À 10 HEURES

     

    IMG_6965 - Copie.jpgL’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) offre chaque premier dimanche du mois à 10h00 une messe particulièrement soignée sur le plan musical.

    Le dimanche 1er juillet prochain, l’organiste Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers et l’Ensemble instrumental Darius ont choisi de privilégier la musique de l’âge baroque et la découverte d’un compositeur chilien d’aujourd’hui.

    Le propre grégorien de la messe de la Fête des saints Pierre et Paul est chanté par la Schola du Saint-Sacrement. Il commence par la mélodie de l’introït composée sur des paroles extraites des actes des apôtres et du psaume 138 illustrant la confiance en Dieu dans les épreuves et se termine par les Laudes Carolingiennes en l’honneur du Christ Vainqueur.

     

  • Des échos du "Rome Life Forum" où Stéphane Mercier a été ovationné

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    A Rome, la voix de la famille s’est levée (source)

    L’abbé Angelo Citati qui assistait au « Rome Life Forum », les 17 et 18 mai 2018, à l’Université pontificale Saint-Thomas-d’Aquin, l’Angelicum, en a donné un compte rendu détaillé dans Correspondance européenne n°351 du 31 mai 2018.

    Organisé par l’association Voice of the Family, le « Rome Life Forum » s’est tenu les 17 et 18 mai 2018, préludant à la Marche pour la vie du samedi 19. Ce congrès, consacré à la défense de la famille traditionnelle, se penchait plus particulièrement cette année sur le rôle et les limites de la conscience personnelle dans la morale familiale.

    Inauguré en 2014, le congrès était jusque-là réservé à un nombre restreint de spécialistes. Cette année, pour sa cinquième édition, il a ouvert ses portes au grand public. Près de 200 personnes – dont le cardinal Raymond Burke, Mgr Athanasius Schneider et Mgr Dario Edoardo Viganò, ancien nonce apostolique aux Etats-Unis – ont pu assister pendant ces deux jours aux conférences qui se sont suivies, sur un rythme assez serré, dans l’amphithéâtre de l’Angelicum. (...)

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    Stéphane Mercier

    Stéphane Mercier : « Nous avons besoin de pasteurs prêts à lutter comme David contre Goliath. Mais où sont les David ? Ils sont trop peu nombreux ! »

    Le témoignage du professeur Stéphane Mercier fut un des plus touchants. Celui-ci a relaté son histoire personnelle : il était encore il y a un an professeur de philosophie à l’Université catholique de Louvain et dans une école dirigée par des jésuites. L’Université catholique (sic) de Louvain le destitua de sa charge en avril 2017 pour avoir invité ses étudiants à réfléchir sur un argumentaire philosophique contre l’avortement, puisque – ce furent les incroyables paroles des représentants de l’Université – « nous ne croyons pas qu’on puisse affirmer que tout avortement est un homicide », et parce qu’ils estimaient inopportun d’aborder un sujet si délicat. Les jésuites pour leur part l’ont renvoyé de leur école après avoir appris qu’il avait cosigné la Correctio filialis adressée au souverain pontife. Ainsi, jeune marié et bientôt père d’un enfant, il se retrouve aujourd’hui, malgré ses titres et sa brillante carrière, sans travail pour avoir soutenu que l’avortement était un crime et que ceux qui vivaient en concubinage n’avaient pas le droit de recevoir la communion : « Comme vous le savez, a-t-il ironisé, la miséricorde coûte cher ! ». Il s’est attaqué alors aux évêques de son pays, qui ont appuyé la décision de l’Université : « Les évêques actuels n’ont pas d’épine dorsale. Aujourd’hui, ne pas dénoncer le mal signifie en être complice. Nous n’avons pas besoin de pasteurs lâches. Nous avons besoin de pasteurs prêts à lutter comme David contre Goliath. Mais où sont les David ? Ils sont trop peu nombreux ! En tant que catholique romain, je me sens trahi par tous ces évêques qui après soixante années de sécularisation, nous parlent encore de liberté religieuse, qui soutiennent les mouvements LGBT…, de ces papes qui interdisent la messe de nos aïeux, qui baisent le Coran… ! Moi, qui suis-je ? Je suis un des petits dont parle Jésus dans l’Evangile, un de ces petits scandalisés par les pasteurs ». A ce moment-là, tous les assistants se sont levés et ont manifesté leur solidarité par une véritable ovation. (...)

