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Eglise - Page 1245

  • L'effet François

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    La Vie détaille l'impact de l'effet François en Italie :

    En Italie, "l'effet François" fait se remplir les églises

    On savait déjà que "Francesco" était, depuis l'élection du pape argentin, le prénom le plus donné aux garçons naissants en Italie. Mais ce n'est pas le seul domaine sur lequel "l'effet François" se fait sentir de l'autre côté des Alpes. Près de 8 mois après son élection, des indicateurs montrent également une augmentation de la fréquentation des messes dominicales et un boom du tourisme au Vatican, rapporte l'agence d'information américaine "Religion News Service" (en anglais).

    La branche italienne du Centre pour l'études des nouvelles religions (CESNUR) a indiqué le 10 novembre que près de la moitié des 250 prêtres du pays ayant participé à une enquête ont noté une augmentation significative de la fréquentation de leur église. Cela depuis l'élection du pape François le 13 mars 2013. "Si nous effectuons une projection de ces résultats à l'échelle nationale, et si la moitié des paroisses ont été touchées par 'l'effet François', nous parlons de centaines de milliers de personnes qui ont recommencé à fréquenter leur église", avance Massimo Introvigne, directeur du CESNUR et professeur à l'Université grégorienne de Rome.

    L'institut de sondage italien "Opinioni" a également révélé, le 11 novembre, que plus de quatre Italiens sur cinq avaient une opinion "positive" ou "très positive" du nouveau pape. L'institut a interrogé l'opinion publique concernant 21 personnalités résidant en Italie, oeuvrant dans des domaines aussi variés que le sport, les médias, la politique, ou la religion. Avec ses 80% d'opinions favorables, le pape a ainsi largement distancé toutes les autres personnalités.

    Les autorités romaines ont dans le même temps indiqué que le nombre de participants aux audiences papales sur la Place St-Pierre était en croissance. Le chiffre des visites touristiques au Vatican, notamment en provenance d'Amérique latine, a aussi augmenté depuis mars dernier. Et tout cela à la grande joie des vendeurs de souvenirs qui, malgré un contexte économique difficile, déclarent avoir accru leurs bénéfices.

  • Quand le régime communiste bulgare martyrisait les prêtres

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    Des prêtres martyres du régime communiste bulgare des années 50 (Croire.com)

    Eugène Bossilkov, évêque, et trois pères assomptionnistes : Kamen Vitchev, Pavel Djidjov et Josaphat Chichkov ont été béatifié en 2002, 50 ans après leur mort. Ils sont fêtés le 13 novembre. Récit de l'aurore de leur vie.

    A Sofia en Bulgarie par une froide soirée d'octobre 1952. A moins que ce ne soit un jour de novembre... Dans la glaciale prison centrale, les cellules 25, 26, 27 et 28 font l'objet de la plus grande surveillance. Ces cachots individuels abritent les condamnés à mort. Depuis le 3 octobre, date du verdict du procès spectaculaire que le pouvoir communiste a organisé pour décapiter l'Eglise bulgare, ils sont occupés par quatre ecclésiastiques. Mgr Eugène Bossilkov, évêque, et trois pères assomptionnistes : Kamen Vitchev, 59 ans, Pavel Djidjov, 33 ans, et Josaphat Chichkov, 68 ans. Accusés et condamnés, comme "espions, comploteurs et voulant préparer une guerre impérialiste contre l'URSS, la Bulgarie et les démocraties populaires."

