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Eglise - Page 1499

  • L’Eglise catholique, arbitre de la situation post-électorale en RDC

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    CENCO-et-Kabila1.jpgLu sur Cathobel (extraits) :

    Pour tenter d’atténuer les tensions nées de la contestation des résultats de l’élection présidentielle du 28 novembre dernier en République démocratique du Congo, les évêques congolais se posent désormais en arbitres et conciliateurs entre la majorité présidentielle et l’opposition. Ils ont rencontré et écoutés les différents acteurs politiques.

    Une délégation des évêques, conduite par le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), Mgr Nicolas Djombo, archevêque de Tshumbe, a été reçue le 5 mars par le président Joseph Kabila, a rapporté la  radio onusienne Okapi. L’examen de la situation politique et sociale de la République démocratique du Congo a été au centre de l’entretien.(…).L’abbé Léonard Santedi, secrétaire général et porte-parole de la CENCO, a déclaré à la presse que la visite de la délégation de la CENCO auprès du Chef de l’Etat s’inscrit dans le cadre du dialogue qui « doit toujours exister entre l’Eglise et les dirigeants du pays, en vue de prouver que l’Eglise a toujours œuvré pour les bonnes relations avec l’Etat afin que son message soit un message de paix, d’amour et de fraternité ».(…). Le secrétaire général de la CENCO a aussi précisé que le président Kabila avait apprécié la démarche des évêques et leur avait promis de continuer à toujours travailler pour le bien-être de la population. Les évêques, en tant que pasteurs, ont aussi promis au Chef de l’Etat de poursuivre leur mission d’œuvrer à la base pour une paix véritable. Un memo des évêques, dont la teneur n’a pas été révélée, a été remis au chef de l’Etat à cette occasion.

     Favoriser le dialogue entre les parties

     Les évêques se sont ensuite rendus chez Etienne Tshisekedi, qui conteste toujours la victoire de son adversaire Joseph Kabila, réélu pour cinq ans à la tête de la RDC. Ils lui ont remis un mémorandum dans lequel ils déclarent : « La CENCO, attachée aux valeurs de justice et de vérité, a dénoncé et condamné les irrégularités qui ont marqué le dernier processus électoral ». Ils ont ensuite exhorté le gouvernement à privilégier « la voie du dialogue pour l’intérêt supérieur de la nation congolaise ».

    Enfin, la délégation de la CENCO a rencontré Vital Kamerhe, ancien président de l’Assemblée nationale, passé à l’opposition, arrivé en troisième position de la présidentielle, et le délégué du candidat Léon Kengo, ancien premier ministre de Mobutu et arrivé en quatrième position du scrutin.

    Les évêques congolais estiment que le dialogue des acteurs politiques et de toutes les forces vives de la société pour le service du bien commun et de l’intérêt supérieur de toute la nation congolaise reste l’unique voie pour résoudre le malaise sociopolitique actuel en RDC. Et d’ajouter : « Dans cet esprit, nous avons tenu à rencontrer les principaux acteurs politiques pour nous mettre à l’écoute des uns et des autres, afin de voir comment reconstruire ensemble notre pays dans la paix, la justice et la vérité ».Voir ici  L’Eglise catholique, arbitre de la situation post-électorale en RDC

     Au Congo, l’Eglise -telle que nous l’y avons déjà connue autrefois-  n’a aucun état d’âme sur la question de savoir si elle a ou non le droit (et même le devoir) d’intervenir au nom du bien commun dans la « sphère publique » (pour reprendre la terminologie idéologique convenue en Occident). Il est vrai qu’elle s’adresse à une société naturellement croyante et ouverte au message évangélique. Une société qui collectionne sans doute beaucoup de péchés individuels ou collectifs, sauf un : le péché contre l’Esprit. Autres cieux…   

  • La plus délicieuse figure de la geste de Don Bosco

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    Source : abbaye-saint-benoit.ch