    Les travaux de la dernière demi-journée ont débuté par une intervention de Mgr Livio Melina, professeur de théologie morale et disciple du cardinal Carlo Caffarra. Il a stigmatisé le « changement de paradigme » pour lequel se battent les progressistes en matière de morale, ainsi que ce qu’il a appelé « l’herméneutique du discernement au cas par cas » qui s’est diffusée depuis Amoris lætitia pour discréditer l’enseignement des papes précédents, car « Amoris lætitia représente un enseignement partiel, puisqu’il contient des expressions qui doivent être intégrées, interprétées et même corrigées ». « La voie de la casuistique ainsi entendue, la voie du cas par cas, c’est la voie des pharisiens », a-t-il conclu : « Ce n’est donc pas d’un changement de paradigme que nous avons besoin, mais d’une conversion du cœur afin que notre conscience s’ouvre à la vérité et la réalise dans nos actions ».

    Le congrès a été clos par l’intervention du cardinal Raymond Leo Burke sur « le règne du Christ à travers son Sacré-Cœur ». Le cardinal a critiqué une idée fausse très répandue aujourd’hui : la conscience, a-t-il expliqué, n’est pas formée des désirs et des opinions de chaque individu, mais de la vérité qui purifie les désirs et les opinions de chaque individu. « La royauté du Christ n’est pas seulement pour certains fidèles, mais bien pour tous, ni non plus seulement pour les catholiques, mais pour tous les hommes. Il y a un devoir social de professer la religion et un devoir moral vis-à-vis de la vraie religion ». Et cette vérité, a-t-il ajouté, vaut même encore plus dans une société pluraliste, car « la vérité n’est pas pluraliste. La vérité est unique. La royauté sociale du Christ est aujourd’hui plus nécessaire que jamais. Le pluralisme n’appartient pas à notre Credo ». Et quoiqu’on en dise aujourd’hui, « la liberté de religion ne consiste pas en la liberté de pratiquer des fausses religions ».

    Dans les réponses aux questions, le cardinal Burke s’est livré à quelques considérations sur le prochain Synode sur la jeunesse : « S’il n’y a pas une conversion des cœurs, il est probable qu’il y aura de nouveaux problèmes. Et si on doit en juger d’après sa préparation, il y a raison de craindre que ce sera le cas. Les jeunes eux-mêmes qui ont participé à sa préparation ont l’impression d’avoir été instrumentalisés avec la diffusion de sondages selon lesquels ils auraient besoin de nouveaux changements dans la doctrine morale de l’Eglise. Mais des sondages plus véridiques nous révèlent que c’est d’autres choses que les jeunes ont besoin : par exemple, les jeunes demandent la Messe tridentine ».

  • "Si tu savais le don de Dieu" : Cinquième Festival Marial des Familles à Banneux du 1er au 5 août

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    Dates 2018 : du mercredi 1 au dimanche 5 août 2018

    Thème : "Si tu savais le don de Dieu" (Jean 4-10)

    Affiche Festival Marial des Familles 2018

     

    –> Lieu : le prieuré Regina Pacis, chez les frères de Saint-Jean, à Banneux (près de Liège, en Belgique).

    5 jours pour vivre sa foi en famille : des conférences et des ateliers pour réfléchir aux sujets qui touchent les familles; des temps de prière, des temps en couple et en famille; des activités spécifiques par tranche d'âge pour les enfants et pour les adolescents; une prise en charge des tout-petits. Le festival est aussi familial par sa taille avec une cinquantaine de familles participantes. Informations et inscription : http://festivaldesfamilles.be/"

  • Maleizen (Bruxelles), 31 juillet - 5 août : Retraite selon les Exercices de saint Ignace avec des frères de l'abbaye Saint-Joseph de Clairval

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    RETRAITE SPIRITUELLE DE SAINT IGNACE

    Du 31 juillet au 5 aout 2018, l’abbaye Saint-Joseph de Clairval organise à Overijse (Klooster Maleizen), en périphérie de Bruxelles, une retraite de 5 jours selon les Exercices de saint Ignace, destinée aux hommes. Deux moines-prêtres, accompagnés d’un Frère Assistant, prêcheront cette retraite.

    Les Exercices Spirituels sont un trésor de l’Eglise particulièrement adapté aux besoins de notre temps, un trésor propre à toucher les âmes en faveur de leur salut éternel.

    Vous pouvez vous inscrire sur le site internet www.clairval.com, ou par courrier, ou encore par téléphone :

    Abbaye Saint Joseph de Clairval Retraites 21150 FLAVIGNY SUR OZERAIN France

    Téléphone: 03 80 96 22 31

    Télécopieur: 03 80 96 25 29 http://www.clairval.com/retraites.fr.php#Inscription 

    Attention, ces retraites sont pour les hommes et sont données uniquement en langue française.

