conférences, spectacles, manifestations - Page 89
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3 -8 avril : Retraite de conversion et d'approfondissement de la vie chrétienne avec la Fraternité Saint-Pierre
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Concert-veillée exceptionnel Family Alegria à Banneux le 20 février à 19H45
SAMEDI 20 FEVRIER 19H45
Dans le cadre du WinterForum Emmanuel 18-30 ans auquel il y a déjà plus de 300 participants au Forum !!
Sanctuaire Notre-Dame de Banneux (Liège-Belgium)
Concert-veillée exceptionnel Family Alegria
20 chanteurs, danseurs, témoins, musiciens, qui viennent de Paris rien que pour nous !
Soirée ouverte à tous, avec priorité aux 16-30 ans. Bienvenue à vos cousins, filleuls, voisins, confirmants :-)PAIE TON TICKET SUR PLACE
10 EUR Concert Alegria + veillée samedi 19:30-23.00
Chapelle Saint-François, en plein coeur du Sanctuaire
Rue Jean Paul II, 4141 Banneux
Infos : winterforum.emmanuelyouth.beLien permanent Catégories : Actualité, Art, Bioéthique, conférences, spectacles, manifestations, Foi, Jeunes 0 commentaire -
Le chant des offices de la liturgie liégeoise médiévale : une conférence de Marcel Pérès à l’église des Bénédictines au Boulevard d’Avroy le dimanche 14 février 2016 à 15h30
Académie de Chant grégorien à Liège
Secrétariat : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill , 42/7 4020 Liège
E-mail : academiedechantgregorienliege@proximus.be
Tél. 04.344.10.89 Site : http://www.gregorien.be
Église de l’abbaye des Bénédictines de Liège
Boulevard d’Avroy, 54
Dimanche 14 février 2016 à 15h30
LE CHANT DES OFFICES DE LA LITURGIE LIÉGEOISE MÉDIEVALE
Trinité, Fête-Dieu, Saint Lambert
CONFÉRENCE
donnée par
MARCEL PÉRÈS
Directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes).
Les manuscrits présentés portent encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant, comme le montrera aussi l’interprétation vocale d’extraits de ces manuscrits.
P.A.F : 10 € (à l’entrée)
Renseignements et réservations : 04.344.10.89 (J.P. Schyns) ou 04. 223.77.20 (demander Sœur Petra)
Voir aussi :
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En juin et juillet : trois pèlerinages sur les traces de sainte Faustine et de saint Jean-Paul II
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Banneux, 1-3 avril, "Soyez des témoins de la Miséricorde Divine" : retraite avec le Père Pierre Descouvemont
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Rome : saint Padre Pio « booste » l’année de la miséricorde
Lu sur le site web du « Suisse romain » :
« La dépouille du célèbre capucin italien Padre Pio da Pietrelcina (1887-1968) est arrivée au Vatican le 5 février 2016 en fin d’après-midi, pour être présentée à la vénération des fidèles durant près d’une semaine, dans le cadre du Jubilé de la miséricorde. Un océan de fidèles émus aux larmes et recueillis a accompagné sa châsse dans une grande piété populaire, tout le long de la Via della Conciliazione.
C’est une première : le corps du saint aux stigmates n’avait jamais quitté le sanctuaire de San Giovanni Rotondo, dans les Pouilles. Et Rome a réservé à ce confesseur hors-pair, très estimé des Italiens, un accueil grandiose. Exposée les 3 et 4 février dans deux églises de la capitale, la dépouille de Padre Pio a attiré des milliers de personnes, se pressant heure après heure notamment aux abords de l’église San Salvatore in Lauro où une forêt de chaises recouvrait les places adjacentes.
Des cris et des larmes de joie
Accompagné solennellement en procession par un flot de pèlerins de tous âges, laïques et religieux, grand-mères et frères mineurs en bure marron, dans l’après-midi du 5 février, le saint a rejoint la basilique Saint-Pierre où il restera, au côté de son confrère saint Léopold Mandic (1866-1942), jusqu’au 11 février. Au soleil couchant, de nombreux Romains, derrière des barrières, ont donc salué le passage du saint le plus populaire d’Italie : qui à genoux, qui en fixant un souvenir de ce moment grâce à son smartphone, qui en essuyant ses larmes. La foule a accompagné les dépouilles jusqu’à la place Saint-Pierre, en récitant le chapelet. Des prières, des chants religieux et des lectures des extraits de la bulle d’indiction du Jubilé de la miséricorde rythmaient également la procession.
