La bureaucratie de l'ONU multiplie ses efforts pour libéraliser l'homosexualité et normaliser son acceptation parmi les Etats membres, sans le consentement des gouvernements et en l'absence d'un consensus.
Ethique - Page 564
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Pressions des bureaucrates onusiens pour imposer les revendications homosexuelles à l'Assemblée Générale
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Poser vos questions à un membre de la Curie romaine
Telle est la proposition qui nous est faite par "Nouvelles de France" et qui ne manque pas d'intérêt :
"Nouvelles de France se propose de poser, pour vous, des questions aux membres de la Curie romaine. Vous voulez vous renseigner sur l’Eglise catholique ? Vous êtes dubitatif, hostile ou encore croyant ? Vous ne comprenez pas les positions de l’Eglise sur tel ou tel sujet ? Nouvelles de France sera votre porte-voix et ira à la rencontre de certains membres influents de la Curie romaine. Nous aborderons les thèmes sur lesquelles vous avez des interrogations. Nous sélectionnerons un certain nombre d’entre elles et nous les leur soumettrons. N’hésitez pas à nous faire parvenir rapidement vos questions en les postant dans les commentaires ou à l’adresse suivante : pierredebellerive_ndf@yahoo.fr"
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Une enquête universitaire américaine sur la pédophilie dénonce la déviance de la société durant les années 60' et 70'
"Le rapport du "John Jay College" de l'Université de New York, intitulé "Les causes et le contexte des abus sexuels commis contre des mineurs par des prêtres catholiques aux Etats-Unis, 1950-2010", montre qu'il n'y a pas qu'une seule cause et qu'un seul élément indicateur d'abus sexuels. Résultat d'une enquête menée durant cinq ans à la demande de la Conférence épiscopale américaine, le rapport devrait fournir une réponse définitive concernant les causes des abus sexuels commis par des membres du clergé, note l'USCCB. Selon cette longue enquête, ce n'est pas le célibat sacerdotal ni l'homosexualité qui sont en cause.
"Le gros des cas a eu lieu il y a des décennies", a relevé Karen Terry, investigatrice principale de cette enquête du "John Jay College". Pour elle, la fréquence croissante des abus dans les années 1960 et 1970 découlait des modèles de plus en plus déviants de la société à cette époque.
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Collège des Bernardins : des centaines d'heures en écoute libre
Nous ne cautionnons pas nécessairement tout ce qui se fait ou tout ce qui se dit au Collège des Bernardins, mais nos visiteurs sauront faire la part des choses. Il n'empêche, c'est une institution qui ne manque pas d'intérêt et qui permet d'approcher de nombreuses questions relatives à l'Eglise et à la société, avec des personnalités de premier plan comme Rémi Brague ou Chantal Delsol qui sont membre de son "conseil d'orientation".Le Collège des Bernardins se définit ainsi :
"Lieu de recherche et de débat pour l'Eglise et la société
autour de la question de l'homme et de son avenir"
Sept siècles et demi après sa fondation, le Collège des Bernardins, restauré à l’initiative de l’Église de Paris, va renouer avec sa vocation d’origine.
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Pays-Bas : élargir davantage l'accès à l'euthanasie ?
C'est encore sur le blog de Jeanne Smits que l'information est relayée et commentée :
"Une initiative citoyenne en cours aux Pays-Bas pour obtenir des règles plus souples permettant aux personnes âgées de « bénéficier » de l'euthanasie lorsqu'elles sont simplement « fatiguées de vivre » est au moins pour partie « inutile » dans la mesure où la loi offre déjà des solutions à ce type de demandeur, ont déclaré des experts devant la Deuxième chambre cette semaine. La chambre basse néerlandaise examine actuellement la proposition du groupe « Uit vrije wil » (« De plein gré ») qui fait campagne à l'aide de pétitions et d'engagement de personnalités connues pour faire admettre qu'il faudrait légaliser le suicide assisté et rendre accessible des pilules mortelles pour permettre aux gens de plus de 70 ans de mettre fin à leurs jours sans être obligés de satisfaire à des conditions de douleur physique ou de situation de phase terminale."
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"Ethique et moi"
Une émission à suivre sur RTC
Présentation sur le site de RTC
" "Ethique et moi" Alors que les sciences de la « maîtrise du vivant » se développent à grande vitesse et font entrevoir à l’homme l’espoir d’un paradis sanitaire artificiel, comment rester vigilants et pro-actifs par rapport à toutes ces questions de bioéthique ? Grossesse, diagnostics, tests génétiques, avortement, procréation médicale, recherche sur embryons, euthanasie, soins palliatifs…
"Ethique et moi" est une émission hebdomadaire proposée par l’Institut Européen de Bioéthique. De semaine en semaine, depuis 7 ans, y sont invités les acteurs de terrain : associations et accueillants, professeurs, juristes, théologiens, philosophes, éthiciens, mais aussi de nombreux témoins confrontés à la souffrance, telle cette maman qui accompagne son enfant porteur d’un handicap.