    Présentation des retraites spirituelles Depuis ses origines, l'Abbaye Saint-Joseph organise des Retraites pour faire participer les laïcs aux richesses de la vie contemplative. Ces retraites s'inspirent des Exercices Spirituels de saint Ignace.

    "Je demanderai la connaissance intime du Seigneur qui s'est fait homme pour moi, afin de l'aimer avec plus d'ardeur et de le suivre avec plus de fidélité." Exercices Spirituels, n. 104

    «L'appel à la sainteté ne peut être entendu et suivi que dans le silence de l'adoration devant la transcendance infinie de Dieu. Nous devons confesser que nous avons tous besoin de ce silence chargé de présence adorée (...) Tous, croyants et incroyants, ont besoin d'apprendre la valeur du silence qui permet à l'Autre (Dieu) de parler, quand et comme Il le voudra et qui nous permet à nous de comprendre cette parole. Dans la pratique cela suppose une grande fidélité à la prière liturgique et personnelle, aux temps consacrés à l'oraison mentale et à la contemplation, à l'adoration eucharistique, aux retraites mensuelles et aux exercices spirituels.» Jean-Paul II, Exhortation Apostolique sur la vie consacrée, 25 mars 1996.

    «Dans nos communautés des Missionnaires de la Charité, nous faisons depuis le début, les Exercices Spirituels de Saint-Ignace, qui sont très beaux et très fructueux. Je les conseille à tous : ils ne sont pas réservés aux religieux. Ils sont d'autant meilleurs que le prêtre qui les donne reste très fidèle, avec beaucoup de soin, à la méthode que Saint Ignace nous a donnée lui-même.» Bse Mère Teresa, le 14 septembre 1986

  • Plain-Chant sur Liège le samedi 16 juin 2018 de 16h45 à 19h00

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    À l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132

    Avec la Schola Gregoriana Cardinalis Stephani  Wyszyński de Varsovie :

    et les élèves de l’Académie de Chant Grégorien à Liège

    Plain-chant sur Liège 16-06-2018.jpg

    Entrée libre. Renseignements : tel 04 344 10 89

    ou email academiedechantgregorienliege@proximus.be

    Plus de détails ici :

    Plain-Chant sur Liège,  le samedi 16 juin 2018 : avec la Schola Gregoriana Cardinal Wyszyński  et les élèves de l’Académie de Chant grégorien

    JPSC

  • Bruxelles, 19 juin : L'école de saint Thomas à travers les siècles; un cours de philo avec Stéphane Mercier

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    La pensée de saint Thomas s’est retrouvée au cœur de débats importants qui ont vu naître le droit international (Bartolomé de las Casas et la controverse de Valladolid) ou ont servi à creuser le mystère des rapports entre la liberté humaine et la grâce divine (Cajetan contre Luther, ou plus tard les affrontements entre Jésuites et Dominicains à l’âge baroque). Aujourd’hui encore, ils contribuent à éclairer les débats éthiques et permettent d’ancrer solidement la pensée dans le réel face aux tentations idéalistes toujours promptes à refaire surface. À travers les siècles et mille défis à relever, la philosophie thomiste a montré à la fois sa vigueur et sa capacité à proposer des réponses aux questions que ne cesse de se poser l’homme sur lui-même, sur le monde qui l’entoure et sur Dieu.

    Conférence : mardi 19 juin à 19h30.

    INSCRIPTION

    Adresse

    Maison du Roy d’Espagne
    Grand-Place 1, 1000 Bruxelles
    salle à l'étage

  • Plain-chant sur Liège le samedi 16 juin 2018 : avec le Choeur grégorien Cardinal Wyszynski de Varsovie et l'Académie de Chant grégorien

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    « Lumière d’éternité » :

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    Plain-chant sur Liège le samedi 16 juin 2018

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    A l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132

    La Schola Gregoriana Cardinal Wyszynski de Varsovie (dir. Michal Slawecki, organiste et chef de chœur à l’Université Cardinal Wyszynski) et les Elèves liégeois de l’Académie de Chant grégorien (dir. Isabelle Valloton) dédient l’après-midi du samedi 16 juin prochain, au chant médiéval : plain-chant et polyphonie se succéderont à l’église du Saint-Sacrement à Liège, (Bd d’Avroy, 132).

    Au programme :

    → À 16h45, psalmodie des vêpres traditionnelles alternée par le chœur parisien et les élèves de l’académie.

    → À 17h30, audition concertante « Lumière d’éternité » : plain-chant et polyphonie interprétés par la Schola Gregoriana Cardinal Wyszinski (dir. Michal Slawecki).

    → A 18h00, messe grégorienne pour le temps de la Pentecôte: chants du propre « Dominus illuminatio mea » du IVe dimanche après la Pentecôte, pièces extraites du «Kyriale » des messes festives (Kyrie III, Gloria, Sanctus et Agnus Dei XII) et Salve Regina solennel, alternés par les chœurs liégeois et polonais réunis.