Cet événement voulu par le pape François a été encadré par de vastes mesures de sécurité, les cordons de policiers et des carabiniers en grand uniforme, donnant à la célébration des airs de funérailles de chef d’Etat. Sans pour autant décourager les fidèles, comme en témoigne Maria Piera, dans la foule : “Je l’ai déjà vu plusieurs fois au sanctuaire de San Giovanni Rotondo, mais je suis de Rome et là je me suis précipitée pour l’occasion !“. “C’est un grand saint, confie la vieille dame à I.MEDIA, il nous a appris à connaître Jésus et à l’aimer. La construction de la Casa di sollievo della sofferenza est une grande œuvre“. Une amie, à ses côtés, laisse échapper un cri enthousiaste à l’approche des bannières et de la châsse de verre contenant le corps conservé du saint : “Le voilà !“.
La dépouille de Padre Pio sera exposée dans la basilique vaticane pour la célébration du Mercredi des Cendres, le 10 février, durant laquelle le pape François enverra dans le monde les Missionnaires de la miséricorde, avec la faculté de pardonner les péchés réservés au Saint-Siège. Une mission qui sera donc initiée sous le signe d’un confesseur infatigable.
AK/BL »
JPSC
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Un triduum pascal, un week-end de la Miséricorde divine et une retraite du temps pascal chez les Frères de Saint-Jean à Banneux
Au Centre spirituel Regina Pacis
- Du jeudi 24 (17h30) au dimanche 27 mars (15h30), Triduum Pascal, Retraite spirituelle en silence au rythme de la liturgie de ces trois jours saints, avec les frères de la communauté
- Du vendredi 1er (17h30) au dimanche 3 avril (16h00), Week-end de la Miséricorde Divine, « Dans la miséricorde de Dieu, le monde trouvera la paix, et l'homme le bonheur ! » (S. Jean Paul II), avec le père Pierre DESCOUVEMONT
- Du vendredi 15 (17h30) au dimanche 17 avril (15h30), Retraite du Temps Pascal "Il est vraiment ressuscité !", Vivre le temps pascal dans la lumière des apparitions de Jésus, avec le père Pierre François
Communauté Saint Jean, Rue de la sapinière, 50 - 4141 Banneux Notre Dame Tél.: 04/360 01 20. Courriel: hotellerie@stjean-banneux.com Web: www.stjean-banneux.com
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Liège, 4-5 mars : 24 heures pour le Seigneur
Liège à l'heure de la réconciliation avec les "24 heures pour le Seigneur" organisées un peu partout dans le monde
Dans le cadre de la grande année jubilaire de la miséricorde, François nous dit : «Le Seigneur ne se lasse jamais de nous pardonner. C’est nous qui nous lassons de demander pardon. Disons toujours merci à Dieu, surtout pour sa patience et sa miséricorde ». Le diocèse de Liège proposera plus de 20 animations dans la ville consacrées à la réconciliation et à la miséricorde.
La miséricorde, c’est le cœur de l’Evangile. Miséricorde vient de deux mots latins : « Miserere » et « cordis », « misère » et « cœur ». Elle consiste à avoir le cœur qui bat pour les pauvres. Quoi de plus beau, de plus chaleureux, de plus courageux ! C’est aussi le chemin qui unit Dieu et l’homme, pour qu’il ouvre son cœur à l’espérance d’être aimé pour toujours.
Olivier Windels, Vicaire épiscopal et coordinateur des « 24h pour le Seigneur » :« Pour cet évènement mondial des 24 heures pour le Seigneur, nous invitons les chrétiens et les chercheurs de sens à approfondir et vivre diverses facettes de la miséricorde et du pardon dans la vie quotidienne, dans son expression sacramentelle, dans l’engagement au service et dans le monde aussi... Une invitation largement ouverte, une expérience à vivre! ».