    "Dominique est la plus délicieuse figure de la geste de don Bosco" (Daniel-Rops). C'est le deuxième enfant d'une famille qui devait en compter dix. Domenico naît en 1842 à Riva presso di Chieri, à une vingtaine de km à l'est de Turin. Sa famille est pauvre, ce qui oblige son père à exercer à tour de rôle les métiers de forgeron ou de paysan suivant les nécessités et à changer plusieurs fois de lieu d'habitation. Deux ans après la naissance de Dominique, ses parents retournent dans leur pays d'origine, le hameau de Murialdo, village natal de Don Bosco. Dès l'âge de cinq ans, Dominique suit la messe quotidiennement et lorsque, parfois l'église n'est pas encore ouverte, il s'agenouille à la porte et prie, quel que soit le temps. Le curé raconte: "Encore très jeune et de petite taille, il ne pouvait transporter le missel; c'était curieux de le voir s'approcher de l'autel, se hausser sur la pointe des pieds, tendre les bras tant qu'il pouvait, faire tout son possible pour atteindre le porte-missel. Si le prêtre ou quelqu'un d'autre voulait lui faire un plaisir immense, il devait, non pas transporter le missel, mais le lui rapprocher suffisamment, et alors, tout joyeux, il le portait de l'autre côté de l'autel." Il n'est pas étourdi et dissipé comme les garçons de son âge. Très pieux, on n'a pas besoin de lui rappeler ses prières. C'est plutôt lui qui les rappelle à ses parents quand, pressés par la tâche, ils les oublient.

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  • Sri Lanka : un évêque menacé d'arrestation par le parti boudhiste au pouvoir

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    L’évêque catholique de Mannar menacé d’arrestation par le parti bouddhiste au pouvoir (Source : Missions Etrangères de Paris / EDA)

    Mgr Rayappu Joseph, évêque de Mannar, suivi par une trentaine de prêtres, a lancé un appel aux Nations Unies leur demandant de faire pression sur le gouvernement sri-lankais afin qu’il reconnaisse ses crimes de guerre. Une initiative qui a fortement irrité le parti bouddhiste nationaliste Jathika Hela Urumaya (JHU), membre de la coalition au pouvoir, lequel a demandé l’arrestation de l’évêque catholique.

    Le 1er mars, l’évêque de Mannar, un diocèse situé dans la partie tamoule de l’île, a signé avec trente autres prêtres issus de différentes parties du Sri Lanka, une lettre adressée au Conseil des droits de l’homme de l’ONU (UNHRC) qui siège actuellement à Genève pour sa 19ème session (du 27 février au 23 mars). Dans cet appel, il a demandé aux Nations Unies d’intervenir auprès du gouvernement de Mahinda Rajapaksa afin que ce dernier « assure la protection des droits de l’homme » et « mette en œuvre le processus de réconciliation ».

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  • Sainte Catherine de Sienne à la Une sur Wikipedia pour la Journée de la Femme

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    "C'est Sainte Catherine de Sienne qui fait la Une de la page d'accueil de Wikipédia aujourd'hui. Chaque jour, en effet, les contributeurs de l'encyclopédie participative sont invités à voter pour choisir quel article, parmi les nouvelles entrées proposées, sera mis en exergue sur la page d'accueil. Le même contributeur, qui signe du pseudonyme de Babouba, a réussi de même à propulser Saint Jean de la Croix en Une... demain 9 mars.

    Source : Matinale chrétienne (La Vie)

     
     
  • Un pasteur protestant poignardé au Pakistan

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    ASIE/PAKISTAN - Pasteur protestant poignardé par des extrémistes islamiques, vivant par miracle

    (Agence Fides) – Le pasteur chrétien évangélique John Pervaiz a été agressé et poignardé par un groupe d’extrémismes islamiques qui voulaient le tuer. L’agression a eu lieu ces jours derniers pour des raisons totalement inconnues à Kashur, dans la province du Punjab, où le pasteur réside. Ainsi que cela a été indiqué par l’ONG pakistanaise LEAD (« Legal Evangelical Association Development »), le pasteur a reçu différents coups de couteau et, conduit à l’hôpital, il y est resté suspendu entre la vie et la mort pendant plusieurs jours. Il semble désormais hors de danger, « vivant par miracle ». De telles attaques privées de motif, remarquent des sources de Fides, « interviennent par haine religieuse, suite à des accusations de prosélytisme ou parce que les chrétiens sont mal vus par les fondamentalistes islamiques ».