La multiplicité des thématiques abordées ainsi que le dialogue avec l’invité interpellent l’auditeur, car en fin de compte, l’éthique de la vie nous concerne tous. Telles des semences de vie, ces émissions contribuent à éclairer la conscience de chacun, et invitent l’auditeur à se familiariser avec la pluridisciplinarité de la bioéthique. C’est aussi une joie d’y découvrir peu à peu, la bonté de l’enseignement de l’Eglise en ces matières qui touchent à la Vie. S’y déploie la culture de la vie pour une plus grande solidarité avec les sans voix et les plus faibles d’entre nous.
"Ethique et moi", le lundi à 13h07, le vendredi à 17h et le samedi à 09h30"
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Le "transhumanisme" : reconfigurer l'humain ?
Sur genethique.org
Venu des États-Unis, le transhumanisme est un mouvement prônant l'utilisation des innovations techno-scientifiques afin d'accroître les capacités physiques et intellectuelles de l'homme. Les tenants de ce courant de pensée appellent de leurs voeux une reconfiguration de l'humain grâce à la convergence de plusieurs technologies (convergence NBIC) que sont les nanotechnologies, les biotechnologies, l'informatique et les sciences cognitives (Cf. Synthèse de presse du 03/03/11). L'informaticien américain Ray Kurzweil et l'ingénieur Eric Drexler, spécialiste des nanotechnologies, font, entre autres, partie des théoriciens et promoteurs de ce mouvement.
Parmi les options envisagées par les transhumanistes pour améliorer l'humain se trouvent le fantasme d'une médecine offrant les moyens de nous "autoréparer" pour éliminer totalement la maladie, mais aussi celui d'une "autoproduction" par laquelle les êtres humains seraient "délivrés" de la nécessité de la naissance par l'utérus artificiel ou le clonage. Si l'ectogenèse (reproduction humaine en dehors du corps de la femme) n'est aujourd'hui pas possible techniquement, certains, comme le philosophe Henri Atlan, pensent que l'utérus artificiel sera mis au point d'ici la moitié du XXIe siècle.
Atteindre une forme d'immortalité via le téléchargement de notre conscience sur un support numérique est l'ultime fantasme des transhumanistes. Selon Jean-Michel Besnier, professeur de philosophie à la Sorbonne et auteur du livre "Demain, les posthumains", l'idéal transhumaniste "d'un esprit autonome, dégagé des contraintes imposées par le corps, culmine dans le désir de débarrasser l'humain du poids de la naissance, de la maladie et de la mort". En cela, le transhumanisme apparaît avant tout comme le symptôme d'une désaffection pour l'humanité. "Pour eux, après Auschwitz, l'homme n'est plus désirable. Ce n'est pas seulement le progrès, mais l'espèce humaine elle-même qui est périmée. Il faut donc éradiquer ce qui la caractérise : la fragilité, la finitude, le désir lui-même", explique Jean-Michel Besnier.
Si les thèses des transhumanistes semblent appartenir à la science-fiction, elles s'appuient toutefois sur des aspirations et des tendances implicitement présentes dans l'ensemble de la société. Les partisans de ce courant estiment que lorsque les possibilités techniques d'un dépassement de l'humain seront rassemblées, les gens y adhéreront naturellement, voulant échapper à la maladie et la mort... A ce titre, ils invitent à s'interroger sur ce que nous voulons vraiment faire de la médecine, des sciences et techniques.
Une Association française transhumaniste a été créée récemment en France. En début d'année, elle a tenu une première conférence dans les locaux de la Sorbonne, à Paris, pour faire connaître ses thèses au public français.http://www.genethique.org/revues/revues/2011/Mai/20110519.2.asp
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Une australienne diagnostiquée en état de mort cérébrale se réveille
En Australie, Gloria Cruz, une femme de 51 ans, victime d'un accident vasculaire cérébral dans son sommeil, le 7 mars 2011, s'est réveillée après presque 3 semaines de coma, rapporte « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.
Les médecins du Royal Darwin Hospital où elle avait été emmenée en urgence l'avaient diagnostiquée en état de mort cérébrale. Ils avaient expliqué à son mari Tani que son cas était « sans espoir » et qu'elle allait probablement mourir dans les 48 heures.