Les grands rendez-vous des 4 et 5 mars à Liège
Vendredi 4 mars, à la cathédrale- À partir de 18h00 entrée priante dans les 24 heures et lecture biblique
- 19h00 Introduction et messe festive pour tous, animée par les jeunes
- 20h30 Grande veillée de la Miséricorde pour tous, de 16 à 96 ans – aussi par le collectif jeunes NightFever Liège
- 21h45 Concert du groupe Jesus’Trip, pour tous
De 22h00 à 9h00, nuit de prière et d’adoration à la cathédrale, animée par des groupes et mouvements
Samedi 5 mars, en ville et à la cathédrale- 9h30 Grand parcours dans la ville « à la découverte de la miséricorde ». 20 églises proposeront diverses animations tout au long de la journée, aussi pour enfants
- 17h00 Grande célébration de la Miséricorde à la cathédrale de Liège.
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Avec un million de participants, le 51e Congrès eucharistique international à Cebu (Philippines) a été un succès manifeste
Lu sur Eglises d'Asie (site des Missions Etrangères de Paris) :
51e Congrès eucharistique international : un succès manifeste
Ce dimanche 31 janvier, dans la ville de Cebu, aux Philippines, près d’un million de personnes ont assisté à la messe de clôture du 51e Congrès eucharistique international, au cours de laquelle le pape François s’est adressé à la foule dans un message vidéo.
« Voilà un an à peine, j’ai visité les Philippines après le passage du typhon Haiyan. J’ai pu constater par moi-même la foi profonde et la résilience de son peuple », a rappelé le pape argentin par vidéo interposée. « En même temps que la protection de Santo Nino [de Cebu - NDLR], le peuple philippin a reçu l’Evangile de Jésus Christ il y a bientôt 500 ans, a-t-il poursuivi. Depuis, les Philippins ont été, pour le monde entier, un exemple de fidélité et de dévotion profonde au Seigneur et à son Eglise. C’est également un peuple de missionnaires, portant la lumière de l’Evangile dans le reste de l’Asie jusqu’aux confins de la terre. »
Si la police locale a avancé le chiffre de 450 000 participants minimum lors de la messe finale organisée à Cebu, deuxième ville des Philippines, Radio Vatican évoque le chiffre de deux millions de fidèles massés sur la Plaza Independencia, au milieu de laquelle se dresse un obélisque en mémoire de Miguel Lopez de Legazpi, acteur majeur de l’évangélisation de l’archipel, aujourd’hui principal pays catholique d’Asie. Au total, 12 000 délégués venus de 90 pays ont pris part au congrès, qui s’est tenu du 25 au 31 janvier et qui était placé sous le thème : « Christ en nous, l’espérance de la gloire ».
L’annonce par le pape de la tenue du prochain Congrès eucharistique international, en 2020, à Budapest a suscité l’enthousiaste des quelques Hongrois présents parmi la foule massée à Cebu. Comme pour les Philippines, c’est la seconde fois que ce pays accueillera un tel congrès (Budapest avait accueilli le 34ème Congrès eucharistique international en 1938). Organisé tous les quatre ans, ce rassemblement mondial de catholiques vise à célébrer la centralité de l’Eucharistie dans la vie de l’Eglise, attirer l’attention sur la dimension sociale de celle-ci, ainsi qu’à fortifier l’engagement missionnaire des chrétiens.
Un an presque jour pour jour après la visite du pape François dans l’archipel, visite marquée par la plus grande messe de l’histoire, l’épiscopat philippin observe aujourd’hui une plus grande affluence dans les paroisses. « ll y a plus de monde à l’église et cela nous a également aidé à nous préparer à ce congrès », assure Mgr Honesto Ongtioco, évêque de Cubao, au nord de Manille, sur le site de la Conférence des évêques philippins (CBCP), sans pour autant fournir de chiffres détaillés. « La visite papale a renforcé à la fois notre foi et notre pratique de la religion », insiste Mgr Ongtioco.
« S’il y a une chose à signaler à propos des Philippins, dont la population est composée de beaucoup de pauvres, c’est bien leur foi qui les maintient debout. A Tacloban, les pauvres ont attendu sous la pluie que le pape arrive pour célébrer la messe. A Manille, le pape a aussi célébré la messe sous la pluie, à Rizal Park, mais je ne me souviens pas avoir vu de Philippins fortunés bravant la pluie durant des heures, dans l’attente de célébrer la messe avec François », indique également à Eglises d’Asie, Melo Acuna, journaliste à la CBCP.