    Des conditions d'enfermement insupportables

    Dans le même corridor de la sinistre bâtisse, s'entassent d'autres détenus. Au total, 40 catholiques dont 24 prêtres et parmi eux sept assomptionnistes, sont emprisonnés pour les mêmes motifs. Depuis plus de trois mois ils subissent des conditions épouvantables : privation de sommeil, de nourriture, d'hygiène, tortures physiques, humiliation. Ils sont dans un état second et attendent de partir pour des camps de travail. Dans la pièce qui jouxte les cellules des condamnés à mort, les prisonniers sont nombreux. "On nous rassembla 25 à 30 personnes dans une cellule qui n'était faite que pour 2 ou 3 personnes, et tout notre bagage était avec nous", raconte le P. Gorazd Kourtev, âgé de 32 ans à l'époque. Cet assomptionniste, grand gaillard à l'épaisse chevelure noire, a écopé de dix ans d'emprisonnement. Il partage sa cellule avec un de ses frères religieux inculpés, le P. Hrabar Marcov, 36 ans en 1952, homme menu, le regard bleu délavé. Sa peine : six ans d'emprisonnement. Tous deux connaissent bien les P. Kamen, Pavel et Josaphat. A chaque instant, les bruits de chaîne qui s'échappent des pièces voisines leur rappellent douloureusement la présence de leurs frères en attente de leur exécution.

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  • Un synode comme le veut François

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    De Sandro Magister sur son blog « Chiesa » (Extraits) :

    ROME, le 12 novembre 2013 – Le synode des évêques est la structure de gouvernement de l’Église qui, sous le pontificat du pape François, est parvenue au stade de révision le plus avancé. Aucun projet global de réforme n’a encore été élaboré. Mais pour le moment des nouveautés perceptibles ont déjà été mises en œuvre.

    LES NOUVEAUTÉS

    Une première nouveauté tend à transformer le synode en une structure quasiment permanente. Sa prochaine session ordinaire, fixée à l'automne de 2015, sera précédée d’une session extraordinaire inscrite au calendrier pour la période du 5 au 19 octobre 2014.

    Ces deux sessions auront le même thème : "Les défis pastoraux concernant la famille dans le contexte de l'évangélisation". Cependant les deux sessions auront des missions différentes. En 2014, les faits nouveaux intervenus dans la société seront passés en revue et des "témoignages et propositions" seront recueillis. Tandis que, en 2015, il s’agira d’établir des "lignes directrices opérationnelles pour la pastorale".(…)

    Une seconde nouveauté est la rapidité avec laquelle aura lieu la phase préparatoire.(…) Mais ce qui est encore plus nouveau, c’est la manière de travailler qui a été adoptée. Tous les synodes précédents, au cours du dernier demi-siècle, ont été précédés par des documents préparatoires qui étaient prolixes, abstraits, ennuyeux.

    Cette fois-ci, c’est le contraire. Le document de travail qui a été transmis par le secrétariat du synode, le 18 octobre, à toutes les conférences épiscopales est succinct et concret. Il suffit, pour s’en rendre compte, de voir avec quelle concision sont décrits, dès le début du document, les changements qui sont intervenus dans la société, en ce qui concerne la famille (…).

    Cette première partie descriptive est suivie, dans le document, par une seconde partie qui récapitule l'enseignement de la Sainte Écriture et du magistère de l’Église en ce qui concerne la famille, depuis "Gaudium et spes" jusqu’à "Lumen fidei", et dans laquelle le Catéchisme est fortement mis en évidence.

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  • Koekelberg, 12 novembre : conférence sur "Musique et poésie"

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    Le groupe « Apostoli-Cité » vous invite à une conférence :

     

     Musique et poésie


    … Où il sera question du dernier livre de Benoît XVI,

    L'esprit de la musique,

    et du roman autobiographique de John Henry Newman, 

    Loss and Gain.

      

    Par M. Jean-Louis Cupers,

    professeur émérite à l’Université Saint-Louis, Bruxelles,

    et à l’Université de Liège.

     

    Le mardi 12 novembre, de 18h45 à 20h15,

    au 37, rue de l’Armistice, à Koekelberg.

    Entrée libre ! La conférence sera suivie d’un échange avec les participants.

     

     Apostoli-Cité est un groupe de chrétiens qui veulent réfléchir à divers enjeux de société du point de vue de la foi chrétienne.

  • Soeur Marie-Stella : une religieuse africaine sur le front du SIDA

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    Lu ICI :

    Africaine, religieuse et infirmière, elle combat le SIDA avec la raison et la foi

    Une formule journalistique et, hop, c'est dans le sac : Sœur Marie Stella, c'est la Mère Teresa africaine. On a tout dit ? On n'a rien dit. Car le témoignage recueilli par Sophie Laurant, journaliste à l'hebdomadaire Pèlerin, est un document comme on a peu l'occasion d'en lire sur la montée de l'épidémie de sida en Afrique et les solutions, d'abord dérisoires, puis de plus en plus efficaces, mises en place pour l'enrayer.