Bien qu'un médecin ait alors recommandé de retirer le respirateur pour laisser Mme Cruz mourir, son mari avait refusé : « un miracle pourrait encore se produire ». Il avait demandé un délai de 48 heures aux médecins. Plus tard, un médecin l'avait appelé pour demander de nouveau son accord pour débrancher le respirateur.
Après 2 semaines, un tube a été inséré dans la bouche de Gloria Cruz pour lui permettre de respirer et le respirateur a été éteint. Trois jours plus tard, elle s'est réveillée de son coma à la grande surprise du personnel de l'hôpital.
« C'est un miracle », s'est exclamé un médecin extrêmement surpris. « Je suis heureux que mon diagnostic ait été faux », a-t-il dit au mari de la patiente. Ce dernier a expliqué que sa famille n'a jamais perdu espoir. Mme Cruz est aujourd'hui en voie de guérison.
Sources : Ntnews.com (Nigel Adlam) 11/05/11 - The Australian.com.au 11/05/11
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Belgique : la "fatigue de vivre" entraîne de plus en plus de demandes d'euthanasie
C'est Jeanne Smits, décidément très attentive à ce qui se passe dans notre pays et qui supplée ainsi aux limites de nos moyens, qui nous en avertit :
"La tendance se précise et se confirme : aux Pays-Bas comme en Belgique, les médias accordent une place croissante au thème de l'euthanasie pour les déments, ou l'euthanasie pour les personnes âgées bien portantes qui sont tout simplement « fatiguées de vivre ». La revue Knack, poursuivant une série d'articles sur la pratique de l'euthanasie en Belgique flamande assure aujourd'hui que de plus en plus de Belges néerlandophones disent aujourd'hui sans détours qu'ils ont envie de mourir, soit qu'ils souffrent d'une maladie dégénérative, soit qu'ils se jugent trop dépendants ou simplement au bout de leur vie."
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L'écologie pour l'homme et non l'inverse...
"Sauver l'homme prime l'écologie"
"Une réflexion (de haut niveau!) du cardinal Scola, dans l'Avvenire, autour du thème choisi pour l'exposition universelle de 2015 à Milan: "Nourrir la planète. Énergie pour la vie" (18/5/2011) à découvrir ici : benoit-et-moi.fr"
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Pédophilie : la "patate chaude refilée aux évêques" ?
C'est le célèbre vaticaniste Sandro Magister qui l'écrit, commentant les directives édictées hier par le Vatican pour les affaires d'abus sexuels. Il voit dans ces instructions une inflexion de la ligne vaticane qui était jusqu'à présent trop centralisatrice et qui demande à présent aux épiscopats des différents pays de prendre les dispositions adéquates, en fonction des situations et de la législation qui y existe.
Lire l'analyse de S. Magister ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1347923?fr=y
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Sacrifier l'homme à son environnement ?
Les désastres dans le Golfe du Mexique et au Japon ont donné du tonus à l'écologisme. S'il est évident que l'environnement doit faire l'objet d'une politique soucieuse de sa préservation, ce n'est pas pour autant que nous devons accepter que l'écologisme devienne une idéologie totalitaire, dont l'objet ne serait plus de préserver la nature pour le bien de l'homme mais bien de faire de la nature un absolu auquel on sacrifierait l'homme, le cas échéant. Le Causeur met en ligne (payante) un article de "Basile de Koch", journaliste à Valeurs actuelles, qui commence ainsi :
« L’environnement, ça commence à bien faire ! » La saillie de Nicolas Sarkozy au Salon de l’agriculture 2010 aurait pu servir d’exergue à l’excellent documentaire rediffusé par France 2 en avril − sauf qu’il date de 2008. Mais qu’importe : non seulement cette enquête, intitulée Les Prêcheurs de l’Apocalypse, ne s’est pas biodégradée, mais elle nous en apprend de belles sur les dérives et les délires de l’Église d’Écologie, qui n’a jamais été aussi influente dans notre Occident décadent.
Sous la houlette de Françoise Castro, productrice, Jérôme Lambert et Philippe Picard retracent les glissements progressifs de l’écologie, qui fut une science avant de devenir une idéologie, puis une nouvelle foi dans l’Ouest. Une foi dont le fondamentalisme, avec ses superstitions et ses tabous, constitue désormais une menace pour l’avenir de l’humanité – à commencer par la sécurité alimentaire mondiale."
voir la suite ici : http://www.causeur.fr/soleil-vert,9903
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