Dans son intervention au congrès, le cardinal archevêque de Manille, Mgr Luis Antonio Tagle, a dénoncé la « culture de l’accumulation » pouvant conduire au « tout jetable ». « Qui a quelque chose à jeter ? Ceux qui ont trop accumulé, parce qu’ils se sont enrichis avec ce dont ils n’ont pas besoin », a souligné le président de Caritas Internationalis, dans un pays où un quart de la population vit sous le seuil de pauvreté, et où l’Eglise catholique se définit d’abord comme au service des plus démunis.
Au début du congrès, d’autres avaient d’ailleurs dénoncé la mise à l’écart par les autorités locales des plus démunis sur les lieux du congrès, ainsi que des frais de participation trop élevés. « En vivant dans la modération, nous pouvons aller à l’encontre de la culture du tout jetable », a poursuivi le cardinal Tagle, à l’adresse des délégués du congrès, dont des prêtres, des évêques et des membres de diverses congrégations.
Mgr Charles Maung Bo, cardinal de Rangoun et représentant personnel du pape au Congrès, a décerné au peuple philippin le titre de l’accueil « le plus chaleureux », rapporte l’agence Ucanews. « (...) Malgré toutes les catastrophes naturelles, l’une des principales choses qu’on n’ôtera pas aux Philippins, c’est leur foi », a-t-il déclaré. Après avoir appelé à une « troisième guerre mondiale contre la pauvreté et l’injustice », Mgr Charles Bo s’est rendu dans un quartier pauvre du village de Pasil (île de Cebu), où il s’est joint à des danses avec la jeunesse locale, avant la messe de clôture.
« Le Christ et l’Eucharistie sont présents partout où nous allons », a témoigné pour sa part, le P. Thammarat Ruanngam, originaire de Thaïlande. Lors d’une cérémonie organisée au cours du congrès, cinq cents enfants, pour la plupart enfants des rues, ont pu faire leur première communion. De son côté, Mgr Thomas Menamparampil, administrateur apostolique du diocèse de Jowai, dans le Nord-Est de l’Inde, a salué un « sentiment d’appartenance religieuse » très fort chez les Philippins.
D’après les organisateurs, les pèlerins taïwanais étaient parmi les plus représentés, après les Philippins.
« Ce congrès est comme le rassemblement des premiers disciples partageant avec joie le récit de leur rencontre du Seigneur, au travers des Saintes Ecritures et également de la cérémonie du partage du pain », s’est réjouit, dans son communiqué final, le président de ce 51ème Congrès, l’archevêque de Cebu, Mgr Jose Palma. « Nous revivons désormais la belle expérience des disciples d’Emmaüs », a-t-il poursuivi, en référence à leur première rencontre avec le Christ ressuscité, symbole du renouvellement de la foi.(eda/md)
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Bruxelles et Liège ont participé à l'Université de la Vie sur le thème "Panser la Société"
« Panser la société » : un événement suivi en direct par plus de 6 000 participants dans 122 villes en France et à l’étranger
L’édition 2016 de l’Université de la vie, organisée par Alliance VITA, a rassemblé cette année plus de 6000 personnes dans 122 villes autour du thème : « Panser la société. Comment agir en faveur d’une culture de vie ? ». Elle s’est clôturée lundi 1e février 2016, par l’intervention de Tugdual Derville sur le thème « Choisir l’Homme ! » qui était également proposée en direct sur Youtube.
Pour la troisième année consécutive, l’Université de la vie s’est déroulée simultanément par un système de visioconférence en direct. Au total, plus de 6 000 personnes se sont inscrites à cet événements dans 111 villes de France et 11 villes à l’étranger : Berlin, Bruxelles, Liège, Luxembourg, Londres, Rome, Zürich, Lausanne, Mohammedia au Maroc, New-York et au Québec. Le succès de cette formation dénote un grand désir de formation et d’engagement chez les participants, et de leur soif d’agir au service d’un changement culturel. Pour Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA, « Cette année, nous avons proposé aux participants d’effectuer un parcours personnel pour leur offrir la chance d’ajuster leur implication dans la société selon leur compétence, leur histoire personnelle et leurs désirs. Les premiers retours nous confirment la pertinence de notre projet : grâce à de multiples initiatives, un ‘tissu d’humanisation’ diversifié est en train de couvrir notre pays. Il est fondé sur une anthropologie solide. La boussole de l’humanisme intégral qui nous donne la direction à prendre s’exprime en effet en deux expressions à la fois simples et exigeantes : ‘tout l’homme et tous les hommes’, ‘toute la vie et la vie de tous’. Il s’agit finalement de travailler ensemble à ce que personne ne soit exclu de l’Humanité. »
Le programme
Sur le thème « Panser la société – comment agir en faveur d’une culture de vie ? », les 4 soirées ont permis d’approfondir :
- Les ressorts personnels de l’action (identité, histoire, compétences, aspirations de chacun) ;
- L’action humanitaire auprès des plus fragiles ;
- L’action politique pour le droit et la justice ;
- L’action globale pour une culture de vie.