    La femme qui parle à la première personne raconte avec simplicité sa vie : Stella Innocente, née à Dapaong, dans le nord du Togo en 1967, fille d'un instituteur catholique et d'une musulmane convertie, est la quatrième des huit enfants du couple... mais il y a seize enfants en tout en comptant ceux des deuxième et troisième épouses. Impossible de les nourrir tous. Ils sont aimés, pourtant. Avec un petit frère elle est envoyée chez un oncle, puis chez sa grande sœur. Les études, la foi religieuse, le soutien de son père, elle deviendra sœur-infirmière au service des malades. Les Hospitalières du Sacré Cœur de Jésus, dont elle fait partie, est un ordre augustinien. Sœur Marie Stella dit que sa vocation a été déterminée par une phrase de Saint Augustin : « Aime et dis-le par ta vie ».

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  • 12 emblèmes militaires ont été inaugurés à Saint-Jacques-sur-Coudenberg

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    Lu sur Le Vif :

    Bruxelles: Inauguration d'emblèmes militaires à l'église Saint-Jacques sur Coudenberg

    Quelque 700 personnes ont participé, lundi, à l'inauguration des emblèmes reprenant les citations glorieuses de l'armée belge en l'église Saint-Jacques-sur-Coudenberg, située Place royale à Bruxelles. Le roi Philippe assistait à la cérémonie présidée par Monseigneur André-Joseph Léonard.

    Par cette inauguration, la fabrique d'église souhaite souligner le caractère militaire de la cathédrale du diocèse aux Forces armées, en perspective des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale. Les 12 emblèmes reprennent les faits de guerre au cours desquels des unités de l'armée belge se sont distinguées, tant durant les 2 premiers conflits mondiaux que lors de la guerre de Corée. "Ces emblèmes nous aideront à nous souvenir", a déclaré l'aumônier Robrecht Boone. "Se souvenir ne signifie pas seulement penser à ce qu'il s'est passé il y a de nombreuses années. Se souvenir, c'est ramener le passé dans le présent. Il ne suffit pas de lire des livres d'histoire. Nous devons ressentir la peur et la souffrance des soldats qui ont donné leur vie pour notre liberté. Les oublier serait comme une deuxième mort", a-t-il poursuivi. "Par le sacrifice de tant d'hommes, nous nous rendons compte que l'humanité est appelée à dépasser l'individualisme", a de son côté souligné André-Joseph Léonard.

  • Le Pape prie pour les Philippines, la Caritas se mobilise

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    Radio Vatican :


    Le pape François est proche de la population des Philippines ; l’archipel a été ravagé par le passage d’un typhon d’une rare puissance qui a provoqué une véritable hécatombe et semé la désolation. Les victimes sont nombreuses, les dégâts énormes. Le Souverain pontife a profité de la prière de l’Angélus ce dimanche à midi, pour inviter les catholiques à prier pour les personnes touchées par cette catastrophe et à s’efforcer de leur faire parvenir une aide concrète. Il a demandé aux quelque 60 000 personnes massées sur la place Saint-Pierre, de prier en silence. Par l’intermédiaire du Secrétaire d’Etat, Mgr Parolin, le pape François a fait également parvenir un télégramme de condoléances au président philippin Benigno Aquino. En priant pour tout le peuple des Philippines, le Saint-Père adresse ses encouragements aux autorités civiles et aux personnels d'urgence engagés dans les secours aux victimes de la tempête. Il invoque les dons divins de la force et de la consolation pour la nation philippine. Samedi, le pape François avait publié un tweet en solidarité avec les victimes. 