    Le pasteur Pervaiz est membre de « l’église du Pakistan », dénomination chrétienne protestante au profit de laquelle, depuis 14 ans, il guide le culte à Kashur sous la responsabilité de l’évêque Robert Azraiya, militant pour la paix, l’harmonie et les droits des minorités bien connu. Ainsi que cela a été indiqué par un certain nombre de fidèles du lieu, les deux agresseurs se sont présentés comme étant Ghulam Muhammad et Ashfaq Rassol, mais ils se sont enfuis et n’ont pour l’heure pas été retrouvés. L’organisation LEAD a déjà déposé une plainte formelle devant la police (First Information Report) afin de demander l’arrestation des coupables alors que la famille du pasteur est terrorisée suite à cette agression. La communauté locale prie incessamment pour le salut du pasteur afin que « sa mission d’annonce de l’Evangile puisse se poursuivre ». Les fidèles demandent le soutien de tous les chrétiens du pays et de l’étranger « afin de soutenir les églises persécutées au Pakistan ». (PA) (Agence Fides 08/03/2012)

  • Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier

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    Sur Radio Vatican :

    Des initiatives sont organisées dans le monde entier à l’occasion de la journée de la femme. Benoît XVI lui-même a choisi de consacrer aux femmes son intention générale de prière pour le mois de mars : « Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier ».

    Les femmes sont, aujourd’hui encore, confrontées à de nombreux défis. Interrogée sur notre antenne, Flaminia Giovanelli, sous-secrétaire du Conseil pontifical Justice et Paix invite à demander au Saint-Esprit de nous indiquer de nouvelles voies pour que la contribution des femmes à la société soit reconnue. Pour Flaminia Giovanelli il est juste et nécessaire de continuer à revendiquer le respect des droits des femmes, car les principes désormais reconnus par les chartes constitutionnelles ne sont pas entièrement appliquées.

    Jean-Paul II parlait de génie féminin, car la femme a une vocation particulière, souligne la sous-secrétaire du Conseil Justice et Paix. Or, cette vocation est ouvertement contestée, notamment par la « Théorie du Genre », ou remise en discussion dans certains milieux féministes, y compris parmi les chrétiens. C’est pourquoi les femmes chrétiennes ont un rôle de premier plan à jouer face à ce défi anthropologique. Elle doivent promouvoir une conception correcte de la personne humaine et du rapport hommes-femmes. En temps de crise, les femmes peuvent aussi contribuer à humaniser l’économie en cultivant le sens de la gratuité et du don. Enfin les femmes savent et peuvent accompagner l’aspiration à la paix par des actions concrètes.

    Flaminia Giovanelli souhaite surtout que les femmes soient heureuses d’être femmes, de leur capacité à jouer sur plusieurs fronts simultanément. C’est une chance qu’elles doivent savoir saisir. Paul VI avait confié aux femmes la tâche de réconcilier les hommes avec la vie : « Retenez la main de l’homme qui, dans un moment de folie, tenterait de détruire la civilisation humaine ».

     

  • Le numéro 1513 de l'Homme Nouveau (10 mars 2012)

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    Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :

    Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?

    Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.

    Dossier : Liturgie

    Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.

    Actualités : Aux frontières de l'humain.

    Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !

    Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.

    La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.

    Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.

    Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.

    Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.

    Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.

    Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.

  • Journée de la femme : l'Eglise, misogyne ?

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    Le site "catholique.org" pose cette question :

    "Quelles relations entre l’Eglise et les femmes dans l’Histoire ?"

    et y répond de la manière suivante :

    Quelques idées reçues...

