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environnement - Page 17

  • Quand l'écologisme s'oppose à l'immigration...

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    L'écologisme est une curieuse idéologie qui peut prendre de singulières tournures. Ainsi, des écologistes suisses envisagent de limiter l'immigration dans la Confédération Helvétique pour protéger la nature : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/des-ecolos-suisses-veulent-stopper-l-immigration-pour-sauver-la-nature_1182474.html

  • Ecologie : l'homme gardien de la création

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    (VIS). Benoît XVI a fait parvenir un message au XX Congrès oecuménique international de spiritualité orthodoxe, qui se tient au monastère de Bose (Italie) du 5 au 8 septembre: "L'homme gardien de la création": Pour la tradition chrétienne d'orient comme d'occident, habiter la terre est une mission confiée à l'homme, hôte et gardien de la terre. Tel est le thème dont débattent notamment le Prieur de Bosé Enzo Bianchi, Ioannis Zizoulas, Métropolite de Pergame et représentant du Patriarche oecuménique, auxquels le Pape a souhaité que la rencontre favorise la fraternité, la connaissance réciproque et le partage de la foi, afin a raviver l'engagement commun à sauvegarder le don divin qu'est la création. Le congrès rassemble des prélats orthodoxes, anglicans, réformés, et catholiques, dont le Cardinal Roger Etchégaray, Vice Doyen du Sacré Collège, Mgr.Antonio Mennini, Nonce en Grande Bretagne, Mgr.Mansueto Bianchi, Evêque de Pistoia et Président de la Commission épiscopale italienne pour le dialogue inter-religieux, des représentants aussi du Conseil oecuménique des Eglises et du Conseil pontifical pour l'unité. Pendant ces quatre jours de débat, ouverts au public, les participants approfondissent la dimension spirituelle et théologique du rapport entre l'homme et son environnement, s'interrogent sur les valeurs devant inspirer des décisions responsables face à la crise écologique causée par l'homme, et dont les conséquences sont parfois irréversibles pour la vie de la planète. Les positions orthodoxes sur cette problématique seront exposées par l'Evêque Amvrosij, Recteur de l'Académie de théologie de St.Petersbourg. La bonté de la création selon le récit biblique, le rapport entre la nature blessée et la nature guérie au long de l'histoire, la perception du lien homme nature dans la perception des pères de l'Eglise, d'Irénée de Lyon à Maxime Le Confesseur ou les pères syriaques, seront abordés par des chercheurs comme John Behr (USA), Nestor Kavvadas (Tübingen) ou Assade Elias Kattan (Münster).

  • Amazonie : les évêques dénoncent l'exploitation capitaliste au détriment des réalités humaines

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    Lu ICI : “Nous vivons aujourd’hui dans une dictature économique !” Le propos a le mérite d’être clair. Il l’est d’autant plus qu’il est tenu par un évêque, Mgr Leonardo Ulrich, secrétaire général de la Conférence nationale des évêques du Brésil. Un propos parmi d’autres tenus au cours d’une réunion de l’Eglise en Amazonie qui s’est tenue à Santarém (Brésil) du 2 au 6 juillet. C’était la dizième du genre et l’occasion de faire le point sur un document élaboré par les évêques de la région il y a quatre décennies, à l’époque d’une autre dictature, militaire celle-là, au Brésil. L’exploitation de l’Amazonie, toujours encore considéré par le gouvernement comme un capital privé dont la gestion lui revient exclusivement, est une source permanente de préoccupation pour ces pasteurs qui en voient au quotidien les conséquences sociales et environnementales.

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  • Monseigneur Rey : "peut-on être catho et écolo ?". Une lecture catholique de l'écologie

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    51rG-ogFr5L__SL500_AA300_.jpgSur le site « Liberté Politique » Stanislas de Larminat analyse « Peut-on être catho et écolo », une petit ouvrage que Mgr Rey, évêque de Toulon-Fréjus, vient de publier aux éditions Artège. Extraits de son analyse :

     « Tout l’ouvrage de Mgr Rey revient à expliquer comment « la crise écologique que nous vivons vient, en dernière analyse, du fait que l’homme a perdu la juste place qui était la sienne dans une nature sortie bonne et ordonnée des mains de Dieu ».