    L'une des pires catastrophes ayant frappées le pays

    C’est la catastrophe naturelle la plus meurtrière de l’histoire récente des Philippines, le pays le plus catholique d’Asie. Les témoins décrivent un paysage qui rappelle les destructions causées par le tsunami de décembre 2004 en Asie. Des régions entières restent encore coupées du monde et les autorités semblent dépassées par l'ampleur de la catastrophe et le nombre de survivants à secourir. Les Caritas du monde entier, dont le Secours catholique en France, sont mobilisées pour répondre à l’appel à l’aide lancé par la Caritas Philippines dont les équipes sont déjà à pied d’œuvre. Dans les zones les plus touchées, elle est épaulée par la Caritas américaine, CRS tandis qu’à Rome, Caritas internationalis suit de près la situation mais il est actuellement très difficile, voire impossible, de communiquer avec les zones les plus reculées de l’archipel. Les zones affectées sont essentiellement rurales, avec une population très pauvre qui vit dans des maisons très fragiles. Le secrétaire général de Caritas Philippines, le frère Edwin Gariguez, affirmait dimanche que les besoins sont énormes. Le directeur des programmes de CRS explique que rien n’a pu contrer la violence du typhon, les pluies torrentielles et les vents. Les Etats-Unis vont fournir des hélicoptères, des avions, des navires et des équipements destinés à la recherche et au sauvetage.

    http://cnsblog.wordpress.com/2013/11/11/where-to-give-to-help-typhoon-haiyan-victims/

  • La mort du cardinal Domenico Bartolucci

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    Nous venons d’apprendre le rappel à Dieu, à l'âge de 96 ans, du Cardinal Domenico Bartolucci.

    Cet éminent musicologue avait donné en 2011 un concert de musique sacrée au Vatican, en l’honneur de Benoît XVI qui l’avait nommé cardinal en novembre 2010. ll fut un musicien, un compositeur de talent et un expert de la musique d'Eglise. Il exerça son ministère sacerdotal à travers la musique qui naît de la foi et l'exprime, fut un savant défenseur de la tradition polyphonique de l'Eglise, et de longues années durant le Maître de la Chapelle Sixtine. Il avait à plusieurs reprises manifesté sa préférence à l’usage du latin dans la liturgie, et en particulier à l’usus antiquior.

    Il avait adressé à Benoît XVI un discours remarquable dans un style de piété filiale admirable.

    La messe de funérailles du Cardinal Bartolucci sera célébrée mercredi prochain, à 15 h 30' à l'autel de la Cathedra de la Basilique vaticane, présidée par le Cardinal Doyen Angelo Sodano. Le Pape viendra assurer l'absoute.

  • Fléron, 15 novembre : conférence du curé de Nazareth

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    Émile Shoufani, curé de Nazareth, à Fléron

    "La paix, un mythe inaccessible ?"

    Emile ShoufaniArabe, chrétien, de nationalité israélienne, ayant étudié en France, Émile SHOUFANI incarne la complexité de la Terre Sainte. Son grand-père et son oncle sont tués par l’armée israélienne qui l’expulse de son village en 1948. Mais sa grand-mère lui apprend le pardon. Jusqu’il y a peu directeur du collège St-Joseph où se rencontrent chrétiens, musulmans et juifs, son combat pour la paix est internationalement reconnu (Prix Unesco pour la Paix, Docteur Honoris Causa de l’UCL…).

    Il donnera une conférence unique dans la région liégeoise, en l'église de la Ste-Famille à Fléron vendredi 15 novembre à 20h.

    http://www.upfleron.be

  • L’illusion d’un retour à l’Eglise primitive

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    220px-Vittorio_Messori_Desenzano_2004.jpgSur ce sujet, le site Benoît et moi publie la traduction d’un article que Vittorio Messori vient de faire paraitre dans le Corriere della sera : Diplômé d'un doctorat sciences politiques, Vittorio Messori  a  exploré en profondeur les sources spirituelles du christianisme et plus spécialement du catholicisme. Il a écrit, entre autres : L'Hypothèse de Jésus (1977), Opus Dei (1996), Entretien sur la Foi (1985, « The Ratzinger Report »). Ce dernier ouvrage consiste en une série d'entretiens avec le Pape Benoît XVI.