    "C’est la mysogynie du christianisme qui explique que la femme était autrefois considérée comme inférieure à l’homme."

    Au contraire !

    Le christianisme a révolutionné les mentalités en affirmant au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. Saint-Paul n’affirme-t-il pas dans son épître aux Galates (III,28) : "Il n’y a plus ni juif, ni Grec, ni maître, ni esclave ; ni homme, ni femme. Vous n’êtes qu’un dans le Christ Jésus" ? Comme le souligne Monique Piettre : "désormais le rite d’élection n’est plus le signe, exclusivement réservé aux mâles et inscrit dans la chair, qu’était la circoncision hébraique, mais un sceau invisible imprimé sur les âmes et offert à tous et à toutes : le baptême". Cette égalité de dignité était déjà affirmée dans la Genèse : "Dieu créa l’homme à Son Image, à l’image de Dieu Il le créa, homme et femme il les créa".

    Par ailleurs, Dieu a tout de même choisi de s’incarner dans le sein d’une femme (il aurait pu descendre sur terre adulte...), et tout son plan de salut était suspendu au "oui" de cette femme, la Vierge Marie, qu’Il a donnée comme mère à tous les hommes...On devrait méditer davantage les propos de Jean Guitton : "la personne la plus parfaite de notre monde moral se trouve avoir été choisie dans le sexe le plus faible".

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  • Frigide Barjot à la Cathédrale de Bruxelles

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    voici_20ans_frigide_barjot_1_.jpgDans le cycle "CHEMINS de CONVERSION",

    en différé sur RCF-Bruxelles depuis la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule à Bruxelles,

    le témoignage de Frigide Barjot à écouter ici

     

  • liens du jour (8 mars)

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    “Betty-Coton”. Ou la différence entre IVG et esclavage… (Jeanne Smits)

    IIe Dimanche de Carême (Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine)

    De hautes personnalités politiques et religieuses évoquent Shahbaz Bhatti (Fides)

    Syrie, du fantasme alaouite au surréalisme onusien (P. Piccinin)

    Appelez-moi Mademoiselle (La Vie)

  • Le site informatique du Vatican est rétabli

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    images.jpg

    ...et est accessible en cliquant sur ce lien (français) : http://www.vatican.va/phome_fr.htm

  • La prière des mères

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    Interview de la fondatrice de l'initiatrice de la "prière des mères" sur ZENIT.ORG

    Les « Prières des Mères », par Veronica Williams

    Transmettre aux enfants un monde meilleur

    « Nous savons que Dieu aime nos enfants. Nous ne devrions donc pas nous effrayer ni nous inquiéter pour eux, mais avoir confiance en Dieu », déclare Veronica Williams, Anglaise, auteur du livre: "La joie de s’abandonner à Lui".

    A l’occasion de la Journée de la femme, le 8 mars, elle confie aux lecteurs de Zenit les débuts et le développement des “Prières des Mères” à travers le monde.

    Zenit – Veronica, vous êtes mère, grand-mère et arrière grand-mère : comment avez-vous commencé à prier pour vos enfants ?

    Veronica Williams – Je me trouvais avec un groupe de chrétiens qui avaient préparé un document intitulé : « Quelle terre allons-nous laisser à nos enfants ? ». Il était rempli de statistiques sur tout ce qui affecte négativement nos enfants. La drogue, par exemple, la pornographie, la violence, les abus sur les mineurs et la mauvaise littérature. Nous avions l’intention de le présenter au Parlement de Londres et nous espérions que cette description de notre monde provoquerait un choc parmi les hommes politiques. Malheureusement, cela n’a eu aucun effet positif.

    C’était en 1995… A l’époque, j’avais 9 petits-enfants. J’avais eu un tel choc en lisant le rapport que je me demandais dans quelle société mes petits-enfants grandissaient. Je voulais faire quelque chose, mais je me sentais trop petite face à de tels problèmes. Mais je venais de faire une expérience merveilleuse qui m’avait fait comprendre la puissance de la prière lorsqu’on abandonnait tout au Seigneur.

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