    La crise écologique

    L’évêque de Toulon souligne que la crise écologique découle de crises en amont qui sont à la fois d’ordre métaphysique, anthropologique et moral. On ne voit plus que le monde est le fruit d’un acte créateur, ni que l’homme y a une place unique qui lui donne une responsabilité éthique vis-à-vis de la création pour participer au salut de ce monde. 

     

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  • RIO +20: deux conditions impératives du développement durable (2e partie)

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    Source : ZENIT.ORG

    Depuis une vingtaine d’années il y a méprise sur la signification du développement durable. Pour certains, celui-ci suppose l’imposition de programmes cruels comme réduire ou sélectionner les naissances, pour d’autres il est un renvoi à sa définition originelle.

    Le Saint-Siège a un avis sur la question et l’ha présenté à la conférence internationale Rio+20. C’est l’objet de la seconde partie de l’entretien avec Mgr Francis Assisi Chullikatt, Observateur permanent du Saint-Siège près les Nations Unies, qui analyse ce qui a été dit durant la conférence et figure dans le document final.

    ***

    Comment et pourquoi la famille est si importante pour un développement durable?

    La famille est là où commence la vie, que celle-ci murit et se développe, là où les enfants sont éduqués à agir de manière professionnelle et éthique. Cela signifie assumer librement une attitude responsable dans un vrai contexte de solidarité entre les personnes et avec la création.

    Le caractère unique d’une institution comme la famille, l’obligation juridique de la protéger, son importance pour un développement durable, l’élimination de la pauvreté et des opportunités comme l’économie verte peuvent se résumer de la façon suivante :

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  • RIO +20: deux conditions impératives du développement durable (1ère partie)

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    Source : ZENIT.ORG

    Le respect de la personne et le soutien de la famille sont les deux impératifs pour un développement durable, explique Mgr Chullikatt.

    La conférence internationale sur le développement durable Rio+20 a été pour beaucoup un succès, pour d’autres une déception.

    Le Saint-Siège l’a accueillie comme une occasion pour promouvoir le bien commun, pour défendre la personne et la famille, favoriser son développement intégral dans un contexte ouvert à trouver un nouvel équilibre entre l’humanité et l’environnement.

    Pour savoir ce qui s’est passé à Rio+20, comprendre ce qui a été dit durant les discussions et connaître les résultats, ZENIT recueilli cette analyse de Mgr Francis Assisi Chullikat, nonce apostolique et observateur permanent près l’organisation des Nations-Unies à New York.

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  • Rio +20 : notre responsabilité commune

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    Une Déclaration du Président de la COMECE à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD) Rio +20

    Notre responsabilité commune pour le monde de demain

    Vingt ans après le premier « Sommet de la Terre » qui s’est tenu à Rio de Janeiro en 1992, les Chefs d’Etat et de Gouvernement se rencontrent à nouveau en juin 2012 à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (CNUDD). D’innombrables personnes attendent que des mesures concrètes soient adoptées lors de cette conférence, afin d’avancer vers un modèle de développement plus équitable et durable. Dans un monde où des millions de personnes n’ont pas un accès à une nourriture suffisante, à l’eau potable, l’énergie, les services de santé et d’éducation et qui est de plus menacé par le changement climatique engendré par le réchauffement global, ces mesures concrètes sont plus urgentes et nécessaires que jamais.