     Voici son point de vue :

    « Quelques-unes des nombreuses choses dites par le Pape François et certains de ses choix inédits - à commencer par le refus du palais vatican et de la villa de Castel Gandolfo - sont en train de réveiller un mythe antique et toujours récurrent chez les catholiques. Autrement dit, le rêve d'un retour à l'Eglise primitive, toute de pauvreté, fraternité, simplicité, absence de structures hiérarchiques, lois canoniques. Un «mouvement» svelte, démocratique, en somme, et pas une Église lourde, qui étouffe l'Esprit. Que l'on démantèle donc l'institution cléricale, assez avec le Vatican, sa Curie, ses banques, ses diplomates, que l'on revienne enfin à la communauté de Jérusalem après la Pentecôte.

    En vérité, le mythe des origines est déjà réfuté par les Actes des Apôtres eux- mêmes: deux des premiers convertis, les époux Ananie et Saphire, trichent sur le prix du terrain qu'ils disent avoir vendu pour la communauté et Pierre assiste même à leur mort immédiate . Les lettres de Paul sont brûlantes envers les comportements réprouvables des communautés fondées par lui ou, en tout cas, érigées depuis peu.

    Quiconque connaît l'histoire de l'Eglise primitive sait que c'est aussi une histoire de luttes entre courants, d'accusations mutuelles d'hérésie, de schismes, parfois de violences internes, de martyrs, mais aussi de transfuges, en nombre tel que la question est devenue centrale quant à savoir si et comment réadmettre dans la communauté la foule des lapsi, ceux qui avaient renié la foi par peur. Dès le début, selon l'avertissement de Jésus lui-même, le bon grain s'était mélangé avec les mauvaises herbes envahissantes.

    Mais la nostalgie récurrente, et qui aujourd'hui semble revivre, pour une Église des origines, égalitaire, pauvre, où la foi est libre de superstructures - à commencer par la Curie vaticane - ne va pas seulement à l'encontre du témoignage de l'histoire. Elle va également contre une loi implacable que les sociologues connaissent bien: la loi selon laquelle les grandes réalités sociales naissent comme «mouvements», en général à partir d'une personne charismatique, mais se dissolvent rapidement et toujours si, une fois l'enthousiasme initial refroidi, elles n'acceptent pas de devenir des institutions hiérarchiques, dans des structures solides et ordonnées. Seules celles-ci assurent la durabilité et la possibilité d'influer sur la société.

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  • Après l’abbaye bénédictine de Wisques (Nord-Pas de Calais), le carmel d’Alençon (Basse-Normandie) reprend la liturgie traditionnelle…

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    Lu sur le site « riposte catholique »

    « Le Carmel du Sacré-Cœur de Jésus et de l’Immaculée Conception d’Alençon a été fondé en 1888 à la demande de Mgr François-Marie Trégaro, évêque de Sées. Six moniales du Carmel du Mans quittèrent leur monastère pour venir fonder un nouveau carmel à Alençon (alors que le Carmel d’Alençon avait fermé à la Révolution). Le monastère est dédié au Sacré-Cœur et à l’Immaculée.

    En 2007 avec la promulgation du Motu Proprio, le Carmel reprenait la forme extraordinaire pour ses messes dominicales et pour les jours de fêtes. La Mère Supérieure avait d’ailleurs expliqué ce choix de la forme extraordinaire dans les colonnes de La Nef en novembre 2010 :

    Depuis la promulgation du Motu proprio Summorum Pontificum, les messes du dimanche et des fêtes de précepte sont célébrées dans notre chapelle selon la forme extraordinaire et, en semaine, selon la forme ordinaire. Notre préférence va à la forme extraordinaire, faisant nôtre ce que disait André Frossard : « Je trouve que la nouvelle messe n’est pas assez contemplative, que l’on y parle trop et que la part du mystère y est bien réduite ». La forme extraordinaire exprime mieux le sacré, l’amour et le respect. C’est une liturgie « amoureuse ». Comparez par exemple les traductions du missel Dom Lefebvre avec celles d’un missel moderne. Le ton n’est pas du tout le même. Aujourd’hui on parle à Dieu d’égal à égal, ou peu s’en faut. Pour nous, ce n’est pas du tout une question d’être attachées au temps jadis. Nous ne sommes pas des passéistes. Quant à l’avenir de cette question, en filles de l’Église, nous nous appuyons sur Sa Sainteté Benoît XVI. »