    → A 19h00, réception offerte à l’issue des manifestations.

    Entrée libre. 

    Renseignements: tel. 04.344. 10.89.

    E-mail : academiedechantgregorienliege@proximus.be

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     JPSC

  • Verviers (Sainte-Julienne), 9 juin : Concert exceptionnel "Des mystères au Mystère" avec 90 choristes

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    Un concert pas comme les autres : « Des mystères au Mystère » à Verviers

    9 JUIN À 20 H 00

    « DES MYSTÈRES AU MYSTÈRE »

    Un concert exceptionnel qui a déjà rencontré un grand succès dans les différentes villes où il a eu lieu.  Plus qu’un concert, cette soirée est une expérience de vie et de foi.

    L’asbl Le Chant des Sources au profit de l’asbl Vaphis. Plus de renseignements ici

  • "Créés pour se donner" : conférence de Stéphane Seminckx à Bruxelles (UOPC) le 9 juin à 15H00

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    Bâtir sa maison sur le roc. Logo

    a le plaisir de vous convier à 

    une conférence de l'Abbé Stéphane Seminckx 

    suivie d'une séance de dédicace du livre

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 le samedi 9 juin 2018 de 15 à 17h

     Pour réserver vos places : bx@batirsamaisonsurleroc.be

     Pour visionner la vidéo de promotion du livre, vous pouvez cliquer ici

     Salle de Conférences de la Librairie UOPC, 
Avenue Gustave Demey 14-16 (1er étage)
- 1160 Bruxelles

  • Plus de 300 Liégeois réunis ce dimanche 3 juin 2018 avec l’évêque de Liège en l’église du Saint-Sacrement au Bd d’Avroy pour célébrer la Fête-Dieu selon le rite traditionnel

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    Plus de 300 personnes ont assisté à la Solennité de la Fête-Dieu célébrée selon la liturgie traditionnelle par Mgr Jean-Pierre Delville  en  l’église du Saint-Sacrement à Liège au Boulevard d’Avroy, à quelques mètres du lieu tragique des tueries de la semaine dernière, que le prélat à largement évoquées dans son homélie ci-jointe. La cérémonie était rehaussée par une très belle messe polyphonique interprétée  par le chœur liégeois « Praeludium » et le chant grégorien de la Schola Minor de Bratislava, qui avait fait le déplacement à Liège pour la circonstance.

    Voici le texte de l’homélie prononcée par l’évêque de Liège :

    " Chers Frères et Sœurs,

    DSC_0260.JPGLa Fête-Dieu, c’est la Pâque aujourd’hui, la Pâques pour moi, pour nous, dans la commuion au corps du Christ. Pâque, c’est la vie du Christ. C’est la Fête-Dieu, c’est notre vie dans le Christ. Comme le dit Jésus : « celui qui me mange vivra par moi ; celui qui mange ce pain vivra éternellement » (Jn 6,56-58).

    Le pape Urbain IV dans la bulle d’institution de la Fête Dieu écrivait en 1264 en insistant sur cette dimension de repas de l’eucharistie : « Sur le point de quitter (« Transiturus », en latin) le monde pour retourner à son Père, notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, comme le moment de sa passion approchait, après avoir mangé la Cène en mémoire de sa mort, institua le souverain et magnifique sacrement de son Corps et de son Sang, donnant son corps en nourriture et son sang en breuvage ».

    Il ajoute une phrase, qui m’inspire beaucoup cette année, où j’ai écrit une lettre pastorale intitulée L’arbre de vie : « Ô très digne mémoire, dans laquelle nous célébrons celui qui est véritablement l’arbre de vie, et qui étant attaché sur l’arbre de la croix, a fait germer pour nous le fruit du salut ! »  Donc pour le pape Urbain IV, le Christ est l’arbre de vie qui est attaché sur l’arbre de la croix. Le pape lie l’arbre de vie à l’arbre de la croix. Il conclut que cela fait germer pour nous le fruit du salut. Nous évoquons donc la passion et les souffrances du Christ. Et nous découvrons que ce don de soi nous donne des fruits de vie. Le pape continue en disant : « En cette fête, la douceur de la joie se mêle avec l’effusion des larmes : car nous nous réjouissons en pleurant, et nous pleurons de tendresse et de dévotion en nous réjouissant ; nos larmes sont des larmes de joie, et notre joie s’exprime et se fait paraître par des larmes. » Il ajoute que cette célébration manifeste « la mort de notre propre mort, et la destruction de notre propre destruction ».

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