    Durabilité | Lors de la conférence de Rio en 1992, le concept de "durabilité" avait été central. Dans une perspective chrétienne, la reconnaissance de la dignité de l’homme est à la base de tout développement durable. La Conférence de Rio en 1992 avait par ailleurs déjà énoncé comme principe de base que l’homme devait être au cœur des réflexions sur le développement durable. Celui-ci a droit à une vie saine, menée en harmonie avec la nature. Considérer la durabilité comme un principe du développement humain intégral vise à parvenir à un équilibre entres les besoins sociaux, économiques et environnementaux tout en prenant en compte les besoins essentiels de la génération actuelle sans pour autant compromettre la vie des générations futures. La durabilité est ainsi appliquée à une solidarité au delà de l’espace et du temps. Les efforts pour mettre en place un cadre pour « une économie verte dans le contexte du développement durable (GESDPE) » et les politiques correspondantes sur lesquels travaille la Conférence actuelle, doivent être jugés à l’aune de leur capacité à répondre aux besoins essentiels de tous les hommes, et particulièrement des pauvres, des marginalisés ainsi que des générations futures.

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  • L'engagement écologique des évêques de France

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    Nous lisons sur le blog de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon : L’Eglise de France s’engage pour l’écologie, sous la plume de Falk van Gaver, délégué de l’Observatoire :

    Le Groupe de Travail Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France vient de publier un bref rapport sur la question. Lecture.

    « En quoi la crise écologique dans laquelle nous sommes entrés concerne-t-elle l’Eglise ? Certains, eux-mêmes engagés, attendent qu’elle dise quelque chose à ce sujet et trouvent qu’on ne l’entend pas assez. Quelle parole spécifique a-t-elle à proposer aux chrétiens et plus largement à tous ceux qui cherchent à définir de nouveaux modèles de développement ? »

    C’est sur cette interrogation que s’ouvre le bref document que propose après 2 ans de travail le groupe Ecologie et Environnement de la Conférence des Evêques de France, composé d’une douzaine de personnes – pasteurs, économiste, théologien.

    « Cette responsabilité implique que l’Eglise ne doit pas se limiter à faire des discours généraux sur l’importance de se préoccuper du « développement durable ». »

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    Voir aussi : Peut-on être catho sans être écolo ?

  • Quand l'herbicide le plus répandu en Occident s'avère hautement cancérigène

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    Sur le site "Amessi.org" :

    À l’occasion de la visite du président de la Société française de biologie à la station biologique de Roscoff, le professeur Robert Bellé a livré les résultats de plusieurs années de recherches. Ses travaux sur les cellules des oursins démontrent que l’herbicide le plus répandu en Occident est hautement cancérigène.

    Interview dans le Télégramme de Brest :

    l’herbicide le plus répandu en Occident est hautement cancérigène.

    Les travaux que vous menez depuis des années prouvent que l’herbicide le plus commercialisé en Europe et aux États-Unis peut provoquer le cancer. En quoi ce produit, utilisé par des millions de personnes, est-il cancérigène ?

    - En termes scientifiques, nous pouvons aujourd’hui affirmer que ce produit est cancérigène parce qu’il engendre un dysfonctionnement du point de surveillance de l’ADN. Le composant actif qu’il contient, dénommé glyphosate, n’est pas le seul élément toxique de cet herbicide. Ce sont les produits de formulation l’accompagnant qui rendent l’ensemble particulièrement dangereux pour la santé. Pour être efficace, le glyphosate doit pénétrer dans les cellules des plantes. L’herbicide, dont nous parlons, est composé d’une formule qui le permet, affectant l’ADN par la même occasion.

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  • Distinguer l'écologie dogmatisante de l'écologie positive

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    Sémantique, dogmes et idéologie de l'écologie moderne

    A l'occasion du dernier colloque de l'AFSP à Nantes co-organisé avec le Cercle Jean-Paul II sur Développement durable et doctrine sociale de l'Eglise, Stanislas de Larminat, auteur de Les contre-vérités de l'écologisme revient pour libertepolitique.com sur la distinction nécessaire entre l'écologie du dogme et l'écologie positive. Il est interrogé par Antoine Besson.

    Video à voir et écouter sur le site de Liberté politique