    Selon nos informations, pendant l’été, la Supérieure du Carmel a demandé à Mgr Jacques Habert, évêque de Sées, la possibilité de reprendre la forme extraordinaire ce qui est fait depuis quelques jours.
    La messe dans la forme extraordinaire (sauf exceptions) est donc célébrée les dimanches et fêtes à 9h00, en semaine (du lundi au samedi) à 8h00. L’aumônier est un prêtre du diocèse aidé par les prêtres de la Fraternité Saint-Pierre (Sées).

    Monastère du Carmel - 4 place Marguerite de Lorraine - 61000 Alençon.

    Réf. Le carmel d’Alençon reprend la forme extraordinaire…

    JPSC

  • Jean-Pierre Snyers : à ceux qui cherchent

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    Les lecteurs, ou « liseurs », de Belgicatho ont pu découvrir depuis quelque temps sur ce blog les réflexions que publie notre ami Jean-Pierre Snyers : des raisons de croire, en forme de billets d’humeur dérangeants pour la nouvelle religion dans les limites de la vérité plurielle.

    Dans un petit ouvrage, écrit d’une plume alerte et qui vient de paraitre sous la responsabilité éditoriale de l’association « sursum corda » à Liège (1), il a rassemblé un florilège de ses plus récentes notices apologétiques dédiées, comme l’indique le titre de la brochure, « A ceux qui cherchent… ». Celle-ci débute par un paradoxe: une lettre aux indifférents. Une fois convertis à l’inquiétude existentielle, l’auteur les prendra par la main sur le sentier de la recherche du sens : des origines de l’univers à la résurrection des morts, en passant par la fiabilité des Ecritures et de la Tradition, et les questions les plus diverses : sur le bien et le mal, le purgatoire, les miracles, la foi pluraliste au goût du jour ou l’autorité dans l’Eglise. Comme l’auteur n’est pas un théologien conciliaire, il ne se contente pas de soulever des questions, il avance des réponses ou des objections aux doutes. Quoiqu’en disent certains, un peu de prosélytisme de bon aloi n’a jamais fait de tort à personne.

    Auteur de plusieurs essais, publiés notamment aux éditions Hovine, Téqui ou Fidélité, Jean-Pierre Snyers est rédacteur à la revue mensuelle Médiatrice et Reine. Il est en outre conférencier et membre de l'Association des écrivains belges (AEB).Son blog : http://jpsnyers.blogspot.fr/

    Pour commander l’ouvrage qui vient de paraitre :

     « A ceux qui cherchent », in 4°, 25 pp., couv. en quadrichromie, est disponible au prix de 2 euros (+ frais de port 1 €) au siège de l’asbl « Sursum Corda », rue Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 Liège. Cpte IBAN BE58 0003 2522 9579. BIC BPOTBEB1: avec la mention: livre J.P. Snyers. Les commandes peuvent aussi se faire par téléphone : 04.344.10.89 ou e-mail : sursumcorda@skynet.be

    JPSC

    __________________

    (1)  L’association sans but lucratif « Sursum Corda » a été constituée le 24 mai 1996. Outre son objet cultuel (art. 3, a,b et c des statuts), elle a aussi pour but « la sauvegarde et la promotion du patrimoine intellectuel et artistique, en ce compris l’organisation de manifestations qui s’y rapportent »(article 3, d) dans un esprit chrétien : à ce titre elle organise notamment de nombreux, concerts, cours et conférences et publie « Vérité et Espérance. Pâque Nouvelle » , un double magazine trimestriel illustré en quadrichromie. En 2003, l’asbl « Sursum Corda » fut amenée à se porter acquéreur de l’église du Saint-Sacrement (XVIIIe siècle) au Boulevard d’Avroy, pour organiser et pérenniser l’affectation de cet édifice au triple service du culte, de la culture et de la conservation d’un beau bâtiment classé (1957) du patrimoine monumental de Liège. Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com