Ce programme a été abordé avec l’approche spécifique d’Alliance VITA nourrie d’une part, de l’expérience de ses services d’écoute des personnes confrontées aux épreuves de début ou de fin de vie, et d’autre part, de son travail de sensibilisation du public et des décideurs. François-Xavier Pérès, Tugdual Derville, Caroline Roux, Henri de Soos, Valérie Boulanger, le docteur Xavier Mirabel ainsi que Blanche Streb qui animait les soirées, ont partagé leurs analyses et les façons d’agir de l’association.
Les temps fort de ces soirées
Ces interventions ont été complétées par l’apport de cinq experts : les philosophes François-Xavier Bellamy, Thibaud Collin et Martin Steffens, la spécialiste en accompagnement Anne Davigo-Le Brun et le docteur en droit Grégor Puppinck. Ils ont pu éclairer plusieurs concepts indispensables à l’action, comme par exemple : épreuve, deuil, démocratie, loi naturelle, droits de l’homme, culture…
Alliance VITA a également demandé à quatre fondateurs d’œuvres destinées aux personnes fragiles ou fragilisées de témoigner de leur parcours et de leur regard sur la société : Laurent de Cherisey (Simon de Cyrène), Etienne Villemain (Association Lazare), Christian de Cacqueray (Service catholique des funérailles) et Jean-Marc Potdevin (Réseau Entourage). La façon dont leurs innovations sociales sont nées et ont été conduites contient pour tous une valeur d’exemple et d’émulation.
Plus de 100 experts et témoins (médecins, universitaires, professionnels) sont intervenus localement dans de nombreuses villes, à l’issue des séances nationales, chaque soirée se terminant par un temps de « décrochage en région » permettant d’animer une phase locale dans chaque ville qui le souhaitait.
Le grand direct de la dernière soirée
L’Université de la vie a eu un fort rayonnement sur les réseaux sociaux, portant l’évènement en tête des tendances twitter lors des 3 dernières soirées. Et devant le succès de ce cycle de formation original, la toute dernière intervention a été proposée en direct depuis le site Internet d’Alliance VITA afin de partager au plus grand nombre les enjeux bioéthiques d’aujourd’hui qui se posent à notre société. Tugdual Derville a donc conclu le cycle sur le sujet “Choisir l’homme !”, un enjeu crucial, à la fois personnel et collectif, auquel l’Humanité est aujourd’hui confrontée. Au total : plus de 1 200 internautes s’y sont connectés venant s’ajouter aux 6 000 inscrits, soit un bond de participation de 15%.
- Pour revoir le direct en ‘replay’ : http://www.alliancevita.org/2016/02...
- Pour avoir un aperçu des soirées en images : https://www.flickr.com/photos/allia...
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F.-X. Bellamy : « Vivons-nous la fin de notre civilisation ? ».
François-Xavier Bellamy est professeur de philosophie et maire adjoint de Versailles. Il est l’auteur d’un essai intitulé Les Déshérités ou l’urgence de transmettre (aux éditions Plon) sur la crise de la culture occidentale.
À l’occasion de cette conférence donnée à Moscou, François-Xavier Bellamy a développé le thème de la crise de la culture vue comme une crise de la transmission. La « fin de notre civilisation » : c’est le diagnostic que le philosophe pose sur la crise de confiance des sociétés occidentales
Ref. Vivons-nous la fin de notre civilisation ?
JPSC
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Banneux (Communauté Saint-Jean), 12-14 février, retraite de carême : l'appel à la sainteté dans la miséricorde